Jean-Marie Bockel

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Jean-Marie Bockel
Illustration.
Jean-Marie Bockel en 2014.
Fonctions
Sénateur français

(9 ans, 9 mois et 16 jours)
Réélection 28 septembre 2014
Circonscription Haut-Rhin
Groupe politique RDSE (2010-2011)
UCR (2011-2012)
UDI-UC (2012-2017)
UC (2017-2020)
Prédécesseur Jacques Muller
Successeur Ludovic Haye

(2 ans, 9 mois et 18 jours)
Élection 26 septembre 2004
Circonscription Haut-Rhin
Groupe politique SOC
Successeur Jacques Muller
Maire de Mulhouse

(21 ans, 1 mois et 27 jours)
Élection 24 mars 1989
Réélection 18 juin 1995
18 mars 2001
16 mars 2008
Prédécesseur Joseph Klifa
Successeur Jean Rottner
Secrétaire d'État chargé de la Justice

(1 an, 4 mois et 21 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Successeur Delphine Batho (indirectement)
Secrétaire d'État chargé de la Défense
et des Anciens Combattants

(1 an, 3 mois et 5 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Alain Marleix
Successeur Hubert Falco
Secrétaire d'État chargé de la Coopération
et de la Francophonie

(9 mois)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Brigitte Girardin
Successeur Alain Joyandet
Député français

(5 ans et 6 jours)
Élection 1er juin 1997
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature XIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Joseph Klifa
Successeur Arlette Grosskost

(4 ans, 11 mois et 9 jours)
Élection 12 juin 1988
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature IXe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Joseph Klifa

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Haut-Rhin
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC

(3 ans, 1 mois et 21 jours)
Élection 21 juin 1981
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature VIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Émile Muller
Successeur Jean Grimont
Ministre du Commerce, de l'Artisanat
et du Tourisme

(1 mois)
Président François Mitterrand
Gouvernement Fabius
Prédécesseur Michel Crépeau
Successeur Gérard Longuet (Tourisme)
Secrétaire d'État chargé du Commerce

(1 an, 6 mois et 27 jours)
Gouvernement Fabius
Prédécesseur André Delelis (indirectement)
Successeur Jean-Jacques Descamps
Biographie
Date de naissance (73 ans)
Lieu de naissance Strasbourg (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (1973-2007)
LGM (depuis 2007)
UDI (depuis 2012)
Diplômé de Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg
Profession Avocat

Jean-Marie Bockel
Maires de Mulhouse
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Jean-Marie Bockel, né le à Strasbourg (Bas-Rhin), est un homme politique français, fondateur de La Gauche moderne et membre de l'UDI.

Alors membre du Parti socialiste, il est secrétaire d'État auprès du ministre du Commerce entre 1984 et 1986, puis ministre du Commerce en 1986, dans le gouvernement Laurent Fabius. Sous cette étiquette, il est aussi élu plusieurs fois maire de Mulhouse, député et sénateur du Haut-Rhin.

À la suite de l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, en 2007, il quitte le PS pour fonder le mouvement La Gauche moderne au sein de la majorité présidentielle. Il devient l'une des personnalités d'« ouverture » dans le gouvernement François Fillon II, où il est nommé secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie. Il est secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens combattants de 2008 à 2009, puis à la Justice de 2009 à 2010.

Il retourne ensuite au Sénat, où il siège jusqu'en .

Biographie

Origines

Jean-Marie Bockel est le fils de Francis Bockel[1] (1920-2012), notaire, et le petit-fils de Louis Bockel (1883-1957), conseiller général du Haut-Rhin élu dans le canton de Thann[2], et le neveu de Mgr Pierre Bockel, ancien archiprêtre de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg et juste parmi les nations.

Son père, combattant de l'Armée d'Afrique, a été blessé durant la Seconde Guerre mondiale[3].

