Hubert Falco

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Hubert Falco
Illustration.
Hubert Falco en 2008.
Fonctions
Maire de Toulon

(22 ans et 25 jours)
Élection
Réélection
28 mars 2014
27 mai 2020
Prédécesseur Jean-Marie Le Chevallier
Successeur Josée Massi
Président de la Métropole Toulon Provence Méditerranée[1]

(21 ans, 2 mois et 11 jours)
Élection
Réélection

Prédécesseur Fonction créée
Successeur Jean-Pierre Giran
Sénateur français

(6 ans, 9 mois et 7 jours)
Circonscription Var
Groupe politique UMP puis LR
Prédécesseur Élie Brun
Successeur Georges Ginesta

(3 ans et 6 mois)
Circonscription Var
Prédécesseur André Geoffroy
Successeur Élie Brun

(6 ans, 8 mois et 15 jours)
Circonscription Var
Successeur André Geoffroy
Secrétaire d'État à la Défense et aux
Anciens combattants

(1 an, 4 mois et 21 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Jean-Marie Bockel
Successeur Alain Juppé (ministre)
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire

(1 an, 3 mois et 5 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Christian Estrosi (indirectement)
Successeur Michel Mercier (ministre)
Ministre délégué aux Personnes âgées

(6 mois et 26 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Raffarin III
Prédécesseur Lui-même (secrétaire d'État)
Successeur Philippe Bas (indirectement)
Secrétaire d'État aux Personnes âgées

(1 an, 9 mois et 13 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Raffarin II
Prédécesseur Paulette Guinchard-Kunstler (indirectement)
Successeur Lui-même (ministre délégué)
Président du conseil général du Var

(8 ans, 6 mois et 16 jours)
Élection 27 mars 1994
Prédécesseur Maurice Arreckx
Successeur Horace Lanfranchi
Député français

(7 ans, 3 mois et 1 jour)
Élection 12 juin 1988
28 mars 1993
Circonscription 6e du Var
Législature IXe et Xe (Cinquième République)
Groupe politique UDF (1988-1993)
UDFC (1993-1995)
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Maurice Janetti
Maire de Pignans

(18 ans et 7 jours)
Élection
Réélection
Successeur Jean-Louis Raybaud
Biographie
Date de naissance (76 ans)
Lieu de naissance Pignans (Var)
Nationalité Française
Parti politique UDF-PR (1985-1997)
DL (1997-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2021)
LFA (depuis 2017)
HOR (depuis 2021)
Profession Chef d'entreprise

Hubert Falco
Maires de Toulon
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Hubert Falco, né le à Pignans (Var), est un homme politique français.

Ancien maire de Toulon et ancien président de la Métropole Toulon Provence Méditerranée de 2001 à 2023, il est député du Var entre 1988 et 1995 puis sénateur du Var entre 1995 et 2017, président du conseil général du Var (1994-2002), maire de Pignans (1983-2001) et occupe des fonctions ministérielles sous les présidences Chirac (gouvernements Raffarin II et III) et Sarkozy (gouvernement Fillon II).

En avril 2023, il est condamné, pour recel de détournement de fonds publics, à trois ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité par jugement du Tribunal correctionnel de Marseille rendu avec exécution provisoire, ce qui entraîne la déchéance immédiate de ses mandats.

Biographie

Famille

Le grand-père d'Hubert Falco arrive dans le Var dans les années 1920 en provenance d'Italie, alors terre d'émigration (voir Diaspora italienne en France). Fils de commerçants, il reprend l'entreprise familiale de transports avant de devenir le directeur général de la fabrique de bouchons Melan-Moutet en 1975[2].

Maire de Pignans

Sa carrière politique débute en 1971, année où il est élu au sein du conseil municipal de Pignans sur une liste de gauche, dans une commune de tradition communiste. Réélu aux élections municipales de 1977 sur une liste « d'entente communale », Hubert Falco prend la tête d'une liste de droite aux municipales de 1983, et est élu maire de Pignans[2] en 1989 et en 1995.

