René Pleven

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René Pleven
Illustration.
René Pleven en 1950.
Fonctions
Garde des Sceaux, ministre de la Justice

(3 ans, 8 mois et 21 jours)
Président Georges Pompidou
Gouvernement Jacques Chaban-Delmas
Pierre Messmer I
Prédécesseur Jean-Marcel Jeanneney (intérim)
René Capitant
Successeur Pierre Messmer (intérim)
Jean Taittinger
Ministre des Affaires étrangères

(14 jours)
Président René Coty
Gouvernement Pierre Pflimlin
Prédécesseur Christian Pineau
Successeur Maurice Couve de Murville
Président du Conseil des ministres

(4 mois et 27 jours)
Président Vincent Auriol
Gouvernement René Pleven II
Législature IIe (Quatrième République)
Coalition Troisième Force (jusqu'au 21/09/1951)
Prédécesseur Henri Queuille
Successeur Edgar Faure

(7 mois et 16 jours)
Président Vincent Auriol
Gouvernement René Pleven I
Législature Ire (Quatrième République)
Coalition Troisième Force
Prédécesseur Henri Queuille
Successeur Henri Queuille
Vice-président du Conseil des ministres

(5 mois et 1 jour)
Président Vincent Auriol
Gouvernement Henri Queuille III
Député français

(23 ans, 8 mois et 16 jours)
Élection 21 octobre 1945
Réélection 2 juin 1946
10 novembre 1946
17 juin 1951
2 janvier 1956
30 novembre 1958
25 novembre 1962
12 mars 1967
30 juin 1968
Circonscription Côtes-du-Nord (1945-1958)
2e des Côtes-du-Nord (1958-1969)
Législature Ire, IIe (Assemblée constituante)
Ire, IIe et IIIe (Quatrième République)
Ire, IIe, IIIe et IVe (Cinquième République)
Groupe politique UDSR (1945-1958)
ED (1958-1962)
CD (1966-1968)
CDP (1968-1974)
Successeur Ernest Rouxel
Biographie
Nom de naissance René Jean Pleven
Date de naissance
Lieu de naissance Rennes (Ille-et-Vilaine)
Date de décès (à 91 ans)
Lieu de décès Paris 17e (France)
Nationalité Française
Parti politique UDSR (1945-1958)
MRP (1958-1966)
CD (1966-1969)
CDP (1969-1973)
Diplômé de Université de Rennes
École libre des sciences politiques
Chefs du gouvernement français
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René Pleven, né le à Rennes (Ille-et-Vilaine) et mort le à Paris (Île-de-France), est un homme d'État français.

Personnalité importante de la France libre pendant la guerre, il sera ensuite élu des Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor) jusqu'en 1973. Il fut président du Conseil et ministre sous la IVe République puis Garde des Sceaux pendant la Ve République, sous la présidence de Georges Pompidou.

Biographie

Jeunesse et études

Pleven naît à Rennes au début du siècle. Son père est un officier de l'armée de terre, et avait été chargé d'accompagner le capitaine Dreyfus lors de la révision de son procès.

Bon élève, le jeune René est le condisciple de Raphaël Moreau au lycée de Laval. Une fois le baccalauréat obtenu, il s'inscrit à la faculté de droit de l'université de Rennes. Il rejoint l'École libre des sciences politiques, et étudie le droit par correspondance, puis à la Sorbonne[1]. Il obtient une licence de droit et sort de Sciences Po classé dans les trois premiers de sa section (Finances publiques)[2]. Il fréquente la conférence Olivaint, dont il fut le président en 1920. Il y rencontre Georges Bidault futur président du Conseil national de la Résistance et Président du Conseil, ainsi qu'Henry du Moulin de Labarthète, le futur directeur de cabinet de Pétain à Vichy. Il échoue au concours de l'Inspection générale des finances[3].

Dès ses 18 ans (1919) il milite dans des milieux pacifistes favorables à la SDN, ce qui le rapproche des idées d'Aristide Briand. Il passe son service militaire en 1921 à dépouiller des documents en vue de la rédaction d'un ouvrage de Philippe Pétain, ce qui lui permet de rencontrer le capitaine de Gaulle, professeur à Saint Cyr, alors dans l'entourage de Pétain.

Pétain permet à Pleven de poursuivre, parallèlement à ces recherches, sa thèse de doctorat de droit sur la politique sociale pour les ouvriers agricoles de Lloyd Georges. Pleven se rend en Grande-Bretagne pendant cinq semaines pour mener sa recherche.

