Albert Sarraut

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Albert Sarraut
Illustration.
Portrait d'Albert Sarraut, années 1930.
Fonctions
Président du Conseil des ministres français
et Ministre de l'Intérieur

(4 mois et 11 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Sarraut II
Législature XVe législature
(Troisième République)
Prédécesseur Pierre Laval
Successeur Léon Blum
Président du Conseil des ministres français
et ministre de la Marine

(29 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Sarraut I
Législature XVe législature
(Troisième République)
Prédécesseur Édouard Daladier
Successeur Camille Chautemps
Ministre de l'Intérieur

(1 an, 11 mois et 8 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Daladier III, IV et V
Prédécesseur Marx Dormoy
Successeur Henri Roy

(1 mois et 20 jours)
Gouvernement Chautemps IV
Prédécesseur Marx Dormoy
Successeur Marx Dormoy

(4 mois et 11 jours)
Gouvernement Sarraut II
Prédécesseur Joseph Paganon
Successeur Roger Salengro

(8 mois et 4 jours)
Gouvernement Doumergue II
Prédécesseur Eugène Frot
Successeur Paul Marchandeau

(2 ans, 3 mois et 14 jours)
Gouvernement Poincaré IV
Prédécesseur Camille Chautemps
Successeur André Tardieu
Ministre d'État

(26 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Blum II

(6 mois et 16 jours)
Gouvernement Chautemps III
Ministre de la Marine

(4 mois et 24 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Daladier I, Sarraut I, Chautemps II
Prédécesseur Georges Leygues
Successeur Louis de Chappedelaine

(1 mois et 14 jours)
Président Gaston Doumergue
Gouvernement Steeg
Prédécesseur Jacques-Louis Dumesnil
Successeur Charles Dumont

(9 jours)
Président Gaston Doumergue
Gouvernement Chautemps I
Prédécesseur Georges Leygues
Successeur Jacques-Louis Dumesnil
Ministre des Colonies

(1 an, 3 mois et 3 jours)
Président Albert Lebrun
Gouvernement Herriot III, Paul-Boncour, Daladier I
Prédécesseur Louis de Chappedeleine
Successeur Albert Dalimier

(4 ans, 2 mois et 9 jours)
Président Raymond Poincaré, Paul Deschanel, Alexandre Millerand
Gouvernement Millerand I et II, Leygues, Briand VII et Poincaré II
Sénateur de l'Aude

(19 ans, 3 mois et 3 jours)
Réélection
Gouverneur général de l'Indochine française

(2 ans et 4 mois)
Prédécesseur Jean Eugène Charles
Successeur Maurice Montguillot

(2 ans et 2 mois)
Prédécesseur Paul Louis Luce
Successeur Joost van Vollenhoven
Député de l'Aude

(22 ans, 1 mois et 4 jours)
Élection
Réélection


Biographie
Nom de naissance Albert Pierre Sarraut
Date de naissance
Lieu de naissance Bordeaux (Gironde) (France)
Date de décès (à 90 ans)
Lieu de décès 16e arrondissement de Paris
Sépulture Cimetière de Bram
Nationalité Française
Parti politique Gauche démocratique
Père Omer Sarraut
Fratrie Maurice Sarraut
Conjoint Paule Esteve (1871-1960)
Diplômé de Docteur en droit - Université de Paris
Profession Journaliste

Signature de Albert Sarraut

Albert Sarraut
Présidents du Conseil des ministres français
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Albert Sarraut, né le à Bordeaux (Gironde) et mort le à Paris, est un homme d'État français[1].

Fils d'Omer Sarraut, maire de Carcassonne en 1887, diplômé en droit, il devient député radical-socialiste et s'implique particulièrement dans la gestion des colonies françaises. Gouverneur général de l'Indochine à deux reprises, puis ministre des Colonies, il est l'un des principaux inspirateurs de la politique coloniale de l'entre-deux-guerres. Il dirige en outre deux éphémères gouvernements de la IIIe République. Ministre de l'intérieur à plusieurs reprises, il dissout l'Action française, instaure au sein du gouvernement Daladier la politique[2] de « discrimination »[3] des « indésirables »[4] et ouvre les camps d'internement, où mourront plusieurs dizaines de milliers de républicains réfugiés de la guerre d'Espagne et des « Juifs » fuyant l'Allemagne nazie. Il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en juillet 1940.

Frère de Maurice Sarraut[5], le directeur de La Dépêche de Toulouse assassiné par la Milice en 1943, il est déporté à son tour au début de l'année 1944 mais survit. Membre de l'Académie des beaux-arts de 1953 à 1962[6], il préside sous la IVe République l'Assemblée de l'Union française de 1951 à 1958[7].

Biographie

Député radical socialiste

Rixe entre Albert Sarraut et Paul Pugliesi-Conti à la Chambre des députés, le 13 juillet 1906.

Sarraut est élu député de l'Aude, le Midi rouge, en sur un programme anticlérical qui permet aux radicaux d'obtenir le soutien des socialistes, « [...] arracher le chiendent clérical et l'ortie césarienne[8]. » Il sera réélu jusqu'en 1924.

En , il devient l'un des douze secrétaires du comité exécutif du Parti républicain, radical et radical-socialiste[9]. Le , il vote la loi de séparation de l'Église et de l'État, qui sera promulguée le .