Conseiller général

Approché par le chef du Parti républicain François Léotard, député-maire de Fréjus, Hubert Falco adhère à l'UDF en 1985[3]. La même année, le maire de Toulon Maurice Arreckx décide d'engager une campagne électorale afin de ravir à la gauche la présidence du conseil général. Hubert Falco est le candidat victorieux du camp Arreckx dans le canton de Besse-sur-Issole. Le conseil général du Var bascule à droite. Arreckx en devient le président[4].

En 1992, Maurice Arreckx fait d'Hubert Falco son premier vice-président au conseil général en 1992 et le désigne officieusement comme son dauphin[4]. En 1994, Maurice Arreckx, qui préside le département depuis une décennie, est battu dans son canton. Hubert Falco lui succède à la tête de l’assemblée locale.

Député du Var

Hubert Falco est ensuite candidat aux élections législatives de 1988 avec le soutien de Maurice Arreckx, qui préside son comité de soutien[4]. « Votez et faites voter dès le premier tour pour mon ami Hubert Falco ! », déclare Arreckx dans un tract pour les législatives de 1988[4]. Arreckx y qualifie Hubert d'« excellent collaborateur »[4]. Hubert Falco bénéficie lors de cette campagne de financements des milieux d’affaires locaux, en étant financé par l’homme d’affaires Claude Ott, par la Compagnie des eaux et de l’ozone, par une entreprise propriétaire d’hypermarchés (Sodiluc SA), ainsi que par des acteurs du bâtiment et des travaux publics (BTP) : Sogea, EBM Scappini, Raphaëloise bâtiment travaux publics[4].

Au second tour, Hubert bénéficie d’un accord passé entre Arreckx et la députée FN Yann Piat. En échange du retrait d’un candidat de droite dans la circonscription de Piat, le FN varois retire tous ses candidats qualifiés pour le second tour[réf. nécessaire]. Grâce à cette entente, Hubert Falco fait son entrée à l'Assemblée nationale[réf. souhaitée].

En 1993, Hubert Falco est réélu à l'Assemblée nationale, dont il devient secrétaire jusqu'en 1994.

Sénateur du Var

En 1995, Hubert Falco est élu au Sénat et siège entre 1996 et 2001 comme juge à la Cour de justice de la République. Hubert Falco est réélu sénateur le .

Maire de Toulon et président de la métropole Toulon Provence Méditerranée

Conforté par son ascension à l'échelle départementale, Hubert Falco tente de reprendre en 2001 la mairie de Toulon à l'ex-frontiste Jean-Marie Le Chevallier. En tête du premier tour, il récolte 68,79 % des voix au second tour face à la liste socialiste menée par Odette Casanova[5]. Falco cède alors la tête du Conseil général du Var à l'un de ses proches, Horace Lanfranchi.

Il engage une forte réduction des charges de la ville de Toulon, endettée à hauteur de 214 millions d'euros, et met en place avec onze communes voisines, pour porter les grands projets, la Communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée[3], créée le et qu'il dirige[6].

Son pouvoir local s'appuie sur la franc-maçonnerie toulonnaise, où toutes les grandes obédiences sont présentes[7]. Lui-même est membre de la Grande Loge nationale française[7], jusqu'à ce que celle-ci soit éclaboussée par de nombreux scandales qui l'ont contraint à se faire exclure[source insuffisante][8],[9]. Proche de l'importante communauté pieds-noirs de la ville, Hubert Falco rend chaque année hommage « aux martyrs de l'Algérie française »[4].

Il entreprend la réhabilitation du centre ancien, avec le soutien de l'ANRU, autour des places de la Liberté et Louis-Blanc, des dalles de l'Équerre et des Ferrailleurs, la construction d'un nouveau théâtre (le Théâtre Liberté) et la rénovation de l'Opéra ainsi que la constitution d'une zone franche urbaine[10], mais ses opposants lui reprochent le manque de logements sociaux dans ces projets[3]. Il favorise l'embourgeoisement du centre-ville, tandis que les foyers modestes tendent à être rejetés vers les quartiers périphériques[4].

Aux élections municipales de 2008, sa liste l'emporte dès le premier tour avec 65,20 % des voix[5]. C'est également le cas aux élections de 2014, lorsque sa liste réunit 59,27 % des voix, soit le deuxième meilleur score de France pour les villes de plus de 100 000 habitants, derrière Alain Juppé à Bordeaux[11]. Aux élections de 2020, la liste qu'il conduit ayant obtenu 61,39 % des voix[12]. Il est réélu au conseil municipal du [13].