Une fois sa thèse obtenue en 1924, il épouse Anne Bompard, fille de Raoul Bompard, grand avocat et député dreyfusard[4].

Parcours professionnel

Ne parvenant pas à entrer dans la haute fonction publique, il devient rédacteur en chef de la revue syndicale des industriels de la conserverie.

En 1925, il entre au service de Jean Monnet dans la filiale française de la Banque américaine Chase National Bank qui s'occupe de la reconstruction financière des États polonais puis roumain. Pleven établit aussi des prêts aux États allemand et italien.

En 1928, il est repéré par la compagnie de téléphone de Chicago (l'Automatic Telephone Company). Il est muté à Londres (1934) et dirige les opérations pour toute l'Europe (1939). Ce poste important lui donne une grande aisance financière et lui permet de multiplier les contacts aux États-Unis (où il se rend souvent) et en Pologne (où il travaille au développement du réseau téléphonique). Dans ce pays, sa connaissance des milieux bancaires facilite le financement de l'équipement téléphonique (en particulier grâce à une filiale de la Chase National Bank de Milan). Sa connaissance de l'Europe et ses convictions le conduisent à prendre position contre les accords de Munich et même pour une intervention en Espagne.

Début du parcours politique

À la déclaration de guerre, Monnet le rappelle à ses côtés au Comité de coordination franco-britannique, un organisme chargé de dresser l'inventaire des commandes d'armement. Il est envoyé par Daladier et les Anglais acheter des avions américains. Reçu par Roosevelt, il réussit à effectuer l'achat, malgré le contexte électoral américain encore assez isolationniste. La seconde livraison arrive trop tard. En mai et juin 1940, Pleven assiste Monnet dans son projet de fusion franco-britannique en un seul État combattant. Pleven travaille directement avec Monnet et Churchill et le général de Gaulle qui représente alors le gouvernement de Reynaud à Londres le 16 juin. Mais Pétain prend le pouvoir le jour d'après.

Parcours politique actif

René Pleven au sein du Comité national français à Londres.

Après l'arrivée de Gaulle à Londres, Pleven et Monnet se rendent à Bordeaux le 19 et le pour tenter d'obtenir du nouveau gouvernement le repli des troupes encore disponibles en Algérie ou en Grande-Bretagne et pensent évacuer une partie du personnel politique vers Londres, mais cette démarche est un échec auprès de ce nouveau gouvernement qui a d'ores et déjà abandonné toute idée de résistance. Il a quand même la chance de retrouver sa famille à Bordeaux et peut la ramener avec lui. Le général de Gaulle quant à lui a lancé un appel à la résistance. Monnet et la majorité du personnel diplomatique partent aux États-Unis. Mais Pleven hésite (« Personnellement, je m'interrogeais sur ce qu'était mon devoir. Je n'ai jamais pensé une minute qu'il fallait cesser le combat mais je me demandais si, étant donné la formation que j'avais reçue — fils d'officier rappelons-le — qui était comme celle de beaucoup de Français une formation de loyalisme au gouvernement, aux institutions, si vraiment je pouvais rompre avec tout cela »). Après avoir écouté de Gaulle dans une réunion, il croise les pêcheurs de l'île de Sein qui viennent de suivre l'appel, ce qui le convainc d'abandonner son confort pour la France libre (engagement en juillet) où il est rapidement chargé d'assister René Cassin dans les négociations avec Winston Churchill sur la création de la France Libre.

Félix Éboué ayant donné des signes positifs sur un éventuel ralliement de l'Afrique-Équatoriale française (AEF) à de Gaulle, le Général décide d'envoyer ses représentants sur place, où le gouverneur vichyste Boisson était confronté à une volonté de résistance d'une partie importante de la colonie. Avec De Boislambert et Leclerc, militaires, il est envoyé avec de faux papiers via Lisbonne pour rallier ces colonies. Depuis Lagos, ils combinent rapidement avec des gaullistes réfugiés (D'Ornano, Larminat) une opération rapide : Pleven atterrit au Tchad, à Fort Lamy, où Éboué fait rallier toute la colonie. Parallèlement, Leclerc a réussi un rapide et audacieux coup de main permettant le ralliement du Cameroun d'où il conquiert audacieusement le contrôle du Gabon. De Larminat ayant soumis Brazzaville, Pleven peut se rendre en Oubangui Chari et recevoir le ralliement de la dernière colonie de l'AEF, désormais tout entière ralliée à Londres. Il rétablit les finances de l'AEF en imprimant de la monnaie. De Gaulle le rappelle à Londres pour en faire le directeur des affaires extérieures et économiques (début 1941) et il prend un rôle important en particulier lors de l'absence de De Gaulle en 1941. « Au début 1942, il occupe le premier rang dans la hiérarchie des commissaires nationaux avec la responsabilité de coordonner les départements administratifs civils. René Pleven s'occupe donc d'administration, de diplomatie, d'économie, de finances, tout en suivant à Londres puis à Alger, les importants dossiers coloniaux ». Il est en effet successivement commissaire aux Colonies, puis aux Affaires étrangères et après le décès prématuré d'Aimé Lepercq[5], précédemment aux Finances dans le Comité français de la Libération nationale d'Alger[6] et enfin avant dans le Gouvernement provisoire de la République française[7]le , à partir de Paris. Il préside également cette même année la Conférence de Brazzaville.