À la séance du à la Chambre des députés votant le projet de loi réintégrant dans l'armée avec avancement le capitaine Dreyfus et le colonel Picquart, il est question de poursuites judiciaires à l'encontre du général Mercier et ses complices. Le député nationaliste de Paris Paul Pugliesi-Conti hurle au « gouvernement de misérables ». Au cours d'une échauffourée générale, il reçoit du sous secrétaire Sarraut une gifle et demande réparation. Le duel a lieu deux heures plus tard à Ville-d'Avray. Clemenceau est directeur du combat et Sarraut s'enferre d'emblée sur l'épée de son adversaire[10]. Grièvement blessé au poumon, il reste alité six semaines.

L'Indochine

Albert Sarraut, Gouverneur général de l'Indochine française, en 1914.

Sur le plan international, il est de 1911 à 1914 et de 1917 à 1919 gouverneur général de l'Indochine et travaille à cette occasion avec Albert Lebrun, ministre des Colonies de 1911 à 1913. Ses deux mandats à la tête de l'Indochine française sont marqués par une volonté d'introduire davantage d'éléments de démocratie dans le système colonial, notamment en donnant davantage de place aux élites indigènes. Il réforme l'administration, développe le système éducatif en Indochine et donne davantage de possibilités aux Indochinois d'intégrer la fonction publique[11],[12],[13],[14].

La doctrine Sarraut pour les colonies

Au début des années 1920, Sarraut, alors ministre des Colonies, conçoit un plan de mise en valeur des colonies qui, s'il ne fut pas mis en pratique, marque l'intérêt renouvelé des autorités pour reprendre en main le développement des colonies. Les idées qu'il expose dans son ouvrage La mise en valeur des colonies françaises forment une doctrine cohérente de la colonisation économique qui justifie le souci de l'administration envers les populations locales, et il écrit : « La politique indigène, c'est la conservation de la race. » Il préconise en conséquence un programme d'investissement sanitaire et social qui ne sera pas mené, faute de budget[15].

Le , jour de Pâques, il inaugure l'Exposition coloniale de Marseille[16],[17].

De 1925 à 1926, il est nommé ambassadeur de France en Turquie[18],[19].

Une longue carrière ministérielle dans l'entre-deux-guerres

Albert Sarraut devant la salle Wagram, 1931.

Sur le plan national, Sarraut exerce une longue carrière ministérielle, qui l'amène par deux fois à occuper la présidence du Conseil :

  • du au  : voir gouvernement Albert Sarraut (1)
    succédant à Édouard Daladier (1er gouvernement), étant à son tour remplacé par Camille Chautemps (2e gouvernement) ;
  • du au  : voir gouvernement Albert Sarraut (2)
    succédant à Pierre Laval (4e gouvernement), et étant à son tour remplacé par Léon Blum (1er gouvernement).

L'occupation de la Rhénanie

Le , Hitler dénonce les accords de Locarno et décide, en violation flagrante du traité de Versailles, de faire occuper la Rhénanie par la Wehrmacht, alors que ce territoire devait rester démilitarisé. L'ambassadeur de France à Berlin, André François-Poncet, prévient Paris du coup de force en préparation. Sarraut déclare qu'il n'est pas « disposé à laisser Strasbourg sous les canons allemands » et souhaite répondre par la force à l'agression de Hitler. Toutefois, se heurtant au refus du Royaume-Uni de se joindre à la France et devant l'événement capital du premier tour des élections législatives prévu le 26 avril suivant, Sarraut en reste là. Les conséquences de cet abandon seront désastreuses, aussi bien pour la France que pour la paix du monde.

Ministre de l'Intérieur pendant la Drôle de Guerre (12 avril 1938 – 20 mars 1940)

Passation des pouvoirs entre Marx Dormoy et Albert Sarraut au ministère de l'Intérieur, 1938.

Ministre de l'Intérieur sous les gouvernements Daladier de 1938 à 1940, Sarraut s'applique après la déclaration de guerre à l'Allemagne, à faire interner les Allemands résidant en France, bien que la plupart aient fui la politique des nazis. Considérés comme des « sujets ennemis » d'un pays avec lequel la France est en guerre, ces internés se retrouvent victimes d’un mélange de xénophobie, d’absurdité et de désordre administratif. En Provence, ils sont internés dans une tuilerie désaffectée aux Milles. Cette usine devient un camp d’internement sous commandement militaire français, le camp des Milles, où les internés, dont nombre de représentants de l’intelligentsia allemande, vivent dans des conditions très précaires, parfois fatales.

Le , il signe comme ministre de l'Intérieur le décret du 4 octobre 1939 qui suspend les maires et les parlementaires communistes, conséquence de la signature du pacte germano-soviétique. Ils sont ensuite déchus à titre définitif de leurs mandats. Il poursuit dans cette voie en signant le 15 mars 1940 une circulaire envoyée aux préfets leur enjoignant de mener la chasse aux noms de rues évoquant le communisme, ce qui est un tournant, car normalement le gouvernement n’intervient pas dans ce domaine qui relève traditionnellement du pouvoir des communes[20]. Les rues Henri-Barbusse et Paul-Vaillant-Couturier sont particulièrement visées. La consigne n’est pas exécutée partout, mais des résistances locales se font jour[21].

