Liste des listes aux élections européennes de 2019 en France

Pour un article plus général, voir Élections européennes de 2019 en France.

Cette liste des listes aux élections européennes de 2019 en France fait état de tous les partis politiques qui présentent une liste à ce scrutin.

Listes déposées au ministère de l'Intérieur

Les listes sont classées selon l'ordre du tirage du ministère de l'Intérieur. Elles sont au nombre de 34[1],[2].

La France insoumise (La France insoumise et Gauche républicaine et socialiste)

Lors de la convention du mouvement le , Jean-Luc Mélenchon annonce que La France insoumise présentera une liste sous le nom de « L'Europe insoumise ». Il ajoute qu'il considère ces élections comme un « référendum sur la question européenne », affirmant vouloir « briser les chaînes, sortir des traités budgétaires européens ». Ne se positionnant pas comme tête de liste, Jean-Luc Mélenchon entend néanmoins faire de ces élections un duel entre son mouvement et celui d'Emmanuel Macron[3],[4].

En , le mouvement ouvre les candidatures pour sa liste et prépare son programme. Un manifeste Maintenant le peuple ! Pour une révolution citoyenne en Europe est signé avec Pablo Iglesias Turrión, secrétaire général de Podemos en Espagne, et Catarina Martins coordinatrice du Bloc de gauche au Portugal[5],[6]. Le Parti de gauche suédois, l'Alliance de gauche finlandaise et l'Alliance rouge-verte danoise[7] s'associent au manifeste en .

Le , une liste non définitive et non ordonnancée de 70 candidats est publiée. Elle comporte des membres historiques du parti de gauche tels que Gabriel Amard, Manuel Bompard, Corinne Morel-Darleux, ou encore Charlotte Girard, des membres d'autres partis, comme Sergio Coronado (Europe Écologie Les Verts)[8]. Le , le comité électoral de la France insoumise propose deux listes ordonnancées de 33 hommes et 33 femmes candidats à l'investiture, qui serait complétée ultérieurement par 13 « candidatures d'ouverture ». Parmi elles, « Emmanuel Maurel pourrait figurer en bonne place sur la liste »[9]. La tête de liste sera choisie ultérieurement et les candidatures seront alors ordonnancées en alternant les sexes[10]. À la suite de la publication de ces listes, Liêm Hoang Ngoc, Sarah Soilihi se sont retirés des listes pour en contester la composition[11]. Lilian Guelfi, membre du comité électoral a également dénoncé leurs modalités d'élaboration « verrouillées » selon lui par Manuel Bompard[12].

Le , la présence d'Emmanuel Maurel sur la liste de La France insoumise est confirmée, à la suite notamment de son départ du PS pour fonder l'Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste, préfiguration d'un mouvement FI-compatible[13]. En , l'APRÉS devient la Gauche républicaine et socialiste (GRS)[14].

Le , évoquant une incapacité à lier la campagne et des « contraintes personnelles, familiales et professionnelles », Charlotte Girard annonce renoncer à la co-tête de liste et à toute place éligible. Elle indique cependant souhaiter rester sur la liste[15].

Le , La France insoumise publie un communiqué altérant la liste : neuf noms en sont retirés pour cause de raisons personnelles, de désaccords politiques ou de sanctions internes[a]. Parmi elles, deux figures de la mouvance souverainiste du parti sont écartées : Georges Kuzmanovic (pour des propos tenus sur les luttes féministes et LGBT, et des accusations de remarques sexistes) et François Cocq (pour divergences politiques)[16],[17]. À la suite de cette décision, Djordje Kuzmanovic annonce le qu'il quitte La France insoumise s'opposant à l'« extrême concentration du pouvoir aux mains d’un petit groupe de nouveaux apparatchiks et bureaucrates, aux convictions mollement sociales-démocrates » et « à la complaisance des segments gauchistes de la FI à l’égard des thèses indigénistes »[16].

Le , une liste définitive de 79 noms ordonnancés est proposée au vote des militants, avec comme tête de liste Manon Aubry, auparavant porte-parole d'Oxfam France[18]. Quatre places sont accordées à la GRS et une au Mouvement républicain et citoyen[19].

Le , Thomas Guénolé publie un communiqué dans lequel il dénonce le « verrouillage antidémocratique » de La France insoumise. De son côté, le mouvement fait part d'une accusation de harcèlement sexuel le concernant, après avoir été saisi par la victime présumée. Initialement à la quatorzième place sur la liste, il est écarté[20].

Liste
  1. Manon Aubry
  2. Manuel Bompard
  3. Leïla Chaibi
  4. Younous Omarjee
  5. Anne-Sophie Pelletier
  6. Emmanuel Maurel
  7. Marina Mesure
  8. Gabriel Amard
  9. Farida Amrani
  10. Bernard Borgialli
  11. Laurence Lyonnais
  12. Benoît Schneckenburger
  13. Pascale Le Néouannic
  14. Sergio Coronado
  15. Manon Le Bretton
  16. Frédéric Viale
  17. Évelyne Becker
  18. Matthias Tavel
  19. Catherine Coutard
  20. Philippe Juraver
  21. Céline Léger
  22. Sébastien Delogu
  23. Sophie Rauszer
  24. Romain Dureau
  25. Jeanne Chevalier
  26. Landry Ngang
  27. Prune Helfter-Noah
  28. Julien Poix
  29. Carole Mare
  30. Rhany Slimane
  31. Marie-Laure Darrigade
  32. Mauricio Garcia-Pereira
  33. Nadège Montout
  34. William Martinet
  35. Nathalie Bourras
  36. Jim Delémont
  37. Karine Varasse
  38. Laurent Thérond
  39. Marie Duret-Pujol
  40. Kamel Bendjeguellal
  41. Magali Waechter
  42. Pierre-Édouard Pialat
  43. Malika Haddad-Grosjean
  44. Serge Buchet
  45. Paméla Hocini
  46. Jean-Marie Brom
  47. Karin Fischer
  48. Éric Degenne
  49. Édith James
  50. Gaëtan Escorbiac
  51. Élisabeth Chavanne
  52. Paul Zilmia
  53. Laëtitia Pison
  54. Philippe de Laporte
  55. Élisabeth Jutel
  56. Alain Dontaine
  57. Catherine Poggi Aubry
  58. Gilles Reynaud
  59. Laure Manesse
  60. Jean-Louis Boutevin
  61. Raphaëlle Boudard--Ly Van Tu
  62. Nicolas Guillet
  63. Inès Muriot
  64. Thomas Champigny
  65. Julie Garnier
  66. Yannick Bedin
  67. Anne-Sophie Ligniert
  68. Anthony Gratacos
  69. Christine Piguel-Coutard
  70. Vianney Orjebin
  71. Sonia Naffati
  72. Éric Lytwyn
  73. Murielle Kosman
  74. Julian Augé
  75. Marie-Astrid Morin
  76. Christian Benedetti
  77. Isabelle Michaud
  78. Jean-Luc Mélenchon
  79. Charlotte Girard
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Une France royale au cœur de l'Europe (Alliance royale)

L’Alliance royale (candidate lors des élections européennes de 2004, de 2009 et de 2014) présente une liste conduite par Robert de Prévoisin, le délégué général du parti, qui avait annoncé sa candidature à la présidentielle 2017, sans obtenir les parrainages[21].

Liste
  1. Robert de Prévoisin
  2. Solange Heisdorf
  3. Cyrille Henrys
  4. Zoé Poziemski
  5. Olivier Leconte
  6. Dolorès Thomas
  7. Philippe Lassalle
  8. Marie-Gabrielle de La Dorie
  9. Pierre Deplanque Balzano
  10. Paule Noël
  11. Nicolas Zahar
  12. Sylvie Reze
  13. Thibaut Brière Saunier
  14. Marie-Claire Orsi
  15. Arnaud Bouquerel
  16. Alix Oudin
  17. Alain Alexandre
  18. Marie-Laurène Gonfroy
  19. Rodolphe Petit Galland
  20. Véronique Tenailleau
  21. Philippe Gouilhers
  22. Roselyne Brun
  23. Jean-Jacques Demoulin
  24. Josiane Hussard
  25. Jean Lassalle
  26. Muriel Dorghal
  27. Olivier Bricout
  28. Amandine Duverneuil
  29. Vincent Moirin
  30. Maylis Lasalle
  31. Arnaud Delespierre
  32. Marie Dumont
  33. Christophe Deroo
  34. Aline Pellat de Villedon
  35. Jean-Philippe Soullier
  36. Bénédicte Souvant
  37. Romuald Feuille
  38. Marie Millevoye
  39. Jean-Claude Belenguier
  40. Sonia Poissonnier
  41. Jean-François Guien
  42. Brigitte Camus
  43. Denis Bouzon
  44. Chantale de Thoury
  45. Jérôme Putois
  46. Josette Constant
  47. David Gandil
  48. Marie Leschevin
  49. Ludovic Paravy
  50. Martine Guillon
  51. Michel Bernard
  52. Monique Jacq
  53. Hervé Rouvroy
  54. Anne Mullot
  55. Hugues Moulin
  56. Charlotte Rivière
  57. Thierry Leroy
  58. Céline Duverneuil
  59. Joël Bernard
  60. Claire de Meyrignac
  61. Boris Bonnin
  62. Aurore Lallemand
  63. Grégoire Andriantsalama
  64. Denise Mougin
  65. Alain Blanchard
  66. Élisabeth Calvet
  67. Franck Belan
  68. Monique Cartier
  69. André Segyo
  70. Henriette Lhéritier
  71. Roland Fabre
  72. Marie-Magdeleine Requedat
  73. Jean-François Foubert
  74. Christiane de La Barre
  75. Vincent Duverneuil
  76. Catherine Hardy
  77. Louis Gouilhers
  78. Maryvonne Treguier
  79. Robert Lachaud
 
  • Robert de Prévoisin, tête de liste.
    Robert de Prévoisin, tête de liste.

La Ligne claire (Parti de l'in-nocence et Souveraineté, identité et liberté)

En , Renaud Camus, président du Parti de l'in-nocence, et Karim Ouchikh, président du Souveraineté, identité et libertés (SIEL), annoncent la constitution d'une liste commune[22]. Intitulée « La Ligne claire » et conduite par Renaud Camus, la liste comprend (après l'éviction de Solveig Mineo pour des messages jugés racistes et anti-religieux[23]) en deuxième position Fiorina Lignier, une étudiante ayant perdu un œil à la suite d’un tir des forces de l’ordre lors du mouvement des Gilets jaunes[24],[25]. La liste entend dénoncer « l’immigration de masse et l’islamisation » et propose la « remigration »[26].

Le , Renaud Camus annonce qu'il « désavoue » sa liste après avoir eu connaissance d'une photographie de Fiorina Lignier traçant une croix gammée dans le sable[27],[28]. Une autre photo où l'on voit la dix-neuvième candidate, Clara Buhl, effectuer un salut nazi en présence de Lignier est publiée le lendemain par L'Observateur de Beauvais[29]. Malgré les polémiques, le candidat du SIEL Karim Ouchikh entend reprendre la liste, sans « céder un pouce au politiquement correct »[30].

Liste
  1. Renaud Camus
  2. Fiorina Lignier
  3. Karim Ouchikh
  4. Marina Do Santos
  5. Hugues Sion
  6. Émilie Gouthier
  7. Julien Havasi
  8. Ariane Blomme
  9. Bruno Lafourcade
  10. Catherine Dorten
  11. Patrick Leclerc
  12. Delphine Ladrange
  13. Christophe Bertorelle-Calmettes
  14. Lysiane Zaccaria
  15. Farid Tali
  16. Martine Pincemin
  17. André Zuliani
  18. Brigitte Gilibert
  19. Philippe Brun
  20. Isabelle Bolvin
  21. Marcel Meyer
  22. Clara Buhl
  23. Alain Rousseau
  24. Fabienne Rousset
  25. Alexis Toury
  26. Mylène Gouthier
  27. Michel Mennesson
  28. Jeanne Lloan
  29. Christian Tollari
  30. Elisabeth Lalesart
  31. Thierry Noyer
  32. Danielle Levin
  33. Nicolas Cussant
  34. Christine Le Guen
  35. Denis Roger
  36. Danielle Parmantier
  37. Bernard Calujek
  38. Delia Dascalescu
  39. Bertrand Dellinger
  40. Liliane Rotti Vamise Epouse Gattoni
  41. Brian Barbier
  42. Angélique Ledet
  43. Jonathan Legentil
  44. Lina Allard-Cléophas
  45. Daniel Brulant
  46. Maïwenn Gay
  47. Serge Klein
  48. Garance Cwiklinski
  49. Philippe Simon
  50. Ouanessa Boudra
  51. Bernard Henry Poisson de Souzy
  52. France Bouillot
  53. Frédéric Ledon
  54. Régine Le Bellour
  55. Philippe Lamare
  56. Anne-Marie Gallet
  57. Thierry Gertsch
  58. Laura Biancheri
  59. Patrick Perrier
  60. Gaëlle Bertrand
  61. Philippe Leroy
  62. Josiane Filio
  63. Alain Sautreau
  64. Sophie Tenente
  65. Yannick Pochon
  66. Candice Gordien
  67. Claude Roger Marc Fleury
  68. Clairette Durozoi
  69. Alexandre Pelletier
  70. Marie-Françoise Boiteux
  71. Hubert Miatta
  72. Odile Radenne
  73. William Vallée
  74. Yassia Souih
  75. Daniel Ruelle
  76. Monique Touitou
  77. Grégory Audren
  78. Martine Yvonne Kerninon
  79. Michel Guérin
 
  • Renaud Camus, tête de liste.
    Renaud Camus, tête de liste.
  • Fiorina Lignier, no 2 sur la liste.
    Fiorina Lignier, no 2 sur la liste.

Parti pirate

Le Parti pirate, dont le programme a été constitué à l'échelle du Parti pirate européen[31], présente une liste lors des élections européennes et a, à cette occasion, lancé une campagne de recrutement pour la constituer[32]. Florie Marie en est la tête de liste[33]. Le Parti pirate milite principalement pour la défense des droits et des libertés sur Internet, la protection de l'environnement et l'amélioration de la démocratie à l'échelle européenne. Faute de moyens, le mouvement propose aux électeurs d'imprimer leurs bulletins de vote[34].

Liste
  1. Florie Marie
  2. Cédric Levieux
  3. Sabrina Grimaldi
  4. Pierre Beyssac
  5. Marie Béni
  6. Vincent Senetaire
  7. Fatima Balloul
  8. Martin Passard
  9. Merveille Ekomo
  10. Nicolas Nivlet
  11. Elisabeth Piotelat
  12. Luc-Axel Perrier
  13. Camille Mulumba
  14. François Tabuteau
  15. Zainab Lahlou
  16. Romain Courault
  17. Sandra Bordji
  18. Anthony Barbier
  19. Maude Wadelec
  20. François Lechevalier
  21. Marie-Christine Duval
  22. Thierry Bayoud
  23. Laetitia Remy
  24. Panagiotis Gergos
  25. Aminata Sabaly
  26. Arnaud Colin
  27. Elsa Melendez
  28. Arnaud Begin
  29. Corinne Gireau
  30. Nicolas Chenu
  31. Milena Gatelier
  32. Jérôme Leignardier
  33. Isabelle Negrell
  34. Richard Kucharski
  35. Caroline Lepeut
  36. Loïc Bonnier
  37. Venantie Hitimana
  38. Florent Fernandez
  39. Sylvia Solanas
  40. Tom Janvier
  41. Isabelle Lepachelet
  42. Frédéric Schneider
  43. Thérèse Morel
  44. Matthieu Guiboud-Ribaud
  45. Caroline Schwartzmann
  46. Sébastien Haller
  47. Elisabeth Pauthion
  48. Matthieu Hilbert-Hausschild
  49. Micheline Iffour
  50. Vincent Mabillot
  51. Marie Clermontelle
  52. Yannick Merceron
  53. Nathalie Lafargue
  54. Jean-Patrick Nicolas
  55. Valérie Moreau
  56. Gwenael Pellen
  57. Florence Lafargue
  58. Dominique Clergue
  59. Geneviève Bernède
  60. Julien Rimaire
  61. Nathalie Rosenberg
  62. Robert Rosa
  63. Pascale Kowal
  64. Gérald Schwartzmann
  65. Barbara Gutty
  66. Lionel Perard
  67. Anne Benon
  68. Wolfgang Mahle
  69. Nathalie Merceron
  70. Ange Tinelli
  71. Anne-Marie Gaubert
  72. Lionel Rauch
  73. Floriane Navamuel
  74. Baptiste Teissier
  75. Isabelle Janvier
  76. Maxime Zeiler
  77. Annie Navamuel
  78. Nordine Vallas
  79. Bertille De Pesquidoux
 
  • Florie Marie, tête de liste.
    Florie Marie, tête de liste.
  • Cédric Levieux, no 2 sur la liste.
    Cédric Levieux, no 2 sur la liste.