Après avoir institué l'emprunt de la libération initié par son prédécesseur Aimé Lepercq[8] entretemps décédé à Harnes[9], celui-ci ayant eu le temps de publier l'ordonnance du sur la confiscation des profits illicites sous l'occupation allemande[10], René Pleven nommé par de Gaulle le 16 novembre[11],[12], continua sa politique[13], décès ayant également eu lieu après celui de Roland Dagnicourt, étant mort également dramatiquement par accident de tirs d'une balle perdue dans son bureau rue de Rivoli le 25 août 1944 d'après Sauvy[14],[15], lors de la Libération de Paris[16],[17],[18].[pas clair]

La solution Pleven ayant été choisie[19], le gouvernement échangea donc les billets de banque quelque mois plus tard en juin 1945 (entre le 4 et le 15)[20].

Ayant des différends entre autres avec Pierre Mendès France[21], lui même aussi ayant démissionné le après avoir préconisé en vain la solution de Camille Gutt en bloquant sévèrement les comptes des avoirs français[22],[23],[24], en vain[25],[26], quitta également le gouvernement le pour se consacrer à sa députation bretonne[27],[28],[29].[pas clair]

L'opération si elle a facilité sur le coup le pouvoir d'achat des français sortant de 4 années de souffrance de l'occupation allemande entraînera une inflation galopante[30],[31],[32], qui durera jusqu'en 1949[33], faisant fondre les Réserves de la Banque de France, provoquant une instabilité permanente de la IV république aboutissant à sa chute en mai 1958[34],[35],[36].

Du fait de l'instabilité[37],[38],[39], de Gaulle lui-même ensuite démissionna 6 jours avant Pleven de son siège le 20 janvier 1946 et revint au pouvoir que le 1er juin 1958.

Après-guerre : député

Il est élu député des Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor) dès 1945 et ce jusqu'en 1969. Bien que de sensibilité démocrate-chrétienne, il ne rejoint pas le MRP et crée son propre parti, l'UDSR, dont il est président de 1946 à 1953. Il siège ensuite sous diverses étiquettes centristes.

Entretemps, le plan Marshall a aidé la France à partir de 1950 à retrouver une certaine croissance[40], celle-ci stagnant jusqu'en 1950 (voir plus haut)[41],[42],[43]juste après le retour de Pleven en politique.

Président du conseil

Devenu maintenant président du Conseil en , il forme un gouvernement composé des alliés de la Troisième Force. En , il présente à l'Assemblée nationale son projet d'une armée européenne commune placée sous le contrôle de l'OTAN, projet connu sous le nom de Communauté européenne de défense.

En 1951, il cofonde le Comité d'étude et de liaisons des intérêts bretons (CELIB), dont il reste président jusqu'en 1972. En 1957, il est également membre de la Fondation culturelle bretonne[44].

Ministre et soutien de Pompidou

En 1958, il vote la réforme constitutionnelle aboutissant au retour au pouvoir du général de Gaulle[45].

En 1969, il soutient la candidature présidentielle de Georges Pompidou et devient garde des Sceaux (1969-1973) des gouvernements Chaban-Delmas et Messmer. Il laisse son nom à la loi Pleven de 1972 qui sanctionne le délit d'incitation à la haine. Le 12 décembre 1972, il inaugure le nouveau bâtiment de l'École nationale de la magistrature à Bordeaux, dont il lancé et soutenu le projet[46].

Sa défaite aux législatives en met un terme à sa carrière politique.

Autres mandats et écriture d'un ouvrage

Il fut élu :

  • président du Conseil général des Côtes-du-Nord de 1948 à 1976 ;
  • président de l'Établissement public régional (EPR) de Bretagne, élu en , réélu en février 1975 puis en  ;
  • président de la commission de développement économique régional (CODER).