Pendant l'Occupation (juillet 1940-1945)

Le , Albert Sarraut est convoqué par le président Albert Lebrun avec les autres députés et sénateurs réunis à Vichy en Assemblée nationale, et vote la loi qui remet les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain[22].

Il se retire alors dans sa famille à Prades dans les Pyrénées-Orientales[23]. Il est très affecté par la mort de son frère Maurice, alors dirigeant du journal La Dépêche à Toulouse, assassiné le par la Milice, mais il accepte à la demande du conseil d'administration du journal, d'en prendre la direction politique et ce malgré l'opposition des Allemands[23]. En juin 1944[23], ceux-ci l'arrêtent et il est déporté dans le camp de Neuengamme dans le nord de l'Allemagne jusqu'à libération du camp par les Alliés en avril 1945[24],[25],[23].

L'Assemblée de l'Union française

Il poursuit sa carrière pendant la IVe République à un poste clé dans la Chambre parlementaire créée par la Constitution de 1946 élu, en novembre 1947 par le Conseil de la République, conseiller de l'Union française, il accède à la Présidence de l'Assemblée de l'Union française en juin 1951. Il demeure à ce poste jusqu'en mai 1958[26].

Carrière

Fonctions gouvernementales

  • 1906-1909 : sous-secrétaire d'État à l'Intérieur du gouvernement Ferdinand Sarrien, puis du gouvernement Georges Clemenceau (1)
  • 1909 à 1910 : sous-secrétaire d'État à la Guerre du gouvernement Aristide Briand (1)
  • 1914 à 1915 : ministre de l'Instruction publique et des Beaux-arts des gouvernements René Viviani (1) et René Viviani (2)
  • 1920 à 1924 : ministre des Colonies des gouvernements Alexandre Millerand (1) et (2), puis du gouvernement Georges Leygues, gouvernement Aristide Briand (7) et gouvernement Raymond Poincaré (2)
  • 1925 à 1926 : premier ambassadeur français à Ankara (Turquie)
  • 1926 à 1928 : ministre de l'Intérieur dans le quatrième cabinet d'Union nationale de Raymond Poincaré
  •  : ministre de la Marine dans le gouvernement Camille Chautemps (1)
  • De à  : ministre de la Marine militaire du gouvernement Théodore Steeg
  • De à  : ministre des Colonies du gouvernement Édouard Herriot (3), du gouvernement Joseph Paul-Boncour et du gouvernement Édouard Daladier (1)
  • D'octobre à  : président du Conseil et ministre de la Marine.
  • De à  : ministre de la Marine du gouvernement Camille Chautemps (2)
  • De février à  : ministre de l'Intérieur du gouvernement Gaston Doumergue (2). Il démissionne après l'attentat de Marseille contre Alexandre Ier de Yougoslavie.
  • De janvier à  : président du Conseil et ministre de l'Intérieur.
  • De janvier à  : ministre d'État de l'Intérieur dans le troisième cabinet Chautemps.
  • De mars à  : ministre d'État, chargé des affaires d'Afrique du Nord, dans le second cabinet Léon Blum.
  • D' à  : ministre de l'Intérieur des gouvernements Édouard Daladier III, IV et V
  • De mars à  : ministre de l’Éducation nationale du gouvernement Paul Reynaud

Autres mandats

La tombe d'Albert Sarraut, située au cimetière ancien de Bram dans l'Aude.

Décès

Début novembre 1962, il est victime d'une crise cardiaque puis d'une nouvelle crise trois semaines après et meurt quelques jours plus tard, le 26 novembre, à son domicile parisien situé 15 avenue Victor-Hugo[23]. Après des obsèques à l'église Saint-Honoré-d'Eylau à Paris et à l'Église Saints-Julien-et-Basilisse, il est inhumé au cimetière de Bram dans l'Aude ou repose également sa fille Paule (1899-1968) et sa belle-fille, Colette Andrieux du Tertre (1908-1996). L'éloge funèbre fut prononcé par Maurice Faure[23],[29].

Père d'un fils, Omer[30] et de deux filles, Paule et Lydie, la réalisatrice et metteuse en scène Marion Sarraut était l'une de ses petites-filles.

Ses archives furent confiées aux archives départementales de l'Aude en 1972[31].

Œuvres

  • La Mise en valeur des colonies françaises, Payot, Paris, 1923, 675 p.
  • Indochine, « Images du monde », Firmin Didot, Paris, 1930.
  • Grandeur et servitude coloniales, Éditions du Sagittaire, Paris, 1931.
  • Prix d’Académie 1932 de l'Académie française.

Nommés d'après lui

L'ancien lycée Albert Sarraut à Hanoï.

Des avenues portent son nom à Goussainville (Val d'Oise) Igny ( Essonne) et Chelles (Seine-et-Marne) à Dakar au Sénégal, des places à Athis-Mons et Brunoy (Essonne), Villeneuve-le-Roi (Val de Marne) et Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) ainsi que des rues à Versailles (Yvelines), Juvisy-sur-Orge (Essonne), Sucy-en-Brie (Val-de-Marne), Tremblay-en-France, Drancy (Seine-Saint-Denis), Rivedoux-Plage (Charente-Maritine) Saint-Médard-en-Jalles (Gironde), une cité (lotissement) à Esperaza ainsi qu'à Bram (Aude) où il vécut, au domaine de Portoï, et est inhumé dans l'ancien cimetière[32],[33].