Renaissance, soutenue par La République en marche, le MoDem et ses partenaires (LREM, MoDem, Mouvement radical et Agir)

Le choix de la tête de la liste de La République en marche (LREM) pour les élections européennes de 2019 fait l'objet de spéculations importantes, Alain Juppé évoquant lui-même la possibilité de mener un « grand mouvement central »[35], en réaction notamment à la victoire de Laurent Wauquiez, qu'il accuse d'être ouvert aux idées du Front national et de l'extrême droite, lors de l'élection à la direction des Républicains (LR)[36]. D'autres possibles têtes de liste pour ce « grand mouvement central » sont mentionnées, notamment Édouard Philippe, Nicolas Hulot, Nathalie Kosciusko-Morizet, Sylvie Goulard, ou encore Daniel Cohn-Bendit. En revanche, Michel Barnier[37] et Pierre Moscovici écartent cette possibilité[4]. En , Daniel Cohn-Bendit est à nouveau cité comme tête de liste possible pour la liste LREM[38].

Au congrès du Mouvement démocrate (MoDem), allié de La République en marche, tenu le , le président du parti François Bayrou plaide pour une « maison commune » avec le parti présidentiel pour les élections européennes de 2019, idée également soutenue par Christophe Castaner, alors délégué général de La République en marche. Est également envisagée la possibilité d'une « liste élargie », allant au-delà des deux partis[39]. Un temps envisagé comme tête de liste LREM-MoDem pour ces élections européennes, François Bayrou refuse d’être candidat à ce scrutin, affirmant souhaiter le « renouvellement »[4],[40].

En , LREM affirme sa volonté de s'allier avec le parti européen de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe (ALDE), au congrès duquel elle participe, pour constituer un groupe commun où siégeraient les élus LREM et d'autres formations politiques non-membres de l'ALDE ou du Parti démocrate européen (dont fait partie le MoDem)[41].

Le , il est révélé qu'Alain Juppé rencontre Emmanuel Macron lors d'un déjeuner à l'Élysée. Juppé tente alors de contenir les spéculations en tweetant « Liste commune avec E. Macron aux européennes ? On n'en est pas là ». Dans un entretien au Point, il précise qu'il voulait seulement montrer qu'il était en accord avec les vues du président de la République sur l'Europe, indiquant qu'il n'est pas « en Marche » mais « en mouvement »[36].

Début , LREM n'a toujours pas de liste ou de tête de liste[42]. Le , la ministre chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, se dit « prête à être candidate » comme tête de liste de la majorité présidentielle. Elle reçoit dès le lendemain le soutien du Premier ministre, Édouard Philippe, et de Gilles Le Gendre, président du groupe LREM à l'Assemblée nationale[43]. Le , Nathalie Loiseau officialise sa candidature comme tête de liste et annonce son départ du gouvernement pour mener la campagne[44]. Enfin, le même jour, Olivier Serva, député LREM de la Guadeloupe, appelle à ce qu'un Ultramarin figure en position éligible sur la liste[45].

Franck Riester, après avoir annoncé le que son nouveau parti Agir, composé de plusieurs élus « Macron-compatibles » de droite soutenant le gouvernement, présenterait des candidats aux élections européennes de 2019, n'excluant pas une alliance avec l'Union des démocrates et indépendants (UDI) et d'autres partis réformistes pro-européens[46], déclare en étudier la constitution d'une liste Agir indépendante[47]. Le quotidien L'Opinion indique finalement en que la présence d'Agir sur une liste commune avec LREM est actée[48], ce qui est officialisé le [49]. À ce titre, Agir propose quatre noms à La République en marche, à savoir la sénatrice Fabienne Keller, Nicolas Barnier (par ailleurs fils de Michel Barnier, actuel vice-président du PPE et négociateur en vue du retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne), Xavier Fournier, élu local et responsable du pôle Europe pour le mouvement, et la députée européenne sortante Élisabeth Morin-Chartier[50],[51]. Déçue de ne pas avoir obtenu une place en position éligible sur la liste, cette dernière annonce le le retrait de sa candidature[52].

Le , le député européen Pascal Durand (ex-EÉLV) annonce sa volonté de rejoindre la liste LREM pour « éviter qu'une alliance centre-droite et droite radicale ne mène la danse dans le prochain Parlement »[53]. L'avocat Jean Veil, fils de l'ancienne ministre Simone Veil, occupe la 78e place[54].

Le Mouvement radical annonce le rejoindre officiellement la liste[55], avec la participation en position éligible du député européen sortant Dominique Riquet.

Liste
  1. Nathalie Loiseau
  2. Pascal Canfin
  3. Marie-Pierre Vedrenne
  4. Jérémy Decerle
  5. Catherine Chabaud
  6. Stéphane Séjourné
  7. Fabienne Keller
  8. Bernard Guetta
  9. Irène Tolleret
  10. Stéphane Bijoux
  11. Sylvie Brunet
  12. Gilles Boyer
  13. Stéphanie Yon-Courtin
  14. Pierre Karleskind
  15. Laurence Farreng
  16. Dominique Riquet
  17. Véronique Trillet-Lenoir
  18. Pascal Durand
  19. Valérie Hayer
  20. Christophe Grudler
  21. Chrysoula Zacharopoulou
  22. Sandro Gozi
  23. Ilana Cicurel
  24. Max Orville
  25. Catherine Amalric
  26. Guy Lavocat
  27. Charline Mathiaut
  28. Xavier Fournier
  29. Nawel Rafik-Elmrini
  30. Mao Peninou
  31. Guilmine Eygun
  32. Dominique Despras
  33. Henriette Diadio-Dasylva
  34. Tearii Alpha
  35. Gwendoline Chaudoir
  36. Louis de Redon
  37. Sarah Cabarrus Déroche
  38. Édouard Détrez
  39. Marthe Marti
  40. Pierre Marc
  41. Stéphanie Villemin
  42. Pascal Martin
  43. Sophie Segond
  44. Pierre-Jean Baty
  45. Najat Akodad
  46. Patrick Debruyne
  47. Sophie Tubiana
  48. Didier Medori
  49. Irène Eulriet
  50. David Vaillant
  51. Anne Terlez
  52. Harald Bock
  53. Claire Robert
  54. Michel Cegielski
  55. Jacqueline Ferrari
  56. Christophe Steger
  57. France Mochel
  58. Pascal Henriat
  59. Kinga Igloi
  60. Philippe Gudin
  61. Catherine Michaud
  62. Georges Pereira
  63. Marina Ferrari
  64. Jérémy Haddad
  65. Anne Macey
  66. Pierre-Olivier Carel
  67. Julia Clavel
  68. Joseph Benedetto
  69. Clémence Rouvier
  70. Olivier Allain
  71. Danièle Noël
  72. Ryan Lequien
  73. Nadia Chabal-Calvi
  74. Hussein Khairallah
  75. Geneviève Machery
  76. Gaëtan Blaize
  77. Edith Varet
  78. Jean Veil
  79. Paloma Moreno Elgard
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Démocratie représentative

Cette liste est dirigée par Hadama Traoré, suivi par Sonia Airouche et Cosimo Lisi. Démocratie représentative (DR) est un parti d’extrême gauche issu d’un « mouvement citoyen » dénommé « La révolution est en marche » (LREEM), fondé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par Hadama Traoré[56].

Liste
  1. Hadama Traoré
  2. Sonia Airouche
  3. Cosimo Lisi
  4. Marine Francispillai
  5. Phi Son Nguyen
  6. Assia Chahboub
  7. Omar N'Diaye
  8. Nathalie Muchamad
  9. Valentin Bréban
  10. Bintou Traoré
  11. Daniel Mani
  12. Imane Bourass
  13. Djamal Yesguer
  14. Aissetta Diarra
  15. Mahamadou Niakate
  16. Mauricette Tholas
  17. Rayan Larabi
  18. Sophie Perré
  19. Kamel Bentizi
  20. Christina Pommier
  21. Ismaël Fernandes
  22. Safiatou Dabo
  23. Samir Benchoubane
  24. Nadia Dahim
  25. Romain Gasperoni
  26. Melayz Bouabbas
  27. Hichame Ait-Tabi
  28. Agnès Buffet
  29. Marwan Bourras
  30. Saloie Boulhaj
  31. Azdine Ouis
  32. Nicole Sabour
  33. Johann Christian Henri Schiltz
  34. Nassima Bentizi
  35. Thierry Kabile
  36. Mejda Bourras
  37. Salam El Ghoul
  38. Anissa Bouslimi
  39. Mathieu Espagnet
  40. Nissa Abagli
  41. Abdelouahd Nait Addi
  42. Havera Larbi
  43. Adama Fofana
  44. Oumou Traoré
  45. Saïd Ben Sellam
  46. Zarianti Soa
  47. Mounir Bessaoud
  48. Chahinaz Dahim
  49. Karim Larguem
  50. Nora Kebbi
  51. Mahamadou Traoré
  52. Christine Louradou
  53. Fabrice Pierre
  54. Abir El Sobki
  55. Farid Maloum
  56. Mariatou Sacko
  57. Christophe Martin
  58. Fanta Diassy
  59. Paul Thavone
  60. Kady Diba
  61. Yanis Larguem
  62. Amenate Sylla
  63. Habid El Ouahabi
  64. Hawa Sylla
  65. Soufiane Bourass
  66. Nathalie Lamonge
  67. Abdal-Rahman Sacko
  68. Nissrine Ennahal
  69. Sébastien Calleeuw
  70. Aurore Cordier
  71. Checkeabou Traoré
  72. Claire-Marie Latrille
  73. Aliou Sangaré
  74. Cristel Rabani
  75. Christophe Aly
  76. Ndèye - Ngoné Able-Leye
  77. Merwan Nadim
  78. Fatima Larguem
  79. Valéry Laurent
 

Ensemble Patriotes et Gilets jaunes : pour la France, sortons de l'Union européenne (Les Patriotes)

Le parti Les Patriotes compte deux députés européens sortants, Florian Philippot et Mireille d'Ornano[57], qui siègent dans le groupe dont l'ADDE est le pilier.

Le , Florian Philippot, ancien vice-président et « numéro deux » de facto du Front national (FN), annonce que son parti, Les Patriotes, présentera des candidats aux élections européennes de 2019, continuant à se battre pour la sortie de la France de l'Union européenne. Il estime qu'une ouverture existe pour les « patriotes de droite et de gauche »[58]. En janvier 2018, Florian Philippot est le premier à se déclarer candidat tête de liste pour les élections européennes[59].

En mai 2018, Florian Philippot annonce qu'il a tendu la main à François Asselineau, Jean Lassalle et Henri Guaino en vue d'une alliance aux élections européennes[60].

Le , Jean-François Barnaba annonce la préparation de sa liste de Gilets jaunes, nommée « Jaunes et citoyens » (il s'agit de la cinquième tentative de liste issue du mouvement des Gilets jaunes)[61]. Le , il est annoncé une alliance avec la liste menée par Florian Philippot[62]. Sur la liste finale on retrouve notamment le militant anti-corruption et ex-conseiller régional Europe Écologie Les Verts Jean-Luc Touly.

Liste
  1. Florian Philippot
  2. Mireille d'Ornano
  3. Joffrey Bollée
  4. Paulette Roure
  5. Thomas Laval
  6. Amélie de La Rochère
  7. Franck de Lapersonne
  8. Véronique Thisse
  9. Jean-François Barnaba
  10. Nathalie Reinert
  11. Pascal Bauche
  12. Éliane Klein
  13. Geoffroy Denis
  14. Hélène Cachera
  15. Alain Avello
  16. Patricia Bruckmann
  17. Gilbert Biasoli
  18. Martine Raimbault
  19. Jean-Luc Touly
  20. Carole Aranda
  21. Dietrich Braun
  22. Astrid Leplat
  23. Christian Blanchon
  24. Nathalie Desseigne
  25. Éric Vilain
  26. Nicole Buriller
  27. Jean-Marie Verani
  28. Corinne Bobard-De Miranda
  29. Éric Richermoz
  30. Marine Berrabeh
  31. Olivier Fostier
  32. Honorine Laurent
  33. Dominique Bourse-Provence
  34. Marie-Christine Boquet
  35. Antoine Renault-Zielinski
  36. Leslie Dehaese
  37. Sylvain Marcelli
  38. Nathalie Robert
  39. Geoffray Gourré
  40. Karine Haverlant
  41. Thibaud Lonjon
  42. Jeannine Douzon
  43. Pierrick Dennequin
  44. Virginie Rosez
  45. David Ponsard Vidal
  46. Marguerite Bernier
  47. Jean-Paul Valour
  48. Angélique Le Corre
  49. Victor Catteau
  50. Corinne Malitte
  51. Nicolas Bedel
  52. Laura Gavilan
  53. Jean-Bernard Formé
  54. Sandrine Bessonnier
  55. Johan Delplanque
  56. Manon Princet
  57. Kerrian Blaise
  58. Nathalie Szych
  59. Christian Escoin
  60. Françoise Bouis
  61. Aymeric Mongelous
  62. Mélanie Bertrand
  63. Jean-Claude Galéa
  64. Denise Cornet
  65. Bernard Janvier
  66. Nathalie Bienaimé
  67. Olivier Pittoni
  68. Michèle Labrosse
  69. Éric Fordos
  70. Sylviane Alim-Munier
  71. Bastien Regnier
  72. Aurélie Le Gourlay
  73. Alain Roudergues
  74. Anne-Marie Le Calvez
  75. Xavier-Laurent Kurczoba
  76. Lydie Lenglet
  77. Cyril Martinez
  78. Kelly Betesh
  79. Gérard Marchand
 

PACE – Parti des citoyens européens

Le Parti des citoyens européens, parti européen transnational fondé le à l'occasion des 50 ans de la signature des traités de Rome[63], annonce son intention de présenter une liste conduite par Audric Alexandre, militant associatif et professeur dans le Nord[64]. Le PACE était déjà présent lors de l'élection présidentielle de 2017, avec la participation de Philippe Mazuel à LaPrimaire.org[65].

Liste
  1. Audric Alexandre
  2. Carine Greusard
  3. Philippe Mazuel
  4. Marlène Sgard
  5. Rodolph Castel
  6. Alexandra Karwat
  7. Tristan Tottet
  8. Valérie Saché
  9. David Mongin
  10. Pauline Nayet
  11. Bruno Gambey
  12. Sylvie Jacobsohn
  13. Arnaud Minime
  14. Fabienne Lottin
  15. Michel Caniaux
  16. Chloé Lourenço
  17. Nathan Sauzedde
  18. Géraldine Hochet
  19. Alexis Boudaud Anduaga
  20. Hassina Piaraly
  21. Didier Violle
  22. Agnès Martin de La Bastide
  23. Thomas Nonnez
  24. Magalie Julienne
  25. Michel Caillouët
  26. Verena Priem
  27. Gonzalo Garzo
  28. Virginie Rivayrand
  29. Gilbert Elkaim
  30. Karolina Majorkiewicz
  31. Mounir Ould Ghouil
  32. Isabelle Kaiffer
  33. Thierry Viquerat
  34. Aurélie Roche
  35. Laurent Carius
  36. Xenia Mahlkow
  37. Clément Morlat
  38. Chrystelle Pellegrino
  39. Henri Lim
  40. Marie-Hélène Vassiliadés-Draber
  41. Michel Nollet
  42. Amélie Pivin
  43. Romain Hequet
  44. Olivier Bedu
  45. Aubin Guillemois
  46. Sylvie Karbowy
  47. Jérémy Banctel
  48. Gaëlle de Montgolfier
  49. Antoine Nivard
  50. Mariannick Le Diagon
  51. Gilles Regnier
  52. Laura Alexandre
  53. Andres Cobo de Guzman
  54. Hélène Roche
  55. Yves Vincent
  56. Christèle Susan
  57. Maxence Montagne
  58. Dominique Cuq
  59. Eric Kulanthaivelu
  60. Josy Mattio (Gilson)
  61. Maximilien De-Wyse
  62. Justine Sciascia
  63. Thibaut Gras
  64. Leila Cetani
  65. Amir Ben Elarbi
  66. Blandine Caudron
  67. François Plouviez
  68. Laurence Daudigeos
  69. Nicolas Simon
  70. Céline Durosaire
  71. Joël Dhinaut
  72. Geneviève Mazuel
  73. Franck Alexandre
  74. Anne Larue
  75. Florentin Beck
  76. Florence Cuvillier-Declerq
  77. Marc Mandon
  78. Jeanine Delauney
  79. Alastair Thompson
 

Urgence écologie (Génération écologie, Mouvement écologiste indépendant et Mouvement des progressistes)

Delphine Batho avait initialement annoncé la constitution d'une liste de Génération écologie, pour défendre l'écologie intégrale[66], tout comme le Mouvement des progressistes, qui annonçait le son intention de constituer une liste[67].

Le , Delphine Batho, présidente de Génération écologie et Antoine Waechter, co-président du Mouvement écologiste indépendant, annoncent lors d'une conférence de presse la constitution d'une liste commune, intitulée « Urgence écologie » (UÉ), avec à sa tête le philosophe Dominique Bourg[68].

Le , le Mouvement des progressistes annonce s'associer à cette liste[69].