René Pleven publie en 1961 l’Avenir de la Bretagne, et s’exprima régulièrement dans le Petit Bleu des Côtes-du-Nord, journal qu'il a créé et qu'il dirigea pendant trente ans.

Il n'est pas réélu député, pour la première fois depuis la fin de la Seconde guerre, en 1973, battu par 51 voix par le socialiste Charles Josselin.

Décès

Il meurt en 1993 dans le 17e arrondissement de Paris[47], et est inhumé dans le cimetière de Dinan (carré no 6).

Il était l’un des hommes les plus écoutés de la IVe République et jouissait d’un grand prestige chez les centristes qui appréciaient son engagement européen, laissant une empreinte durable dans le paysage politique français[48].

Famille

René Pleven a épousé Anne Bompard (fille de Raoul Bompard) et a eu deux enfants : Françoise Pleven, épouse de Louis Andlauer, et Nicole Pleven, épouse de Stanislas Mangin puis de l'éditeur Michel Worms de Romilly (descendant d'Olry Worms de Romilly)[49]. Il est le grand-père de David Mangin et l'arrière grand-père de la sociologue Jeanne Lazarus (par ailleurs compagne de l'historien et ministre Pap Ndiaye).

Fonctions gouvernementales

  • Commissaire aux Colonies du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du au )
  • Ministre des Colonies du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du au )
  • Ministre des Finances du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du au )
  • Ministre de l'Économie nationale du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du au )
  • Ministre des Finances du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du au )
    Il s’oppose à Pierre Mendès France sur l’avenir économique et financier du pays.
  • Ministre de la Défense nationale du gouvernement Georges Bidault (2) (du au )
  • Ministre de la Défense nationale du gouvernement Henri Queuille (2) (du 2 au )
  • Président du Conseil (du au )
  • Vice-Président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (3) (du au )
  • Président du Conseil (du au )
    Comme président du Conseil, il lance la Communauté européenne de défense (CED) et la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). Il parvient à faire ratifier cette dernière.
  • Ministre de la Défense nationale du gouvernement Antoine Pinay (du au )
  • Ministre de la Défense nationale et des Forces armées du gouvernement René Mayer (du au )
  • Ministre de la Défense nationale et des Forces armées des gouvernements Joseph Laniel (du au )
    Il doit faire face à la dégradation de la situation en Indochine.
  • Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Pierre Pflimlin (du au )
  • Garde des Sceaux, ministre de la Justice du gouvernement Jacques Chaban-Delmas (du au )
  • Garde des Sceaux, ministre de la Justice du gouvernement Pierre Messmer (1) (du au )
    Rallié à la candidature de Georges Pompidou en 1969, il fait adopter la loi anti-casseurs.

Décorations

Publication

  • Avenir de la Bretagne, Calmann-Lévy, coll. « Questions d'actualité », , 257 p.

Archives

  • Les papiers personnels de René Pleven sont conservés aux Archives nationales, à Pierrefitte-sur-Seine, sous la cote 560AP : Inventaire du fonds.

Hommages

Plusieurs villes de Bretagne ont donné son nom à une rue, on peut citer notamment Dinan, Plancoët, Ploubalay, Rennes, Saint-Brieuc[50].

Le centre hospitalier de Dinan-Léhon porte son nom.

Une plaque a été inaugurée en son honneur à Dinan le 18 juin 2023[51].

Une exposition lui est également consacrée dans cette même ville jusqu'au 30 juin 2023[52].