L'administration d'Hubert Falco bénéficie d'un fort soutien dans plusieurs franges de la population — les militaires, les personnes âgées, les Pieds-Noirs — et peut compter, selon le Monde diplomatique, sur le soutien de réseaux d'allégeance clientélistes[4]. Les journalistes Simon Fontvieille et Jean-Baptiste Malet ont consacré une longue enquête à ces réseaux, publiée dans Le Monde diplomatique[4]. Selon eux, « lorsque le recours au clientélisme ne suffit pas, il reste la méthode forte : le bourrage d’urne. » Les cahiers d'émargement des bureaux de vote où Hubert Falco et son équipe réalisent leurs meilleurs résultats comportent les signatures de personnes mortes ou emprisonnées[4].

Fonctions gouvernementales

Hubert Falco est appelé dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin le comme secrétaire d'État, puis ministre délégué aux personnes âgées, tout en conservant sa mairie, une exception qui lui est accordée par le gouvernement malgré la règle non-écrite de non-cumul ministère-exécutif local.

Comme ministre, Hubert Falco doit faire face avec Jean-François Mattei à la Santé, à la canicule de l'été 2003 en France, qui fait plus de 15 000 morts, particulièrement des personnes âgées, épisode qui, dit-il, l'a fortement marqué[14]. Hubert quitte le gouvernement après sa réélection au Sénat en .

À la suite du renouvellement de son mandat de maire en 2008, il est nommé secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire, auprès du ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, au sein du gouvernement François Fillon. À ce poste, il s'emploie au bon déroulement du projet de second tunnel (second tube) sous Toulon dont l'ouverture, initialement prévue pour fin 2011, a été reportée à mi-2013[15]. Il est aussi chargé d'accompagner la restructuration de la carte militaire qui prévoit la suppression de 83 sites militaires à travers la France à partir de 2009[16].

Le , il est nommé secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens combattants dans ce même gouvernement, fonction qu'il conserve jusqu'à la démission du deuxième gouvernement Fillon le .

Responsabilités à l'UMP puis LR

Le , Hubert Falco annonce son soutien à la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012[17].

En février 2013, dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient vice-président de l’UMP, lors de la seconde vague de nomination après celle de janvier, en plus du vice-président délégué Luc Chatel, en poste depuis novembre 2012.

Depuis , il est Président national du Comité des Maires UMP puis Républicains.

Il soutient Alain Juppé pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[18].

Il parraine Laurent Wauquiez pour le congrès des Républicains de 2017, scrutin lors duquel est élu le président du parti[19].

Départ des Républicains et soutien à Emmanuel Macron

Dans le cadre des élections régionales de 2021 en PACA, avec le retrait de l'investiture du parti Les Républicains puis l'annulation de retrait au président sortant Renaud Muselier après le rapprochement avec La République en marche d’Emmanuel Macron, il annonce quitter le parti le 5 mai 2021[20]. Il avait en effet soutenu le rapprochement entre la liste Les Républicains et la liste de la majorité présidentielle[21].

Fin août 2021, avec d'autres maires, il déclare explicitement soutenir Emmanuel Macron en vue de l'élection présidentielle d'avril 2022[22],[23]. En février 2022, il figure ainsi sur la première liste du Conseil constitutionnel répertoriant les parrainages reçus par les candidats au scrutin, apportant le sien au président sortant[24]

Affaires judiciaires

Cette section est liée à une affaire judiciaire en cours (avril 2023).
Le texte peut changer fréquemment, n'est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N'hésitez pas à participer à l'écriture de synthèse de manière neutre et objective, en citant vos sources. N'oubliez pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.

Affaire de détournement de fonds publics des sénateurs UMP

En 2017, Hubert Falco est mis en cause dans une affaire de détournement de fonds publics au sein du groupe UMP au Sénat[25].