Le mouvement France Écologie apporte son soutien à la liste le [70]. Le , la liste est annoncée. La coprésidente de l'Union des démocrates et des écologistes, Marie-Pierre Bresson, adjointe au maire de Lille, figure en 8e position. Christophe Normier, numéro 7, représente MorVent en colère[71].

Liste
  1. Dominique Bourg
  2. Francine Herbaut Dauptain
  3. Pierre-Louis Vernhes
  4. Lucile Schmid
  5. Henri Malosse
  6. Sofia Djeddi
  7. Christophe Normier
  8. Marie-Pierre Bresson
  9. Pierre Dardaillon
  10. Nina Géron
  11. Xavier Ricard
  12. Marie-Eve Perru
  13. Yves Marie Le Lay
  14. Anne Laroutis
  15. Romain Ferrari
  16. Émilie Gaillard
  17. Billy Fernandez
  18. Dominique Frot
  19. Christophe Mandereau
  20. Martine Cornaille
  21. Édouard Gaudot
  22. Caroline Deforge
  23. Elhadi Azzi
  24. Nathalie Laville
  25. Frédéric Bouchareb
  26. Carine Pelegrin
  27. Hicham Afeissa
  28. Claudine François-Wilser
  29. Didier Barthès
  30. Pascale Roux
  31. Olivier Cubaud
  32. Marie-Josée Deloire
  33. Laurent Aillet
  34. Inès Schmitt
  35. Jean Couthures
  36. Agnès Guignard
  37. Philippe Cochet
  38. Sandra Renda
  39. Jacques Mauhourat
  40. Aline Fiore
  41. Guilhem Roux
  42. Annie Le Gal La Salle
  43. Adrien Arbeit
  44. Myriam Petit
  45. Eric Poujade
  46. Mebrouka Aloui
  47. Bernard Chappellier
  48. Hélène Richet
  49. Jean-Pierre Fleury
  50. Corinne Morgen
  51. Nicolas Celeguegne
  52. Annick Touba
  53. David Happe
  54. Colette Lecuyer
  55. David Novel
  56. Raïssa Apouma
  57. Gilles Pelletier
  58. Catherine Glinatsis
  59. Jacques Lançon
  60. Laure Grosheitsch
  61. Philippe Rigaud
  62. Corinne Gravigny
  63. Albert Danjau
  64. Florence Bardin
  65. Anselme Lamotte
  66. Sophie Haristouy
  67. Nicolas Delaire
  68. Sabine Matraire
  69. Charles Hue
  70. Radia Tikouk
  71. Dominique Belhache
  72. Marie Roche
  73. Yoann Balestrat
  74. Loubna Méliane
  75. François Bechieau
  76. Sylvie Ferrari
  77. Sébastien Nadot
  78. Delphine Batho
  79. Antoine Waechter
 

Liste de la reconquête (Dissidence française)

Dissidence française, mouvement politique de la droite radicale devenu un parti en [72], annonce le son intention de présenter une liste nationaliste aux élections européennes. Intitulée « Liste de la reconquête nationale, sociale et identitaire », elle sera conduite par le président du parti, Vincent Vauclin[73],[74],[75]. Le mouvement dénonce le grand remplacement et la « lobbycratie de Bruxelles ».

Liste
  1. Vincent Vauclin
  2. Nicole Mina
  3. Damien Lenoir
  4. Clara Lardé
  5. Baptiste Gueudin
  6. Annie Bastide
  7. Étienne Paumard
  8. Julie Anton
  9. Fabien Gobbé
  10. France Mettling
  11. Bruno Hirout
  12. Chantal Calard
  13. Laurent Spagnol
  14. Pauline Brunier
  15. Thomas Roussay
  16. Océane de Beaulieu
  17. Olivier Billard
  18. Sabine Muller
  19. Quentin Douté
  20. Claire Vollmer
  21. André de Mas
  22. Mathilda Silva
  23. Guillaume Aguille
  24. Aline Belley
  25. Maxime Leroy
  26. Ambre Mettling
  27. Aurélien Vassaux
  28. Aline Durel
  29. Geoffroy Picandet
  30. Charline Amiot
  31. Franck Gillet
  32. Sophie Aguille
  33. Jonathan Boivin
  34. Luce Lambotte
  35. Rémi Portelli
  36. Astrid Scapino
  37. Arnauld Podevin
  38. Cécile Texier
  39. Aladar Lecomte
  40. Camille Ramos
  41. Nicolas Zingraff
  42. Valérie Zune
  43. François Galvaire
  44. Adélaïde Tournié
  45. Didier Vialla
  46. Désirée Gaudin
  47. Ludovic Iacuzzi
  48. Corinne Sappa
  49. Sébastien Ferreira
  50. Camille Ghesquière
  51. Jocelyn Selva
  52. Lucienne Cantais
  53. André Trouillot
  54. Béatrice Renard
  55. Ludovic Girard
  56. Lydia Da Fonseca
  57. Pascal Tanchon
  58. Huguette Michel
  59. Jérôme Gretha
  60. Carole Hillion
  61. Samuel Migeot
  62. Christine Diaz
  63. Fabrice Dongier
  64. Claudine Landelle
  65. Pascal Coulon
  66. Marie-Morgane Josset
  67. Kévin Ragazzo
  68. Carole Van Hullebusch
  69. Pierre Verdier
  70. Myriam Ouadja
  71. Romain Douté
  72. Kristel Rousseau
  73. Vincent Bienfait
  74. Louise Gontier
  75. Henri François
  76. Céline Armagnac
  77. Jean Casanova
  78. Marie-Ange Fritsch
  79. Antoine Martin
 

Les Européens (Union des démocrates et indépendants)

L'UDI détient un siège de députée sortante, élue sur la liste commune qu'elle avait conclu avec le MoDem en 2014. Comme le MRSL et Agir, l'UDI est l'un des partis régulièrement cité comme potentiel allié de la LREM pour la constitution d'une liste commune intégrant également le MoDem. Dans une interview parue le , Jean-Christophe Lagarde s'est déclaré prêt à prendre la tête d'une liste indépendante de l'UDI portant un « projet européen fédéraliste » sans écarter la possibilité de conclure une alliance avec LREM. Dans la même interview, il exclut toute alliance avec LR, le RN et FI. Enfin, il se prononce en faveur d'un élargissement du groupe ADLE, mais s'oppose à sa dissolution.

L'UDI réunit un conseil national le consacré aux questions européennes[76]. Elle y adopte un projet « eurobâtisseur » qui prône l'établissement d'une Europe fédérale. Cela se traduirait par une redéfinition des compétences de l'Union européenne (priorités données à la défense, l'écologie, l'agriculture, la convergence des fiscalités des entreprises, le codéveloppement avec l'Afrique), la création de plusieurs organes européens : ministère de l'Économie de la zone euro, parquet européen et police fédérale (sur le modèle du FBI américain), ministère des migrations ainsi qu'une réforme de son financement (baisse des contributions nationales compensée par des ressources fiscales propres)[77],[78].

En , Jean-Christophe Lagarde réaffirme que son parti pourrait mener une liste indépendante : « je ne vois pas de raison de ne pas faire une liste »[79]. Le congrès extraordinaire du valide cette candidature et le parti aspire à « une liste de rassemblement ouverte à tous les citoyens français et européens qui veulent que l’Europe se construise enfin en vrai »[80].

Le , l'ancienne secrétaire d'État Nora Berra annonce qu'elle sera numéro 2 sur la liste[81]. Louis Giscard d'Estaing occupe la troisième place[82].

Liste
  1. Jean-Christophe Lagarde
  2. Nora Berra
  3. Louis Giscard d'Estaing
  4. Josy Chambon
  5. Olivier Mével
  6. Juliette Aubert Zocchetto
  7. Florent Montillot
  8. Frédérique Schulthess
  9. Mustapha Saadi
  10. Anne-Sophie Taszarek
  11. Arthur Khandjian
  12. Sonia Zidate
  13. Thomas Fabre
  14. Christelle Favetta Sieyes
  15. Aurélien Sebton
  16. Sophie Routier
  17. Philippe Petit
  18. Catherine Maudet
  19. Romain Mifsud
  20. Martine Guibert
  21. Maurice Perrion
  22. Brigitte Devésa
  23. Lionel Boucher
  24. Nathalie Lebas
  25. Benoît Rolland
  26. Michèle Corvaisier
  27. Daniel Pigeon-Angelini
  28. Nathalie Robcis
  29. Didier Klein
  30. Catherine Scibilia
  31. Clément Stengel
  32. Anne Claudius-Petit
  33. Franck Sottou
  34. Sophie Larrey-Lamant
  35. Marcel Denieul
  36. Jessica Compper
  37. Gilles Cima
  38. Patricia Suppi
  39. Éric Delhaye
  40. Nathalie Barde
  41. Éric Touron
  42. Catherine Comte-Deleuze
  43. Bruno Drapron
  44. Nathalie Collovati
  45. Augustin Leclerc
  46. Mathilde Wielgocki
  47. Maurice Di Nocera
  48. Martine Ollié
  49. Yannick Lucot
  50. Cécile Picq
  51. Yannick Chartier
  52. Joëlle Murré
  53. Didier Reveau
  54. Maria Morgado De Oliveira
  55. Lionel Goiseau
  56. Valérie Nahmias
  57. Gérard Francalanci
  58. Anne-Lucie Clausse
  59. Nicolas Lebas
  60. Caroline Duc
  61. Étienne Robin
  62. Lucie Miccoli
  63. Henri Zeller
  64. Marie-Noëlle Delaire
  65. Julien Cazenave
  66. Catherine Canivet
  67. James Chéron
  68. Évelyne Perrot
  69. Romain Boulant
  70. Anne-Sophie Pala-Massoni
  71. Dimitri Oudin
  72. Sophie Auconie
  73. Nicolas Calluaud
  74. Nathalie Goulet
  75. Philippe Laurent
  76. Brigitte Fouré
  77. Michel Zumkeller
  78. Valérie Létard
  79. Jean-Marie Bockel
 

Envie d'Europe écologique et sociale (Parti socialiste, Place publique, Nouvelle Donne et Parti radical de gauche)

Le Parti socialiste européen sera représenté par la liste du Parti socialiste (PS), dans le groupe duquel siège également la députée du mouvement Les Radicaux de gauche. Certains de ses membres l'ont quitté pour fonder un nouveau mouvement politique Printemps européen (Génération.s) ou pour rejoindre via la Gauche républicaine et socialiste la liste de La France insoumise. Plusieurs de ses membres, sans toujours quitter le PSE, ont par ailleurs rejoint La République en marche.

Enfin, l'hypothèse de la constitution d'une liste que mènerait Ségolène Royal (qui n'est plus membre du PS) est soutenue par plusieurs socialistes. Elle est évoquée à plusieurs reprises par la presse, d'abord comme tête de liste du PS puis comme candidate indépendante. Après avoir fait connaître son refus de mener la liste socialiste, certains de ses proches (dont Patrick Mennucci) rappellent qu'elle n'y est plus adhérente et entretiennent dans les médias le projet de constituer une liste en dehors des partis politiques. Ségolène Royal adopte vis-à-vis de cette hypothèse une position ambiguë, ne la rejetant pas définitivement, tout en affirmant à plusieurs reprises qu'elle n'est pas inscrite dans ses priorités. Plusieurs élus socialistes (dont Luc Carvounas) soutiennent l'idée. Certains d'entre eux, mais aussi des membres de l'Union des démocrates et des écologistes, pourraient lancer un appel préparant sa candidature[83],[84],[85]. Le , Ségolène Royal annonce dans la matinale de France Inter qu'elle renonce à être candidate, à la suite de l'échec des négociations avec les partis qui auraient été susceptibles de la rejoindre[86].

Selon un article publié dans Le Figaro le [87], Najat Vallaud-Belkacem souhaitait être désignée tête de liste du Parti socialiste pour les élections européennes de 2019 avant de briguer la direction du parti. Elle aurait voulu que le titulaire du poste de secrétaire général soit rémunéré dans le cas où elle aurait occupé cette fonction[88], mais sa demande a été rejetée par certains membres du parti, notamment Olivier Faure, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale.

Pierre Moscovici, ancien ministre, est également fréquemment évoqué pour être le chef de file socialiste[4] et, éventuellement, le candidat des sociaux-démocrates pour la présidence de la Commission européenne[89]. Approchée en par la direction nationale du PS pour mener sa liste, Ségolène Royal refuse la proposition[90]. Julien Dray se déclare néanmoins candidat pour la tête de liste socialiste aux élections européennes, le [91].

Fin , l'essayiste Raphaël Glucksmann, l'économiste Thomas Porcher et l'activiste Claire Nouvian lancent Place publique (PP), « mouvement politique 100 % société civile » en vue de rassembler la gauche pro-européenne sympathisante du Parti communiste français à Europe Écologie Les Verts en passant par le Parti socialiste et Génération.s[92].

Le , Raphaël Glucksmann annonce qu'il sera à la tête d'une liste de rassemblement entre Place publique et le PS[93]. Le conseil national du PS acte dans une résolution la désignation de Raphaël Glucksmann comme tête de liste. L'accord prévoit la constitution d'une liste comportant pour moitié des candidats socialistes, pour moitié des candidats issus de PP, de la société civile et des autres formations politiques engagées dans des discussions avec les deux partis[94]. Thomas Porcher quitte Place publique, déçu par une « liste d'apparatchiks »[95].

Le bureau national du Parti socialiste adopte le une liste de quarante noms, qui est validée le par environ 80 % des militants[96]. Le lendemain, Hussein Bourgi, Vincent Le Meaux et François Kalfon annoncent se retirer de la liste en signe de protestation[97]. Le , Christine Revault d'Allonnes-Bonnefoy, députée européenne depuis 2014, annonce qu'elle se retire de la liste, expliquant devoir fournir les papiers pour sa candidature alors qu'elle ignore encore quelle sera sa place et qui seront les colistiers[98].

Alors que, s'ils sont élus, les socialistes, Raphaël Glucksmann et Claire Nouvian siégeront dans le groupe des socialistes et démocrates, la transfuge de Génération·s, Aurore Lalucq, annonce qu'elle siégera avec les écologistes au sein du groupe des Verts/ALE[99].

À la suite du retrait de la liste « Envie d’Europe » de Virginie Rozière du mouvement Les Radicaux de gauche (LRDG)[100], une autre candidate, cette fois du PRG refondé, prend la place de Rozière, initialement annoncée comme 10e de la liste[101]. Le PRG figure toujours sur les affiches et les programmes et au nombre des autres candidats[102].

Liste
  1. Raphaël Glucksmann
  2. Sylvie Guillaume
  3. Éric Andrieu
  4. Aurore Lalucq
  5. Pierre Larrouturou
  6. Nora Mebarek
  7. Christophe Clergeau
  8. Aziliz Gouez
  9. Jean-Marc Germain
  10. Nadège Désir
  11. Jerôme Karsenti
  12. Pernelle Richardot
  13. Roger Vicot
  14. Karine Gloanec Maurin
  15. Raphaël Pitti
  16. Violaine Lucas
  17. Philippe Naillet
  18. Forough Salami-Dadkhah
  19. Saïd Benmouffok
  20. Maylis Lavau Malfroy
  21. Laurent Baumel
  22. Marine Mazel
  23. Arnaud Hadrys
  24. Marion Boidot
  25. Frédéric Pic
  26. Béatrice Bellay
  27. Jérôme Quéré
  28. Aline Blancher
  29. Rémi Cardon
  30. Véronique Brom
  31. Michael Vincent
  32. Pascale Bousquet-Pitt
  33. David Sanchez-David
  34. Gabrielle Siry-Houari
  35. Maxime Zucca
  36. Cécilia Gondard
  37. Gaëtan Sen Gupta
  38. Charlotte Picard
  39. Éric Sargiacomo
  40. Julie Lesage
  41. Damien Mazeau
  42. Marie-Thérèse Mantoni
  43. Christophe Fouillere
  44. Myriam El-Yassa
  45. Arnaud Lelache
  46. Céline Veron-Pierrard
  47. Flavien Cartier
  48. Sandrine Hernandez
  49. François Chemin
  50. Athénaïs Kouidri
  51. Cyril Fonrose
  52. Christine Mouton-Cypriani
  53. Timothée Schmidt
  54. Mireille Murawski
  55. Jean-Bernard Estrade
  56. Nicole Lozano
  57. Fabrice de Comarmond
  58. Nathalie De Oliveira
  59. Aleksander Glogowski
  60. Maryline Chatelon
  61. Zbyslaw Adamus
  62. Valérie Doubinsky
  63. Alain Girard
  64. Béatrice Hakni-Robin
  65. Paul Cadre
  66. Elisabeth Humbert-Dorfmüller
  67. Uisant Créquer
  68. Chantal Jeoffroy
  69. Frédéric Engelmann
  70. Élyne Étienne
  71. Antoine Guillou
  72. Angèle Riglet
  73. Sacha Rousseaux
  74. Anne Hessel
  75. Hugo Da Costa
  76. Corinne Baro
  77. Frédéric Orain
  78. Claire Nouvian
  79. Bruno Van Peteghem
 

Parti fédéraliste européen – Pour une Europe qui protège ses citoyens (Parti fédéraliste européen)

Au cours de sa sixième « convention européenne », le Parti fédéraliste européen (PFE) fait part de sa volonté de présenter des listes dans plusieurs pays européens pour défendre l'idée d'une fédération européenne[103].