Études et débuts

Après une jeunesse passée à Thann, il suit des études de droit à la faculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg et obtient une maîtrise de droit puis le certificat d'aptitude à la profession d'avocat. En 1976, il ouvre son cabinet à Mulhouse. Parallèlement, il entame une carrière politique et prend sa carte au Parti socialiste en 1973. En 1974, il devient secrétaire des Jeunesses socialistes du Haut-Rhin. Il est alors proche du CERES[4] de Jean-Pierre Chevènement, à l'aile gauche du PS. Il est élu député du Haut-Rhin à 30 ans en juin 1981. Il est réélu en 1986 et 1988. Battu lors de la « vague bleue » de 1993, il retrouve son poste en 1997, jusqu'en 2002.

Ministre et député socialiste

Alors qu'il aurait dû entrer au gouvernement en octobre 1983[5], il devient secrétaire d'État auprès du ministre du Commerce, Michel Crépeau, en 1984, puis brièvement ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme en 1986. À la fin du gouvernement Laurent Fabius, il devient porte-parole de Jean-Pierre Chevènement au sein du courant « Socialisme et République » en 1987. Mais, en 1991, il fait partie des partisans les plus affirmés de l'engagement de la France aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe, ce qui le conduit à une rupture orageuse et définitive avec Jean-Pierre Chevènement.

Jean-Marie Bockel est également conseiller général du Haut-Rhin pendant dix ans et maire de Mulhouse de 1989 à 2010.

Depuis la fin des années 1990, il se fait l'apôtre d'une rénovation blairiste du Parti socialiste, dénonçant les « archaïsme[s] d'une partie du Parti socialiste »[6]. En 2001, il fonde ainsi le club « Gauche moderne » et rend un rapport sur les moyens de simplifier la création d'entreprises. Il présente une motion en ce sens au congrès du Mans en 2005[7] ; sa motion recueille 0,65 % des voix. Il est alors membre du Bureau national du Parti socialiste. Il avait déjà déposé une contribution générale « Pour un socialisme moderne » au congrès de Dijon en 2003.

Le , il est élu à la présidence de l'Association des maires de grandes villes de France, présidence qu'il quitte début [8].

Aux élections législatives de , il est battu par la candidate UMP Arlette Grosskost. Le , il est élu sénateur du Haut-Rhin. Il continue pendant le même temps ses appels à la rénovation du PS : en , il annonce la création du courant Réformisme et Rénovation pour continuer la réflexion issue de sa motion présentée au congrès du Mans. Le , il signe un appel de soutien à l'investiture socialiste de Dominique Strauss-Kahn à l'élection présidentielle de 2007, en compagnie de 15 autres sénateurs, de 8 députés et de 2 députés européens. Après l'investiture de Ségolène Royal pour l'élection présidentielle de 2007, il prend la direction du comité de soutien à Ségolène Royal dans le Haut-Rhin. D'une sensibilité politique minoritaire dans son parti, il entretient des relations avec François Bayrou depuis plusieurs années[9].

Il préside la Fédération des industries ferroviaires de 2005 à 2007.

Ministre de Nicolas Sarkozy

Après l'élection du président de la République Nicolas Sarkozy et la victoire de la droite aux élections législatives de 2007, il accepte, au nom de l'ouverture demandée par le président de la République, sa nomination en tant que secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie auprès du ministre des Affaires étrangères du gouvernement Fillon (2), le . Exclu du PS, il déclare alors[10] : « Ça fait dix ans que j'œuvre, que je milite sans grand succès pour la modernisation du PS, pour y prôner en tout cas des idées davantage sociales-libérales, blairistes, des idées qui peut-être nous auraient permis d'ailleurs de gagner la présidentielle si on avait su davantage les défendre ».

Le , il crée La Gauche moderne, mouvement libéral de centre gauche. La Gauche moderne s'allie avec la majorité présidentielle lors des élections municipales de 2008[11]. Sa liste d'union La Gauche moderne-UMP-Nouveau Centre-MoDem l'emporte de peu le lors du second tour de l'élection municipale de 2008 à Mulhouse, avec seulement 168 voix d'avance sur la liste PS dirigée par son ancien adjoint municipal Pierre Freyburger[12].

Alors qu'il est chargé de la Coopération, il demande publiquement le au président, conformément aux promesses de celui-ci, d'accentuer la fin de la Françafrique[13].