Notes et références

  1. Geoffrey Grandjean, Histoire de la construction européenne, Bruylant, (ISBN 978-2-8027-6895-1, lire en ligne)
  2. Christian Bougeard, « Chapitre II. L'étudiant en droit », dans René Pleven : Un Français libre en politique, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-2370-8, lire en ligne), p. 31–42
  3. François Bloch-Lainé et Françoise Carrière, Profession: fonctionnaire: entretiens avec Françoise Carrière, Ed. du Seuil, coll. « Traversée du siècle », (ISBN 978-2-02-004372-4)
  4. « Chapitre III. Une carrière dans les affaires (1925-1939) », sur books.openedition.org (Presses universitaires de Rennes), (consulté le ), p. 43-56
  5. « De Gaulle et Pierre Mendès France à la Libération : rien qu’un jeu de rôles ? », sur unefrancearefaire.com, (consulté le ).
  6. « René PLEVEN », sur Fondation Charles de Gaulle (consulté le ).
  7. Daniel Angélis, « De_Gaulle », sur histoire-france-web.fr (consulté le ).
  8. « M. Lepercq nous parle de l'emprunt / INA » [vidéo], sur ina.fr (consulté le ).
  9. « De Gaulle, la Résistance et l’économie du Nord - Pas-de-Calais (1940-1945) » [livre], sur openedition.org, Artois Presses Université, (consulté le ).
  10. « Aimé LEPERCQ », sur economie.gouv.fr (consulté le ).
  11. plutôt le '14' d'après la biographie de Christian Bougeard, Chapitre VII : Ministre des finances du gouvernement provisoire et engagement politique (septembre 1944-janvier 1946) à la suite de l'accident de son successeur mort le 9 novembre à 19h30 dans un accident et dont la voiture a été retrouvée le lendemain le 10 à 10 heures par les pompiers de Lens et de Licoin d'après Henri Amouroux : La grande histoire des français après l'occupation, Chapitre 13: De Gaulle choisit Pleven, Mendès s'en va page 527.
  12. Mioche, Philippe, « La planification comme «Réforme de structure» : l'action de Pierre Mendès-France, de 1943 à 1945 », Histoire, économie & société, Persée, vol. 1, no 3,‎ , p. 471-488 (DOI 10.3406/hes.1982.1303, lire en ligne, consulté le ).
  13. « Déclaration de René Pleven en faveur de l'emprunt de la Libération / INA » [vidéo], sur ina.fr (consulté le ).
  14. Alfred Sauvy, La vie en plus : Souvenirs, Biography & Autobiography, 1980
  15. « Les tireurs des toits », sur gilles-primout.fr (consulté le ).
  16. Charles Braibant, La guerre à Paris (8 nov 1942 - 27 août 1944), History, 1945
  17. Nathalie Carré de Malberg, Le grand état-major financier : les inspecteurs des Finances, 1918-1946, Political science, 2011
  18. https://www.cairn.info/revue-francaise-d-administration-publique-2003-4-page-565.htm
  19. « La France du marché noir (1940-1949) », sur La Cliothèque, (consulté le ).
  20. « L'échange des billets de banque » [vidéo], sur ina.fr (consulté le ).
  21. « René PLEVEN », sur economie.gouv.fr (consulté le ).
  22. https://bib.kuleuven.be/rbib/collectie/archieven/bankfin/1996-feb-supp.pdf
  23. https://www.civs.gouv.fr/images/pdf/matteoli/Spoliation-financiere.pdf
  24. « MENDÈS FRANCE Pierre, Isaac, Isidore », sur maitron.fr (consulté le ).
  25. Daniel Angélis, « De_Gaulle », sur histoire-france-web.fr (consulté le ).
  26. « Pourquoi pas d'opération semblable à l'Opération GUTT en France. », sur over-blog.com, awans-memoire-et-vigilance.over-blog.com, (consulté le ).
  27. « Enseignement » [vidéo], sur enseignants.lumni.fr (consulté le ).
  28. Pierre Denis (P. Rauzan), Souvenirs de la France Libre, Fiction, 1946
  29. Jean Daniel, Jean Lacouture, Le Citoyen Mendès France, Political Science, 1992
  30. https://shs.hal.science/halshs-00652826/document
  31. Albert Broder, Histoire économique de la France au XXe siècle, 1914-1997, France, 1998
  32. Michel Winock, La France libérée (1944-1947), History, 2021
  33. « 1er décembre 1949 », sur herodote.net (consulté le ).
  34. Catherine Lanneau, L'inconnue française: la France et les Belges francophones, 1944-1945, Belgium, 2008
  35. Michel Beck, Pierre Mendès France, un homme d'avenir, Biography & Autobiography, 2017
  36. Yves Trotignon, La France au XXe siècle, History, 2015
  37. https://www.persee.fr/doc/reco_0035-2764_1950_num_1_3_406761
  38. https://www.persee.fr/doc/reco_0035-2764_1950_num_1_3_406760
  39. https://www.persee.fr/doc/estat_0336-1454_1981_num_129_1_4437
  40. Dominique Lejeune, La france des Trente Glorieuses : 1945-1974, History, 2015
  41. Claude Gétaz, Éléments destinés à éclairer les origines de la civilisation, Business & Economics
  42. Fernand Braudel, Ernest Labrousse, Histoire économique et sociale de la France (4), Business & Economics, 1980
  43. Parti radical, Le Parti radical-socialiste face aux périls politique, économique, social, History, 1951
  44. « 1991.6.4. Journée de la langue bretonne - 30 mai 1957 Musée départemental breton », sur musee-breton.finistere.fr (consulté le )
  45. Compte rendu intégral des débats de l'Assemblée nationale, Lundi 2 juin 1958, 2e séance, p. 2633 (p. 23 du PDF)
  46. Le discours qu'il prononce à cette occasion est reproduit dans la plaquette commémorative de l'évènement : « École nationale de la magistrature Inauguration 12 décembre 1972 ».
  47. Insee, « Extrait de l'acte de décès de René Jean Pleven », sur MatchID
  48. http://enenvor.fr/eeo_actu/apresW/rene_pleven_un_heritage_politique_considerable_mais_difficile_a_revendiquer.html
  49. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte 1992
  50. Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne.
  51. https://www.ouest-france.fr/bretagne/dinan-22100/dinan-en-hommage-a-rene-pleven-une-plaque-devoilee-a-la-mairie-9c7bec24-0c49-11ee-8e71-2cd44afe92ef
  52. https://www.dinan.fr/evenement/exposition-sur-rene-pleven/

