Roselyne Bachelot

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Roselyne Bachelot
Illustration.
Roselyne Bachelot en 2014.
Fonctions
Ministre de la Culture

(1 an, 10 mois et 14 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Gouvernement Castex
Prédécesseur Franck Riester
Successeur Rima Abdul Malak
Ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale

(1 an, 6 mois et 2 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon III
Prédécesseur Éric Woerth (Travail et Solidarités)
Successeur Marisol Touraine (Affaires sociales et Santé)
Députée française

(29 jours)
Élection 17 juin 2007
Circonscription 1re de Maine-et-Loire
Législature XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur René Bouin
Successeur Paul Jeanneteau

(29 jours)
Élection 16 juin 2002
Circonscription 1re de Maine-et-Loire
Législature XIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur René Bouin
Successeur René Bouin

(13 ans, 11 mois et 15 jours)
Élection 12 juin 1988
Réélection 28 mars 1993
1er juin 1997
Circonscription 1re de Maine-et-Loire
Législature IXe, Xe et XIe (Cinquième République)
Groupe politique RPR
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur René Bouin
Ministre de la Santé et des Sports[n 1]

(3 ans, 5 mois et 26 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon I et II
Prédécesseur Philippe Bas (Santé)
Jean-François Lamour (Sports)
Successeur Xavier Bertrand (Santé)
Chantal Jouanno (Sports)
Luc Chatel (Jeunesse et Vie associative)
Députée européenne

(2 ans, 9 mois et 27 jours)
Élection 13 juin 2004
Circonscription Ouest (France)
Législature 6e
Successeur Élisabeth Morin
Ministre de l'Écologie et du Développement durable

(1 an, 10 mois et 25 jours)
Président Jacques Chirac
Premier ministre Jean-Pierre Raffarin
Gouvernement Raffarin I et II
Prédécesseur Yves Cochet (Aménagement du territoire et Environnement)
Successeur Serge Lepeltier
Conseillère régionale des Pays de la Loire

(19 ans, 4 mois et 9 jours)
Élection 16 mars 1986
Réélection 22 mars 1992
15 mars 1998
28 mars 2004
Circonscription Maine-et-Loire
Successeur Jacques Beline
Conseillère générale de Maine-et-Loire

(6 ans, 6 mois et 15 jours)
Élection 21 mars 1982
Circonscription Canton d'Angers-Nord-Est
Prédécesseur Jean Rousseau
Successeur Claude Desblancs
Biographie
Nom de naissance Roselyne Cora Marcelle Narquin
Date de naissance (77 ans)
Lieu de naissance Nevers (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1982-2002)
UMP (2002-2012)
Père Jean Narquin
Diplômé de Université d'Angers
Profession Docteure en pharmacie
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Roselyne Bachelot, née Narquin le à Nevers (Nièvre), est une femme politique, animatrice de radio et de télévision française.

Docteure en pharmacie de formation, Roselyne Bachelot est ministre de l'Écologie et du Développement durable de 2002 à 2004, dans les gouvernements Raffarin I et Raffarin II, sous la présidence de Jacques Chirac.

Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, elle est ministre de la Santé et des Sports de 2007 à 2010 dans les gouvernements Fillon I et Fillon II, et ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale de 2010 à 2012 dans le gouvernement Fillon III.

Elle commence ensuite une carrière dans les médias. Elle est notamment chroniqueuse dans l'émission Le Grand 8 diffusée sur D8 (2012-2016), animatrice de 100 % Bachelot sur RMC (2016-2017), ainsi que de plusieurs émissions sur LCI entre 2017 et 2020 puis chroniqueuse sur BFM TV à partir de . Elle intervient également dans l'émission Les Grosses Têtes, sur RTL, entre 2015 et 2020 puis à partir de .

Elle exerce à nouveau une fonction politique en tant que ministre de la Culture dans le gouvernement Castex, sous la présidence d'Emmanuel Macron, de 2020 à 2022.

Biographie

Vie familiale

Roselyne Cora Marcelle Narquin naît le à Nevers[1]. Elle est la fille de Jean Narquin, résistant et député gaulliste, et d'Yvette Le Dû[2], originaire de Gourin, tous deux chirurgiens-dentistes. Elle a un frère, Jean-Yves Narquin[3], ancien maire (RBM) de Villedieu-le-Château, en Loir-et-Cher, et une sœur, Françoise Bardy-Narquin[4], chirurgienne-dentiste[5], et a eu pour beau-frère François Bachelot, ancien cadre du Front national[6].

Roselyne Bachelot a été mariée et utilise le nom d'usage Bachelot-Narquin[n 2].

Elle a un fils, Pierre, né le de son mariage avec Jacques Bachelot en 1968[7]. Pierre Bachelot est le collaborateur parlementaire de sa mère de 1992 à 2002, puis conseiller parlementaire lorsqu'elle occupe la fonction de ministre de l'Écologie, de 2002 à 2004, puis de ministre de la Santé, à partir de 2007, avant d'être nommé chargé de mission auprès de la direction générale de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES)[8],[9].

Jeunesse

Elle est envoyée en pensionnat à sept ans. Elle reçoit une éducation stricte dans le collège La Retraite-Sacré-Cœur, à Angers, où, à huit ans, les religieuses lui font redoubler sa classe malgré son niveau, la considérant comme trop jeune pour entrer en sixième. Elle y fait de trois à quatre heures de musique par jour[10].

Elle raconte aussi que durant sa terminale une religieuse s'était prise d'amour pour elle. Elle lui envoyait des mots doux, des lettres enflammées. La religieuse appelait Roselyne Bachelot « petit masque courageux »[11].