Ceci est confirmé à l'occasion de la Journée de l'Europe en  : « Le PFE présentera des candidats dans plusieurs États de l’UE sous la même bannière et avec le même programme ». Ce programme vise à établir une souveraineté européenne sur cinq compétences régaliennes : la diplomatie, la défense, les frontières, la monnaie et un budget[104].

Plusieurs formations politiques alliées au PFE (comme le Parti breton) sont présentes sur la liste.

Yves Gernigon, président et fondateur du PFE, est à la tête de la liste[64].

Liste
  1. Yves Gernigon
  2. Soumaya Nazaf
  3. Jean-Jacques Page
  4. Caroline Ollivro
  5. Laurent Gamet
  6. Fairouz Hondema-Mokrane
  7. Jacky Flippot
  8. Mickaëlla Sady
  9. François Lambert
  10. Marie-Pascale Anglarès
  11. Jean-Pierre Donnet
  12. Roseline Surveillant
  13. Jonathan Herry
  14. Karol Dolu
  15. Dominique Agostini
  16. Audrey Kistler
  17. Mathieu Guihard
  18. Véronique Varallo
  19. Gilles Roquette
  20. Marie-Christine Playe
  21. Pierre-Yves Dekerck
  22. Margarethe Leonhart
  23. Nicolas Kirkitadze
  24. Hélène Feo
  25. Luc Maerten
  26. Frédérique Karmann
  27. Victor Fournier
  28. Sylvie Lhermelin
  29. Claude Lacassagne
  30. Caroline Jehanno
  31. Christophe Leclere
  32. Anny Bonnard
  33. Fabien Bayol
  34. Claire Sévenou
  35. Jean-Michel Sady
  36. Laurence Gatineau
  37. Patrick Ruymen
  38. Séverine Quilliet
  39. Jean-Paul Bernard
  40. Isabelle Marcou
  41. Yann Froger
  42. Catherine Claudon
  43. Philippe Elleboode
  44. Sophie Viart
  45. Jean-Baptiste Bellanger
  46. Radia Marcoux
  47. Johannes Van Arkel
  48. Karine Coisne
  49. Andreas Haug
  50. Thérèse Chalon
  51. Eric Leost
  52. Blandine Gras
  53. Yves Koziel
  54. Laurence Elleboode
  55. Gaël Giraud
  56. Chantal Pasbecq
  57. Jean-Noël Rebora
  58. Claude-Marie Prevost
  59. Frédéric Cadiot
  60. Dominique Charrondiere
  61. Jean-Claude Bourda
  62. Armelle Brahimi
  63. Bruno Puisney
  64. Marie-Noëlle Blondel
  65. Christian Fatras
  66. Anne Nusbaumer
  67. Ludovic Coisne
  68. Stéphanie Karmann
  69. Rémy Merceron
  70. Dominique Dervaux
  71. Aymeric Ducatez
  72. Magali Gernigon
  73. Manuel Viart
  74. Sylvie Charrondiere
  75. Michel Gobillon
  76. Jacqueline Lachot
  77. Jean Lecoyer
  78. Suzanne Jeangrand
  79. Joël Bros
 

Mouvement pour l'initiative citoyenne

Le Mouvement pour l'initiative citoyenne, fondé en 1993 et connu sous les noms successifs Rassemblement national d'associations pour le référendum d'initiative populaire, Mouvement pour l'initiative populaire et Rassemblement pour l'initiative citoyenne[105], présente une liste tirée au sort aux élections européennes de 2019. Il a pour objectif l'instauration du référendum d'initiative citoyenne en toutes matières au niveau national et européen[106]. Sa tête de liste Gilles Helgen est chef d'entreprise en Ille-et-Vilaine, et s'était déjà présenté aux élections européennes de 2009[64].

Liste
  1. Gilles Helgen
  2. Clara Egger
  3. Sylvain Egret
  4. Alice Deconinck
  5. Adhal Bara
  6. Marie-José Cullet
  7. Fabian Seignez
  8. Pamela Barbier
  9. Yohan De Backer
  10. Audrey Gauneau
  11. Norbert Viardot
  12. Guylaine Marchand
  13. David Magnier
  14. Morgane Tiberti
  15. Ismaël Benslimane
  16. Suzel Pothin
  17. Nicolas Delaporte
  18. Florence Bourdelles
  19. Gérard Marcadé
  20. Valérie Maman
  21. Yves Kramcha
  22. Alice Bousquet
  23. Tony Maugour
  24. Livia Stahl
  25. Nicolas Gaillard
  26. Patricia Bachaud
  27. Michel Perraudin
  28. Averil Huck
  29. Maxime Bourda
  30. Claire Batailler
  31. Christophe Bras Grilo
  32. Mathilde Iehl
  33. Régis Mignon
  34. Géraldine Chaumon
  35. Patrick Vedrenne
  36. Cécile Lefebvre
  37. Stéphane Dupuy
  38. Nathalie Bourdon
  39. Bruno Lesne
  40. Sandra Tarlay
  41. Achour Rezzik
  42. Sophie Robert
  43. Albin Guillaud
  44. Sophie Dufour
  45. Serge Bondil
  46. Catherine Nguyen Thi Minh
  47. Rémy Papelier
  48. Joëlle Marie-Lise Pouliquen
  49. Jean Roland Ango
  50. Joan Deas
  51. Sébastien Jean Michel Gaillard
  52. Muriel Beauge
  53. Patrick Louis
  54. Andrée Girodet
  55. Younès Benslimane
  56. Marie-Aude Rigoulot
  57. Alexis De Roquefeuil
  58. Michèle Kuntz
  59. William De Witte
  60. Claudine Mollier
  61. Simon Varaine
  62. Célia Charlois
  63. Olivier Bernard
  64. Michelle Paire
  65. Antoine Machut
  66. Christel Bayard
  67. André Marimbordes
  68. Bernadette Giraud
  69. Dominique Teot
  70. Maryline Richter
  71. Jacques Durand
  72. Virginie Delande
  73. Michel Lariviere
  74. Jeannine Porte
  75. Baptiste Pichot
  76. Florence Lachenaud-Ben Abdallah
  77. David Buisson
  78. Evelyne Guillaud
  79. Quentin Grimaud
 

Le courage de défendre les Français avec Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France)

L'Alliance des conservateurs et réformistes européens (ACRE) est représentée en France par Debout la France, qui conduit une liste avec le Centre national des indépendants et paysans et à laquelle devait être associée le Parti chrétien-démocrate (PDC) (ex-PPE via LR).

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, écarte la possibilité de s'allier avec le Rassemblement national (RN), comme cela s'était fait pour le second tour de l'élection présidentielle de 2017 en déclarant ne pas vouloir « jouer les roues de secours ». Le parti souverainiste considère également que le Rassemblement national est allié, au Parlement européen, avec des « fous » et des « xénophobes »[107].

Avec Jean-Frédéric Poisson, président du PCD et Bruno North, président du CNIP, Nicolas Dupont-Aignan a rencontré plusieurs euro-députés du parti Droit et justice, dont Ryszard Legutko, co-président du groupe des Conservateurs et réformistes européens (CRE), troisième groupe du Parlement européen. A cette époque, aucun élu français n'appartient à ce groupe. Cependant, trois eurodéputés (Bernard Monot, Sylvie Goddyn et Joëlle Bergeron) appartenant au groupe EFDD se rapprochent de Debout la France[108].

Le , lors du congrès de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan officialise sa candidature en tête de liste de l’alliance Les Amoureux de la France aux élections européennes « pour faire barrage à Emmanuel Macron »[109]. Il propose à Jean Lassalle de figurer en deuxième position sur sa liste, mais ce dernier refuse[110].

Le , Jean-Frédéric Poisson, président du PCD, déclare qu’il figurera en position éligible sur la liste de Nicolas Dupont-Aignan[111]. Le même jour, le Gilet jaune Benjamin Cauchy annonce rejoindre la liste[112]. Le , lors de la présentation des 23 premiers candidats de la liste à la presse, ni Jean-Frédéric Poisson, ni les sortants Bernard Monot, Sylvie Goddyn ou Joëlle Bergeron ne figurent sur la liste. Nicolas Dupont-Aignan justifie l'absence du PCD par sa volonté de construire une autre liste[113]. Sur fond de baisse dans les sondages, Nicolas Dupont-Aignan fait alors l’objet de vives critiques[114],[115].

Liste
  1. Nicolas Dupont-Aignan
  2. Stéphanie Gibaud
  3. Jean-Philippe Tanguy
  4. Marie-Jo Zimmermann
  5. Bruno North
  6. Cécile Bayle de Jessé
  7. Damien Lempereur
  8. Nadejda Silanina
  9. Benjamin Cauchy
  10. Anne-Sophie Frigout
  11. Gerbert Rambaud
  12. Florence Italiani
  13. Patrick Mignon
  14. Florence Bernard
  15. Yvon Setze
  16. Nathalie Raoul
  17. Nicolas Calbrix
  18. Huguette Layet
  19. Philippe Torre
  20. Josette Brosse
  21. Noël Chuisano
  22. Daniela Matthes
  23. François de Grailly
  24. Dominique Mahé
  25. Thierry Gourlot
  26. Sonia Colemyn
  27. Christophe Tavernier
  28. Marie-Dominique Bagur
  29. Marc Mantovani
  30. Françoise Bernalès
  31. Pierre-Jean Robinot
  32. Marie-Anne Baudoui-Maurel
  33. Damien Bouticourt
  34. Véronique Séguin
  35. Jean-Michel Drevet
  36. Annick Leveau
  37. Philippe Morenvillier
  38. Marie Durand
  39. Pascal Lesellier
  40. Véronique Pagand
  41. Lilian Noirot
  42. Annie Berthault-Korzhyk
  43. Patrick Bucourt
  44. Véronique Loir
  45. Jacques-Frédéric Sauvage
  46. Armelle Guénolé
  47. Olivier Pjanic
  48. Sylvaine Lacan
  49. Luc Bucheton
  50. Valérie Caudron
  51. Michel Levesque
  52. Sophie Lavier
  53. Pascal Tschaen
  54. Corinne Kaufmann
  55. Daniel Degrima
  56. Dominique Carrotte
  57. Jacques Armando
  58. Marie Goncalves
  59. Fabien Hurel
  60. Véronique Delicourt
  61. Yves Chantereau
  62. Marie José Abenoza
  63. Maurice Montangon
  64. Annick Veillerot
  65. Henri Roure
  66. Nastasia Dufresne
  67. Thierry Spahn
  68. Marie Roux
  69. Vivien Gosset
  70. Marie-France Lacoste
  71. Enguerrand Cambier
  72. Christine Théodora Boone
  73. Benoît Pouthier
  74. Anna-Rita Marinelli
  75. François Encrenaz
  76. Marie-Thérèse Lefeuvre
  77. Richard Trinquier
  78. Anne Boissel
  79. Jean-Louis Masson
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Allons enfants

Allons enfants, le « parti de la jeunesse » est un parti créé par Pierre Cazeneuve en amont des élections municipales de 2014[116],[117]. Composé uniquement de jeunes âgés de moins de 30 ans[118], il entend défendre une meilleure représentation des jeunes dans les instances politiques[119],[120]. Il présente une liste composée de 79 jeunes de moins de 30 ans[121].

Liste
  1. Sophie Caillaud
  2. Paul de Béon
  3. Athénaïs Michel
  4. Pierre Lehembre
  5. Solène Allanic
  6. Corentin Dattin
  7. Valentine Gaudry
  8. Benjamin André
  9. Marie Bruniquel
  10. Lauric Micheland
  11. Chloé Caseteuble
  12. Mathis Fenoglio
  13. Inès Grau
  14. Pierre Charlent
  15. Neila Benkhelifa
  16. Maxime Loubar
  17. Mathilde Joalland
  18. Dylan Éloi
  19. Marie-Sophie Cazin
  20. Roman Jacquemont
  21. Thaïs Dol
  22. Louis-Harry Yimbi
  23. Morane Shemtov
  24. Étienne Hidier
  25. Anaïs Duroy-Buchaillot
  26. Mathis Levé
  27. Erell Jegou
  28. Thibault Roucayrol
  29. Rima Chihi
  30. Paul Ulmann
  31. Sarah Rocher
  32. Théo Babarit
  33. Victoria Sorge
  34. Alexandre Miot
  35. Yasmine Tahri
  36. Florent Purificato
  37. Adélaïde Durand
  38. Killian Vilangani
  39. Elsa Faubert
  40. Matisse Beillard-Robin
  41. Annabelle Makhloufi
  42. Julien Le Sciellour
  43. Stella Cabaret
  44. Antoine Jochyms
  45. Héloïse Crenn
  46. Hugo de Choisy
  47. Alice Woda
  48. Alexis Neuhaus
  49. Julia Skalova
  50. Julien Menu
  51. Alix de Béon
  52. Amaury Lecomte
  53. Coline Baralon
  54. Amaury Gragnic
  55. Cécile Fara
  56. Robin Mouton
  57. Bertille Caillaud
  58. Aymeric de Tarlé
  59. Madeleine Bernoux
  60. Alexis Grangier
  61. Elsa Climeau
  62. Steven Januario-Rodrigues
  63. Clémence Bem
  64. Tristan Pacione
  65. Julia Cailleteau
  66. Théo Dépernet
  67. Juliette Popot
  68. Florian Reinders
  69. Elsa Garré
  70. Enzo Devleesschauwer
  71. Julie Marangé
  72. Maxime Bonnaud
  73. Marie Poupinet
  74. Tanguy Provost
  75. Emma Gueguen
  76. Timothée Colinet
  77. Lisa Meslier
  78. Hadrien Tournant
  79. Camille Le Sciellour
 

Décroissance 2019

Les idées de la décroissance sont portées lors des élections européennes[122]. Cette liste, qui se revendique écologiste, critique de la société de consommation, anticapitaliste, protectionniste car ayant pour but de relocaliser l'économie et défendant le référendum d'initiative citoyenne, est soutenue par le Parti pour la décroissance[123]. L'ordre des différents candidats sur la liste devrait être défini par tirage au sort, à moins qu'une volonté forte n'émerge pour occuper les premières positions de celle-ci[124]. Sa tête de liste est Thérèse Delfel[64].

Liste
  1. Thérèse Delfel
  2. Lionel Chambrot
  3. Flora Sallembien
  4. François Verret
  5. Valérie Dubillard
  6. Raphaël Martin
  7. Sabine Legrand
  8. Michel Simonin
  9. Virginie Wawrzyniak
  10. Vincent Bruyere
  11. Alice Antoine
  12. Philippe Grivet
  13. Annette Attenot
  14. Félix Zirgel
  15. Claire Nicolas
  16. Muttiah Yogananthan
  17. Véronique Montaudoin
  18. Valentin Normand
  19. Laëtitia Maitre
  20. Thierry Brulavoine
  21. Laëtitia Gil
  22. Thomas Beauge
  23. Fanny Scopel
  24. Gérard Varinot
  25. Charlotte Torretti
  26. Dominique Chombeau
  27. Delphine Livet
  28. Antoine Bourrouilh
  29. Agnès Petit
  30. Mathieu Cano
  31. Catherine Faucogney
  32. Rémy Pellissier De Feligonde
  33. Jacqueline Vautrin
  34. Pascal Bregeon
  35. Claire Charpenet
  36. Guy Challansonnex
  37. Sophie Boneta
  38. Boris Coquard
  39. Pauline Coupe
  40. Gwenael De Boodt
  41. Chloé Dubocq
  42. Érick Montagne
  43. Sandra Sozuan
  44. Simon Moulin
  45. Brigitte Wieczorek
  46. Philippe Lahaye
  47. Joan Jakobowski
  48. Daniel Aabye-Foucard
  49. Marie-Thérèse Fouquay
  50. Thomas Beziat
  51. Laurence Bruneau
  52. Patrick Blandin
  53. Évelyne Le Gall
  54. Bertrand Decroix
  55. Céline Ohana
  56. Arthur Hanon
  57. Valérie Harel
  58. Thierry Jaumouille
  59. Catherine Bahl
  60. Christian Sunt
  61. Marguerite Roger
  62. Julien Calon
  63. Florence Beziat
  64. Alain Veronese
  65. Marion Court
  66. Nicolas Boterf
  67. Florence Grugeaux
  68. Antoine Fort Llabador
  69. Isabelle Ruisseau
  70. Romain Yvinec
  71. Sylvie Pecrix
  72. Richard Cagny
  73. Violaine Prime
  74. Aboubakri M’belizi
  75. Mathilde Stanislawiak
  76. Thomas Riche
  77. Ursula Nadler
  78. Michel Lepesant
  79. Céline Martel
 

Lutte ouvrière – contre le grand capital, le camp des travailleurs (Lutte ouvrière)

Lutte ouvrière (LO) entame des discussions avec le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) en sur l'opportunité de constituer une liste commune, qui échouent néanmoins en [125],[126]. Le parti présente une liste indépendante, conduite par Nathalie Arthaud[127].