« Affaire du frigo » et démission de ses mandats

Laurent Defraize, chef cuisinier du département du Var, s'est suicidé le 11 mars 2020, retrouvé pendu sur la terrasse de son domicile. Il était à l'origine en 2016 du premier témoignage sur l’existence d’un détournement de fonds publics par Hubert Falco. D'après une enquête de Mediapart, le cuisinier se disait victime de « harcèlement » de la part de la direction du département et avait finalement vu son contrat, ainsi que celui de son frère travaillant lui aussi dans les cuisines, ne pas être reconduits sur décision de Marc Giraud, président du département. Faouzia Mehazem, responsable du syndicat Unsa au sein de cette collectivité locale et autre témoin contre Hubert Falco, a reçu à plusieurs reprises des menaces de mort dans la boîte aux lettres de son domicile[26].

En octobre 2021, Hubert Falco est mis en garde à vue pour détournement de fonds publics. Il est soupçonné d’avoir eu gratuitement table ouverte, entre 2002 à 2018, à la cantine du conseil départemental du Var, qu’il ne présidait plus et dont il n'était plus membre depuis 2002[27], de s'être fait livrer à domicile des repas préparés dans les cuisines du conseil départemental du Var, même les jours fériés et les week-ends, — ces repas étaient stockés dans un réfrigérateur particulier d'où le nom d'« affaire du frigo » que donneront les médias à cette affaire judiciaire —[28], d'avoir son linge nettoyé aux frais de la collectivité territoriale et des heures supplémentaires payées à deux agents du Conseil départemental consacrés à son service[29]. Pour les seuls frais de bouche, le préjudice pour le contribuable est estimé à plus de 300 000 euros entre 2002 et 2018, soit 1 500 euros par mois[26],[28].

En février 2023, Hubert Falco devait se présenter devant les juges dans le cadre de cette affaire judiciaire[30],[31]. Toutefois, son procès est reporté au 11 avril 2023 devant le tribunal correctionnel de Marseille[32]. Le procureur de la République, Mathieu Vernaudon, y déclare que l’affaire Falco lui fait penser à « un dossier de criminalité organisée », plusieurs témoins ayant parlé en procédure de leur « peur de subir des représailles »[33]. Il requiert trois ans de prison avec sursis, une privation des droits civils et civiques pendant cinq ans, et l’exécution provisoire de l’inéligibilité[34]. Le 14 avril 2023, la présidente du tribunal, Céline Ballerini, stigmatise la « petitesse » des agissements d’Hubert Falco, rappelant qu’en « voulant rencontrer les plus hautes autorités de l’État », le maire de Toulon a montré son « mépris des règles »[33]. Le tribunal correctionnel le reconnaît coupable de recel de détournement de fonds publics et choisit de suivre la réquisition du procureur, jugeant que le « devoir d'exemplarité a été totalement bafoué »[35]. L'exécution provisoire de l'inéligibilité entraîne la cessation de ses mandats de maire de Toulon et de président de la métropole Toulon Provence Méditerranée, cessation qui, selon la procédure, doit être prononcée par arrêté pris par le préfet du Var[28]. L'avocat d'Hubert Falco annonce faire appel du jugement[36] mais cet appel n'est pas suspensif des condamnations.

En réaction à la condamnation d'Hulbert Falco, Christian Estrosi, maire de Nice, lui fait part de son soutien. Renaud Muselier, président de la région Sud, dénonce une « situation ahurissante ». François Bayrou, haut-commissaire au plan et ancien ministre de la Justice, déclare que le jugement revenait à la « mort civile » d'Hubert Falco[33].

Hubert Falco, condamné à trois ans de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité en avril 2023, est rejugé les 25 et 26 mars 2024 par la Cour d’appel d’Aix-en-Provence[37],[38],[39]. Au premier jour de son procès en appel, il reconnait avoir déjeuné régulièrement au conseil départemental, où il n’occupait plus de mandat, considérant cela comme « une faute ». En revanche, comme en première instance, il réfute les autres chefs d’accusation[40].