Elle pratique le piano dès l'âge de trois ans et demi et le chant jusqu'à l'âge de vingt ans. Elle découvre sa passion pour l'opéra à vingt-quatre ans lorsqu'un ami l'emmène pour la première fois au Festival de Vérone[12].

Carrière de pharmacienne

Après avoir interrompu ses études de pharmacie commencées à l'université d'Angers, Roselyne Bachelot les reprend et obtient son doctorat en pharmacie en 1988 dans cette même université[13], dont elle sort major de promotion[14].

Déléguée médicale au sein du laboratoire ICI Pharma de 1969 à 1976[15], elle est chargée des relations publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989[16],[17]. Elle siège au conseil d'administration du CHU d'Angers de 1986 à 2004.

Débuts en politique

Initiée à la politique par son père Jean Narquin, conseiller municipal d'Angers et député gaulliste de Maine-et-Loire, Roselyne Bachelot milite au sein du RPR.

Lors de l'élection présidentielle de 1981, elle vote pour le candidat socialiste François Mitterrand, sur ordre du RPR, dans le contexte politique qui opposait alors Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing. Elle déclare a posteriori regretter ce choix[18].

Conseillère générale de à , et conseillère régionale des Pays de la Loire en 1986, elle reprend en 1988 le siège de son père à l'Assemblée nationale.

Elle devient alors secrétaire générale adjointe du RPR de 1989 à 1992[19].

Réélue députée en 1993, 1997 et 2002, elle participe à la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales. Elle consacre ses travaux parlementaires aux questions de santé, de protection sociale, d'exclusion, de santé au travail, de bioéthique et de handicap. Pendant cette période, elle est régulièrement désignée pour être rapporteur ou orateur sur des textes sanitaires et sociaux majeurs. Elle s'intéresse également au Moyen-Orient : elle est présidente du groupe d'amitié France-Irak, vice-présidente du groupe d'amitié France-Syrie, vice-présidente de l'association parlementaire Euro-Arabe et vice-présidente du groupe d'études sur les territoires palestiniens.

En 1991, elle s'oppose aux consignes du RPR et décide de voter la loi Évin (sur le tabagisme et l'alcool).

Militante dans les associations de lutte contre le Sida et féministe, elle défend le droit à la contraception et à l'avortement, ce qui lui vaut d'être portée à la tête de l'Observatoire sur la parité entre les hommes et les femmes, de 1995 à 1998. Lors de cette même période, elle est également présidente du Conseil national des personnes handicapées. Elle siège au comité d'honneur de l'Association des paralysés de France.

Elle est candidate du RPR aux élections municipales de 1995 à Angers, comme son père l'avait été en 1983. Elle est toutefois battue par le maire sortant Jean Monnier. Elle devient chef de file du groupe RPR au sein de la commission des Affaires sociales.

Favorable au mariage homosexuel et à l'adoption d'enfants par les couples homosexuels, son plaidoyer (rédigé avec l'aide de Philippe Séguin[20]) en à l'Assemblée en faveur du PACS, contre les membres de son groupe parlementaire, lui assure une notoriété.

Ministre de l'Écologie et du Développement durable

Après avoir été la porte-parole du candidat et président sortant Jacques Chirac dans le cadre de l'élection présidentielle de 2002, elle est nommée ministre de l'Écologie et du Développement durable dans le premier gouvernement Raffarin en [21], puis reconduite le mois suivant dans le deuxième gouvernement Raffarin, cédant son siège parlementaire à René Bouin.

À cette fonction, elle dirige les travaux de la Charte de l'environnement[22]. Sa fonction de ministre est notamment marquée par l'adoption de la loi de prévention des risques technologiques et naturels du et du plan national de prévention des inondations. Elle est aussi à l'origine du premier « plan national santé environnement »[23] et de la suppression du jour sans chasse qu'avait mis en place Dominique Voynet trois ans auparavant[24].

Cependant, son franc-parler, ses opinions politiques, ainsi que sa vision particulière de l'écologie vont parfois s'opposer aux vues des associations écologistes. Lors de la canicule de l'été 2003, elle devient la cible des Guignols de l'info — qui la présentent comme « la ménagère de moins de 50 de QI »[25] — et de nombre d'observateurs, politiques et civils, pour ses suggestions jugées très terre-à-terre[26]. Elle se montre par la suite plus discrète.

Elle perd son ministère lors de la constitution du troisième gouvernement Raffarin, le . Étant demeurée vice-présidente du conseil régional des Pays de la Loire durant son passage au gouvernement, elle redevient conseillère régionale après la victoire de la gauche aux élections régionales. Elle siège par ailleurs au Parlement européen de 2004 à 2007, après que sa liste dans la circonscription Ouest aux élections européennes de 2004 est arrivée en deuxième position avec 14,8 % des voix exprimées[27].

Ministre de la Santé et des Sports

Roselyne Bachelot en 2007.

Le , elle est nommée par le président Nicolas Sarkozy, sur proposition du Premier ministre François Fillon dont elle est présentée comme la « grande amie »[28], comme ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports[29]. Réélue à l'Assemblée nationale en , elle cède son siège de députée à Paul Jeanneteau. Elle est, selon le conseiller politique Patrick Buisson, la seule ministre que François Fillon a voulu imposer dans son gouvernement[30].

Elle ajoute à ses attributions ministérielles la Vie associative entre le et le [31], avant d'être chargée à partir du de la Santé et des Sports[32].