Décorations

Il est également dignitaire de plusieurs ordres étrangers, dont :

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Albert Sarraut, sur Wikimedia Commons

Bibliographie

  • Patrice Morlat, « Projets coloniaux et mise en pratique : la politique des « fils » de Sarraut en Indochine dans les années vingt », Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, no 85 « Le pouvoir colonial »,‎ , p. 13-28 (lire en ligne).
  • Patrice Morlat, « L’Indochine à l’époque d’Albert Sarraut », Outre-Mers. Revue d'histoire, t. 99, nos 376-377 « Cent ans d'histoire des outre-mers. SHOM, 1912-2012 »,‎ 2e semestre 2012, p. 179-195 (lire en ligne).
  • (en) Clifford Rosenberg, « Albert Sarraut and Republican Racial Thought », French Politics, Culture & Society, Berghahn Books, vol. 20, no 33,‎ , p. 97–114 (JSTOR 42843249).
  • (en) Martin Thomas, « Albert Sarraut, French Colonial Development, and the Communist Threat, 1919–1930 », The Journal of Modern History, University of Chicago Press, vol. 77, no 343,‎ , p. 917–955 (lire en ligne).
  • Benoît Yvert (dir.), Premiers ministres et présidents du Conseil. Histoire et dictionnaire raisonné des chefs du gouvernement en France (1815-2007), Paris, Perrin, 2007, 916 p.
  • Benoît Yvert (dir), Dictionnaire des ministres (1789-1989), Albert Sarraut p. 605 à 607, Paris, Perrin, 1990, 1028 p. (ISBN 2-262-00710-1)
  • Rémy Pech, Omer, Maurice et Albert Sarraut, « Les Audois, dictionnaire biographique », p.302 à 305. Édité par l'Association des amis des archives de l'Aude, la Fédération audoise des œuvres laïques et la Société d'études scientifiques de l'Aude. 1990 (ISBN 2-906442-07-0)
  • « Albert Sarraut », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition].
  • Jean-Louis Rizzo, Albert Sarraut : au cœur de la République parlementaire et coloniale, Paris, L'Harmattan, , 253 p. (ISBN 978-2-343-23345-1).

Iconographie

Article connexe

Références

  1. Pierre Guillaume, « Albert Sarraut, 1872-1962, des sommets de l’État à l’oubli », sur persee.fr, (consulté le ).
  2. A. Sarraut, « Décret du 12 novembre 1938 », Titre IV, in Journal officiel, p. 12923, 13 novembre 1938.
  3. A. Sarraut, « Rapport au Président de la République française », 12 novembre 1938, in Journal officiel, p. 12920, 13 novembre 1938.
  4. A. Sarraut, « Rapport au Président de la République française », 2 mai 1938, in Journal officiel, p. 4967, 3 mai 1938.
  5. On attribue à Clemenceau un mot particulièrement cruel : « Albert Sarraut ?… Ah oui ! Celui qui a un frère intelligent ! »
  6. Martine François, G, Demaimay, Bruno Delmas, « SARRAUT Albert Pierre », sur cths.fr, (consulté le ).
  7. « M. Albert Sarraut est de retour à Paris » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  8. Fédération d'Union républicaine radicale et socialiste de l'Aude, p. 8, Polère imp., Carcassonne, 1904, in Archives départementales, cote 5M95, Carcassonne.
  9. Bulletin du Parti républicain radical et radical-socialiste : organe officiel du comité exécutif, p. 4, 1er février 1905.
  10. L'Illustration, p. 126, .
    Journal officiel, 14 juillet 1906.
  11. Patrice Morlat, « L’Indochine à l’époque d’Albert Sarraut [article] », sur persee.fr, (consulté le ).
  12. Claude Marquié, « Carcassonne. 1911-1919 : Albert Sarraut gouverneur de l'Indochine », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  13. Claude Marquié, « 1915 : Albert Sarraut sur le front des Vosges », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  14. Pierre Brocheux et Daniel Hémery, Indochine : la colonisation ambiguë 1858-1954, La Découverte, 2004, pages 292-293
  15. « La réception à Paris par M. Albert Sarraut de S.M Khai Dinh, Empereur d'Annam. », sur flickr.com (consulté le ).
  16. Claude Marquié, « P. Ducuing (1867-1949) et A.Sarraut », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  17. Claude Marquié, « Carcassonne. L’importance des colonies dans la carrière d’A. Sarraut » Accès payant, sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  18. « Ambassadeurs de France depuis 1525 », sur tr.ambafrance.org (consulté le ).
  19. « Archives vagabondes # 12 Une ambassade en Turquie (1925-1926) : Albert Sarrault », sur archivesdepartementales.aude.fr, (consulté le ).
  20. Richard Vassakos, « Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche », Nouvelle revue d’onomastique, 2019, no 61, p. 244.
  21. R. Vassakos, op. cit., p. 245.
  22. Laurent Coste, « Carcassonne : un ancien préfet de l’Aude en dédicace », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  23. a b c d e et f André Ballet, « La mort de Mr. Albert Sarraut », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Notice Albert Sarraut, Armel Marin, Encyclopædia Universalis.
  25. Raymond Silar, Histoires vraies de la presse régionale: La somme de toutes les vies, L'Harmattan, 2010, p. 69, (ISBN 978-2-296-11656-6), [lire en ligne].
  26. Maurice Mordagne, « Albert Sarraut, philosophe, historien, bâtisseur d'Empire. », Le Courrier de la Cité & le cri de Castelnaudary & du Lauragais,‎ , Une de l'hebdomadaire
  27. Claude Marquié, « A. Tomey et la vie politique de 1919 à 1940 », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  28. « Le Matin « Dans les Pyrénées-Orientales M. Albert Saraut préside l'inauguration du monument de Joachim Estrade qui dota de l'électricité de nombreuses communes. », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  29. René Mauries, « Bouleversante cérémonie à Bram (Aude). Après la France, le Languedoc à rendu un ultime homage au président Albert Sarraut. », La Dépêche du Midi,‎
  30. « Omer SARRAUT, avocat à Saïgon, inspecteur général du Syndicat des grandes chasses coloniales, candidat à la députation de la Cochinchine (1936) », sur entreprises-coloniales.fr, (consulté le ).
  31. Marc Trille, « Fonds Albert Sarraut », sur archivesdepartementales.aude.fr, (consulté le ).
  32. Bruno Huet, « Albert Sarraut ne repose pas à Carcassonne mais à Bram », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  33. Magazine Regards n°54, « Albert Sarraut, un homme d'État », sur calameo.com, (consulté le ).
  34. « Recherche - Base de données Léonore », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Sénat français, « Anciens sénateurs IIIe République : SARRAUT Albert », sur senat.fr (consulté le ).
  36. « Décorations du gouverneur-général de l'Indochine française, Albert Sarraut », sur asiamedals.info (consulté le ).
  37. Archives départementales de l'Aude, 1000 ans d'histoire. Diplôme par lequel Mohammed El Habib, Bey de Tunis, confère à Albert Sarraut, Ministre des Colonies, la décoration de l'Ordre de Nichan-Iftikhar, Carcassonne, Archives départementales de l'Aude, , 102 p. (ISBN 2-86011-019-4), p. 82,83
  38. Frédéric Boyer, « Jubilé parlementaire, à Albert Sarraut président 1952 », sur jetons-medailles.com (consulté le ).