Liste
  1. Nathalie Arthaud
  2. Jean-Pierre Mercier
  3. Ghislaine Joachim-Arnaud
  4. Éric Pecqueur
  5. Claire Rocher
  6. Éric Bellet
  7. Monique Dabat
  8. Eddy Le Beller
  9. Farida Megdoud
  10. Pascal Le Manach
  11. Chantal Gomez
  12. Jean-Yves Payet
  13. Valérie Hamon
  14. François Roche
  15. Valérie Foissey
  16. Julien Wostyn
  17. Anne Zanditénas
  18. Jean-Marie Nomertin
  19. Isabelle Bonnet
  20. Salah Keltoumi
  21. Dominique Clergue
  22. Thomas Rose
  23. Fanny Quandalle
  24. Patrice Villeret
  25. Marie Savre
  26. Christophe Garcia
  27. Malena Adrada
  28. Ali Kaya
  29. Nathalie Malhole
  30. Michel Darras
  31. Julie Lucotte
  32. Vincent Chevrollier
  33. Marie-Claude Rondeaux
  34. Olivier Minoux
  35. Mélanie Peyraud
  36. Jean Camonin
  37. Anne Brunet
  38. Olivier Nicolas
  39. Élisabeth Faucon
  40. Martial Collet
  41. Agathe Martin
  42. Antoine Colin
  43. Renée Potchtovik
  44. Mario Rinaldi
  45. Josefa Torres
  46. Nicolas Bazille
  47. Kelig Lagrée
  48. Pierre Nordemann
  49. Adèle Kopff
  50. Michel Treppo
  51. Céline Faurite
  52. Dominique Mariette
  53. Fatima Abdellaoui
  54. Richard Blanco
  55. Fabienne Delorme
  56. Liberto Plana
  57. Aurélie Jochaud
  58. Vincent Goutagny
  59. Jacqueline Uhart
  60. Vincent Combes
  61. Catherine Van Cauteren
  62. Romain Brossard
  63. Louise Fève
  64. François Meunier
  65. Charline Joliveau
  66. Guillaume Perchet
  67. Martine Amelin
  68. Bruno Paleni
  69. Isabelle Leclerc
  70. Jacques Matteï
  71. Estelle Jaquet
  72. Yves Cheère
  73. Marie-José Faligant
  74. Maurice Chaynes
  75. Dominique Revoy
  76. Philippe Julien
  77. Mink Takawe
  78. Roland Szpirko
  79. Arlette Laguiller
 

Pour l'Europe des gens, contre l'Europe de l'argent (Parti communiste français)

Les principaux partis français membres du Parti de la gauche européenne ou siégeant au sein du groupe Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique dont il est le pilier, s'orientent vers la constitution de deux listes séparées : l'une initiée par le Parti communiste français (PCF), l'autre autour de La France insoumise, qui a par ailleurs noué des alliances avec d'autres formations politiques pour créer avec elles un nouveau mouvement politique au niveau européen.

Le , Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, déclare vouloir rassembler « le groupe de gauche le plus fort possible » pour les élections européennes de 2019, en lançant un appel à Jean-Luc Mélenchon de La France insoumise et Benoît Hamon de Génération.s pour « travailler ensemble », avant de prendre une décision en [128]. En , le parti annonce avoir choisi Ian Brossat comme « chef de file » des communistes[129] puis publie une lettre ouverte à un grand nombre de partis de gauche[b], à l'exception du PS, pour leur proposer « une plate-forme commune et la construction d'une liste large ». Cette plateforme précéderait la création d'un « groupe uni et confédéral de toutes les forces de gauche et écologistes » au Parlement européen[130].

Le , lors du XXXVIIIe congrès du PCF, Ian Brossat est désigné « tête de liste de rassemblement pour les élections européennes »[131].

Le , une liste de 79 candidats, intitulée « L'Europe des gens, pas l'Europe de l'argent », est constituée et soumise au vote des adhérents. Cette liste, qui « pourra bouger pour permettre le rassemblement avec des forces de gauche qui remettent en cause la logique des traités », est validée le à l'issue d'un vote des adhérents[132].

Liste
  1. Ian Brossat
  2. Marie-Hélène Bourlard
  3. Patrick Le Hyaric
  4. Marie-Pierre Vieu
  5. Mamoudou Bassoum
  6. Julie Pontalba
  7. Antony Gonçalves
  8. Maryam Madjidi
  9. Benjamin Amar
  10. Barbara Filhol
  11. Arthur Hay
  12. Claire Cémile Renkliçay
  13. Michel Jallamion
  14. Sophia Hocini
  15. Stanislas Bauge
  16. Manuel Dona
  17. Michel Branchi
  18. Élina Dumont
  19. Franck Saillot
  20. Sarah Chaussy
  21. Loïc Pen
  22. Christine Mequignon
  23. Pascal Pontac
  24. Michèle Picard
  25. Ralph Blindauer
  26. Anne-Laure Perez
  27. Franck Merouze
  28. Marianne Journiac
  29. Belaïde Bedreddine
  30. Amandine Miguel
  31. Nacim Bardi
  32. Cinderella Bernard
  33. Jean-Luc Bou
  34. Isabelle Liron
  35. Dominique Pani
  36. Hulliya Turan
  37. Khaled Bouchajra
  38. Katja Krüger
  39. Pierre Lacaze
  40. Aicha Dabale
  41. Jean Mouzat
  42. Delphine Pietu
  43. Denis Lanoy
  44. Charlotte Blandiot-Faride
  45. Arnaud Petit
  46. Virginie Neumayer
  47. Aurélien Gall
  48. Patricia Tejas
  49. Aurélien Aramini
  50. Sandrine Macigno
  51. Cyrille Bonnefoy
  52. Émilie Lecroq
  53. Emmanuel Trigo
  54. Cathy Apourceau-Poly
  55. Michel Stefani
  56. Lucie Martin
  57. Youssef Benamar
  58. Christelle Dumont
  59. Sébastien Nugou
  60. Laetitia Maure
  61. David Blaise
  62. Lamya Kirouani
  63. Aurélien Crifo
  64. Maryline Lucas
  65. Yves Devedec
  66. Mina Idir
  67. Glenn Le Saout
  68. Geneviève de Gouveia
  69. Alain Pagano
  70. Sandra Blaise
  71. Edmond Baudoin
  72. Ghislaine Noirault
  73. Florian Monteil
  74. Nathalie Fabre
  75. Frédéric Boulanger
  76. Cécile Cukierman
  77. Gilbert Garrel
  78. Carine Picard-Nilès
  79. André Chassaigne
 

Ensemble pour le Frexit (Union populaire républicaine)

En , lors de l'université d'automne de son parti, François Asselineau annonce que l’Union populaire républicaine (UPR) compte participer aux élections européennes[133].

Fin et lors de l'université d'automne de son parti la même année, il confirme qu'il mènera une liste lors de ces élections[134],[135] pour la sortie de la France de l'Union européenne, de l'Euro et de l'OTAN. François Asselineau déclare qu'il intégrera sur sa liste « quelques personnalités d'ouverture, pour appeler tous les Français à se rassembler pour mener à bien le Frexit »[136].

En , le militant politique Étienne Chouard apporte son soutien à François Asselineau en déclarant qu'il voterait aux élections européennes pour la liste de l'UPR[137].

Liste
  1. François Asselineau
  2. Zamane Ziouane
  3. Vincent Brousseau
  4. Anne Limoge
  5. Charles-Henri Gallois
  6. Béatrice Henoux
  7. David Pauchet
  8. Isabelle Ninvirth
  9. Nicolas Terver
  10. Christine Annoot
  11. Philippe Conte
  12. Martine Decius
  13. Jean-Christophe Loutre
  14. Sylvie Heyvaerts
  15. Quentin Bourgeois
  16. Nelly Paté
  17. Jean de Rohan Chabot
  18. Muriel Hermier
  19. Gérard Poulain
  20. Lauriane Mollier
  21. Éric Lemesre
  22. Nadia Zidane
  23. Benoît Matharan
  24. Pascale Hirn
  25. Jean-Baptiste Villemur
  26. Julia Vincenzi
  27. Kevin Miranda
  28. Christine Agathon-Burton
  29. Éric Noirez
  30. Diane Lagrange
  31. Lionel Kahan
  32. Karima Rabouhi
  33. Dimitri de Vismes
  34. Alexandra Paraboschi
  35. Sébastien Dubois
  36. Laurie Bahl
  37. Hugo Sonnier
  38. Marie-laure Yapi
  39. Christophe Blanc
  40. Audrey Cuny
  41. Mimoun Ziani
  42. Eva Di Battista
  43. Olivier Loisel
  44. Émilie Fauvel
  45. Olivier Durnez
  46. Sophie Senac
  47. Philippe Gombert
  48. Nathalie Moquet
  49. David Guillaume
  50. Chrystel Carte
  51. Simon Giessinger
  52. Mariane Siv
  53. Thierry Pons
  54. Kenza Meyer
  55. Guillaume Prin
  56. Blandine Urbanski
  57. Hugues Maintenay
  58. Tiphaine Perrier
  59. Alain Parisot
  60. Marie-Françoise Le Ray
  61. Suraj Sukhdeo
  62. Marie Radosz
  63. Christophe Nuret
  64. Michèle Crogiez
  65. Romain Rose
  66. Sylvie Rousseric-Denax
  67. Manuel de Lavallée
  68. Anne Morel
  69. Claude Hacé
  70. Pascale Henry
  71. Jérôme Yanez
  72. Lorine Mangattale
  73. Gaëtan Segalen
  74. Véronique Barrow
  75. Sébastien Lacroix
  76. Frédérique Bisiere
  77. Guillaume Bétend
  78. Anne-Rebecca Willing
  79. Laurent Verdoux
 

Liste citoyenne du Printemps européen avec Benoît Hamon soutenue par Génération·s et DémE-DiEM25

Dès le congrès fondateur de Génération.s, en , Benoît Hamon se positionne pour les élections européennes, désignant pour adversaires les « nationalistes » et les « néolibéraux »[138],[139],[140]. Il se déclare prêt à s'allier avec La France insoumise en vue de ces élections, à condition que celle-ci abandonne l'idée d'une sortie de l'Union en cas d'échec de renégociation des traités[141], ce que Jean-Luc Mélenchon refuse[142].

Le , le mouvement lance, conjointement avec Yánis Varoufákis (DiEM25) et plusieurs autres partis et personnalités européennes[143], l'Appel de Naples, pour créer la « première liste paneuropéenne transnationale » avec un candidat commun pour la présidence de l'Union européenne[144],[145]. En avril, les signataires de l'appel choisissent le nom de Printemps européen pour désigner cette liste transnationale[146] puis adoptent en juin un projet de programme européen composé de 10 New Deal. Le parti allemand Demokratie in Bewegung (de) les rejoint à cette occasion[147], de même qu'en juin, le parti slovène La Gauche et le parti roumain Demos[148]. En , le parti politique français Nouvelle Donne et le mouvement espagnol Actúa rejoignent la coalition[149].

Le , Génération.s lance un appel à candidature ouvert à tous pour construire une « liste citoyenne »[150] tout en déclarant un refus d'alliance avec le Parti socialiste[151].

Le , Benoît Hamon annonce, lors d'un entretien au journal Le Monde, son intention d'être candidat « pour mener le combat en première ligne, à la tête d'une alliance citoyenne »[152].

Le , Benoît Hamon invite les formations de la gauche sociale et écologiste à participer à une votation citoyenne qui permettrait aux sympathisants de chaque tendance de se prononcer collectivement sur la place que chacune d'entre elles pourrait occuper dans une liste d'union[153]. Yannick Jadot balaye l'idée le jour-même[154]. Adrien Quatennens, député insoumis, estime qu'il s'agit d'une « mauvaise idée »[155]. Quant au PCF, il décline finalement la proposition dans un communiqué du [156].

Le , Benoît Hamon présente ses trente premiers candidats. Leur ordre sur la liste n'est en revanche pas précisé[157].

Le , Nouvelle Donne annonce rejoindre la liste menée par Raphaël Glucksmann et contenant notamment le Parti socialiste. Cependant, le parti n'annonce pas son départ du Printemps européen. Le même jour, la porte-parole de Génération·s, Aurore Lalucq, annonce faire de même, en précisant qu'elle ne siégera pas dans le groupe social-démocrate[158]. Le , Mehdi Ouraoui est écarté de la liste, faisant l'objet d'une plainte pour agression sexuelle[159].

Liste
  1. Benoît Hamon
  2. Sarah Soilihi
  3. Guillaume Balas
  4. Isabelle Thomas
  5. Salah Amokrane
  6. Françoise Sivignon
  7. Éric Pliez
  8. Emmanuelle Justum-Foundethakis
  9. Pierre Serne
  10. Sabrina Benmokhtar
  11. Sébastien Peytavie
  12. Zerrin Bataray
  13. Jérôme Vérité
  14. Corinne Achériaux
  15. Stéphane Saubusse
  16. Roxane Lundy
  17. Michel Pouzol
  18. Laura Slimani
  19. Jacques Terrenoire
  20. Alice Brauns
  21. Arash Saeidi
  22. Naïma Charaï
  23. Alain Bénard
  24. Camille Bordes
  25. Miloud Otsmane
  26. Valérie de Saint-Do
  27. Joao Cunha
  28. Anne-Marie Luciani
  29. Bastien Recher
  30. Ouassila Soum
  31. Atte Oksanen
  32. Colette Marie
  33. Frédéric Laroche
  34. Marie Sauts
  35. Laurent Taton
  36. Claire Schmitt
  37. Laurent Limousin
  38. Fulvia Albertini
  39. Gilles Le Gall
  40. Céline Jouin
  41. Grégoire Verrière
  42. Clémentine Vazquez
  43. Thibaud Guillemet
  44. Nathalie Bernard
  45. Lucien Fontaine
  46. Sarah Ecoffet-Chartier
  47. Nicola Bertoldi
  48. Sheila McCarron
  49. Yann Delmon-Plantadis
  50. Emmanuelle Rasseneur
  51. Damien Landini
  52. Danièle Carnino
  53. Jean-Yves Billoré-Tennah
  54. Isabell Scheele
  55. Paul Bron
  56. Sophie Dupressoir
  57. Nicolas Dessaux
  58. Emmanuelle Trocadero
  59. Sébastien Mortreau
  60. Sandrine Lelandais
  61. Morgan Buisson
  62. Marianna Pastore
  63. Jan Kasnik
  64. Catherine Pagan
  65. Hugues Meyer
  66. Océane Legrand
  67. Romain Queffelec
  68. Mariam Maman
  69. Fabien Pic
  70. Alice Bosler
  71. Emmanuel Hugot
  72. Marianne Dufour
  73. Vincent Gatel
  74. Pauline Langlois
  75. Serge Méry
  76. Mélanie Russo
  77. Alistair Connor
  78. Marie Vacherot
  79. Édouard Martin
 

À voix égales

L'avocate Nathalie Tomasini, notamment médiatisée pour avoir défendu Jacqueline Sauvage, décide de créer une liste nommée « À voix égales », qui « veut faire de l'égalité femmes-hommes la clef de voûte d'un nouveau système »[160].

Liste
  1. Nathalie Tomasini
  2. Rodolphe Oppenheimer
  3. Catherine Boscher
  4. Olivier Dardelin
  5. Sylvie Mantione Epouse Josse
  6. Fabien Lecœuvre
  7. Sylvie Marot
  8. Gilbert Glogowski
  9. Yoyo Maeght
  10. Alexandre Palmieri
  11. Corinne Louedin
  12. Gérald Pandelon
  13. Marie-Anne Torneberg
  14. Claude Fain
  15. Hélène Adda
  16. Xavier Lemaitre
  17. Catherine Kathy Roukine
  18. Henri Delorme
  19. Daisy Mercier
  20. Olivier Tomasini
  21. Laura Rapp
  22. Maxime Gaget
  23. Alizé Bernard
  24. Alain Michel
  25. Basma Ghodbane
  26. Alain Faure
  27. Clarisse Verrier
  28. Christian Prampart
  29. Sylvie Esnault
  30. Julien Oppenheimer
  31. Justine Rerat
  32. Pascal Leveillé-Nizerolle
  33. Lismersis Yissel Courrioux
  34. Karim Rabahi
  35. Laurence Martinet-Longeanie
  36. Olivier Bachellerie
  37. Laure Triscos
  38. Salim Samaoli
  39. Olivia Lauret
  40. Eric Nguyen
  41. Estelle Labaye
  42. Hervé Bindefeld
  43. Julie Derouette
  44. Jean-Robert Batac
  45. Michèle Croux
  46. Nicolas Tomasini
  47. Viviane Couplan
  48. Alexandre Haddad
  49. Claudine Deshairs
  50. Vincent Martin
  51. Christine Schilling
  52. Sébastien Coulon
  53. Dominique Dachez
  54. Philippe Guilhem
  55. Sandrine Sarraut
  56. David Zarouk
  57. Amandine Angué
  58. Ludovick Poncin
  59. Valérie Parisot
  60. Thierry Wilson
  61. Cécile Beaugonin
  62. Laurent Dumont
  63. Elodie Andriot
  64. Jean-Louis Bar
  65. Aleksandra Skrzyniarz
  66. Patrick Vartan
  67. Dorothée Laroche
  68. Quoc Tuan Do
  69. Agathe Rabilloud
  70. Antoine David
  71. Neira Maachi
  72. Emmanuel Boissard
  73. Isabelle Hauw
  74. Thierry Jean Chazarin
  75. Adeline Charlet
  76. Nicolas Pierre
  77. Caroline Demarle
  78. Jonathan Landfried
  79. Carol Baechleri
 

Prenez le pouvoir, liste soutenue par Marine Le Pen (Rassemblement national)

Au niveau européen, le Rassemblement national est membre du Mouvement pour une Europe des nations et des libertés (ENL).

