Transports dans le Calvados

Transports dans le Calvados
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Carte synthétique des transports dans le département.
Transport routier
Autoroutes 61 km[1] A13 A28 A29 A84 A88 A132 A813
Routes nationales 139 km[1] N 13 N 158 N 814
R.D. et V.C. 15 529 km[1]
Autocars interurbains Nomad
Transport ferroviaire
Principales gares de voyageurs Caen, Lisieux, Trouville - Deauville, Bayeux
Services voyageurs Nomad (TER Normandie)
Transport maritime et fluvial
Principaux ports Caen-Ouistreham
Transport aérien
Aéroports Caen-Carpiquet, Deauville-Normandie
Transport en commun urbain et périurbain
Réseaux de transport en commun Twisto (Caen), Astrobus (Lisieux), Bybus (Bayeux), Amibus (Vire), Ho bus (Honfleur)

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Les transports dans le département français du Calvados sont organisés autour de sa préfecture et agglomération principale, Caen. Grâce à son poids touristique, l’agglomération de Deauville apparaît comme un autre pôle important dans ce système de transport.

Transport routier

Le pont de Normandie vu depuis Honfleur.

Infrastructures routières

Article détaillé : Réseau routier du Calvados.

Les cinq axes routiers principaux du département rayonnent autour de l'agglomération de Caen :

  • L'autoroute A13 vers Pont-l'Évêque, Rouen et Paris. Autoroute concédée à péage, à 2x2 ou 2x3 voies selon les sections, elle a un trafic de 36 000 à 42 000 véhicules/jour selon les sections dans le département[2] ;
  • La route nationale 158 (qui doit être mise aux normes autoroutières dans le prolongement de l'autoroute A88) vers Falaise, Alençon, Le Mans et le sud-ouest de la France. Voie rapide à 2x2 voies, prolongée par l'A88 concédée, elle a un trafic de 21 000 à 31 000 véhicules/jour selon les sections[2] ;
  • L'autoroute A84 vers Villers-Bocage, Rennes et la Bretagne. Une des seules autoroutes gratuites et non concédées de France, elle a un trafic de 26 000 à 37 000 véhicules/jour selon les sections dans le département[2] ;
  • La route nationale 13 vers Bayeux et Cherbourg. Voie rapide à 2x2 voies, elle a un trafic de 17 000 à 32 000 véhicules/jour selon les sections dans le département[2] ;
  • La route départementale 515 vers Ouistreham, également aménagée à 2x2 voies.

D'autres axes importants se dirigent depuis Caen vers Lisieux et Évreux (route départementale 613) et vers Flers (route départementale 562) : ces deux routes sont équipées de contournements au niveau de certaines localités.

Ces axes sont reliés entre eux par le boulevard périphérique de Caen (ou route nationale 814), 2x2 ou 2x3 voies. En raison de la saturation de cet axe (jusqu'à 82 000 véhicules/jour[2] sur la section la plus chargée) et de plusieurs pénétrantes de l'agglomération de Caen, des voies de contournement ont été créées récemment (autoroute A813 et déviation de la route départementale 562) et doivent s'articuler à terme au sein du contournement sud de Caen.

Dans le nord-est du département, cette structure est complétée par la courte autoroute A132 menant à Deauville depuis l'A13, et l'autoroute A29 qui franchit la Seine par le pont de Normandie et relie le Calvados au Havre et aux Hauts-de-France.