Liens externes

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v · m
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Justice Albert Sérol
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Marine marchande Alphonse Rio
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Éducation nationale
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Agriculture Paul Thellier
Ravitaillement Henri Queuille
Colonies
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Santé publique
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Information
Commerce et Industrie
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v · m
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Sous la présidence d’Albert Lebrun
Vice-président du Conseil Camille Chautemps


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Président du Conseil
Affaires étrangères
Finances
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Guerre et Défense nationale Édouard Daladier
Justice
Éducation nationale
Intérieur Albert Sarraut
Marine militaire César Campinchi
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Commerce Fernand Gentin (1938-1940)
Travaux publics
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Travail
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Marine marchande
Anciens Combattants et Pensionnés
Armements Raoul Dautry
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Liste des sous-secrétaires d’État et des commissaires généraux
(← BLUM II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (REYNAUD →)
v · m
Gouvernement Léon Blum II (13 mars 1938 - 8 avril 1938)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Vice-président du Conseil Édouard Daladier


Léon Blum
Président du Conseil
Ministres d'État
Coordination des services Vincent Auriol
Trésor Léon Blum
Défense nationale et Guerre Édouard Daladier
Affaires étrangères Joseph Paul-Boncour
Propagande Ludovic-Oscar Frossard
Éducation nationale Jean Zay
Intérieur Marx Dormoy
Justice Marc Rucart
Budget Charles Spinasse
Agriculture Georges Monnet
Travaux publics Jules Moch
Colonies Marius Moutet
Travail Albert Sérol
Postes, Télégraphe et Téléphone Jean-Baptiste Lebas
Santé publique Fernand Gentin
Marine militaire César Campinchi
Air Guy La Chambre
Commerce Pierre Cot
Liste des sous-secrétaires d’État
(← CHAUTEMPS IV) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER III →)
v · m
Gouvernements Camille Chautemps III et IV (29 juin 1937 - 10 mars 1938)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Vice-président du Conseil



Camille Chautemps
Président du Conseil
Ministres d'État
Défense nationale et Guerre Édouard Daladier (1937-1938)
Affaires étrangères Yvon Delbos (1937-1938)
Éducation nationale Jean Zay (1937-1938)
Intérieur
Justice
Agriculture
Finances
Travaux publics Henri Queuille (1937-1938)
Colonies
Travail
Postes, Télégraphe et Téléphone
Santé publique Marc Rucart (1937-1938)
Marine militaire
Pensions
Air
Commerce
Marine marchande
Liste des sous-secrétaires d’État
(← BLUM I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BLUM II →)
v · m
Gouvernement Albert Sarraut II (24 janvier 1936 - 4 juin 1936)
Sous la présidence de Albert Lebrun
Ministres d'État Joseph Paul-Boncour