Lors du remaniement ministériel du du gouvernement François Fillon II, il passe du secrétariat d'État à la Coopération et à la Francophonie au secrétariat d'État à la Défense et aux Anciens combattants. Plusieurs journalistes voient dans ce changement le résultat de pressions exercées par les présidents Omar Bongo et Denis Sassou-Nguesso, mécontents des positions de Bockel au sujet de la Françafrique[13],[14],[15]. Robert Bourgi (qui aurait participé à cette éviction), conseiller « Afrique » de Nicolas Sarkozy, confirme cette thèse le lors d'une entrevue à RTL, expliquant que c'est Omar Bongo qui l'a appelé début 2008 pour demander son éviction, chose qui sera faite peu de temps après[16],[17].

Le , il passe du secrétariat d'État à la Défense et aux Anciens combattants au secrétariat d'État à la Justice. Quatre mois après la fondation de Mulhouse Alsace Agglomération (M2A), dont il est président, il démissionne de son mandat de maire de Mulhouse en , tout en restant conseiller municipal ; son premier adjoint, l'UMP Jean Rottner, lui succède à la mairie[18]. Jean-Marie Bockel occupe ses fonctions ministérielles jusqu'au , date à laquelle il n'est pas reconduit dans le troisième gouvernement Fillon. Après son départ du gouvernement, il retrouve son mandat de sénateur ; il siège au groupe RDSE puis UCR à partir de 2011.

Il se prononce, le , clairement en faveur de la candidature de Nicolas Sarkozy dès le premier tour de la présidentielle[19]. Le , il lance le « Comité national pour une France moderne avec Nicolas Sarkozy »[20].

Après 2012

Le , il dépose, au nom de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, un rapport intitulé « La cyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale », qui préconise le renforcement de la protection et de la défense des systèmes d'information au plus haut niveau de l'État et une véritable stratégie de l'Union européenne[21].

Le , dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir le candidat LR François Fillon à l'élection présidentielle[22].

Il est président de La Gauche moderne jusqu'en [23].

En , il affirme n'avoir jamais quitté l'UDI et en être toujours membre[24].

Il ne se représente pas aux élections sénatoriales de 2020. Embauché par le cabinet de conseil en communication Tilder, il préside par ailleurs bénévolement l'association Solidarité-Défense, qui vient en aide aux militaires blessés[3].

Le 22 mars 2022, Emmanuel Macron le nomme par décret président de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices subis par les harkis. À ce titre, il s'entretient avec les présidents des associations concernées, tandis qu'est lancée une campagne de rénovation des sépultures de harkis ainsi qu'un recensement des demandes de réparations[3].

Le 6 février 2024, Jean Marie Bockel est nommé « envoyé personnel » d’Emmanuel Macron en Afrique[25].

Prises de position

Jean-Marie Bockel était perçu comme incarnant l'aile droite ou sociale-libérale du Parti socialiste. Il ne cache pas sa sympathie pour les méthodes du travailliste Tony Blair et se déclare lui-même social-libéral. Il estime que le socialisme et le libéralisme peuvent se fondre pour mieux s’accomplir. Il définit ainsi sa doctrine politique :

« Oui, nous sommes des socialistes libéraux. Socialistes, car nous devons opposer aux rapports de force et à l’injustice, la nécessité d’une émancipation partagée. Car nous nous donnons pour fin la justice et la protection sociale, la réduction des inégalités et la promotion des solidarités. Car nous travaillons au partage des biens et des droits à l’échelle du continent et du monde. Socialistes, car nous défendons l’esprit public, ce qui fait société. Car nous soutenons le principe d’une action collective et volontariste. »

« Libéraux, car nous comprenons l’émancipation comme accès à la liberté. Nous défendons la liberté et la responsabilité individuelle, l’autonomie de la société civile, la délimitation de la souveraineté de l’État. L’émancipation doit être le fruit des libertés mises en commun : réunies par le débat et la négociation contractuelle, réglées par les normes du droit et l’exercice de la justice. »

Fervent défenseur du blairisme, il se déclare « blairiste, plus que jamais » en 2006[26]. Il a traduit l'expression la Troisième Voie (The Third Way) / le Nouveau Centre (Die neue Mitte) du manifeste Blair/Schröder en « Troisième Gauche », en référence au clivage entre Première et Deuxième Gauches françaises établi par Michel Rocard.