Elle a pour mission la réforme des franchises médicales, du déficit de la Sécurité sociale (12 milliards d'euros), du plan de lutte contre la maladie d'Alzheimer, de celui contre le cancer, de la réorganisation des soins palliatifs, de l'amélioration des conditions de travail à l'hôpital et du paiement des heures supplémentaires.

En 2008-2009, Roselyne Bachelot défend la loi portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), parue au Journal officiel de la République française le [33]. Cette loi reprend les propositions contenues dans le rapport Larcher remis en , qui entérine entre autres la généralisation de la tarification à l'activité. La loi HPST modifie la gouvernance des établissements publics de santé, crée les agences régionales de santé, et s'accompagne d'une réorganisation de la carte hospitalière[34].

En 2009-2010, elle se retrouve au centre d'une importante controverse au sujet de la commande par le gouvernement français de 95 millions de doses de vaccin pour lutter contre la grippe A (H1N1) et du coût global de la campagne de vaccination mise en place par le gouvernement. Le coût global de la campagne de vaccination en France est estimé à 1,5 milliard d'euros alors que seulement 8 % des Français se sont fait vacciner[35]. Un rapport d'enquête du Sénat, présidé par François Autain, est rendu public le [36]. Il met en lumière le poids des lobbys ainsi que l'acceptation par les décideurs politiques et administratifs de contrats commerciaux trop contraignants[36],[37].

En , elle met en œuvre l'augmentation du tarif de la consultation des médecins généralistes à 23 euros[38].

Désignée tête de liste de l'UMP par les militants du parti pour les élections régionales de 2010 dans les Pays de la Loire, obtenant 3 020 voix pour un taux de participation de 34,3 %[39], elle renonce à conduire la liste, ne souhaitant pas quitter le ministère de la Santé, officiellement pour suivre le développement de la grippe A et mettre en œuvre la réforme hospitalière[40]. La tête de liste est reprise par Christophe Béchu.

Ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale

Le , Roselyne Bachelot est nommée ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale dans le troisième gouvernement de François Fillon par le président Nicolas Sarkozy. Ce nouveau portefeuille ministériel a été mis en place pour la loi sur la dépendance. Cependant, le président de la République annonce l'année suivante le report du projet, afin de maintenir l'équilibre des finances publiques[41].

Animation à la radio et à la télévision

Roselyne Bachelot en 2008.

Bien que la réforme constitutionnelle de 2008 lui permette de retrouver son siège de députée à l'issue du délai d'un mois suivant la cessation de ses fonctions gouvernementales, à savoir le , elle informe le président de l'Assemblée de sa démission. Son siège reste vacant pour les trois derniers jours de la législature se terminant le [42]. La première étape de sa reconversion commence par la publication d'un livre sur la campagne de Nicolas Sarkozy, À feu et à sang. Le , Roselyne Bachelot est nommée par l'Élysée[43] pour siéger à la Commission sur la rénovation et la déontologie de la vie publique présidée par Lionel Jospin[44].

Elle fait ses premiers pas de chroniqueuse TV le aux côtés d’Audrey Pulvar, Élisabeth Bost et Hapsatou Sy, dans l'émission Le Grand 8, présentée par Laurence Ferrari et diffusée sur D8 du lundi au vendredi[45]. Elle présente occasionnellement l'émission en l'absence de Laurence Ferrari. Le programme est arrêté par la chaîne en . Début , elle effectue une démarche afin d'obtenir une carte de presse[46].

Le , elle devient membre du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, créé ce même jour par la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem[47]. Le , à l'occasion de la journée « Le Grand Switch », elle présente le journal télévisé de la mi-journée de D8[48]. En , elle tient une chronique politique tous les dimanches sur iTélé, la chaîne info de Canal+.

En , elle apparaît dans le remake du clip de la chanson Ça ira de la chanteuse Joyce Jonathan[49]. La même année, elle joue dans le prime-time spécial Nos chers voisins, avis de tempête de la série de TF1. Elle y incarne Fabienne, une cousine exigeante et culottée d'Aymeric Dubernet-Carton (interprété par Thierry Samitier)[50].

Elle présente la météo pour la spéciale D8 part en live, en . Elle participe la même année à Toute la télé chante pour sidaction sur France 2. D'abord pressentie pour présenter sur D8 un talk-show en solo à la rentrée 2014, baptisé Roselyne et les garçons [51], le projet est finalement reporté à 2015[52]. En , elle rejoint Cyril Hanouna sur Europe 1 comme chroniqueuse dans son émission Les Pieds dans le plat[53] puis, en , Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier sur la station de radio RTL.

Amatrice d'art lyrique, Roselyne Bachelot collabore occasionnellement au webzine Forumopera.com[54], et publie en 2013 Verdi amoureux[55]. Le , elle publie un projet musical intitulé Salut à la France !, qui regroupe les plus grands airs d'opéra français[56]. Elle tient également à partir de une chronique hebdomadaire sur France Musique dans la matinale de Saskia De Ville, où elle parle essentiellement d'art lyrique[57].

Roselyne Bachelot fait partie des personnalités présentes lors de la première de l'émission de Julien Courbet, Faut pas abuser, le sur D8. En , elle rejoint RMC pour animer une émission quotidienne, 100 % Bachelot, entre 15 heures et 16 heures[58], puis devient en chroniqueuse dans l'émission AcTualiTy, présentée par Thomas Thouroude et diffusée sur France 2[59], laquelle est arrêtée début .