Actuelles et anciennes autoroutes et routes nationales du département
Identifiant  Origine Principales agglomérations desservies dans le département Fin Remarques
Autoroute A13 Paris Pont-l'Évêque, Dozulé Caen Autoroute concédée à péage. À 2x2 ou 2x3 voies selon les sections.
Autoroute A28 Tours Abbeville Autoroute concédée à péage. Quelques centaines de mètres à la frontière du département seulement.
Autoroute A29 Beuzeville (vers Caen) Honfleur Amiens Autoroute concédée à péage. Le pont de Normandie marque la limite de la Seine-Maritime.
Autoroute A84 Caen Villers-Bocage Rennes Autoroute non concédée et gratuite.
Autoroute A88 Falaise Sées (A28) Autoroute concédée à péage.
Autoroute A132 Pont-l'Évêque (A13) Canapville (vers Deauville) Autoroute concédée mais gratuite.
Autoroute A813 Banneville-la-Campagne Frénouville Courte autoroute concédée à péage.
Route nationale 13 Caen (initialement : Paris) Bayeux, Isigny-sur-Mer Cherbourg À 2x2 voies et partiellement aux normes autoroutières.
La section entre la limite de l'Eure et Caen a été déclassée en RD 613 en 2006.
Route nationale 24bis Verneuil-sur-Avre Vire Granville Déclassée en 1972 en RD 524.
Route nationale 158 Caen Falaise (initialement : Tours) Voie rapide à 2x2 voies, qui devrait intégrer l'A88 après mise aux normes autoroutières.
La section de Falaise à Sées a été déclassée en RD 658 lors de l'ouverture de l'autoroute A88.
Route nationale 162 Angers Condé-sur-Noireau, Thury-Harcourt Caen Déclassée en 1972 dans le département en RD 562.
Route nationale 172 Bayeux Coutances Déclassée en 1972 en RD 572.
Route nationale 174 Vire Carentan Déclassée en 2006 en RD 674 dans le département ; le tronçon de cette route située dans la Manche (à partir de l'échangeur avec l'A84) reste classé dans le réseau routier national.
Route nationale 175 Rennes Villers-Bocage, Caen, Dozulé, Pont-l'Évêque Rouen Déclassée au sud-ouest de Caen lors de la création de l'autoroute A84 en RD 675. Déclassée à l'est de Caen, peut-être en 2006 (?), en RD 675.
Route nationale 177 (avant 1972) Villers-Bocage Vire Redon Déclassée en 1972 en RD 577 ; le numéro 177 a été repris par une autre route nationale dans le même département (voir ci-dessous).
Route nationale 177 (de 1972 à 2006) Pont-l'Évêque Trouville-sur-Mer (Deauville) Déclassée en 2006 en RD 677.
Route nationale 179 Honfleur Pont-l'Évêque, Lisieux, Livarot Gacé Déclassée en 1972 en RD 579.
Route nationale 180 La Maison-Brûlée (communes de Moulineaux et de La Londe, N 175 vers Rouen) Honfleur Déclassée en 1972 en RD 580.
Route nationale 513 Ifs Colombelles Ancienne numérotation d'une partie du boulevard périphérique de Caen, au sud-est de la ville ; une partie est devenue la RN 814 et une partie a été déclassée en RD 403.
Route nationale 809 Falaise Lalacelle Déclassée en 1972 en RD 509.
Route nationale 810 Goderville (vers Fécamp) Lisieux Déclassée en 1972 en RD 510.
Route nationale 811 Granville Condé-sur-Noireau, Falaise, Saint-Pierre-sur-Dives Saint-Désir (Lisieux) Déclassée en 1972 en RD 511.
Route nationale 812 Vire Condé-sur-Noireau Déclassée en 1972 en RD 512.
Route nationale 813 Caen Dives-sur-Mer, Deauville Honfleur Déclassée en 1972 en RD 513.
Route nationale 814 (avant 1972) Osmanville (avant la Seconde Guerre mondiale : Bayeux) Courseulles-sur-Mer, Ouistreham Cabourg Déclassée en 1972 en RD 514.
Route nationale 814 (après 1972) Caen Boulevard périphérique de Caen, à 2x2 voire 2x3 voies.
Route nationale 814a Caen Bénouville Déclassée en 1972 en RD 515.
Route nationale 814b Bayeux Arromanches-les-Bains Déclassée en 1972 en RD 516.
Route nationale 814c Formigny (RN 13) Omaha Beach (Vierville-sur-Mer) Déclassée en 1972 en RD 517.
Route nationale 815 Caen Dozulé, Pont-l'Évêque Saint-Maclou Itinéraire repris par la RN 175 en 1972, puis déclassé en 2006 en RD 675.
Route nationale 819 Lisieux Orbec L'Aigle Déclassée en 1972 en RD 519.
Route nationale 834 Bernay Pont-l'Évêque Trouville-sur-Mer Déclassée en 1972 en RD 534 jusqu'à Pont-l'Évêque ; entre Pont-l'Évêque et Trouville-sur-Mer, renumérotée en RN 177 puis à son tour déclassée en 2006 en RD 677.
 