Albert Sarraut
Président du Conseil
Justice Yvon Delbos
Affaires étrangères Pierre-Étienne Flandin
Intérieur Albert Sarraut
Finances Marchel Régnier
Guerre Louis Maurin
Marine François Piétri
Air Marcel Déat
Éducation nationale Henri Guernut
Travaux publics Camille Chautemps
Commerce et Industrie Georges Bonnet
Agriculture Paul Thellier
Colonies Jacques Stern
Travail Ludovic-Oscar Frossard
Pensions René Besse
Postes, Télégraphe et Téléphone Georges Mandel
Santé publique et Éducation physique Louis Nicolle
Marine marchande Louis de Chappedelaine
Liste des sous-secrétaires d’État
(← LAVAL IV) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BLUM I →)
v · m
Gouvernement Gaston Doumergue II (9 février 1934 - 8 novembre 1934)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Ministres d'État


Gaston Doumergue
Président du Conseil
Guerre Philippe Pétain
Affaires étrangères
Éducation nationale Adrien Berthod
Intérieur
Justice
Agriculture Henri Queuille
Finances Louis Germain-Martin
Travaux publics Pierre-Étienne Flandin
Colonies
Travail Adrien Marquet
Postes, Télégraphe et Téléphone André Mallarmé
Santé publique et Éducation physique Louis Marin
Marine militaire François Piétri
Pensions Georges Rivollet
Air Victor Denain
Marine marchande William Bertrand
Commerce et Industrie Luciel Lamoureux
(← DALADIER II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (FLANDIN I →)
v · m
Gouvernement Camille Chautemps II (26 novembre 1933 - 27 janvier 1934)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Guerre Édouard Daladier


Camille Chautemps
Président du Conseil
Affaires étrangères Joseph Paul-Boncour
Éducation nationale Anatole de Monzie
Intérieur Camille Chautemps
Justice Eugène Raynaldy
Agriculture Henri Queuille
Finances Georges Bonnet
Travaux publics Albert Dalimier
Colonies
Travail et Prévoyance sociale
Postes, Télégraphe et Téléphone Jean Mistler
Santé publique Alexandre Israël
Marine Albert Sarraut
Pensions Hippolyte Ducos
Air Pierre Cot
Marine marchande
Commerce et Industrie Laurent Eynac
Budget Paul Marchandeau
Liste des sous-secrétaires d’État
(← SARRAUT I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER II →)
v · m
Gouvernement Albert Sarraut I (26 octobre 1933 - 24 novembre 1933)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Guerre Édouard Daladier
Albert Sarraut
Président du Conseil
Affaires étrangères Joseph Paul-Boncour
Éducation nationale Anatole de Monzie
Intérieur Camille Chautemps
Vice-président du Conseil et Justice Albert Dalimier
Agriculture Henri Queuille
Finances Georges Bonnet
Travaux publics Joseph Paganon
Colonies François Piétri
Travail et Prévoyance sociale Eugène Frot
Postes, Télégraphe et Téléphone Jean Mistler
Santé publique Émile Lisbonne
Marine Albert Sarraut
Pensions Hippolyte Ducos
Air Pierre Cot
Marine marchande Jacques Stern
Commerce et Industrie Laurent Eynac
Budget Abel Gardey
Liste des sous-secrétaires d’État
(← DALADIER I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHAUTEMPS II →)
v · m
Gouvernement Édouard Daladier I (31 janvier 1933 - 24 octobre 1933)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Guerre Édouard Daladier


Édouard Daladier
Président du Conseil
Affaires étrangères Joseph Paul-Boncour
Éducation nationale Anatole de Monzie
Intérieur Camille Chautemps
Justice Eugène Penancier
Agriculture Henri Queuille
Finances Georges Bonnet
Travaux publics Joseph Paganon
Colonies
Travail et Prévoyance sociale François Albert
Postes, Télégraphe et Téléphone Laurent Eynac
Santé publique Charles Daniélou
Marine
Pensions Edmond Miellet
Air Pierre Cot
Marine marchande Eugène Frot
Commerce et Industrie Louis Serre
Budget Lucien Lamoureux
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PAUL-BONCOUR) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SARRAUT I →)
v · m
Gouvernement Joseph Paul-Boncour (18 décembre 1932 - 28 janvier 1933)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Guerre Édouard Daladier


Joseph Paul-Boncour
Président du Conseil
Affaires étrangères Joseph Paul-Boncour
Éducation nationale Anatole de Monzie
Intérieur Camille Chautemps
Justice Abel Gardey
Agriculture Henri Queuille
Finances Henry Chéron
Travaux publics Georges Bonnet
Colonies Albert Sarraut
Travail et Prévoyance sociale Albert Dalimier
Postes, Télégraphe et Téléphone Laurent Eynac
Santé publique Charles Daniélou
Marine Georges Leygues
Pensions Edmond Miellet
Air Paul Painlevé
Marine marchande Léon Meyer
Commerce et Industrie Julien Durand
Liste des sous-secrétaires d’État
(← HERRIOT III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER I →)
v · m
Gouvernement Édouard Herriot III (3 juin 1932 - 14 décembre 1932)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Guerre Joseph Paul-Boncour