À la rentrée 2017, elle rejoint LCI pour co-animer avec le journaliste Julien Arnaud une émission-débat d'actualité intitulée La République LCI, dans lequel intervient également Natacha Polony[60]. De à , elle anime L'Heure Bachelot tous les matins entre 9 heures et 10 heures sur LCI[61].

En , elle joue avec Myriam El Khomri et Marlène Schiappa une représentation de Les Monologues du vagin au théâtre Bobino. Les bénéfices du spectacle vont au Collectif féministe contre le viol[62]. En , elle rejoint Le Club Le Chatelier avec Bénédicte Le Chatelier.

Retour en politique comme ministre de la Culture

Le , Roselyne Bachelot est nommée ministre de la Culture dans le premier gouvernement de Jean Castex, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Alors qu’elle avait déclaré à plusieurs reprises ne pas envisager de retour en politique, sa nomination suscite les moqueries d’internautes sur les réseaux sociaux[63], mais est globalement saluée par les acteurs du monde culturel[64],[65]. Dans la foulée, elle annonce sa volonté d'organiser des « États généraux des festivals », et plaide pour l'assouplissement des règles sanitaires imposées aux salles de spectacle et lieux culturels dans le contexte de la pandémie de Covid-19[66].

Dans le cadre d’une réorganisation de France Télévisions, initiée par ses prédécesseurs, elle confirme en la suppression de la chaîne France Ô de la TNT[67], et annonce parallèlement le report de l’arrêt de France 4, après les bonnes audiences réalisées par la chaîne durant le confinement de 2020 en France[68]. L’annonce de la fermeture de France Ô avait suscité de vives réactions dans les jours précédents : une manifestation organisée devant le ministère de la Culture réunit une centaine de personnes le [69] ; une tribune signée par 125 personnalités — parmi lesquelles les comédiens Pascal Légitimus et Firmine Richard, l’académicien Erik Orsenna ou la journaliste Audrey Pulvar — paraît le dans Libération et une pétition lancée par l’auteur-compositeur-interprète guadeloupéen Zamor Glenroy recueille plus de 68 000 signatures[70].

En , elle annonce qu'une enveloppe de cinq millions d'euros, en plus des dix millions qui étaient déjà enregistrés pour 2020, serait libérée au début de 2021 pour aider le secteur des festivals, durement touché par la pandémie de Covid-19[71].

Selon L'Obs, l'influence de Roselyne Bachelot à la tête de son ministère est amoindrie par celle de Rima Abdul-Malak, conseillère d’Emmanuel Macron[72].

Le , alors qu'elle avait reçu une première injection de vaccin contre la Covid-19[73], elle annonce être positive à la Covid-19 et se place à l'isolement[74] ; hospitalisée à l'hôpital Bégin[75] à Vincennes puis placée sous oxygénothérapie renforcée, elle sort de l'hôpital le suivant[76].

Après s’être opposée à la mise en place d'un « passe sanitaire » regroupant plusieurs documents relatifs à la Covid-19, elle se rallie à cette idée en mai 2021, à la suite de son adoption à l’Assemblée nationale[77]. Elle critique par ailleurs « des problèmes de riches » des professionnels du cinéma critiques envers la politique gouvernementale alors qu'ils reçoivent d'importantes subventions et aides liées à la crise[77].

Son ministère applique à partir de 2022 des baisses massives des financements destinés à l’archéologie programmée, de l’ordre de − 25 % à − 50 % selon les régions[78].

Elle n'est pas reconduite dans le gouvernement Élisabeth Borne, formé en à la suite de la réélection d'Emmanuel Macron ; Rima Abdul Malak lui succède[79].

À partir de , elle fait son retour dans l'émission de radio Les Grosses Têtes. Elle est également chroniqueuse sur différentes émissions de BFM TV[80].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

Roselyne Bachelot en 2009.
  •  : ministre de l'Écologie et du Développement durable.
  •  : ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports.
  •  : ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative.
  •  : ministre de la Santé et des Sports.
  •  : ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale.
  •  : ministre de la Culture.

À l'Assemblée nationale

Au Parlement européen

Au niveau local

Au sein de partis politiques

  • 1989-1992 : secrétaire générale adjointe du RPR.
  • 1992-1993 : déléguée générale à la condition féminine du RPR.
  • 1995-1997 : déléguée générale à l'emploi et à la lutte contre l'exclusion au RPR, membre du bureau politique.
  • Secrétaire nationale du RPR, chargée de l'emploi (jusqu'en 1998).
  • 1999-2001 : déléguée générale du RPR, chargée de la présence du Mouvement dans la société.
  • Membre du Conseil national du RPR.

Au sein du RPR, elle anime des groupes de travail sur la dépendance, le médicament, l'hôpital, la santé publique, la recherche et le handicap. En 1997, elle préside le groupe des membres RPR de la commission des Affaires sociales et elle sera, au nom du groupe, l'orateur sur les textes importants de la mandature : réduction du temps de travail, emploi des jeunes et couverture maladie universelle.

  •  : porte-parole de la campagne présidentielle de Jacques Chirac.
  • À partir de 2002 : membre du bureau politique de l'Union pour un mouvement populaire.
  • 2004-2007 : secrétaire nationale de l'UMP, chargée des questions de société.
  • 2006-2008 : secrétaire générale adjointe de l'UMP.

Condamnation judiciaire

En avril 2016, le joueur de tennis espagnol Rafael Nadal annonce avoir déposé une plainte en diffamation visant Roselyne Bachelot, pour l'avoir accusé de dopage. Dans cette affaire, elle est condamnée par le tribunal correctionnel pour diffamation, le , à 500 euros d'amende avec sursis et 10 000 euros de dommages et intérêts[81].