Transport collectif de voyageurs

Article détaillé : Réseau interurbain du Calvados.

Le Calvados est desservi par le réseau régional de transport routier Nomad, qui exploite 33 lignes régulières dans le département. Jusqu'en 2019, ce réseau était géré par le conseil général du Calvados sous la dénomination Bus verts.

Covoiturage et autopartage

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Transport ferroviaire

Historique

La gare de Caen-Saint-Pierre des Chemins de fer du Calvados.

La première ligne de chemin de fer du département a été la ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg (ouverte entre 1855 et 1858), suivie de près par la ligne de Lisieux à Trouville - Deauville (1858-1863) et la ligne du Mans à Mézidon (1859 avec antenne de Coulibœuf à Falaise). Le réseau d’intérêt général du département a principalement été développé par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest. À la fin du XIXe siècle, le chemin de fer d'intérêt général — qui avait intégré quelques lignes initialement classées d'intérêt local — atteignait la plupart des villes et bourgs du département, dont Condé-sur-Noireau, Dives-sur-Mer, Isigny-sur-Mer, Livarot, Troarn et Vire.

Un réseau de chemins de fer d’intérêt local se met également en place, en plusieurs temps. Plusieurs lignes sont d'abord créées à l'écartement normal, mais elles seront toutes reclassées d'intérêt général à l'exception de la ligne de Caen à la mer, ouverte en 1875 pour desservir la Côte de Nacre. La société des Chemins de fer du Calvados établit à partir de 1891 un réseau de quelques lignes autour de Caen et Bayeux, à l'écartement étroit donc économique de 0,60 m (système Decauville). Enfin, deux petites compagnies ouvrent en 1904 une ligne à écartement métrique entre Pont-l'Évêque et le département de l'Eure (Chemin de fer de Cormeilles à Glos-Montfort et extensions) et en 1912 la ligne du Fresne d'Argences à Moult-Argences, un court embranchement à écartement normal se raccordant à la ligne Paris-Cherbourg (pour les besoins d'une tuilerie). Ces lignes d'intérêt local commenceront à fermer dès 1929 pour les Chemins de fer du Calvados, après la Seconde Guerre mondiale pour les lignes à écartement normal.

À partir de 1970, la liaison Paris-Saint-Lazare - Caen - Cherbourg est assurée par des Éléments à turbine à gaz (ETG), remplacés cinq ans plus tard par des Rames à turbine à gaz (RTG) : dans les deux cas, il s'agit des trains les plus modernes et les plus performants développés à cette époque en France pour des lignes ferroviaires non-électrifiées. L'électrification de la ligne en 25 kV – 50 Hz, accompagnée de quelques relèvements de vitesse à 200 km/h, interviendra en 1996. Des rames Corail tractées par des BB 16000 et BB 26000 prennent alors le relais sur les liaisons Paris-Caen-Cherbourg. L'électrification permettra également de tester des relations TGV entre Cherbourg et Lille (en 1997) puis entre Cherbourg et Dijon (en 2009) avec desserte de Caen et de l'aéroport Charles de Gaulle : ces liaisons subventionnées seront rapidement abandonnées faute de fréquentation.