Il s'agit de la première élection du parti dirigé par Marine Le Pen sous le nom Rassemblement national. Le Front national a en effet changé de nom le [161].

Le , Nicolas Bay, secrétaire général et député européen du Rassemblement national annonce que Marine Le Pen ne dirigerait pas la liste du parti en 2019, déclarant qu'elle a décidé de continuer de rester députée à l'Assemblée nationale, après avoir été élue aux élections législatives de 2017, bien qu'elle-même exprime encore son désir de mener la campagne[162]. Pour Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national, la tête de liste ne sera « pas forcément » un membre du parti[3]. Ce serait ainsi la première fois que la liste du RN aux élections européennes ne serait pas conduite par un membre de la famille Le Pen[107].

Le , Marine Le Pen indique vouloir une alliance avec Nicolas Dupont-Aignan[163], David Rachline émet en le souhait que ce dernier mène la liste du RN[164], mais le président de Debout la France finit par écarter cette idée après s'être laissé un temps de réflexion[107]. La dirigeante du Rassemblement national réitère son appel au président de Debout la France dans une lettre ouverte diffusée le , en vain[165].

En parallèle, le RN développe une alliance transnationale intitulée « Union des nations européennes », basée sur un programme commun mais « à la carte », pour unir les partis populistes européens[166].

En , le RN lance sa campagne européenne à Fréjus, lors de sa rentrée politique. Marine Le Pen y présente un tract sur lequel elle figure aux côtés du ministre de l'Intérieur italien Matteo Salvini. Cette rentrée s'est faite en présence d'Hervé Juvin, essayiste « proche de la Nouvelle droite d'Alain de Benoist », cité par les médias pour conduire la liste du RN, sur laquelle pourrait figurer l’ancien député LR Thierry Mariani[167].

Le , Steeve Briois est nommé directeur de la campagne des européennes[168].

Le , Louis Aliot annonce qu'il renonce à la tête de liste, préférant se concentrer sur l'élection à la mairie de Perpignan[169].

En , Jordan Bardella est pressenti pour prendre la tête de la liste du Rassemblement national[170],[171]. Il est officiellement investi par Louis Aliot le [172]. Le lendemain, Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud annoncent leur départ des Républicains pour rejoindre la liste du RN aux élections européennes[173].

Le , le Rassemblement national annonce les candidats entre la 13e et la 20e place, parmi lesquels figurent Jean-François Jalkh, Jérôme Rivière, Gilbert Collard, André Rougé, France Jamet, Marie Dauchy et Julie Lechanteux[174]. Le , Maxette Pirbakas, responsable syndicale de la FDSEA de la Guadeloupe, remplace Christiane Delannay-Clara en 12e place sur la liste[175].

Liste
  1. Jordan Bardella
  2. Hélène Laporte
  3. Thierry Mariani
  4. Dominique Bilde
  5. Hervé Juvin
  6. Joëlle Mélin
  7. Nicolas Bay
  8. Virginie Joron
  9. Jean-Paul Garraud
  10. Catherine Griset
  11. Gilles Lebreton
  12. Maxette Pirbakas
  13. Jean-François Jalkh
  14. Aurélia Beigneux
  15. Gilbert Collard
  16. Julie Lechanteux
  17. Philippe Olivier
  18. Annika Bruna
  19. Jérôme Rivière
  20. France Jamet
  21. André Rougé
  22. Mathilde Androuët
  23. Jean-Lin Lacapelle
  24. Marie Dauchy
  25. Éric Minardi
  26. Patricia Chagnon
  27. Gilles Pennelle
  28. Mylène Troszczynski
  29. Kévin Pfeffer
  30. Edwige Diaz
  31. Julien Odoul
  32. Audrey Guibert
  33. Philippe Vardon
  34. Mathilde Paris
  35. Thibaut de La Tocnaye
  36. Éléonore Revel
  37. Franck Allisio
  38. Sophie Blanc
  39. Paul-Henry Hansen-Catta
  40. Alexandra Maïnetti
  41. Julien Leonardelli
  42. Éléonore Bez
  43. Philippe Eymery
  44. Huguette Fatna
  45. Christophe Barthès
  46. Odile de Mellon
  47. Laurent Jacobelli
  48. Hombeline du Parc
  49. Jacques Ricciardetti
  50. Anne-Sophie Rigault
  51. Aleksandar Nikolic
  52. Sophie Robert
  53. Frédéric Fabre
  54. Françoise Grolet (simple)
  55. Gilles Lacroix
  56. Mélanie Disdier
  57. Jean-Guillaume Remise
  58. Agnès Marion
  59. Yves Villeneuve
  60. Marie-Luce Brasier-Clain
  61. Jérôme Harbourg
  62. Florence Joubert
  63. Nicolas Bertin
  64. Claudie Cheyroux
  65. Philippe Lottiaux
  66. Renée Thomaïdis
  67. Christian Houdet
  68. Mylène Wunsch
  69. Cyril Nauth
  70. Séverine Werbrouck
  71. Jean-Michel Cadenas
  72. Cindy Demange
  73. Wallerand de Saint-Just
  74. Sandrine D'Angio
  75. Philippe Loiseau
  76. Régine Andris
  77. Dominique Martin
  78. Marine Le Pen
  79. Julien Sanchez
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Neutre et actif

La liste « Neutre et actif » portée par la Nordiste Cathy Corbet se donne comme principal objectif de lutter contre l'abstention[176]. Tous ses colistiers sont issus d'un même département, ce qui est une première pour des élections européennes en France. La liste se fait remarquer par France 3 Hauts-de-France pour son programme peu développé et sa campagne presque inexistante. La chaîne de télévision révèle que plusieurs candidats n'ont pas été informés de leur présence sur la liste, et qu'ils n'avaient pas tous donné leur accord[177].

Liste
  1. Cathy Denise Ginette Corbet
  2. Tony Lecoeuche
  3. Elise Bulcke
  4. Jean-Charles Pogam
  5. Henriette Six
  6. Pierre Duprez
  7. Manon Budin
  8. Gérald Levisse
  9. Céline Copin
  10. Serge Usal
  11. Sandra Debert
  12. Jean Wouts
  13. Christelle Wident
  14. Tony Rabouille
  15. Carina Vieillefont
  16. Yannick Parein
  17. Monique Desasy
  18. Aurelien Verbeke
  19. Chantal Deroo
  20. Dominique Samson
  21. Elodie Cottenie
  22. Jean Belval
  23. Anita Houte
  24. François Le Clerre
  25. Nathalie Moerkerke
  26. Pierre-Robert Bouquillon
  27. Jeannine Chonville
  28. Daniel Bailleul
  29. Deborah Trottein
  30. Serge Avez
  31. Katheleen Lecomte
  32. Jean-Michel Pochet
  33. Sabrina Milleville
  34. Grégory Verriest
  35. Astrid Garzaro
  36. Bruno Petit
  37. Nathalie Scelers
  38. Manuel Mesa
  39. Jennifer Requin
  40. Pascal Malrait
  41. Marie-Louise Oudoux
  42. Tom Barselo
  43. Vanessa Cousin
  44. René Campagnie
  45. Cécile Noel
  46. Jean Morel
  47. Mélinda Moriceau
  48. Sylvain Carbone
  49. Bernadette Lecoeuche
  50. Serge Lecoeuche
  51. Isabelle Vanelle
  52. Jean-Luc Dufour
  53. Christiane Mortier
  54. Joël Patfoort
  55. Evelyne Doolaeghe
  56. Bernard Godon
  57. Danièle Boyard
  58. Jean-Pierre Lanouguere
  59. Josette Duhoo
  60. Sylvain Lacarriere
  61. Julie Benault
  62. Jean Dekeyzer
  63. Annie Lozowski
  64. Julien Van Mullem
  65. Claudine Lenfant
  66. Franky Tempremant
  67. Pascale Begot
  68. Jean-Claude Lescornez
  69. Bernadette Deweine
  70. Alain Priez
  71. Marie-Paule Heughebaert
  72. Serge De Geitere
  73. Ludivine Saint-Sauveur
  74. Francis Blavier
  75. Aline Lamoot
  76. Jean-Pierre Becqueriaux
  77. Justine Defives
  78. Pascal Rousseel
  79. Wanda Ghettem
 

Parti révolutionnaire Communistes

Le parti marxiste-léniniste Parti révolutionnaire Communistes, déjà candidat en 2014 sous le nom Communistes, se présente aux élections de 2019[178]. Son président Antonio Sanchez, ouvrier en métallurgie, est tête de liste[64].

Liste
  1. Antonio Sanchez
  2. Aline Pornet
  3. Olivier Terrien
  4. Chantal Girardin
  5. Georges Marchand
  6. Nathalie Courageot
  7. Louis-Daniel Gourmelen
  8. Christine Picavez
  9. Michel Gruselle
  10. Angélique Bury
  11. Christian Poix
  12. Nathalie Labbé
  13. Dominique Tedesco
  14. Sophie Tissier
  15. Wilfrid Garing
  16. Jeannine Morandat
  17. Jean Grimal
  18. Sylviane Paris
  19. Dimitri Demange
  20. Yvonne Boukhedimi
  21. Romain Moisan
  22. Frédérique Jousselin
  23. Joël Flirden
  24. Kamila Sefta
  25. Guy Pornet
  26. Martine Moreau
  27. Vincent Picavez
  28. Jocelyne Le Magoéro
  29. Patrice Le Luel
  30. Sylvia Goubaux
  31. Guillaume Derrien
  32. Armelle Briand
  33. Roger Domard
  34. Marie-Christine Thibault
  35. Philippe Bourguignon
  36. Monique Chauvin-Guignard
  37. Yves Mathieu
  38. Lysiane Tannier
  39. Olivier Bouchard
  40. Elise Moreau
  41. Thierry Nobin
  42. Claire Borrel
  43. Yves Gras
  44. Lise Lagrange
  45. Jean-Louis Allouche
  46. Christine Souchet
  47. Remy Delaunay
  48. Bernadette Fournier
  49. Yves Haillant
  50. Marie-Reine Giraudet
  51. Christian Polge
  52. Danièle Schopp
  53. Olivier Delafraye
  54. Dany Montalescot
  55. Jean-Michel Biquard
  56. Marie-Antoinette Nikitjew
  57. Antonio Montarelo
  58. Sylvie Fabre
  59. Hervé Heuzé
  60. Rose Gras
  61. Didier Bergar
  62. Annick Bediot
  63. Jean-François Marsac
  64. Francine Lothe-Tronyo
  65. Marc Normand
  66. Jeannette Guet
  67. Didier Courageot
  68. Corinne Pierré
  69. Serge Mas
  70. Marie-Christine Demanet
  71. Jacques Allion
  72. Annette Leroux
  73. Franck Gélineau
  74. Chantal Lalière
  75. Paul Fraisse
  76. Maryse Rivera
  77. Laurent Poix
  78. Rolande Perlican
  79. Samuel Magaud
 

Espéranto – langue commune équitable pour l'Europe (Europe Démocratie Espéranto)

Europe Démocratie Espéranto (EDE) présente une liste sous le nom « Espéranto – langue commune équitable pour l'Europe »[179] avec un projet en six points et l'espéranto pour redonner la parole aux Européens et relancer l'Europe[180]. Début , le parti présente les dix premiers candidats de sa liste[181]. Le , le parti dépose sa liste et en présente tous les noms[182]. Elle est conduite par le président de la section française de l'EDE, Pierre Dieumegard[64].

Liste
  1. Pierre Dieumegard
  2. Laure Patas d’Illiers
  3. Philippe Chavignon
  4. Michèle Abada-Simon
  5. Maurice Juy
  6. Élisabeth Barbay
  7. Philippe Bérizzi
  8. Marcelle Provost
  9. Vincent Jacques
  10. Nelly Darbois
  11. Gaston Riera
  12. Gretel Schumann
  13. Gaston Riste
  14. Christine Powis
  15. Alexandre Kadar
  16. Anne Leleu
  17. François Lo Jacomo
  18. Monique Arnaud
  19. Guy Camy
  20. Fanny Errant
  21. Pierre Grollemund
  22. Floriane Peltier
  23. Nathan Perrié
  24. Sylvie Bouleau-Defaux
  25. Laurent Vignaud
  26. Marie-Thérèse Dimitrov
  27. Yves Bachimont
  28. Zdravka Boytcheva
  29. Pascal Hébert
  30. Anaïs Bresler
  31. Daniel Houguet
  32. Jannick Huet
  33. Djémil Kessous
  34. Françoise Le Strat
  35. Olivier Dieumegard
  36. Annie Griffon
  37. Thomas Cordonnier
  38. Colette Weiss
  39. Ghouti Petitjean
  40. Christiane Naulin
  41. Didier Loison
  42. Nadine Lemoine
  43. Jean-Claude Roy
  44. Rose Sanz
  45. Bert Schumann
  46. Pierrette Formen-Cherpeau
  47. Marc Giraud
  48. Monique Fillat
  49. Gérard Fillion
  50. Lise Golomb
  51. Christian Lavarenne
  52. Marie Savary
  53. Bernard Sergent
  54. Christine Redon
  55. André Weiss
  56. Christine Berree
  57. Vincent Bourgin
  58. Élisabeth Lambert
  59. Jasmin Ordonez
  60. Chloé Tiverné
  61. Luc Dmitrasinovic
  62. Monique Juy
  63. William Bresler
  64. Marianne Pierquin
  65. Denis-Serge Clopeau
  66. Maud Charbonneau
  67. Michel Dechy
  68. Alix Dieumegard
  69. Bernard Cornevin
  70. Christiane Debanne
  71. Fabien Tschudy
  72. Roselyne Favier
  73. Christian Garino
  74. Catherine Dutheil
  75. Xavier Godivier
  76. Nicole Lafitte
  77. Pierre Esteffe
  78. Marie Diard
  79. Emmanuel Debanne
 
  • Pierre Dieumegard, tête de liste.
    Pierre Dieumegard, tête de liste.

Évolution citoyenne

Le , le forgeron Christophe Chalençon présente un projet de liste nommée « Évolution citoyenne », issu du mouvement des Gilets jaunes[183].

Liste
  1. Christophe Chalençon
  2. Gwenaelle Floch
  3. Brice Blazy
  4. Barbara Turini
  5. Frédéric Weber
  6. Adeline Davo
  7. Marc Doyer
  8. Myriem Melciol
  9. Joseph Adamo
  10. Patricia Fours
  11. Cédric Jouenne
  12. Anne Guichard
  13. Patrick Jacques
  14. Carole Sophie Evelyne Beaugeois
  15. Nicolas De Keersmacker
  16. Veronique Faure
  17. Alain Guillon
  18. Christine Annie Simonet
  19. Dominique Guy Pascal Morin
  20. Johanne Séva Brigitte Joppin
  21. Koceila Chougar
  22. Brigitte Roger
  23. Blueez Orkidez
  24. Margueritte Sors
  25. Guillaume Robas
  26. Lydia Lakhlef
  27. Laurent Dizy
  28. Cécilia Laure Adamo
  29. Christian Jean-Pierre Drouin
  30. Elodie Mazuir
  31. David Tan
  32. Manuella Le Gouhinec
  33. Philippe Bourgeois
  34. Josette Thomas
  35. Francesco Galata
  36. Marie-Christine Gauville
  37. Vincent Gaveau
  38. Mireille Guichard
  39. Patrick Fumonde
  40. Delphine Jadeau
  41. Philippe Morel
  42. Sylvaine Taupin
  43. Imed Zemzemi
  44. Peggy Périnet
  45. Stéphane Coubard
  46. Catherine Arnaud
  47. Yann Moreteau
  48. Sabine Valenzuela
  49. Guillaume Flaujac
  50. Mauricette Fauvel
  51. Flavien Pfeiffer
  52. Christèle Martin
  53. Jean Charbonnel
  54. Chrystele Meley
  55. Steven Monnier
  56. Carine Neufinck
  57. Richard Guillonneau
  58. Charlotte Melciol
  59. Jean-Marie Wailly
  60. Marie-france Auber
  61. Olivier Champel
  62. Corinne Verdejo
  63. Stéphane Mouzon
  64. Muriel Le Her
  65. Stany Monvoisin
  66. Julie Ettinger
  67. Matthieu Agogue
  68. Helene Kneisky
  69. Jean-Louis Virette
  70. Diane Sabatier
  71. Romain Legendre
  72. Christèle Jourdan
  73. Christophe Gaunard
  74. Nathalie L'Haridon
  75. Sylvain Beker
  76. Brigitte Debuisson
  77. Noël Morgat
  78. Danielle Deganello
  79. Jean-Yves Metayer
 

Alliance jaune, la révolte par le vote

Une liste de Gilets jaunes est annoncée le , avec à sa tête Ingrid Levavasseur, l'une des figures du mouvement. Dans un communiqué, le « Ralliement d'initiative citoyenne » (RIC) diffuse une liste de dix noms, en vue de constituer une liste complète de 79 candidats d'ici « mi-février »[184].