Édouard Herriot
Président du Conseil
Affaires étrangères Édouard Herriot
Éducation nationale Anatole de Monzie
Intérieur Camille Chautemps
Justice René Renoult
Agriculture Abel Gardey
Finances Louis Germain-Martin
Travaux publics Édouard Daladier
Colonies Albert Sarraut
Travail et Prévoyance sociale Albert Dalimier
Commerce Julien Durand
Postes, Télégraphe et Téléphone Henri Queuille
Santé publique Justin Godart
Marine Georges Leygues
Pensions Adrien Berthod
Air Paul Painlevé
Marine marchande Léon Meyer
Budget Maurice Palmade
Liste des sous-secrétaires d’État
(← TARDIEU III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PAUL-BONCOUR →)
v · m
Gouvernement Théodore Steeg (13 décembre 1930 - 22 janvier 1931)
Sous la présidence de Gaston Doumergue
Colonies Théodore Steeg


Théodore Steeg
Président du Conseil
Justice Henry Chéron
Intérieur Georges Leygues
Affaires étrangères Aristide Briand
Finances Louis Germain-Martin
Budget Maurice Palmade
Guerre Louis Barthou
Marine militaire Albert Sarraut
Air Paul Painlevé
Instruction publique et Beaux-Arts Camille Chautemps
Travaux publics Édouard Daladier
Économie nationale, Commerce et Industrie Louis Loucheur
Agriculture Victor Boret
Travail et Prévoyance sociale Édouard Grinda
Santé publique Henri Queuille
Pensions
Postes, Télégraphe et Téléphone Georges Bonnet
Marine marchande Charles Daniélou
Liste des sous-secrétaires d’État
(← TARDIEU II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (LAVAL I →)
v · m
Gouvernement Camille Chautemps I (21 février 1930 - 25 février 1930)
Sous la présidence de Gaston Doumergue
Justice Théodore Steeg


Camille Chautemps
Président du Conseil
Affaires étrangères Aristide Briand
Intérieur Camille Chautemps
Finances Charles Dumont
Budget Maurice Palmade
Guerre René Besnard
Marine Albert Sarraut
Instruction publique et Beaux-Arts Jean Durand
Travaux publics Édouard Daladier
Commerce et Industrie Georges Bonnet
Agriculture Henri Queuille
Colonies Lucien Lamoureux
Travail, Hygiène, Assistance et Prévoyance sociale Louis Loucheur
Pensions Claudius Gallet
Air Laurent Eynac
Postes, Télégraphe et Téléphone André Mallarmé
Marine marchande Julien Durand
Santé publique Charles Daniélou
Liste des sous-secrétaires d’État
(← TARDIEU I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (TARDIEU II →)
Gouvernements dont il a été membre dans les années 1920
v · m
Gouvernements Raymond Poincaré IV et V (23 juillet 1926 - 26 juillet 1929)
Sous la présidence de Gaston Doumergue
Affaires étrangères Aristide Briand (1926-1929)


Raymond Poincaré
Président du Conseil
Finances
Guerre Paul Painlevé (1926-1929)
Justice Louis Barthou (1926-1929)
Instruction publique et Beaux-Arts
Intérieur
Marine Georges Leygues (1926-1929)
Air Laurent Eynac (1928-1929)
Commerce et Industrie
Travaux publics
Agriculture
Colonies
Travail, Hygiène, Assistance et Prévoyance sociale
Pensions
Liste des sous-secrétaires d’État
(← HERRIOT II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BRIAND XI →)
v · m
Gouvernements Raymond Poincaré II et III (15 janvier 1922 - 1er juin 1924)
Sous la présidence d'Alexandre Millerand
Affaires étrangères Raymond Poincaré (1922-1924)


Raymond Poincaré
Président du Conseil
Guerre et Pensions André Maginot (1922-1924)
Justice
Instruction publique et Beaux-Arts
Intérieur
Marine
Commerce et Industrie
Finances
Travaux publics
Agriculture
Colonies
Travail
Régions libérées
Hygiène, Assistance et Prévoyances sociales
Liste des sous-secrétaires d’État
(← BRIAND VII) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (FRANÇOIS-MARSAL →)
v · m
Gouvernement Aristide Briand VII (16 janvier 1921 - 12 janvier 1922)
Sous la présidence d'Alexandre Millerand
Affaires étrangères Aristide Briand


Aristide Briand
Président du Conseil
Guerre Louis Barthou
Justice Laurent Bonnevay
Instruction publique et Beaux-Arts Léon Bérard
Intérieur Pierre Marraud
Marine Gabriel Guist'hau
Commerce et Industrie Lucien Dior
Finances Article de qualité Paul Doumer
Travaux publics Yves Le Trocquer
Agriculture Edmond Lefebvre du Prey
Colonies Albert Sarraut
Travail Daniel Vincent
Pensions André Maginot
Régions libérées Louis Loucheur
Hygiène, Assistance et Prévoyance sociale Georges Leredu
Liste des commissaires généraux et des sous-secrétaires d’État
(← LEYGUES) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (POINCARÉ II →)
v · m
Gouvernement Georges Leygues (24 septembre 1920 - 7 janvier 1921)
Sous la présidence d'Alexandre Millerand
Affaires étrangères Georges Leygues