Il est considéré comme un maire « sécuritaire de gauche »[27] pour l'accent qu'il a mis sur la lutte contre la délinquance à Mulhouse. Il approuve plusieurs mesures du ministre de l'Intérieur Sarkozy[9].

Son élection au Sénat le 28 septembre 2014 sous l'étiquette UDI après sa participation aux gouvernements Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy confirme son évolution politique.

Il appartient au conseil d'administration de l'Association des amis de l'Azerbaïdjan (AAA), considérée comme le principal instrument d'influence du régime d'Ilham Aliyev en France. L'organisation a deux buts affichés : mettre en valeur ce pays et contrebalancer l'influence de la diaspora arménienne, dont le pays d'origine est en guerre avec l'Azerbaïdjan depuis les années 1990[28].

Vie privée

Jean-Marie Bockel est marié avec Marie-Odile Mayer. Ils ont cinq enfants (Sarah, François, Pauline, Marie et Pierre-Emmanuel).

Le , leur plus jeune fils, Pierre-Emmanuel Bockel, né en 1991, lieutenant au 5e régiment d'hélicoptères de combat de Pau, meurt lors d’une collision entre deux hélicoptères dans le cadre de l’opération Barkhane au Mali, au cours de laquelle treize militaires sont tués[29],[30].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

  • du au  : secrétaire d'État auprès du ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme Michel Crépeau (gouvernement Fabius)
  • du au  : ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme (gouvernement Fabius)
  • du au  : secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner (gouvernement Fillon II)
  • du au  : secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens combattants auprès du ministre de la Défense, Hervé Morin (gouvernement Fillon II)
  • du au  : secrétaire d'État auprès de la ministre de la Justice et des Libertés Michèle Alliot-Marie (gouvernement Fillon II)

Au Parlement

  • Député :
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
    • Du au  : député PS du Haut-Rhin (scrutin proportionnel)
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
  • Sénateur :
    • Du au  : sénateur PS du Haut-Rhin
    • Du au  : sénateur RDSE du Haut-Rhin
    • Depuis le  : sénateur UCR du Haut-Rhin
    • Depuis le  : sénateur UDI du Haut-Rhin
  • Autres :

Au niveau local

  • De 1982 à 1988 : conseiller général du Haut-Rhin
  • De 1988 à 1989 : conseiller général du Haut-Rhin (démission en 1989)
  • De 1989 à 2020 : conseiller municipal de Mulhouse
  • De 1989 à 2010 : maire de Mulhouse (PS, puis LGM)
  • De 1994 à 1997 : conseiller général du Haut-Rhin (démission en 1997)
  • 1992 : conseiller régional d'Alsace (démission en 1992)
  • De 2001 à 2004 : président de la communauté d'agglomération de Mulhouse Sud Alsace
  • De 2005 à 2009 : vice-président de la communauté d'agglomération de Mulhouse Sud Alsace
  • De 2010 à 2017 : président de la communauté d'agglomération de Mulhouse Alsace Agglomération

Distinctions

Publications

  • La Troisième Gauche, petit manifeste social-libéral. Éditions Val de France, mars 1999.
  • Trajectoire plurielle, ministre de Mitterrand à Sarkozy, Alpharés, janvier 2014.