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

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  • René Pleven, sur Wikiquote

Bibliographie

  • René Pleven, « Les Bretons », in Annuaire des dix mille Bretons, Presses universitaires de Bretagne, 1971, p. III-VIII.
  • Jean Marin, « René Pleven », Revue de la France Libre, no 281,‎ 1er trimestre 1993 (lire en ligne).
  • Christian Bougeard, René Pleven : un Français libre en politique, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 473 p. (ISBN 2-86847-129-3, lire en ligne).
  • Emmanuel Salmon-Legagneur (dir.) et al. (préf. Yvon Bourges, anc. ministre, prés. du conseil régional de Bretagne), Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne : 1 000 noms pour les rues de Bretagne, Spézet, Coop Breizh et Institut culturel de Bretagne, , 446 p. (ISBN 978-2-84346-032-6), p. 310-311
    Notice de Jean Gourhand.

Articles et ouvrages complémentaires

  • Opération Gutt sur http://www.cadtm.org/spip.php?page=imprimer&id_article=9844.
  • Michel-Pierre Chelini, L'emprunt de Libération nationale en France (Automne 1944), Solution budgétaire ou amnistie monétaire ? Revue historique, juillet-, n°583 (pages 157-179).
  • Eric Roussel, Pierre Mendès France, Gallimard, 2007.
  • Michel Margairaz, Études générales, L'État, les finances et l'économie: Histoire d'une reconversion 1932-1952. Volume II (https://books.openedition.org/igpde/2320), .
  • Fabrice Grenard et Kenneth J.Mouré, L'épuration économique en France à la Libération, sous la direction de Marc Bergère (https://books.openedition.org/pur/4770), .

Liens externes

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v · m
Présidents du Conseil des ministres de la IVe République française
Présidence de
Vincent Auriol
René Coty
Voir aussi : Liste des chefs du gouvernement français
v · m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
France libre
(1941-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v · m
Ministres français de la Justice (depuis 1871)
IIIe République
(1870-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
Gouvernement provisoire
(1944-1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
  • Ministère de la Justice
  • Ministre de la Justice
v · m
Gouvernements Charles de Gaulle I et II (10 septembre 1944 - 20 janvier 1946)
Ministres d'État


Charles de Gaulle
Justice
Affaires étrangères Georges Bidault
Intérieur Adrien Tixier
Guerre
Marine Louis Jacquinot
Air Charles Tillon
Économie nationale
Finances
Production industrielle
Agriculture François Tanguy-Prigent
Ravitaillement
Colonies
Éducation nationale
Travail et Sécurité sociale
Transports et Travaux publics
PTT
Information
Prisonniers, Déportés et Réfugiés Henri Frenay
Santé François Billoux
Afrique du Nord Georges Catroux
Reconstruction et Urbanisme Raoul Dautry
Population Robert Prigent
(← LAVAL VI) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (GOUIN →)
v · m
Gouvernements Georges Bidault II et III (28 octobre 1949 - 24 juin 1950)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


Georges Bidault
Intérieur
Ministre d'État et Information Pierre-Henri Teitgen
Justice René Mayer
Affaires étrangères Robert Schuman
Défense nationale René Pleven
Finances et Affaires économiques Maurice Petsche
Éducation nationale Yvon Delbos
Travaux publics, Transports et Tourisme
Industrie et Commerce
Agriculture
Outre-Mer Jean Letourneau
Travail et Sécurité sociale
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerre Louis Jacquinot
Santé publique et Population Pierre Schneiter
PTT
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE II →)
v · m
Gouvernement Henri Queuille II (2 - 4 juillet 1950)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Intérieur Henri Queuille