Distinctions

Activités artistiques et médiatiques

Ouvrages

  • Deux Femmes au royaume des hommes, en collaboration avec Geneviève Fraisse et Ghislaine Ottenheimer, Paris, Hachette, 1999 (ISBN 9782012355149).
  • Le Pacs : entre haine et amour, Paris, Plon, 2000 (ISBN 2259191436).
  • Les Maires : fête ou défaite ?, Paris, Anne Carrière, 2002 (ISBN 2843371384).
  • Le Combat est une fête, Paris, Robert Laffont, 2006 (ISBN 2221103122) [de façon prémonitoire, elle regrette dans cet ouvrage que Bernard Kouchner ne se soit pas vu offrir le ministère des Affaires étrangères].
  • À Feu et à sang : carnets secrets d'une présidentielle de tous les dangers, Paris, Flammarion, 2012 (ISBN 9782081282476).
  • Verdi amoureux, Paris, Flammarion, (ISBN 978-2-08-131265-4 et 2-08-131265-4)
    Biographie du compositeur Giuseppe Verdi[87].
  • La Petite Fille de la Ve, Paris, Flammarion, 2015 (ISBN 9782081314542).
  • Bien dans mon âge : tout commence à soixante ans, Paris, Flammarion, 2016 (ISBN 9782081386051).
  • Corentine, Paris, Plon, , 159 p. (ISBN 978-2-259-27662-7, lire en ligne)
    Portrait de sa grand-mère originaire de Gourin[88].
  • En 2019, avec Guillaume Gomez, Philippe Faure et Jean-Robert Pitte, elle participe à la direction de l'ouvrage Les Cuisiniers de la République française : les meilleures recettes (Glénat).
  • 682 jours, Plon, 2023. Chronique de son passage au ministère de la Culture[89].
  • Ma vie en rose, Albin Michel
    Autobiographie qui devait initialement sortir à l'automne 2020[90].

Émissions de radio et de télévision

Filmographie

  • 2013 : clip de la chanson Ça ira de Joyce Jonathan : apparition.
  • 2013 : Nos chers voisins, prime-time Avis de tempête, sur TF1 : Fabienne, cousine d'Aymeric Dubernet-Carton.
  • 2013 : Diagnostic, court-métrage de Fabrice Bracq et Antoine Cupial (web) : elle-même[92].
  • 2014 : Enfin te voilà ! sur Comédie+ : une ex-star de football féminin.
  • 2020 : I Love You coiffure, téléfilm de Muriel Robin sur TF1 : Pilou (sketch L'Addition).

Théâtre

Discographie

  • 2016 : Salut à la France ! (compilation des plus grands airs d'opéra français).

Notes et références

Notes

  1. Elle est successivement ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports (2007-2008), ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative (2008-2009) puis ministre de la Santé et des Sports (2009-2010). Bernard Laporte puis Rama Yade sont nommés secrétaires d'État auprès d'elle.
  2. Ce nom d'usage, formé du nom de famille de son ex-époux suivi de son propre patronyme, est par exemple utilisé dans les décrets de nomination des membres du gouvernement, tandis que son seul nom d'épouse — Bachelot — est habituellement utilisé par les médias.

Références

  1. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte, 1992 (consulté le ).
  2. « Roselyne Bachelot-Narquin », Le Point.
  3. « FN : Jean-Yves Narquin condamné pour abandon de famille », sur LCI, .
  4. Biographie de Jean Narquin, Dictionnaire Biographique Who's Who in France.
  5. Lettre de liaison de l’Association Combrée - Amicale des anciens élèves et amis, juin 2015, no 12, p. 9
  6. Renaud Dély, « François Bachelot. Celui qui a soufflé à Le Pen ses « sidatoriums » poursuit sa carrière de cancérologue. », Libération, .
  7. Marie Guichoux, « Roselyne Bachelot, 52 ans, RPR, défend le Pacs, dont la discussion reprend à l'Assemblée. Elle prône aussi la parité et la féminisation des titres. La franche-tireuse. », Libération, .
  8. « Pierre Bachelot nommé à l’Inpes », lefigaro.fr, 28 mai 2010
  9. « Le fils de Roselyne Bachelot nommé à l'INPES », Le Point, (consulté le ).
  10. « La ministre Roselyne Bachelot était une ado « rebelle » ! », sur Ouest-France, .
  11. Paris Match, « Enfance et vie politique, Roselyne Bachelot se raconte sur "Le Divan" de Fogiel », sur parismatch.com (consulté le )
  12. Patricia Hervé, « Bachelot : "J'ai toujours rêvé être Maria Callas" », sur Le Journal du dimanche, .
  13. « Biographie de Roselyne BACHELOT-NARQUIN », Webeconomie.com,
  14. Maurice Grassin, Roselyne Bachelot : fidèle et rebelle, Siloë, , p. 72
  15. « Le vrai CV de Roselyne Bachelot », Fakir,
  16. « Biographie de Roselyne Bachelot-Narquin », sur trombinoscope.com.
  17. Roselyne Bachelot, fidèle et rebelle, de Maurice Grassin, 2000, Éd. Siloë.
  18. Roselyne Bachelot, interviewée par Bruno Jeudy, « Roselyne Bachelot : "En 1981, j'ai voté Mitterrand sur ordre du RPR », Paris Match, semaine du 30 avril au 6 mai 2015, page 22.
  19. Closermag.fr, « Roselyne Bachelot : bio, news, photos de Roselyne Bachelot - Closer », sur Closermag.fr (consulté le )
  20. Laurent Mauriac, « Séguin, co-auteur du discours de Bachelot sur le Pacs », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  21. « Roselyne Bachelot : Ministre de l'Ecologie et du Développement durable », sur liberation.fr, (consulté le ).
  22. « Bachelot présente sa charte de l'environnement », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  23. « Cabinet de Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de l'Écologie et du Développement durable (2002-2004) », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
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  92. [vidéo] Fabrice Bracq, Diagnostic court métrage sur YouTube, mise en ligne le .