Notes et références

  1. voir le Who's Who, édition 1996-97, page 255.
  2. Biographie de Louis Bockel, sur le site alsace-histoire.org, consulté le 27 novembre 2019.
  3. a b et c Cyril Hofstein, « Jean-Marie Bockel, la mémoire des harkis en héritage », Le Figaro Magazine,‎ , p. 22-23 (lire en ligne).
  4. Jean-Marie Bockel, du socialisme au blairisme, RTL2007, 19 juin 2007.
  5. Zineb Dryef, « Gouvernement : « Allô ! Je vais te proposer le Budget. Je t’embrasse » », Rue89, nouvelobs.com, 16 mai 2012.
  6. Chat avec Jean-Marie Bockel, Debat2007, 7 novembre 2006.
  7. [PDF]« Pour un socialisme libéral : vérité et action », motion présentée par Jean-Marie Bockel.
  8. « Michel Destot, maire de Grenoble, élu président des maires de grandes villes de France », France Matin, 14 septembre 2007.
  9. a et b « Jean-Marie Bockel, un libéral trop isolé au PS », Libération, 20 juin 2007.
  10. « Bockel (PS) exprime sa lassitude », Le Journal du dimanche, 19 juin 2007.
  11. Jean-Marie Bockel crée le parti de l'ouverture, Le Figaro, 26 septembre 2007.
  12. Bockel toujours maire mais d'un cheveu - 20Minutes.fr, information en continu.
  13. a et b « Bockel victime de ses positions sur la Françafrique ? », Samuel Laurent, Le Figaro, 20 mars 2008.
  14. Vincent Hugeux, « Le piteux lâchage de Jean-Marie Bockel », L’Express, 19 mars 2008.
  15. François Bonnet, « La politique étrangère de la France : c’est n’importe quoi ! », Marianne, no 577, du 10 au 16 mai 2008, p. 19-20.
  16. Pierre Haski, « Virer un ministre ? C'est simple comme un coup de fil de Bongo », sur Rue89, nouvelobs.com, .
  17. Sophie des Déserts, « L'homme qui aimait trop Fillon », Vanity Fair n°48, juillet 2017, pages 72-79.
  18. « Jean-Marie Bockel annonce qu'il va céder son fauteuil de maire de Mulhouse », Le Parisien, 1er mai 2010.
  19. Bockel : « J'apporte mon soutien net et clair à Sarkozy », Le Figaro, 6 janvier 2012.
  20. Bockel : comité de soutien à Sarkozy, Le Figaro, 28 février 2012.
  21. Jean-Marie Bockel, « Présentation du rapport La cyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale », Sénat (France), (consulté le ).
  22. « Le compteur des lâcheurs de Fillon », liberation.fr, 2017.
  23. « Mieux me connaître - Jean-Marie Bockel », sur Jean-Marie Bockel (consulté le ).
  24. « Retour au bercail », sur dna.fr, Dernières Nouvelles d'Alsace, (consulté le ).
  25. Jean-Marie Bockel nommé « envoyé personnel » d’Emmanuel Macron en Afrique, Le Monde, 06 février 2024.
  26. « Entretien avec Jean-Marie Bockel », Le Figaro, 26 juillet 2006.
  27. « À droite de la gauche ou à gauche de la droite ? » [archive du ], sur arte.tv, Arte, (consulté le ).
  28. « « Diplomatie du caviar » : les échanges de bons procédés entre l’Azerbaïdjan et les élus français », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  29. Nicolas Roquejeoffre « Le lieutenant Pierre-Emmanuel Bockel, un pilote performant », L’Alsace, 26 novembre 2019.
  30. « Mort de treize militaires au Mali : Pierre Bockel, fils de Jean-Marie Bockel, figure parmi les victimes », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