Détail des mandats et fonctions

Mandats locaux

Mandats parlementaires

  • -  : député du Var
  • -  : sénateur du Var
  • -  : sénateur du Var
  • -  : sénateur du Var

Fonctions ministérielles

  • -  : Secrétaire d'État aux Personnes âgées
  • -  : Ministre délégué aux Personnes âgées
  • -  : Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire
  • -  : Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens combattants

Autres fonctions

  • 2016 - 2021 : président de la fédération des Républicains du Var
  • 2011 - 2014 : secrétaire du Sénat
  • 2008 - 2016 : président départemental d'honneur de l'UMP Var
  • 2013 - 2014 : vice-président national de l'UMP
  • 2011- 2013 : conseiller politique de l'UMP, membre élu du bureau politique
  • 2007 - 2008 : secrétaire national de l'UMP chargé du tourisme
  • 2006 - 2007 : secrétaire national de l'UMP chargé des élus locaux
  • Depuis 2005 : vice-président du club Dialogue et initiative
  • Depuis 2003 : membre de la commission d'information auprès du site d'exploitation des installations nucléaires du port militaire de Toulon
  • 2002 - 2008 : président départemental de l'UMP Var
  • 1997 - 2000 : secrétaire national de Démocratie libérale
  • Jusqu'en 1997 : membre du bureau politique du PR
  • Secrétaire national chargé de la jeunesse et des sports au Parti républicain

Distinctions et décorations

Notes et références

  1. Anciennement communauté d'agglomération.
  2. a et b « Hubert Falco, le terrien du gouvernement », Le Nouvel économiste no 1227, 12 septembre 2003
  3. a b et c « Toulon - Politoscopie Hubert Falco », Le Point no 1783, 17 janvier 2007
  4. a b c d e f g h i j et k Simon Fontvieille & Jean-Baptiste Malet, « À Toulon, le maire organise son plébiscite », sur Le Monde diplomatique,
  5. a et b « Hubert Falco », sur lejdd.fr via Wikiwix (consulté le ).
  6. Le Point magazine, « Toulon : le maire redresse la barre », sur Le Point, (consulté le )
  7. a et b « Toulon : Certains francs-maçons locaux continuent d’avoir maille à partir avec la justice », sur Capital.fr, (consulté le )
  8. l'affaire des arsenaux pillés (voir DCN de Toulon), l'affaire des faux diplômes, des mises en examen pour favoritisme ou gestion de fait. Cependant l'article de l'Express (2002) évoque une démission « il y a une dizaine d'années », ce qui daterait sa démission autour de 1992, soit antérieurement à ces affaires.
  9. « Les réseaux qui comptent à Toulon. Francs-maçons: Le triangle d'influence », L'Express,‎ (lire en ligne).
  10. Muriel Breiman, « La grande mue », L'Express,‎ (lire en ligne).
  11. « résultat des élections municipales 2014 à Toulon », L'Express,‎ (lire en ligne).
  12. « Résultats du premier tour à Toulon », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  13. Sophie Glotin, « Hubert Falco, réelu maire de Toulon, demande un plan d'aide pour les collectivités locales », sur France Bleu, (consulté le ).
  14. « Hubert Falco, le retour », Associated Press, 18 mars 2008
  15. Var matin du 30 juillet 2010
  16. Ludovic Vigogne, « Le soldat Falco », L'Express,‎ (lire en ligne).
  17. « UMP : Hubert Falco rallie François Fillon », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  18. Hubert Falco, interviewé par Karine Michel, « Bournazel (LR) : Pourquoi Hubert Falco, ancien ministre de Sarkozy, choisit Alain Juppé », Var Matin,‎ (lire en ligne).
  19. Ludovic Vigogne, « La liste des 136 parrains de Laurent Wauquiez », lopinion.fr, 11 octobre 2017.
  20. « Après l'imbroglio en Paca, le maire de Toulon quitte Les Républicains », sur Le HuffPost, (consulté le )
  21. « "Au moins, c'est clair pour les électeurs", Hubert Falco favorable au rassemblement entre LR et LREM aux élections régionales », sur Var-Matin, (consulté le )
  22. Le Figaro 30 août 2021
  23. 20 minutes 30 août 2021.
  24. « Présidentielle 2022 : Christian Estrosi et Hubert Falco apportent leur parrainage à Emmanuel Macron (Sébastien Lecornu aussi). », sur Présidentielle 2022 (consulté le )
  25. 6 Medias, « 117 sénateurs sont soupçonnés d'avoir détourné 8 millions d'euros », sur Le Point, (consulté le )
  26. a et b Simon Fontvieille, « Le cuisinier, son suicide et le baron local », sur Mediapart,
  27. « Hubert Falco en garde à vue pour détournement de fonds publics », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  28. a b et c « Hubert Falco déchu de ses mandats par la justice, qui souligne « un mépris des règles et une volonté d’échapper à certaines réalités » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. "Le maire de Toulon, Hubert Falco, jugé pour recel de détournements de fonds publics" par Luc Leroux, 12 avril 2023, Le Monde
  30. « Affaire du "frigo": début de procès en février 2023 pour Hubert Falco et Marc Giraud », sur BFMTV (consulté le )
  31. La rédaction, « 5 questions pour comprendre "l'affaire du frigo" dans laquelle Hubert Falco et Marc Giraud sont cités », sur Var-Matin, (consulté le )
  32. « Le procès du maire de Toulon, Hubert Falco, reporté au 11 avril », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  33. a b et c Fabrice Arfi, « La délinquance en col blanc est un trouble à l’ordre public : la preuve par Toulon », sur Mediapart (consulté le )
  34. « Au procès d’Hubert Falco, le procureur requiert « la fin immédiate » des mandats du maire de Toulon », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. « Le maire de Toulon Hubert Falco condamné à trois ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité », sur Ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  36. La rédaction, « "Hubert Falco tient à son honneur plus que tout": son avocat annonce faire appel après sa condamnation dans l'affaire du frigo », sur Var-Matin, (consulté le )
  37. « Hubert Falco, ancien maire de Toulon, sera jugé en appel en mars 2024 », sur actu.fr, (consulté le )
  38. « INFO FRANCE BLEU - L'ex-maire de Toulon, Hubert Falco, jugé en appel les 27 et 28 mars à Aix-en-Provence - France Bleu », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  39. La rédaction, « Le procès en appel d’Hubert Falco se tiendra plus tôt que prévu », sur Nice-Matin, (consulté le )
  40. Christophe Gaignebet, « "Je n’aurais pas dû aller manger au conseil général, c’est une faute": les premiers mots d’Hubert Falco devant la cour d’appel », Var Matin,‎ (lire en ligne)
  41. Légion d’honneur, les promus du Nouvel An 2019
  42. H. Falco reçoit la Croix d'Or de l'Ordre du Mérite Polonais
  43. a et b https://www.quirinale.it/onorificenze/ricerca