Voir aussi

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v · m
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin I ()
Sous la présidence de Jacques Chirac
Intérieur, Sécurité intérieure et Libertés locales
Nicolas Sarkozy
Ministre délégué aux Libertés locales : Patrick Devedjian

Jean-Pierre
Raffarin

Premier ministre
Affaires sociales, Travail et Solidarité
François Fillon
Ministre délégué à la Ville : Jean-Louis Borloo
Secrétaire d'État à la Lutte contre la Précarité et l'Exclusion : Dominique Versini
Justice, garde des sceaux Dominique Perben
Affaires étrangères, Coopération
et Francophonie
Dominique de Villepin
Ministre délégué aux Affaires européennes : Renaud Donnedieu de Vabres
Défense et Anciens combattants Michèle Alliot-Marie
Jeunesse, Éducation nationale et Recherche
Luc Ferry
Ministre délégué à l'Enseignement scolaire : Xavier Darcos
Ministre délégué à l'Enseignement supérieur et à la Recherche : François Loos
Économie, Finances et Industrie
Francis Mer
Ministre délégué au Budget : Alain Lambert
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat et aux Professions libérales : Renaud Dutreil
Équipement, Transports, Logement, Tourisme
et Mer
Gilles de Robien
Secrétaire d'État à la Mer : Nicole Ameline
Secrétaire d'État aux Transports : Dominique Bussereau
Écologie et Développement durable
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État au Développement durable : Tokia Saïfi
Santé, Famille et Personnes handicapées Jean-François Mattei
Agriculture, Alimentation, Pêche
et Affaires rurales
Hervé Gaymard
Culture et Communication Jean-Jacques Aillagon
Fonction publique, Réforme de l’État
et Aménagement du territoire
Jean-Paul Delevoye
Outre-mer Brigitte Girardin
Sports Jean-François Lamour
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : Jean-François Copé, porte-parole du Gouvernement
Ordonnancement par ordre de préséance
( JOSPIN) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (RAFFARIN II )
v · m
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin II ()
Sous la présidence de Jacques Chirac
Intérieur, Sécurité intérieure et Libertés locales
Nicolas Sarkozy
Ministre délégué aux Libertés locales : Patrick Devedjian

Jean-Pierre
Raffarin

Premier ministre
Affaires sociales, Travail et Solidarité
François Fillon
Ministre délégué à la Ville et à la Rénovation urbaine : Jean-Louis Borloo
Ministre déléguée à la Parité et à l'Égalité professionnelle : Nicole Ameline
Secrétaire d'État à la Lutte contre la Précarité et l'Exclusion : Dominique Versini
Secrétaire d'État aux Personnes âgées : Hubert Falco
Justice, garde des sceaux
Dominique Perben
Secrétaire d'État aux Programmes immobiliers de la Justice : Pierre Bédier (dém) (1) puis Nicole Guedj (1)
Affaires étrangères
Dominique de Villepin
Ministre déléguée aux Affaires européennes : Noëlle Lenoir
Ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie : Pierre-André Wiltzer
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères : Renaud Muselier
Défense
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants : Hamlaoui Mekachera
Jeunesse, Éducation nationale et Recherche
Luc Ferry
Ministre délégué à l'Enseignement scolaire : Xavier Darcos
Ministre déléguée à la Recherche et aux Nouvelles Technologies : Claudie Haigneré
Économie, Finances et Industrie
Francis Mer
Ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire : Alain Lambert
Ministre déléguée à l'Industrie : Nicole Fontaine
Ministre délégué au Commerce extérieur : François Loos
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat, aux Professions libérales et à la Consommation : Renaud Dutreil
Équipement, Transports, Logement, Tourisme
et Mer
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Secrétaire d'État aux Transports et à la Mer : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État au Tourisme : Léon Bertrand
Écologie et Développement durable
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État au Développement durable : Tokia Saïfi
Santé, Famille et Personnes handicapées
Jean-François Mattei
Ministre délégué à la Famille : Christian Jacob
Secrétaire d'État aux Personnes handicapées : Marie-Thérèse Boisseau
Agriculture, Alimentation, Pêche
et Affaires rurales
Hervé Gaymard
Culture et Communication Jean-Jacques Aillagon
Fonction publique, Réforme de l’État
et Aménagement du territoire
Jean-Paul Delevoye
Secrétaire d'État à la Réforme de l’État : Henri Plagnol
Outre-mer Brigitte Girardin
Sports Jean-François Lamour
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : Jean-François Copé, porte-parole du Gouvernement
( RAFFARIN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (RAFFARIN III )
v · m
Gouvernement François Fillon I ()
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Développement
et Aménagement durables
Alain Juppé, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau

François Fillon
Premier ministre
Économie, Finances et Emploi Jean-Louis Borloo
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales Michèle Alliot-Marie
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Codéveloppement
Brice Hortefeux
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Travail, Relations sociales et Solidarité Xavier Bertrand
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense Hervé Morin
Santé, Jeunesse et Sports Roselyne Bachelot-Narquin
Logement et Ville Christine Boutin
Agriculture et Pêche Christine Lagarde
Culture et Communication Christine Albanel, porte-parole du Gouvernement
Budget, Comptes publics et Fonction publique Éric Woerth
Secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et de l'Évaluation des politiques publiques : Éric Besson
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté : Martin Hirsch
Ordonnancement par ordre de préséance
( DE VILLEPIN) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON II )
v · m
Gouvernement François Fillon II () jusqu'au remaniement du 18 mars 2008
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Développement
et Aménagement durables
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Nathalie Kosciusko-Morizet

François Fillon
Premier ministre
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer : Christian Estrosi
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie : Jean-Marie Bockel
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme : Rama Yade
Économie, Finances et Emploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargé de la Consommation et du Tourisme : Luc Chatel
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Codéveloppement
Brice Hortefeux
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Agriculture et Pêche Michel Barnier
Travail, Relations sociales et Solidarité
Xavier Bertrand
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité : Valérie Létard
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants, puis secrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants (1) : Alain Marleix
Santé, Jeunesse et Sports
Roselyne Bachelot
Secrétaire d'État chargé des Sports (2) : Bernard Laporte (2)
Logement et Ville
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville : Fadela Amara
Culture et Communication Christine Albanel
Budget, Comptes publics et Fonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : André Santini
Secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et de l'Évaluation des politiques publiques : Éric Besson
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté : Martin Hirsch
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 18 mars 2008 et jusqu'au remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Aménagement du territoire
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Nathalie Kosciusko-Morizet puis Chantal Jouanno (5)
Secrétaire d'État chargé de la Région capitale : Christian Blanc
Secrétaire d'État chargé de l'Aménagement du territoire : Hubert Falco

François Fillon
Premier ministre
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer : Yves Jégo
secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet puis Bruno Le Maire (2)
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie : Alain Joyandet
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme : Rama Yade
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la Consommation : Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme et des Services : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Brice Hortefeux puis Éric Besson (4)
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Agriculture et Pêche Michel Barnier
Travail, Relations sociales, Famille et Solidarité
puis Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville (4)
Xavier Bertrand puis Brice Hortefeux (4)
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité : Valérie Létard
Secrétaire d'État chargée de la Famille : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Jean-Marie Bockel
Santé, Jeunesse, Sports et Vie associative
puis Santé et Sports (3)
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargé des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, puis secrétaire d'État chargé des Sports (3) : Bernard Laporte
Logement et Ville
puis Logement (4)
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Culture et Communication Christine Albanel
Budget, Comptes publics et Fonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : André Santini
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance (1) : Patrick Devedjian
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Évaluation des politiques publiques et du Développement de l'économie numérique puis secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique (4) : Éric Besson puis Nathalie Kosciusko-Morizet (4)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté puis également haut commissaire à la Jeunesse (3) : Martin Hirsch
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Chantal Jouanno
Secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme : Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargée des Technologies vertes et des Négociations sur le climat : Valérie Létard

François Fillon
Premier ministre
Justice et Libertés, garde des sceaux
Michèle Alliot-Marie, ministre d'État
Secrétaire d'État à la Justice : Jean-Marie Bockel
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, puis supprimé (3) : Alain Joyandet (dém) (3)
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Brice Hortefeux
Secrétaire d'État puis ministre (1) chargée de l'Outre-mer : Marie-Luce Penchard
Secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville
puis Travail, Solidarité et Fonction publique (2)
Xavier Darcos puis Éric Woerth (2)
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville : Fadela Amara
Secrétaire d'État chargée de la Famille et de la Solidarité : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée des Aînés : Nora Berra
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique (2) : Georges Tron
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Ministre chargé de l'Industrie : Christian Estrosi
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Budget, Comptes publics, Fonction publique
et Réforme de l'État puis Budget, Comptes publics
et Réforme de l'État (2)
Éric Woerth puis François Baroin (2)
Éducation nationale Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Alimentation, Agriculture et Pêche Bruno Le Maire
Culture et Communication Frédéric Mitterrand
Espace rural et Aménagement du territoire Michel Mercier
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Hubert Falco
Santé et Sports
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargée des Sports : Rama Yade
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Éric Besson
Jeunesse et Solidarités actives (2) Marc-Philippe Daubresse
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance : Patrick Devedjian
Ministre chargé des Relations avec le Parlement : Henri de Raincourt
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique : Nathalie Kosciusko-Morizet
Secrétaire d'État chargé du Développement de la région capitale, puis supprimé (3) : Christian Blanc (dém) (3)
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté et haut commissaire à la Jeunesse, puis supprimés (2) : Martin Hirsch (dém) (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon III ()
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Défense et Anciens Combattants
Alain Juppé, ministre d'État puis Gérard Longuet (1)
Secrétaire d'État (3) : Marc Laffineur