Liens externes

  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
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    • Assemblée nationale
    • Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
    • Sénat
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Joseph Klifa
Jean-Marie Bockel
1989 – 2010
Jean Rottner
v · m
Gouvernement Laurent Fabius (17 juillet 1984 – 20 mars 1986)
Sous la présidence de François Mitterrand
Plan et Aménagement du territoire Gaston Defferre, ministre d'État
Laurent Fabius
Premier ministre
Économie, Finances et Budget
Pierre Bérégovoy
Secrétaire d'État chargé du Budget puis secrétaire d'État chargé du Budget et de la Consommation (1) : Henri Emmanuelli
Secrétaire d'État chargé de la Consommation, puis remplacé (1) : Catherine Lalumière
Justice, garde des sceaux Robert Badinter (dém) (7) puis Michel Crépeau (7)
Relations extérieures
Claude Cheysson (dém) (1) puis Roland Dumas (1)
Ministre délégué chargé de la Coopération et du Développement : Christian Nucci
Secrétaire d'État : Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes (1) : Catherine Lalumière
Défense
Charles Hernu (dém) (5) puis Paul Quilès (5)
Secrétaire d'État : Edwige Avice
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et Victimes de guerre : Jean Laurain
Intérieur et Décentralisation
Pierre Joxe
Secrétaire d'État chargé des Départements et Territoires d'outre-mer : Georges Lemoine
Agriculture
Michel Rocard (dém) (2) puis Henri Nallet (2)
Secrétaire d'État chargé de l'Agriculture et de la Forêt puis ministre délégué chargé de l'Agriculture et de la Forêt (2) : René Souchon
Redéploiement industriel et Commerce extérieur
Édith Cresson
Ministre délégué chargé des PTT, puis remplacé (6) : Louis Mexandeau
Secrétaire d'État chargé de l'Énergie : Martin Malvy
Éducation nationale
Jean-Pierre Chevènement
Secrétaire d'État chargé des Universités : Roger-Gérard Schwartzenberg
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement technique et technologique : Roland Carraz
Affaires sociales et Solidarité nationale
Georgina Dufoix puis porte-parole du Gouvernement (1)
Secrétaire d'État chargé des Retraités et des Personnes âgées : Joseph Franceschi
Secrétaire d'État chargé de la Santé : Edmond Hervé
Secrétaire d'État chargé des Rapatriés : Raymond Courrière
Urbanisme, Logement et Transports
Paul Quilès puis Jean Auroux (5)
Secrétaire d'État chargé des Transports, puis suspendu (5) : Jean Auroux puis Charles Josselin (6)
Secrétaire d'État chargé de la Mer : Guy Lengagne
Commerce, Artisanat et Tourisme
Michel Crépeau puis Jean-Marie Bockel (7)
Secrétaire d'État, puis supprimé (7) : Jean-Marie Bockel
Affaires européennes puis min. remplacé (1) Roland Dumas, porte-parole du Gouvernement
Travail, Emploi et Formation professionnelle Michel Delebarre
Environnement Huguette Bouchardeau
Recherche et Technologie Hubert Curien
Culture Ministre délégué puis ministre (1) : Jack Lang
Jeunesse et Sports Ministre délégué : Alain Calmat
Droits des Femmes (4) Yvette Roudy
Nouvelle Calédonie (4) puis min. supprimé (6) Edgard Pisani (4) puis (dém) (6)
PTT (6) Louis Mexandeau
Ministres et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé des Droits de la femme, puis remplacé (4) : Yvette Roudy
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement : André Labarrère
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique et des Simplifications administratives : Jean Le Garrec
Secrétaire d'État chargé des Techniques de la communication, puis supprimé (8) : Georges Fillioud (dém) (8)
Secrétaire d'État chargé de l'Économie sociale : Jean Gatel
Secrétaire d'État chargé de la Prévention des risques naturels et technologiques majeurs : Haroun Tazieff
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
( MAUROY III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHIRAC II )
v · m
Gouvernement François Fillon II () jusqu'au remaniement du 18 mars 2008
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Développement
et Aménagement durables
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Nathalie Kosciusko-Morizet

François Fillon
Premier ministre
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer : Christian Estrosi
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie : Jean-Marie Bockel
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme : Rama Yade
Économie, Finances et Emploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargé de la Consommation et du Tourisme : Luc Chatel
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Codéveloppement
Brice Hortefeux
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Agriculture et Pêche Michel Barnier
Travail, Relations sociales et Solidarité
Xavier Bertrand
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité : Valérie Létard
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants, puis secrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants (1) : Alain Marleix
Santé, Jeunesse et Sports
Roselyne Bachelot
Secrétaire d'État chargé des Sports (2) : Bernard Laporte (2)
Logement et Ville
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville : Fadela Amara
Culture et Communication Christine Albanel
Budget, Comptes publics et Fonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : André Santini
Secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et de l'Évaluation des politiques publiques : Éric Besson
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté : Martin Hirsch
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 18 mars 2008 et jusqu'au remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Aménagement du territoire
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Nathalie Kosciusko-Morizet puis Chantal Jouanno (5)
Secrétaire d'État chargé de la Région capitale : Christian Blanc
Secrétaire d'État chargé de l'Aménagement du territoire : Hubert Falco