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Hubert Falco, sur Wikimedia Commons

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v · m
Plus de 1 000 000 habitants Paris : Anne Hidalgo
Plus de 500 000 habitants
Plus de 200 000 habitants
Plus de 100 000 habitants
v · m
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin II ()
Sous la présidence de Jacques Chirac
Intérieur, Sécurité intérieure et Libertés locales
Nicolas Sarkozy
Ministre délégué aux Libertés locales : Patrick Devedjian

Jean-Pierre
Raffarin

Premier ministre
Affaires sociales, Travail et Solidarité
François Fillon
Ministre délégué à la Ville et à la Rénovation urbaine : Jean-Louis Borloo
Ministre déléguée à la Parité et à l'Égalité professionnelle : Nicole Ameline
Secrétaire d'État à la Lutte contre la Précarité et l'Exclusion : Dominique Versini
Secrétaire d'État aux Personnes âgées : Hubert Falco
Justice, garde des sceaux
Dominique Perben
Secrétaire d'État aux Programmes immobiliers de la Justice : Pierre Bédier (dém) (1) puis Nicole Guedj (1)
Affaires étrangères
Dominique de Villepin
Ministre déléguée aux Affaires européennes : Noëlle Lenoir
Ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie : Pierre-André Wiltzer
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères : Renaud Muselier
Défense
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants : Hamlaoui Mekachera
Jeunesse, Éducation nationale et Recherche
Luc Ferry
Ministre délégué à l'Enseignement scolaire : Xavier Darcos
Ministre déléguée à la Recherche et aux Nouvelles Technologies : Claudie Haigneré
Économie, Finances et Industrie
Francis Mer
Ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire : Alain Lambert
Ministre déléguée à l'Industrie : Nicole Fontaine
Ministre délégué au Commerce extérieur : François Loos
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat, aux Professions libérales et à la Consommation : Renaud Dutreil
Équipement, Transports, Logement, Tourisme
et Mer
Gilles de Robien
Secrétaire d'État aux Transports et à la Mer : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État au Tourisme : Léon Bertrand
Écologie et Développement durable
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État au Développement durable : Tokia Saïfi
Santé, Famille et Personnes handicapées
Jean-François Mattei
Ministre délégué à la Famille : Christian Jacob
Secrétaire d'État aux Personnes handicapées : Marie-Thérèse Boisseau
Agriculture, Alimentation, Pêche
et Affaires rurales
Hervé Gaymard
Culture et Communication Jean-Jacques Aillagon
Fonction publique, Réforme de l’État
et Aménagement du territoire
Jean-Paul Delevoye
Secrétaire d'État à la Réforme de l’État : Henri Plagnol
Outre-mer Brigitte Girardin
Sports Jean-François Lamour
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : Jean-François Copé, porte-parole du Gouvernement
( RAFFARIN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (RAFFARIN III )
v · m
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin III ()
Sous la présidence de Jacques Chirac
Économie, Finances et Industrie
Nicolas Sarkozy, ministre d'État (dém) (4a) puis Hervé Gaymard (4a) puis (dém) (5) puis Thierry Breton (5)
Ministre délégué à l'Industrie : Patrick Devedjian
Ministre délégué aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat, aux Professions libérales et à la Consommation puis ministre de plein exercice (4a) : Christian Jacob
Ministre délégué au Commerce extérieur : François Loos
Secrétaire d'État au Budget et à la Réforme budgétaire : Dominique Bussereau puis Jean-François Copé, porte-parole du Gouvernement (4a)