François Fillon
Premier ministre
Affaires étrangères et européennes
Michèle Alliot-Marie, ministre d'État (dém) (1) puis Alain Juppé, ministre d'État (1)
Ministre chargé de la Coopération : Henri de Raincourt
Ministre chargé des Affaires européennes : Laurent Wauquiez puis Jean Leonetti (3)
Secrétaire d'État chargé des Français de l'étranger (3) : David Douillet puis Édouard Courtial (4)
Écologie, Développement durable, Transports et Logement
Nathalie Kosciusko-Morizet puis François Fillon (5)
Secrétaire d'État chargé du Logement puis ministre chargé du Logement (5) : Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargé des Transports puis ministre chargé des Transports (3) : Thierry Mariani
Justice et Libertés, garde des sceaux Michel Mercier
Intérieur, Outre-mer, Collectivités territoriales et Immigration
Brice Hortefeux puis Claude Guéant (1)
Ministre chargé des Collectivités territoriales : Philippe Richert
Ministre chargée de l'Outre-mer : Marie-Luce Penchard
Économie, Finances et Industrie
Christine Lagarde puis François Baroin (3)
Ministre chargé de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique : Éric Besson
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur : Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation : Frédéric Lefebvre
Travail, Emploi et Santé
Xavier Bertrand
Ministre chargée de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Santé : Nora Berra
Éducation nationale, Jeunesse
et Vie associative
Luc Chatel
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de la Vie associative : Jeannette Bougrab
Budget, Comptes publics, Fonction publique
et Réforme de l'État
puis Budget, Comptes publics et Réforme de l'État (3)
François Baroin, porte-parole du Gouvernement, puis Valérie Pécresse, porte-parole du Gouvernement (3)
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : Georges Tron (dém) (2)
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse puis Laurent Wauquiez (3)
Agriculture, Alimentation, Pêche, Ruralité
et Aménagement du territoire
Bruno Le Maire
Culture et Communication Frédéric Mitterrand
Solidarités et Cohésion sociale
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État : Marie-Anne Montchamp
Secrétaire d'État chargée de la Famille (3) : Claude Greff
Ville Maurice Leroy
Sports Chantal Jouanno puis David Douillet (4)
Fonction publique (3) François Sauvadet
Ministre auprès du Premier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement : Patrick Ollier
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement des et
  • (5) Remaniement du
( FILLON II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (AYRAULT I )
v · m
Gouvernement Jean Castex ()
Sous la présidence d’Emmanuel Macron
Europe et Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité : Franck Riester
Secrétaire d'État chargé du Tourisme, des Français de l'étranger et de la Francophonie : Jean-Baptiste Lemoyne
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Clément Beaune



Jean Castex
Premier ministre
Transition écologique
Barbara Pompili
Ministre déléguée chargée du Logement : Emmanuelle Wargon
Ministre délégué chargé des Transports : Jean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité : Bérangère Abba
Éducation nationale, Jeunesse et Sports
Jean-Michel Blanquer
Ministre déléguée chargée des Sports : Roxana Maracineanu
Secrétaire d'État chargée de l'Éducation prioritaire : Nathalie Élimas
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de l'Engagement : Sarah El Haïry
Économie, Finances et Relance
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé des Comptes publics : Olivier Dussopt
Ministre déléguée chargée de l'Industrie : Agnès Pannier-Runacher
Ministre délégué chargé des Petites et moyennes entreprises : Alain Griset
Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques : Cédric O (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable : Olivia Grégoire
Armées
Florence Parly
Ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants : Geneviève Darrieussecq
Intérieur
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargée de la Citoyenneté : Marlène Schiappa
Travail, Emploi et Insertion
Élisabeth Borne
Ministre déléguée chargée de l'Insertion : Brigitte Klinkert
Secrétaire d'État chargé des Retraites et de la Santé au travail : Laurent Pietraszewski
Outre-mer Sébastien Lecornu
Cohésion des territoires et Relations avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre déléguée chargée de la Ville : Nadia Hai
Secrétaire d'État chargé de la Ruralité : Joël Giraud
Justice, garde des sceaux Éric Dupond-Moretti
Culture Roselyne Bachelot
Solidarités et Santé
Olivier Véran
Ministre déléguée chargée de l'Autonomie : Brigitte Bourguignon
Secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles : Adrien Taquet
Mer Annick Girardin
Enseignement supérieur, Recherche et Innovation Frédérique Vidal
Agriculture et Alimentation Julien Denormandie
Transformation et Fonction publiques Amélie de Montchalin
Ministres délégués et secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne : Marc Fesneau
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances : Élisabeth Moreno
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées : Sophie Cluzel
Secrétaire d'État, porte-parole du gouvernement : Gabriel Attal
(← PHILIPPE II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( BORNE)
v · m
Ministres
Secrétaires d'État
v · m
Troisième République
(1915-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
CFLN et GPRF
(1943-1946)
Quatrième République
(1946-1958)
Cinquième République
(depuis 1959)
En italique : les ministres délégués, secrétaires d'État ou sous-secrétaires d'État seuls titulaires du portefeuille de la Santé
v · m
IIIe République
(1906-1940)
Seconde Guerre mondiale
(1940-1944)
Régime de Vichy
CNF et CFLN
GPRF et IVe République
(1944-1958)
Ve République
(depuis 1959)
t Ministre du Travail ; a Ministre des Affaires sociales ; e Ministre de l'Emploi ; s Ministre de la (des) Solidarité(s)
Articles connexes : Ministère du Travail ; Ministère des Affaires sociales
v · m
Ministres
Secrétaires d'État ou hauts-commissaires
v · m
Ministère de l'Écologie sous la Ve République
v · m
Animateurs
Sociétaires actuels
Anciens sociétaires
v · m
Laurent Ruquier
Émissions
Radio
Télévision
Membres de longue date
Autres membres actuels
Anciens membres
Autres personnalités liées
Articles liés
v · m
Daniel Besse, Agnès Besse, Martin Siméon, Bénédicte Vidal, Bruno Pérès, Olivier Berclaz, Olivier Eloy, Armelle Barnier et Emmanuel Patron
Saisons
  • 1
  • 2
  • 3
Acteurs principaux
Invités sur un prime
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