François Fillon
Premier ministre
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer : Yves Jégo
secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet puis Bruno Le Maire (2)
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie : Alain Joyandet
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme : Rama Yade
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la Consommation : Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme et des Services : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Brice Hortefeux puis Éric Besson (4)
Justice, garde des sceaux Rachida Dati
Agriculture et Pêche Michel Barnier
Travail, Relations sociales, Famille et Solidarité
puis Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville (4)
Xavier Bertrand puis Brice Hortefeux (4)
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité : Valérie Létard
Secrétaire d'État chargée de la Famille : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Éducation nationale Xavier Darcos
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Jean-Marie Bockel
Santé, Jeunesse, Sports et Vie associative
puis Santé et Sports (3)
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargé des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, puis secrétaire d'État chargé des Sports (3) : Bernard Laporte
Logement et Ville
puis Logement (4)
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis changement de ministre de tutelle (4) : Fadela Amara
Culture et Communication Christine Albanel
Budget, Comptes publics et Fonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique : André Santini
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance (1) : Patrick Devedjian
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Évaluation des politiques publiques et du Développement de l'économie numérique puis secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique (4) : Éric Besson puis Nathalie Kosciusko-Morizet (4)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté puis également haut commissaire à la Jeunesse (3) : Martin Hirsch
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Gouvernement François Fillon II () après le remaniement du 23 juin 2009
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
et Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat
Jean-Louis Borloo, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports : Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie : Chantal Jouanno
Secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme : Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargée des Technologies vertes et des Négociations sur le climat : Valérie Létard

François Fillon
Premier ministre
Justice et Libertés, garde des sceaux
Michèle Alliot-Marie, ministre d'État
Secrétaire d'État à la Justice : Jean-Marie Bockel
Affaires étrangères et européennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, puis supprimé (3) : Alain Joyandet (dém) (3)
Intérieur, Outre-mer et Collectivités territoriales
Brice Hortefeux
Secrétaire d'État puis ministre (1) chargée de l'Outre-mer : Marie-Luce Penchard
Secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales : Alain Marleix
Travail, Relations sociales, Famille, Solidarité
et Ville
puis Travail, Solidarité et Fonction publique (2)
Xavier Darcos puis Éric Woerth (2)
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville : Fadela Amara
Secrétaire d'État chargée de la Famille et de la Solidarité : Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée des Aînés : Nora Berra
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique (2) : Georges Tron
Économie, Industrie et Emploi
Christine Lagarde
Ministre chargé de l'Industrie : Christian Estrosi
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi : Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation : Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur : Anne-Marie Idrac
Budget, Comptes publics, Fonction publique
et Réforme de l'État puis Budget, Comptes publics
et Réforme de l'État (2)
Éric Woerth puis François Baroin (2)
Éducation nationale Luc Chatel, porte-parole du Gouvernement
Alimentation, Agriculture et Pêche Bruno Le Maire
Culture et Communication Frédéric Mitterrand
Espace rural et Aménagement du territoire Michel Mercier
Enseignement supérieur et Recherche Valérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants : Hubert Falco
Santé et Sports
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargée des Sports : Rama Yade
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Éric Besson
Jeunesse et Solidarités actives (2) Marc-Philippe Daubresse
Ministre, secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès du Premier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance : Patrick Devedjian
Ministre chargé des Relations avec le Parlement : Henri de Raincourt
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique : Nathalie Kosciusko-Morizet
Secrétaire d'État chargé du Développement de la région capitale, puis supprimé (3) : Christian Blanc (dém) (3)
Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté et haut commissaire à la Jeunesse, puis supprimés (2) : Martin Hirsch (dém) (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III )
v · m
Présidents
Autres dirigeants
(vice-présidents, délégués nationaux, secrétaires généraux, porte-paroles)
Partis membres
(président, nombre de parlementaires)
Anciens partis membres
Groupes parlementaires
Autres structures
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