Depuis 2021-2022, les liaisons Paris-Caen-Cherbourg, intégrées au réseau Nomad (TER Normandie), sont assurées par des rames automotrices Omneo Premium.

Cartes du réseau ferroviaire dans le département
Le réseau ferroviaire à son apogée en 1928.
Le réseau ferroviaire à son apogée en 1928. 
Le réseau ferroviaire de nos jours.
Le réseau ferroviaire de nos jours. 
Carte animée de l’évolution du réseau ferroviaire.
Carte animée de l’évolution du réseau ferroviaire. 
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Situation actuelle

Une rame TER Normandie en gare de Dives - Cabourg.

La gare de Caen, avec plus de 3 millions de voyageurs annuels, est la principale gare de voyageurs du département, suivie des gares de Lisieux, Trouville - Deauville et Bayeux avec une fréquentation annuelle entre 500 000 et 1 200 000 voyageurs en 2019[3].

Le principal axe ferroviaire du département est la ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg, à double voie et circulable sur certaines sections à 200 km/h. Cette ligne, comme son antenne à voie unique de Lisieux à Trouville - Deauville, est électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz.

Deux autres lignes plus secondaires, la ligne du Mans à Mézidon (liaison Caen-Le Mans-Tours à double voie) et la ligne d'Argentan à Granville (liaison Paris-Granville partiellement à voie unique) parcourent le sud du département et ne sont pas électrifiées.

La ligne de Dives-Cabourg à Trouville-Deauville, après avoir été longtemps menacée de fermeture, a été rénovée et acccueeille un trafic essentiellement estival.

Depuis le transfert des lignes Intercités Normandie de l'État à la Région Normandie et l'abandon des dessertes TGV par l'aéroport Charles de Gaulle, les lignes ferroviaires du Calvados sont exclusivement parcourues (en ce qui concerne la desserte voyageurs) par les trains Nomad (TER Normandie).

Un projet de ligne nouvelle Paris - Normandie vise à accélérer les liaisons entre Paris et la Normandie, mais ce projet est à un stade d'études sans calendrier précis de réalisation.


Lignes ferroviaires du réseau d'intérêt général dans le département
Ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg Double voie électrifiée, apte à 200 km/h de Bernay à Lisieux et de Lecaude à Caen.
Ligne du Mans à Mézidon Double voie non-électrifiée.
Ligne d'Argentan à Granville À voie unique dans le département (sauf quelques kilomètres en amont de Vire) et non-électrifiée.
Ligne de Lisieux à Trouville - Deauville Voie unique électrifiée.
Ligne de Lison à Lamballe Seule la gare origine se trouve en partie dans le Calvados. Voie unique électrifiée jusqu'à Saint-Lô.
Ligne de Mézidon à Trouville - Deauville Déclasssée de Mézidon à Dives - Cabourg ; à voie unique non-électrifiée au-delà.
Ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile (Flers) Fermée à tout trafic ; un projet de réouverture est étudié par la Région Normandie.
Ligne d'Évreux-Embranchement à Quetteville Non-exploitée mais pas déclassée dans le département : officiellement fermée ?
Ligne de Pont-l'Évêque à Honfleur Déclassée jusqu'à Quetteville. Non-exploitée mais pas déclassée au-delà : officiellement fermée ?
Ligne de Coulibœuf à Falaise Entièrement déclassée.
Ligne de Falaise à Berjou Entièrement déclassée.
Ligne de Caen à Dozulé - Putot Entièrement déclassée.
Ligne de Caen à Vire Entièrement déclassée.
Ligne de La Trinité-de-Réville à Lisieux Entièrement déclassée.
Ligne de Sainte-Gauburge à Mesnil-Mauger Entièrement déclassée.
Ligne de Vire à Romagny Entièrement déclassée.
Ligne de Neuilly-la-Forêt à Isigny-sur-Mer Entièrement déclassée.
 