Georges Leygues
Président du Conseil
Justice Gustave Lhopiteau
Intérieur Théodore Steeg
Finances Frédéric François-Marsal
Guerre
Marine Adolphe Landry
Colonies Albert Sarraut
Travail Paul Jourdain
Instruction publique et Beaux-Arts André Honnorat
Commerce et Industrie Auguste Isaac
Pensions, Primes et Allocations de guerre André Maginot
Agriculture Joseph-Honoré Ricard
Travaux publics Yves Le Trocquer
Hygiène, Assistance et Prévoyance sociale Jules-Louis Breton
Régions libérées Émile Ogier
Liste des commissaires généraux et des sous-secrétaires d’État
(← MILLERAND II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BRIAND VII →)
v · m
Gouvernements Alexandre Millerand I et II (20 janvier 1920 - 23 septembre 1920)
Sous la présidence de Raymond Poincaré puis Paul Deschanel
Affaires étrangères Article de qualité Alexandre Millerand


Alexandre Millerand
Président du Conseil
Justice Gustave Lhopiteau
Intérieur Théodore Steeg
Finances Frédéric François-Marsal
Guerre André Lefèvre
Marine Adolphe Landry
Colonies Albert Sarraut
Travail Paul Jourdain
Instruction publique et Beaux-Arts André Honnorat
Commerce et Industrie Auguste Isaac
Pensions, Primes et Allocations de guerre André Maginot
Agriculture Joseph-Honoré Ricard
Travaux publics Yves Le Trocquer
Hygiène, Assistance et Prévoyance sociale Jules-Louis Breton
Régions libérées Émile Ogier
Liste des commissaires généraux et des sous-secrétaires d’État
(← CLEMENCEAU II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (LEYGUES →)
Gouvernements dont il a été membre dans les années 1900 et 1910
v · m
Gouvernement Georges Clemenceau II (16 novembre 1917 - 18 janvier 1920)
Sous la présidence de Raymond Poincaré
Guerre Georges Clemenceau


Georges Clemenceau
Président du Conseil
Affaires étrangères Stephen Pichon
Armement puis Reconstitution industriellea Louis Loucheur
Intérieur Jules Pams
Finances Louis-Lucien Klotz
Travail et Prévoyance sociale
Justice Louis Nail
Marine Georges Leygues
Instruction publique et Beaux-Arts
Agriculture et Ravitaillement
Colonies Henry Simon
Travaux publics et Transports (et Marine marchandeb) Albert-André Claveille
Commerce, Industrie, Postes et Télégraphes (et Transports maritimes et Marine marchandec)
Blocus et Régions libérées
Liste des sous-secrétaires d’État
a À partir du 26 novembre 1918 ; b À partir du 5 mai 1919 ; c Jusqu'au 5 mai 1919
(← PAINLEVÉ I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MILLERAND I →)
v · m
Gouvernements René Viviani I et II (13 juin 1914 - 29 octobre 1915)
Sous la présidence de Raymond Poincaré
Affaires étrangères


René Viviani
Président du Conseil
Guerre
Instruction publique et Beaux-Arts
Intérieur Louis Malvy
Justice
Marine
Agriculture Fernand David
Finances
Travaux publics
Commerce, Industrie et PTT Gaston Thomson
Colonies
Travail et Prévoyance sociale
Ministre sans portefeuille Jules Guesde
Liste des sous-secrétaires d’État
(← RIBOT IV) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BRIAND V →)
v · m
Gouvernements Aristide Briand I et II (24 juillet 1909 - 2 mars 1911)
Sous la présidence d'Armand Fallières
Intérieur et Cultes Aristide Briand


Aristide Briand
Président du Conseil
Justice
Affaires étrangères Stephen Pichon
Finances
Guerre
Marine Auguste Boué de Lapeyrère
Instruction publique et Beaux-Arts
Travaux publics et PTT
Commerce et Industrie Jean Dupuy
Agriculture
Colonies
Travail et Prévoyance sociale
Liste des sous-secrétaires d’État
(← CLEMENCEAU I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MONIS →)
v · m
Gouvernement Georges Clemenceau I (25 octobre 1906 - 20 juillet 1909)
Sous la présidence d'Armand Fallières
Intérieur Georges Clemenceau


Georges Clemenceau
Président du Conseil
Affaires étrangères Stephen Pichon
Guerre Marie-Georges Picquart
Finances Joseph Caillaux
Travail et Prévoyance sociale René Viviani
Justice
Marine Gaston Thomson
Instruction publique, Cultes et Beaux-Arts
Agriculture Joseph Ruau
Colonies Raphaël Milliès-Lacroix
Travaux publics, Postes et Télégraphe Louis Barthou
Commerce et Industrie
Liste des sous-secrétaires d’État
(← SARRIEN) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BRIAND I →)
v · m
Gouvernement Ferdinand Sarrien (14 mars 1906 - 20 octobre 1906)
Sous la présidence d'Armand Fallières
Justice Ferdinand Sarrien


Ferdinand Sarrien
Président du Conseil
Affaires étrangères Léon Bourgeois
Intérieur Georges Clemenceau
Finances Raymond Poincaré
Guerre Eugène Étienne
Marine Gaston Thomson
Instruction publique, Cultes et Beaux-Arts Aristide Briand
Travaux publics, Postes et Télégraphe Louis Barthou
Commerce, Industrie et Travail Gaston Doumergue
Agriculture Joseph Ruau
Colonies Georges Leygues
Liste des sous-secrétaires d’État
(← ROUVIER III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CLEMENCEAU I →)
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