Henri Queuille
Vice-président du Conseil Georges Bidault
Ministres d'État
Justice René Mayer
Affaires étrangères Robert Schuman
Défense nationale René Pleven
Finances et Affaires économiques Maurice Petsche
Budget Edgar Faure
Éducation nationale André Morice
Travaux publics, Transports et Tourisme Maurice Bourgès-Maunoury
Industrie et Commerce Jean-Marie Louvel
Outre-Mer Paul Coste-Floret
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerre Louis Jacquinot
Santé publique et Population Pierre Schneiter
PTT Charles Brune
Marine marchande Lionel de Tinguy du Pouët
Agriculture Pierre Pflimlin
Liste des sous-secrétaires d’État
(← BIDAULT III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PLEVEN I →)
v · m
Gouvernement René Pleven I (12 juillet 1950 - 28 février 1951)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


René Pleven
Justice René Mayer
Affaires étrangères Robert Schuman
Intérieur Henri Queuille
Défense nationale Jules Moch
Finances et Affaires économiques Maurice Petsche
Budget Edgar Faure
Éducation nationale Pierre-Olivier Lapie
Travaux publics, Transports et Tourisme Antoine Pinay
Industrie et Commerce Jean-Marie Louvel
Agriculture Pierre Pflimlin
Outre-Mer François Mitterrand
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerre Louis Jacquinot
Santé publique et Population Pierre Schneiter
PTT Charles Brune
Marine marchande Gaston Defferre
Information Albert Gazier
Ministre sans portefeuille Paul Giacobbi
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE III →)
v · m
Gouvernement Henri Queuille III (10 mars - 10 juillet 1951)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Intérieur Henri Queuille


Henri Queuille
Vice-présidents du Conseil
Ministres d'État Jean Letourneau
Justice René Mayer
Défense nationale Jules Moch
Finances et Affaires économiques Maurice Petsche
Budget Edgar Faure
Éducation nationale Pierre-Olivier Lapie
Affaires étrangères Robert Schuman
Travaux publics, Transports et Tourisme Antoine Pinay
Industrie et Commerce Jean-Marie Louvel
Agriculture Pierre Pflimlin
Outre-Mer François Mitterrand
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerre Louis Jacquinot
Santé publique et Population Pierre Schneiter
PTT Charles Brune
Marine marchande Gaston Defferre
Information Albert Gazier
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PLEVEN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PLEVEN II →)
v · m
Gouvernement René Pleven II (11 août 1951 - 7 janvier 1952)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


René Pleven
Vice-président Georges Bidault (MRP)
Défense nationale Maurice Bourgès-Maunoury (MRP)
Finances et Affaires économiques René Mayer (PRS)
Justice Edgar Faure (PRS)
Affaires étrangères Robert Schuman (MRP)
Intérieur Charles Brune (PRS)
Budget Pierre Courant (CNIP)
Éducation nationale André Marie (PRS)
Travaux publics, Transports et Tourisme Antoine Pinay (CNIP)
Industrie et Énergie Jean-Marie Louvel
Commerce Pierre Pflimlin (MRP)
Agriculture
Outre-Mer Louis Jacquinot
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon (MRP)
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit (UDSR)
Anciens combattants et Victimes de la guerre Emmanuel Temple (CNIP)
Santé publique et Population Paul Ribeyre (CNIP)
PTT
Marine marchande André Morice (PRS)
Information Robert Buron (MRP)
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (FAURE I →)
v · m
Gouvernement Antoine Pinay (8 mars - 23 décembre 1952)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Finances et Affaires économiques Antoine Pinay


Antoine Pinay
Vice-président Henri Queuille
Ministre d'État
Justice Léon Martinaud-Déplat
Affaires étrangères Robert Schuman
Intérieur Charles Brune
Défense nationale René Pleven
Éducation nationale André Marie
Travaux publics, Transports et Tourisme André Morice
Industrie et Commerce Jean-Marie Louvel
Agriculture Camille Laurens
Outre-Mer Pierre Pflimlin
Travail et Sécurité sociale Pierre Garet
Reconstruction et Urbanisme Eugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerre Emmanuel Temple
Santé publique et Population Paul Ribeyre
PTT Roger Duchet
Liste des sous-secrétaires d’État
(← FAURE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MAYER →)
v · m
Gouvernement René Mayer (8 janvier - 21 mai 1953)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Vice-président Henri Queuille