Jean-Pierre
Raffarin

Premier ministre
Éducation nationale, Enseignement supérieur et Recherche
François Fillon (4b)
Ministre déléguée à la Recherche : François d'Aubert
Intérieur, Sécurité intérieure et Libertés locales
Dominique de Villepin
Ministre délégué à l'Intérieur : Jean-François Copé, porte-parole du Gouvernement puis Marie-Josée Roig (4a)
Emploi, Travail et Cohésion sociale
Jean-Louis Borloo
Ministre délégué aux Relations du Travail : Gérard Larcher
Ministre déléguée à la Lutte contre la Précarité et l'Exclusion puis ministre déléguée à l'Intégration, à l'Égalité des chances et à la Lutte contre l'exclusion (3) : Nelly Olin
Secrétaire d'État à l'Insertion professionnelle des Jeunes : Laurent Hénart
Secrétaire d'État au logement puis secrétaire d'État au logement et à la Ville (3) : Marc-Philippe Daubresse
Secrétaire d'État à l'Intégration et à l'Égalité des Chances, puis portefeuille fusionné (3) : Catherine Vautrin
Justice, garde des sceaux
Dominique Perben
Secrétaire d'État aux Droits des Victimes : Nicole Guedj
Défense
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants : Hamlaoui Mekachera
Affaires étrangères
Michel Barnier
Ministre déléguée aux Affaires européennes : Claudie Haigneré
Ministre délégué à la Coopération, au Développement et à la Francophonie : Xavier Darcos
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères : Renaud Muselier
Santé et Protection sociale
puis Solidarités, Santé et Famille (4a)
Philippe Douste-Blazy
Ministre délégué aux Personnes âgées : Hubert Falco (dém) (3) puis Catherine Vautrin (3)
Secrétaire d'État aux Personnes handicapées : Marie-Anne Montchamp
Secrétaire d'État à l'Assurance maladie : Xavier Bertrand
Équipement, Transports, Aménagement
du territoire, Tourisme et Mer
Gilles de Robien
Ministre délégué au Tourisme : Léon Bertrand
Secrétaire d'État aux Transports et à la Mer : François Goulard
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire : Philippe Briand (dém) (1) puis Frédéric de Saint-Sernin (1)
Fonction publique et Réforme de l’État
Renaud Dutreil
Secrétaire d'État à la Réforme de l’État : Éric Woerth
Agriculture, Alimentation, Pêche
et Affaires rurales
Hervé Gaymard puis Dominique Bussereau (4a)
Secrétaire d'État à l'agriculture, à l'alimentation, à la pêche et aux affaires rurales : Nicolas Forissier
Écologie et Développement durable
Serge Lepeltier
Secrétaire d'État au Développement durable, puis supprimé (2) : Tokia Saïfi (dém) (2)
Culture et Communication Renaud Donnedieu de Vabres
Famille et Enfance (4a) Marie-Josée Roig puis portefeuille fusionné (4a)
Outre-mer Brigitte Girardin
Jeunesse, Sports et Vie associative Jean-François Lamour
Parité et Égalité professionnelle Nicole Ameline
PME, Commerce, Artisanat, Professions libérales et Consommation (4a) Christian Jacob (4a)
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : Henri Cuq
  • Ordonnancement par ordre de préséance du
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4a) Remaniement du
  • (4b) Devient numéro deux du gouvernement à l'occasion du remaniement du
  • (5) Remaniement du
( RAFFARIN II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DE VILLEPIN )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 18 mars 2008 et jusqu'au remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Aménagement du territoire
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Nathalie Kosciusko-Morizet puis Chantal Jouanno (5)
Secrétaire d'État chargé de la Région capitale : Christian Blanc
Secrétaire d'État chargé de l'Aménagement du territoire : Hubert Falco