Attaqué sur son passé de militant pour La République en marche, Marc Doyer se retire de la liste le [185]. Le , c'est au tour de Brigitte Lapeyronie, figurant en cinquième place, de se retirer de la liste[186], cette candidature étant incompatible avec ses activités syndicales.

Le , Ingrid Levavasseur annonce quitter la tête de liste du RIC[187] et renonce finalement, le , à présenter une liste aux élections européennes[188]. Jérémy Clément annonce prendre provisoirement la tête de la liste en attendant éventuellement une autre nomination[189].

Le , le chanteur Francis Lalanne annonce prendre la tête d'une liste nommée « Alliance jaune », rassemblant quelques projets initiaux de listes, dont celle du RIC désormais représentée par Jérémy Clément[190],[191]. Jérémy Clément sera ainsi numéro 3 de la liste, derrière Sophia Albert-Salmeron, avocate à Avignon ayant défendu plusieurs Gilets jaunes[192].

Une deuxième liste de Gilets jaunes, nommée « Union jaune » et se revendiquant « apolitique et asyndicale », est annoncée le par Patrick Cribouw. Ce dernier indique alors qu'il ne souhaite pas rejoindre la première liste de Gilets jaunes lancée par Ingrid Levavasseur[193]. Il annonce finalement, le , se joindre à la liste « Alliance jaune » conduite par Francis Lalanne[194].

La liste dispose du soutien financier « à titre personnel, en tant que citoyen » de Jean-Marc Governatori, président de l'Alliance écologiste indépendante, parti allié avec Europe Écologie Les Verts pour ces élections[191].

Liste
  1. Francis Lalanne
  2. Sophia Albert-Salmeron
  3. Jérémy Clément
  4. Leilla Witzmann
  5. Frédéric Mestdjian
  6. Nadia Guetari
  7. Yann Le Bihan
  8. Marie-Louise Trigo
  9. Stéphane Greischel
  10. Katia Scherrer
  11. Philippe Le Hérissé
  12. Caroline Régin
  13. André Lannée
  14. Carole-Anne Ortlieb
  15. Patrice Weigel
  16. Chrystelle Ferrier
  17. Clément Jomie
  18. Marie-Anne Lantermoz
  19. Julien Duclos
  20. Céline Billebault
  21. Dominique Samard
  22. Marie-France Marchand
  23. Franck Bracquemart
  24. Brigitte Servais
  25. Antoine Rialland
  26. Dominique Le Cabec
  27. Jérémy Blasco
  28. Julita Ilnicka Boucher
  29. Christophe Leprêtre
  30. Zakia Bellazaar
  31. Mathieu Berthelot
  32. Delphine Yang
  33. Thierry Garnier-Malliere
  34. Jocelyne Théry
  35. Arnaud Poitou
  36. Alice Chabot
  37. Bernard Pézelet
  38. Nicole Lucienne Dita
  39. Jean-Michel Malauron
  40. Anne Jaeckel
  41. Jean-Noël Doucet
  42. Claudia Forte
  43. Kévin Nazzari
  44. Mélanie Simonpoli
  45. Michel D'Hoker
  46. Nathalie Exbrayat
  47. Laurent Marquant
  48. Anita Serreau
  49. Jonathan Germinal Ferandin
  50. Dominique Sanguinetti
  51. Hubert Helbert
  52. Anahay Baez Devers
  53. Franck Deschamps
  54. Eliane Sabaté-Doménech
  55. Didier Courquet
  56. Jacqueline Desoutter
  57. Nicolas Capuano
  58. Cindy Spangenberger
  59. Sébastien Beraud
  60. Sylvie Lefebvre
  61. Didier Langlumé
  62. Sahra Thibout
  63. David Lacube
  64. Jessica Gomert
  65. Damien Pillavoine
  66. Audrey Georges
  67. Olivier Rognon
  68. Michèle Tichit
  69. Roland Scaramozzino
  70. Isabelle Gauthier
  71. Dominique Dutilloy
  72. Carine Bedouin
  73. Alphonse Proffit
  74. Delphine Detoisien
  75. Vincent Caflers
  76. Cindy Pereira Lopes
  77. Timothée Masson
  78. Annie Absolu
  79. Philippe Moulinou
 

Union de la droite et du centre (Les Républicains et Les Centristes)

Le , le président des Républicains Laurent Wauquiez confirme qu'il ne mènera pas la liste du parti pour ces élections européennes[195]. Il avait déjà fait cette annonce avant son élection à la présidence du parti, expliquant ne pas vouloir démissionner de son poste de président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes[196]. Virginie Calmels et Damien Abad figurent parmi les meneurs potentiels de la liste LR. Geoffroy Didier, député européen du parti, considère que le défi de Laurent Wauquiez est de présenter un projet « alternatif » à la « dilution de la souveraineté » promue par Emmanuel Macron[4]. Nicolas Sarkozy et d'autres personnalités LR auraient encouragé Laurent Wauquiez à prendre la tête de la liste[197]. En , Rachida Dati dit avoir refusé d’être tête de liste, proposition que lui avait faite Laurent Wauquiez, préférant se concentrer sur la campagne des élections municipales de 2020 à Paris[198].

En , Virginie Calmels, encore « numéro 2 » du parti, exclut de figurer sur la liste Les Républicains aux européennes[199]. À la suite de son éviction de son poste de vice-présidente, son successeur Jean Leonetti est à son tour cité comme tête de liste possible[197]. Pierre de Villiers et Luc Ferry auraient quant à eux refusé de conduire la liste, tandis que la candidature « improbable » de Brice Hortefeux est évoquée et que Nadine Morano se déclare volontaire : « la tête de liste nationale n'est pas un défi qui me ferait peur »[200].

En , Michel Barnier est présenté par Le Monde comme une tête de liste possible pour Les Républicains, qui pourraient également le soutenir s'il candidatait pour être le Spitzenkandidat du Parti populaire européen[201], en vue de la nomination du président de la Commission européenne après le scrutin. Barnier annonce sur France Inter qu'il n'a nullement l'intention d'être candidat aux européennes, et qu'il se consacre à sa tâche de responsable des négociations du Brexit. Jamais il ne cite les Républicains ou la République en marche[37]. Finalement, le , Les Républicains annoncent leur soutien à Manfred Weber[202] comme candidat à la présidence de la Commission européenne.

Le , Daniel Fasquelle, trésorier des Républicains, remet à Laurent Wauquiez ses propositions dans le cadre du programme qui sera soutenu par le parti[203].

Laurent Wauquiez a confié la tête de liste à François-Xavier Bellamy[204], philosophe engagé au sein des Veilleurs (organisation proche de La Manif pour tous). Pour Marion Maréchal, sa désignation est un signe d'« un discours de plus en plus proche du Front national » qui rend possible une alliance[205].

Le , la première commission d'investiture, réunie sous la présidence d'Éric Ciotti, entérine le choix du trio François-Xavier Bellamy, Agnès Evren et Arnaud Danjean pour porter la liste, face à la candidature de Philippe Juvin, à 38 voix contre 2[206].

Le comité exécutif du parti Les Centristes valide, le , l'alliance avec Les Républicains et dévoile le nom de leurs deux candidates, à savoir Nathalie Colin-Oesterlé[207] et Anne Brissaud[208].

Liste
  1. François-Xavier Bellamy
  2. Agnès Evren
  3. Arnaud Danjean
  4. Nadine Morano
  5. Brice Hortefeux
  6. Nathalie Colin-Oesterlé
  7. Geoffroy Didier
  8. Anne Sander
  9. Frédéric Péchenard
  10. Laurence Sailliet
  11. Franck Proust
  12. Cristina Storoni
  13. Alain Cadec
  14. Lydia Guirous
  15. Bernard Asso
  16. Angélique Delahaye
  17. Guillaume Guérin
  18. Anne Brissaud
  19. Patrick Boré
  20. Sonia Petro
  21. Philippe Meunier
  22. Françoise Guégot
  23. Bernard Carayon
  24. Faustine Maliar
  25. Sébastien Pilard
  26. Livia Graziani-Sanciu
  27. Xavier Wiik
  28. Sandrine Chaix
  29. David Labiche
  30. Isabelle Froment-Meurice
  31. Pascal Marie
  32. Karine Charbonnier-Beck
  33. Didier Irigoin
  34. Laetitia Quilici
  35. Lewis Marchand
  36. Marie-Laure Dalphin
  37. Guillaume Arquer
  38. Léa Boyer
  39. Fadi Dadouh
  40. Aurélie Troubat
  41. Philippe Vitel
  42. Stéphanie Ficarella
  43. Eugène Ukeiwe
  44. Lauriane Josende
  45. Kévin Para
  46. Véronique Martinez
  47. Gérald Henrion
  48. Martine Aury
  49. Patrick Brisset
  50. Sandrine Dauchelle
  51. Guillaume Michaux
  52. Marie-Dominique Aubry
  53. Romain Bonnet
  54. Sarah Aubert-Boualem
  55. Maxime Vergnault
  56. Anaïs Jéhanno
  57. Abdoul Doukaini
  58. Stéphanie Jankiewicz
  59. Antoine Carré
  60. Hortense Chartier
  61. Laurent Hamon
  62. Anne-Cécile Suzanne
  63. Gaétan Juillat
  64. Brigitte Fischer-Patriat
  65. Marc Langé
  66. Annick Merle
  67. Gabriel Melaïmi
  68. Brigitte Rivière
  69. Philippe Moreau
  70. Sylvie Trautmann
  71. Philippe Monnet
  72. Fabienne Le Ridou
  73. Bernard Faureau
  74. Amanda Guénard
  75. Sébastien Weil
  76. Valérie Lecerf-Livet
  77. Pierre Maurin
  78. Nathalie Roussel
  79. Michel Dantin
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Europe Écologie (Europe Écologie Les Verts, Régions et peuples solidaires et Alliance écologiste indépendante)

Europe Écologie Les Verts (EÉLV) présente une liste aux élections européennes de 2019, dans le cadre du Parti vert européen.

À la suite du retrait de la candidature de Yannick Jadot à la présidentielle en faveur de Benoît Hamon, la possibilité d'une alliance avec Génération·s pour les élections européennes avait été un temps envisagée, des membres[c] d'Europe Écologie Les Verts ayant même rejoint ce mouvement. Cependant, plusieurs membres du parti, dont Yannick Jadot[209] et Karima Delli, défendent une liste écologiste autonome[210], tout comme David Cormand, qui confirme, le , qu'il n'y aura pas de liste commune avec Génération·s[211]. Le parti écarte aussi la possibilité d'une alliance avec La France insoumise[212].

En , EÉLV investit 16 premiers candidats, à la suite d'un vote des adhérents[213]. Yannick Jadot est désigné à cette occasion pour conduire la liste. Figurent ensuite, dans l'ordre : Michèle Rivasi, David Cormand[214], Marie Toussaint, membre du bureau exécutif, Mounir Satouri, conseiller régional d'Île-de-France, et Karima Delli[215] (sortante). Le parti adopte également une ligne politique « de rassemblement, pour refonder une Europe écologiste, solidaire et fédérale »[215].

Fin , il est annoncé que Damien Carême, maire de Grande-Synthe engagé en faveur de l'accueil des migrants sur le territoire français, figure sur la liste en troisième position[216].

Fin , l'Alliance écologiste indépendante publie un communiqué faisant état de son alliance avec EÉLV. La liste définitive comporte alors deux membres de l'AEI, Caroline Roose et Salima Yenbou, parmi les dix premiers noms[217]. Un accord est aussi conclu avec Régions et peuples solidaires qui prévoit la présence de plusieurs membres sur la liste écologiste, dont François Alfonsi en position éligible.

En , une liste de 79 noms est soumise aux membres d'Europe Écologie Les Verts[218] et validée par ceux-ci par un vote électronique.

Le , la liste définitive, comprenant des personnalités d'ouverture non-citées lors du vote (notamment le botaniste, paysagiste et écrivain Gilles Clément), est dévoilée. Par ailleurs, José Bové, qui figurait en dernière position, n'est plus candidat et est remplacé par Julien Durand, également agriculteur et historique de la lutte contre le projet d'aéroport du Grand Ouest.

Le président de l’exécutif corse, Gilles Simeoni, annonce son soutien à la liste. Par ailleurs, bien qu'il ne figure pas sur la liste, José Bové participe à la campagne du régionaliste François Alfonsi[219].

Liste
  1. Yannick Jadot
  2. Michèle Rivasi
  3. Damien Carême
  4. Marie Toussaint
  5. David Cormand
  6. Karima Delli
  7. Mounir Satouri
  8. Caroline Roose
  9. François Alfonsi
  10. Salima Yenbou
  11. Benoît Biteau
  12. Gwendoline Delbos-Corfield
  13. Claude Gruffat
  14. Lydie Massard
  15. François Thiollet
  16. Julie Laernoes
  17. Jean-Laurent Félizia
  18. Sophie Bussière
  19. Alexis Tiouka
  20. Catherine Hervieu
  21. Guillaume Cros
  22. Leyla Binici
  23. Abdallah Benbetka
  24. Ashley Sylvain
  25. William Lajeanne
  26. Amandine Crambes
  27. Grégory Doucet
  28. Geneviève Payet
  29. Ghislain Wysocinski
  30. Christine Juste
  31. Gilles Clément
  32. Sylvie Cassou-Schotte
  33. Guy Harau
  34. Amélie Cervello
  35. Kader Chibane
  36. Coralie Mantion
  37. Pascal Clouaire
  38. Anna Maillard
  39. Christian Lammens
  40. Margaux Zekri
  41. François Nicolas
  42. Mireille Alphonse
  43. Jérôme Orvain
  44. Marie-Neige Houchard
  45. Bernard Leterrier
  46. Brigitte Fournié-Turquin
  47. Matthieu Theurier
  48. Sylvie Fare
  49. Théo Garcia-Badin
  50. Christine Arrighi
  51. Olivier Longeon
  52. Marie-Agnès Peltier
  53. Vincent Talmot
  54. Daphné Raveneau
  55. Farid Djabali
  56. Mélanie Vogel
  57. Nelson Palis-Niermann
  58. Florence Cerbaï
  59. Antoine Tifine
  60. Morgan-Stanisława Briand
  61. Jean-François Blanco
  62. Anne-Marie Hautant
  63. Nicolas Bonnet
  64. Jeannie Tremblay
  65. Aurélien Boulé
  66. Sybille Jannekeyn
  67. François Desriaux
  68. Mathilde Tessier
  69. François Dufour
  70. Françoise Coutant
  71. Claude Boulanger
  72. Sophie Börner
  73. Jean-Yves Grandidier
  74. Marine Tondelier
  75. Dany Karcher
  76. Éva Sas
  77. Lucien Betbeder
  78. Eva Joly
  79. Julien Durand
En gras, les candidats en position éligible au vu de la projection en sièges la plus favorable au parti (cf. infra).
 

Parti animaliste

Le Parti animaliste présente une liste aux élections européennes de 2019[220], avec à sa tête l’avocate bordelaise Hélène Thouy[221]. L'humoriste Laurent Baffie déclare faire partie de la liste[222], mais n'y figure finalement pas.