René Mayer
Ministre d'État
Relations avec les États Jean Letourneau
Justice Léon Martinaud-Déplat
Affaires étrangères Georges Bidault
Intérieur Charles Brune
Défense nationale René Pleven
Finances Maurice Bourgès-Maunoury
Budget Jean Moreau
Affaires économiques Robert Buron
Éducation nationale André Marie
Travaux publics, Transports et Tourisme André Morice
Industrie et Énergie Jean-Marie Louvel
Commerce
Agriculture Camille Laurens
Outre-Mer Louis Jacquinot
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Reconstruction et Urbanisme Pierre Courant
Anciens combattants et Victimes de la guerre Henry Bergasse
Santé publique et Population
PTT Roger Duchet
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PINAY) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (LANIEL I →)
v · m
Gouvernements Joseph Laniel I et II (28 juin 1953 – 12 juin 1954)
Sous la présidence de Vincent Auriol puis René Coty
Vice-président


Joseph Laniel
Conseil de l'Europe François Mitterrand
Ministre d'État
Justice Paul Ribeyre
Affaires étrangères Georges Bidault
Intérieur Léon Martinaud-Déplat
Défense nationale René Pleven
Finances et Affaires économiques Edgar Faure
Éducation nationale André Marie
Travaux publics, Transports et Tourisme Jacques Chastellain
Industrie et Commerce Jean-Marie Louvel
Agriculture Roger Houdet
Outre-Mer Louis Jacquinot
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Reconstruction et Urbanisme Maurice Lemaire
Anciens combattants et Victimes de la guerre André Mutter
Santé publique et Population Paul Coste-Floret
PTT Pierre Ferri
Pays associés Édouard Frédéric-Dupont (1954)
Liste des sous-secrétaires d’État
(← MAYER) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MENDÈS FRANCE →)
v · m
Gouvernement Pierre Pflimlin (13 mai - 28 mai 1958)
Sous la présidence de René Coty
Vice-président du Conseil Guy Mollet


Pierre Pflimlin
Ministres d'État
Justice Robert Lecourt
Affaires étrangères René Pleven
Intérieur
Algérie André Mutter
Défense nationale et Forces armées Pierre de Chevigné
Finances, affaires économiques et Plan Edgar Faure
Éducation nationale Jacques Bordeneuve
Travaux publics, Transports et Tourisme Édouard Bonnefous
Industrie et Commerce Paul Ribeyre
Agriculture Roland Boscary-Monsservin
Outre-Mer André Colin
Travail et Sécurité sociale Paul Bacon
Santé André Maroselli
Reconstruction et Urbanisme Pierre Garet
Anciens combattants et Victimes de la guerre Vincent Badie
Information Albert Gazier
Institutions européennes Maurice Faure
(← GAILLARD) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DE GAULLE III →)
v · m
Gouvernements Pierre Messmer I, II et III (5 juillet 1972 - 27 mai 1974)
Sous la présidence de Georges Pompidou
Ministres d'État


Pierre Messmer
Défense nationale
Travail et Affaires sociales
Justice
Affaires étrangères
Intérieur
Économiques et Finances Valéry Giscard d'Estaing
Éducation nationale Joseph Fontanet
Équipement, Logement, Aménagement du territoire et Tourisme Olivier Guichard
Affaires culturelles
Agriculture et Développement rural
Développement industriel et scientifique
Santé publique et Sécurité sociale
Transports
Postes et Télécommunications
Anciens combattants et Victimes de Guerre André Bord
Commerce et Artisanat
Réformes administratives Alain Peyrefitte
Protection de la nature et de l’Environnement
Relations avec le Parlement
Information
Outre-Mer Bernard Stasi
Fonction publique Philippe Malaud
Ministres délégués
Liste des secrétaires d’État
(← CHABAN-DELMAS) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHIRAC I →)
v · m
Gouvernement Jacques Chaban-Delmas (20 juin 1969 – 5 juillet 1972)
Sous la présidence de Georges Pompidou
Ministres d'État


Jacques Chaban-Delmas
Défense nationale Michel Debré
Affaires culturelles
Relations avec le Parlement puis Réformes administratives Roger Frey
Outre-mer
Justice René Pleven
Affaires étrangères Maurice Schumann
Intérieur Raymond Marcellin
Finances et Affaires économiques Valéry Giscard d'Estaing
Éducation nationale Olivier Guichard
Développement industriel et scientifique François-Xavier Ortoli
Équipement et Logement Albin Chalandon
Postes et Télécommunications Robert Galley
Agriculture
Transports
Travail, Emploi et Population Joseph Fontanet
Santé publique et Sécurité sociale Robert Boulin
Anciens combattants et Victimes de guerre Henri Duvillard
Ministres délégués
Liste des secrétaires d’État
(← COUVE DE MURVILLE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MESSMER I →)
v · m
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