François Fillon
Premier ministre
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer : Yves Jégo
secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet puis Bruno Le Maire (2)
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie : Alain Joyandet
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme : Rama Yade
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la Consommation : Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme et des Services : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Brice Hortefeux puis Éric Besson (4)
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Agriculture et Pêche Michel Barnier
Travail, Relations sociales, Famille et Solidarité
puis Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville (4)
Xavier Bertrand puis Brice Hortefeux (4)
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité : Valérie Létard
Secrétaire d'État chargée de la Famille : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Jean-Marie Bockel
Santé, Jeunesse, Sports et Vie associative
puis Santé et Sports (3)
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargé des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, puis secrétaire d'État chargé des Sports (3) : Bernard Laporte
Logement et Ville
puis Logement (4)
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Culture et Communication Christine Albanel
Budget, Comptes publics et Fonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : André Santini
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance (1) : Patrick Devedjian
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Évaluation des politiques publiques et du Développement de l'économie numérique puis secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique (4) : Éric Besson puis Nathalie Kosciusko-Morizet (4)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté puis également haut commissaire à la Jeunesse (3) : Martin Hirsch
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Chantal Jouanno
Secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme : Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargée des Technologies vertes et des Négociations sur le climat : Valérie Létard

François Fillon
Premier ministre
Justice et Libertés, garde des sceaux
Michèle Alliot-Marie, ministre d'État
Secrétaire d'État à la Justice : Jean-Marie Bockel
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, puis supprimé (3) : Alain Joyandet (dém) (3)
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Brice Hortefeux
Secrétaire d'État puis ministre (1) chargée de l'Outre-mer : Marie-Luce Penchard
Secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville
puis Travail, Solidarité et Fonction publique (2)
Xavier Darcos puis Éric Woerth (2)
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville : Fadela Amara
Secrétaire d'État chargée de la Famille et de la Solidarité : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée des Aînés : Nora Berra
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique (2) : Georges Tron
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Ministre chargé de l'Industrie : Christian Estrosi
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Budget, Comptes publics, Fonction publique
et Réforme de l'État puis Budget, Comptes publics
et Réforme de l'État (2)
Éric Woerth puis François Baroin (2)
Éducation nationale Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Alimentation, Agriculture et Pêche Bruno Le Maire
Culture et Communication Frédéric Mitterrand
Espace rural et Aménagement du territoire Michel Mercier
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Hubert Falco
Santé et Sports
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargée des Sports : Rama Yade
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Éric Besson
Jeunesse et Solidarités actives (2) Marc-Philippe Daubresse
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance : Patrick Devedjian
Ministre chargé des Relations avec le Parlement : Henri de Raincourt
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique : Nathalie Kosciusko-Morizet
Secrétaire d'État chargé du Développement de la région capitale, puis supprimé (3) : Christian Blanc (dém) (3)
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté et haut commissaire à la Jeunesse, puis supprimés (2) : Martin Hirsch (dém) (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
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