Transport maritime

Le port de Deauville.
Article détaillé : Port de Caen-Ouistreham.

Le port de Caen-Ouistreham, qui s'étend sur les berges du canal de Caen à la mer et de l'Orne, est le principal port du département, à la fois port de commerce, port de passagers (ferries vers Portsmouth au Royaume-Uni), port de plaisance et port de pêche.

Le port de Deauville est quant à lui dédié à la plaisance.

Transport fluvial

En-dehors des derniers kilomètres de l'Orne et du canal de Caen à la mer qui le double, et qui sont en réalité utilisés par des navires maritimes, le département du Calvados ne possède pas de voie d'eau navigable.

Transport aérien

Article détaillé : Aéroport de Caen-Carpiquet.

L'aéroport de Caen-Carpiquet est le principal aéroport de Normandie, avec 304 000 passagers en 2019[4]. Une dizaine de liaisons régulières directes (dont certaines saisonnières) sont proposées par les compagnies Air France et Volotea.

Le Calvados possède un deuxième aéroport, l'aéroport de Deauville-Normandie, principalement utilisé par des vols charters et quelques liaisons saisonnières. Comme l'aérodrome de Falaise-Mont d'Eraines, il est également dédié à l'aviation de loisir et de tourisme.

Transports en commun urbains et périurbains

Deux rames du nouveau tramway de Caen traversent la place Saint-Pierre.

La communauté urbain de Caen la Mer, la communauté d'agglomération Lisieux Normandie, le Syndicat intercommunal à vocation unique de Bayeux et des communes associées (qui regroupe les communes de Bayeux, Monceaux-en-Bessin, Saint-Loup-Hors, Saint-Martin-des-Entrées, Saint-Vigor-le-Grand et Vaucelles), la commune de Vire Normandie et la commune d'Honfleur sont autorités organisatrices de la mobilité sur leur territoire et organisent des services de transport dans leur ressort territorial[5].

Le réseau Twisto de Caen la Mer est le plus important du département. Il comporte 3 lignes de tramway (qui ont remplacé en 2019 le transport léger guidé ou TVR dont l'exploitation était difficile), des lignes régulières d'autobus, des lignes de transport à la demande, une ligne d'autobus de nuit et des lignes scolaires. Caen avait déjà connu un premier réseau de tramway de 1901 à 1937.

Les autres réseaux reposent uniquement sur des lignes d'autobus et de transport à la demande. La communauté d'agglomération Lisieux Normandie a délégué au réseau régional Nomad la desserte d'une partie de son vaste ressort territorial[6].

Modes actifs

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Le département est traversé par plusieurs voies vertes, véloroutes[7] et sentiers de grande randonnée[8] :

Notes et références

  1. a b et c INSEE, « Réseau routier au 31 décembre 2018 : comparaisons départementales », sur insee.fr, (consulté le ).
  2. a b c d et e Ministère de la Transition écologique, « Trafic moyen journalier annuel sur le réseau routier national en 2019 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  3. SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com (consulté le )
  4. Esteban Pinel, « En 2022, l’aéroport de Caen-Carpiquet veut retourner à son altitude d’avant la crise sanitaire », sur LeParisien.fr, (consulté le )
  5. Cerema, « Liste et composition des Autorités Organisatrices de la Mobilité au 1er janvier 2021 », sur cerema.fr, (consulté le ).
  6. « Transports urbains et non-urbains », sur lisieux-normandie.fr (consulté le )
  7. « Carte des véloroutes et voies vertes de France », sur AF3V (consulté le ).
  8. « Carte des GR » (consulté le ).

Voir aussi

v · m
Transports en commun en Normandie
Tramway ou BHNS
Funiculaire
Train
Gares principales
Autobus
Autocar
v · m
Transports par département français
Départements de France
métropolitaine
Départements
d'outre-mer
Métropole à statut de
collectivité territoriale
69M Métropole de Lyon
Territoires et collectivités d'outre-mer
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