Liste
  1. Hélène Thouy
  2. Eddine Ariztegui
  3. Isabelle Dudouet-Bergegeay
  4. Nicolas Bureau
  5. Laure Gisie
  6. Henry-Jean Servat
  7. Isabelle Yvos
  8. Guillaume Prevel
  9. Stéphanie Chagnon
  10. Denis Schmid
  11. Michèle Striffler
  12. Pierre Mazaheri
  13. Sylvie Rocard
  14. Thierry Porro
  15. Valérie Perrin
  16. Jean-Luc Dené
  17. Catherine Helayel
  18. Jean-Marc Miquet
  19. Béatrice Depitre
  20. Jonathan Laban-Bounayre
  21. Marie-Laurence De Lartigue
  22. Jérôme Bocquet
  23. Muriel Fusi
  24. George Homs
  25. Virginie Chauchoy
  26. Julien Holmgren
  27. Nathalie Lavedrine
  28. Jean-François Staad
  29. Ophélie Balestan
  30. Jean-Philippe Cournet
  31. Florence Denneval
  32. Maxime Louis
  33. Sophie Rambourg
  34. Nino Toussaint
  35. Laurence Couteille
  36. Grégory Moreau
  37. Marianne Kabelis
  38. Bernard Labat
  39. Véronique Silverio
  40. Quentin Charoy
  41. Rachel Darcq
  42. Jean-Luc Vieilleribiere
  43. Bérengère Humbert
  44. Nicolas Pruvost
  45. Catherine Deneuve
  46. Richard Zanca
  47. Anaïs Boyer
  48. Vincent Thorin
  49. Eléonore Picot
  50. Antoine Stathoulias
  51. Sabrina Verdier
  52. Kevin Meillet
  53. Patricia Gemelli-Klochendler
  54. David Crézé
  55. Samantha Rose
  56. Denis Del Nista
  57. Jeannette Brazda
  58. Jérôme Segal
  59. Sarah Laurent
  60. Charles Duke
  61. Edwige Lagain
  62. René Dessard
  63. Marie-Thérèse Drelon
  64. Tom Chevalier
  65. Magali Destruel
  66. Alexandre Segalini
  67. Sara Gesteiro
  68. Boris Durel
  69. Christelle Fontaine
  70. Romain Hadjali
  71. Marie Mainville
  72. Stéphane Legrand
  73. Delphine Simon
  74. Jean-Paul Vigarié
  75. Donia Ben Djemaa
  76. Brice Mbouani
  77. Isabelle Depoorter
  78. Emmanuel Ollivier
  79. Adriane Benoît
 

Les oubliés de l'Europe – artisans, commerçants, professions libérales et indépendants – ACPLI

Un collectif rassemblant des artisans, des commerçants, des professions libérales et des indépendants présente une liste nommée « Les oubliés de l'Europe », conduite par Olivier Bidou[223], chef d'entreprise et président de la Coordination nationale des indépendants[64].

Liste
  1. Olivier Bidou
  2. Safya Prêté
  3. Christophe Zeller
  4. Chantal Bonnet
  5. Thomas Bidou
  6. Émilie Courts
  7. Frédéric Malaval
  8. Paulette Pompilio
  9. Patrick Madec
  10. Marion Quetier
  11. Philippe Magrin
  12. Noura Bara
  13. Robert Desechalliers
  14. Nadia Hassen
  15. Marc del Fondo
  16. Valérie Dumont Gadea
  17. Renaud Roche
  18. Ghislaine Enfru
  19. Christian Formus
  20. Michèle Lavocat
  21. Patrick Ramis
  22. Maryse Deseigne
  23. Jean-Michel Bureau
  24. Brigitte Chassin
  25. Francis Perin
  26. Régine Aumigny
  27. Didier Guérin
  28. Kaldia Merabet Morin
  29. Gilles Bonin
  30. Nelly Fernandez
  31. Charles Sabouret
  32. Martine Bessou
  33. Jérôme Valette
  34. Chantal Marlin
  35. Daniel Poy
  36. Françoise del Fondo
  37. Arnaud Crepin-Chapuis
  38. Brigitte de Broissia
  39. Denis Melyon
  40. Andrée Billard
  41. Richard Devoy
  42. Huguette Magnan Bayle
  43. Patrice Sinaud
  44. Myriam Peronne
  45. Gérald Lagouanere
  46. Martine Bosselut Bureau
  47. Pascal Laporte
  48. Anne Fekete
  49. Louis Couasnon
  50. Claude Bosquet
  51. Patrice Jolly
  52. Catherine Zoungrana
  53. Raymond Policante
  54. Maryse Casaubon
  55. Karl Berkemal
  56. Florence Perrotin
  57. Éric Riom
  58. Monique Beillevaire
  59. Pascal Brunet-Orain
  60. Grâce da Silva Goncaves
  61. Éric Borensztejn
  62. Julie Catalifaud
  63. Renaud Berthou
  64. Diane Ruisi
  65. Gaston Rieffel
  66. Marie-France Perrot
  67. Emmanuel Bistes
  68. Brigitte Toussaint
  69. Charles Coll
  70. Élisabeth Morhange
  71. Daniel Marx
  72. Dominique Tregoures
  73. Lionel Beaufils
  74. Chantal Louron
  75. Fiorino Lippis
  76. Nadine Guillaume
  77. Robert Palisse
  78. Florence Vial
  79. Pierre-Olivier Genton
 

Union démocratique pour la liberté, égalité, fraternité (UDLEF)

L'Union démocratique pour la liberté, égalité, fraternité, un parti libéral de droite, est fondé en 2016[224]. Sa tête de liste, Christian Person, est un chef d'entreprise breton[64].

Liste
  1. Christian Luc Person
  2. Hinda Djeridi
  3. Marouan Ahrouch
  4. Marilyn Dupuis
  5. Rezk Shehata
  6. Dounyazed Mesli
  7. Jean-Philippe Marie de Chastenay
  8. Naïma Moghir
  9. Faraj Chemsi
  10. Stelie Morisette
  11. Hicham Zmarrou
  12. Guisela Flores-Hidalgo Épouse Giraudet
  13. Aissam Kachou
  14. Fatma Mohadi
  15. Gaston Guena
  16. Christelle Teppaz
  17. Camille Sari
  18. Naïma Mechri
  19. Maxime Duhot
  20. Myriam Ghaddab
  21. Stéphane Parédé
  22. Anaïs Mari
  23. Ameur Talbi
  24. Valérie Courtuat
  25. N'Cho Lawson Agban
  26. Elise Himinian
  27. Youssef Ouafi
  28. Sabine Bizard
  29. Lahcen Sghir
  30. N'Deye Toula Bosco
  31. Guillaume Bocquet
  32. Yvelise Berrier
  33. Jean-Philippe Gerbe
  34. Latifa Assayhi
  35. Abdelhamid Bekkara
  36. Sandra Bannani
  37. Khaled Ahmim
  38. Delhia Aknine
  39. Claude Solarz
  40. Hélène Menard
  41. Philippe Piou
  42. Christine Decobert
  43. Tony André Maurice Renault
  44. Nadia Belaala
  45. Adrien Manchon
  46. Stéphanie Partouche
  47. Karim Renevier
  48. Faten Makhlouf
  49. François Dossa
  50. Fatima Arbouche
  51. Richard Lemieuvre
  52. Sarah Kacer
  53. Emmanuel Abramowicz
  54. Najet Thaalbi
  55. Hicham El Berni
  56. Marwa Latifa Ghaddab
  57. Laurent Dupuis
  58. Doriane El Kamel
  59. Adil El Gazzouzi
  60. Zoubida Kawkab
  61. Adel Awad
  62. Nabila Bait
  63. Salih Attia
  64. Oyssem Benchohra
  65. Hamza Hassab El Nabi
  66. Sinthouyel Ngueth
  67. Magdi Chafik
  68. Daily N'Gueth
  69. Mohamed El Moujahid
  70. Zina Merebai
  71. Mzé Mouigni Saïd Ali
  72. Karima Halim
  73. Raouf Morsy
  74. Sabrina Hammami
  75. Saad Soliman
  76. Faouzia Lassoued
  77. Moustafa El Fakhrany
  78. Drissia Fakhreddine
  79. Moulay Hfid Hamidi
 

Une Europe au service des peuples (Union des démocrates musulmans français)

Une liste nommée « Une Europe au service des peuples » est validée le par le ministère de l'Intérieur, après avis du Conseil d'État, un délai lui ayant été accordé pour trouver des candidats en remplacement de ceux qui n'avaient pas fait part de leur consentement[225]. Cette liste est présentée par l'Union des démocrates musulmans français[226], et est menée par Nagib Azergui.

Liste[227]
  1. Nagib Azergui
  2. Fatiha Zakari
  3. Bassam Tahhan
  4. Samira Sidhoum
  5. Farid Azibi
  6. Sandra Fourastie
  7. Jean-Claude Antakli
  8. Karima Zérouali
  9. Mokdad Salem
  10. Nacéra Ouachek
  11. Khalid Bajjouj
  12. Nafissa Menhour
  13. Nordine Saadallah
  14. Farida Tabani
  15. Jean Gaston Joseph Preau
  16. Delphine Peters
  17. David Boussion
  18. Jamila Sersou
  19. Christian Faget
  20. Donia Chabbah
  21. Brahim Benkhabcheche
  22. Fadoua Hachimi
  23. Hichame Boushaba
  24. Najia Jennane
  25. Mohammed Ksourou
  26. Anissa Mahiouf
  27. Mustapha Belhouari
  28. Nawal Derbali
  29. Drice Benama
  30. Fatima Yousfi
  31. Eric Berlingen
  32. Wassila Dahmani
  33. Karim Akasbi
  34. Amira Ghazouani
  35. Rachid Ould Rabah
  36. Sorya Hanifi
  37. Chrif Bouzid
  38. Fatma Sidhoum
  39. Miloud Hajji
  40. Mélissa Djillali
  41. Nadir Benhabass
  42. Odile Amougou
  43. Christophe Lhuissier
  44. Ouerdia Mahiouf
  45. Chokri Amri
  46. Elhame Aït-Serhane
  47. Betahar Beloufi
  48. Naziha Bouzid
  49. Fethi Boushaba
  50. Leïla Hizam
  51. Karim Majeri
  52. Audrey D'Aietti
  53. Adil Reghai
  54. Jihane Ghazouani
  55. Faouzi Nisiri
  56. Nadia Karar
  57. Kamel Elahiar
  58. Wafaa Ksourou
  59. Ismaïl Bajjouj
  60. Nejma Hizam
  61. Saadi Mohamed Freymont
  62. Aldjia Mahiouf
  63. Mickaël Olivier
  64. Anissa Boushaba
  65. Aniss Khamlich
  66. Majda Bajjouj
  67. Mehdi Hizam
  68. Nadia Lahzazi
  69. Morad Zakari
  70. Fairouz Bajjouj
  71. Franck Tremerel
  72. Sanaa Hachimi
  73. Nabil Ksourou
  74. Souhila Mahiouf
  75. Michel Tahan
  76. Soumaya Harchi
  77. Franck Koterba
  78. Samira Zérouali
  79. Mehdi Cosma
 
  • Portrait de Nagib Azergui.
    Nagib Azergui, tête de liste.

Partis ayant renoncé

D’autres partis ou mouvements ont un temps annoncé leur participation aux élections européennes, avant de renoncer pour des raisons diverses.

Cannabis sans frontières

Une liste intitulée « Legalize 2019 » était en préparation. Sa tête de liste devait être Safia Lebdi, ancienne conseillère régionale (EÉLV) d'Île-de-France[228]. Cette liste, soutenue par le collectif Cannabis sans frontières, défendait principalement la légalisation du cannabis.

Civitas

Civitas, ancienne association transformée en parti politique lors des élections législatives de 2017, envisageait de présenter une liste[229].

En , Civitas renonce à présenter une liste aux élections européennes, faute de moyens financiers[230].

Comités Jeanne

Jean-Marie Le Pen, député européen et président des Comités Jeanne (qui a rejoint au niveau européen l'Alliance pour la paix et la liberté[231]), laisse entendre en qu'il n'exclut pas d'être candidat à sa succession aux élections européennes[232],[233]. À 90 ans, il appelle également à l'émergence d'une nouvelle génération de candidats[234]. Il émet la possibilité de « refaire un rassemblement commun » avec le RN comme « une démonstration publique et dynamique pour les élections futures »[235].

En , il demande à figurer sur la liste du RN et propose le nom de Bruno Gollnisch en tête de liste[236], ce que Marine Le Pen refuse publiquement quelques jours plus tard[237]. Non candidat[238], Jean-Marie Le Pen apporte finalement son soutien à la liste du Rassemblement national[239].

Les Radicaux de gauche

Issue du Parti radical de gauche, la députée européenne Virginie Rozière, coprésidente du mouvement Les Radicaux de gauche (LRDG), s'est prononcée le en faveur d'une liste pro-européenne d'union de la gauche alliant le Parti socialiste, Europe Écologie Les Verts, Génération.s, le Parti communiste français et Les Radicaux de gauche[240].

Ils annoncent en rejoindre la liste du Parti socialiste et de Place publique[241], avec 6 candidats sur la liste : Virginie Rozière en 10e position, Géraldine Guilpain, Stéphane Saint-André, Isabelle Amaglio-Térisse, Jean-Marc Dessaud et Jeanne Sotter[242]. Mais le , Virginie Rozière annonce son retrait de la liste[243].

Mouvement V

Les vidéastes Web Tatiana Jarzabek, connue sous le nom de Tatiana Ventôse (animatrice d'une chaîne YouTube du même nom, ainsi que du Fil d'Actu), et Grégory Tabibian, connu sous le Greg Tabibian (de la chaîne J'suis pas content), annoncent le dans un live YouTube leur intention de se présenter aux élections européennes et lancent le Mouvement V. Apartisan, ce mouvement fonde son projet sur le rejet de la classe politique actuelle et le dépassement des clivages traditionnels, pour une « reconstruction du pays »[244].

En , ils annoncent renoncer à présenter une liste aux élections européennes, faute d'avoir pu ouvrir dans les temps un compte en banque afin de collecter les dons nécessaires pour mener campagne[245].

Nouveau Parti anticapitaliste

Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) entame des discussions avec Lutte ouvrière (LO) en sur l'opportunité de constituer une liste commune ; ces négociations échouent en [125],[126]. En , le NPA renonce à présenter une liste aux élections européennes, faute de moyens financiers[246].

Malgré leurs divergences, le parti appelle à voter pour la liste de Lutte ouvrière, conduite par Nathalie Arthaud[246].

Parti égalité et justice

Le Parti égalité et justice annonce en son souhait de présenter une liste aux élections européennes, avant de renoncer début mai. Huseyin Karaoglan devait être la tête de liste[247].

Rassemblement des contribuables français

Le Rassemblement des contribuables français (RCF) devait présenter une liste avec pour slogan « Arrêtez d'emmerder les Français », conduite par son président Nicolas Miguet[248].

Rassemblement des écologistes pour le vivant

Dans une tribune publiée dans Le Monde le , le journaliste et écrivain Aymeric Caron, aux côtés de Malena Azzam, militante antispéciste, de Benjamin Joyeux, juriste en droit de l'environnement et de Jean-Marc Lahaye, entrepreneur, annonce la création du Rassemblement des écologistes pour le vivant (REV). Ce parti écologiste et antispéciste souhaite défendre les droits des humains, des animaux et des éco-systèmes. Il a pour objectif d'être présent lors des élections européennes[249],[250].

Après avoir tenté sans succès un rapprochement avec le Parti animaliste, le REV annonce en ne pas pouvoir se présenter, faute de moyens financiers[251].

Rassemblement des Gilets jaunes citoyens

Le , Thierry-Paul Valette annonce la préparation d'une liste de Gilets jaunes (la troisième tentative dans l'ordre chronologique), nommée « Rassemblement des Gilets jaunes citoyens », pour « porter la voix des sans voix » et « développer une Europe davantage sociale »[252],[253]. Dix premiers candidats sont nommés à l'issue de cette annonce[254].

En , Thierry-Paul Valette renonce à présenter une liste aux élections européennes, estimant que sa candidature est « désormais obsolète »[255].

Résistons

En , Jean Lassalle, député et président de Résistons, indique dans un entretien pour Valeurs actuelles avoir la « volonté de conduire » sa propre liste avec une ligne clairement eurosceptique en déclarant : « si j’avais été anglais, j’aurais voté pour le Brexit »[256]. Dans le même journal, le , il précise cette intention : une « Europe des nations et des peuples […] est la seule voie […] permettant de conjuguer l'intérêt supérieur des nations et la nécessaire poursuite de l'idée européenne ». Début , Valeurs actuelles publie un sondage Harris Interactive, selon lequel 9 % des sondés pourraient « certainement », et 18 % « probablement », « envisager de voter pour une liste de promotion des territoires conduite par Jean Lassalle »[257].

Approché par Nicolas Dupont-Aignan, Jean Lassalle refuse de retirer sa liste pour rejoindre l’alliance proposée par Debout la France[258].

En , Résistons renonce à présenter une liste aux élections européennes, faute de moyens financiers[259].

Volt France

Volt France, mouvement politique fédéraliste européen, europhile et progressiste[260], a annoncé le sa mutation en parti politique avec l’ambition affichée de présenter une liste française aux élections européennes de 2019, portant à neuf le nombre de pays où Volt Europa devait être présent[261]. Cette liste devait être conduite par Colombe Cahen-Salvador et Louis Drounau, choisis à l'issue d'une primaire interne[262].

En , Volt France renonce à présenter une liste aux élections européennes, faute de moyens financiers[263].

Notes et références

Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Élections européennes de 2019 en France » (voir la liste des auteurs).

Notes

  1. Les candidatures d'Hélène Franco, Marie-Pierre Ratez, Jérôme Schmitt et Christine Valentin sont retirées de la liste « pour des raisons personnelles ou professionnelles » et celle de Laurent Courtois à cause de ses « comportements inacceptables envers les femmes ». Ninon Gillet et Sarah Soilihi ont renoncé à y figurer en raison de désaccords politiques.
  2. EÉLV, Ensemble !, FI, Gauche démocratique et sociale, G·s, Nouvelle Donne, NPA, PCOF, Parti de gauche, République et socialisme.
  3. Pierre Serne et Claire Monod.

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