Henriette-Marie de France

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Henriette-Marie de France
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Henriette Marie de France, 1636-1638
Musée d'art de San Diego.

Titre

Reine consort d'Angleterre,
d'Écosse et d'Irlande


(23 ans, 7 mois et 17 jours)

Données clés
Prédécesseur Anne de Danemark
Successeur Catherine de Bragance
Biographie
Titulature Fille de France
Reine d'Angleterre
Reine d'Écosse
Reine d'Irlande
Reine douairière
Dynastie Maison de Bourbon
Naissance
Palais du Louvre, Paris (France)
Décès (à 59 ans)
Château de Colombes (France)
Sépulture Basilique de Saint-Denis
Père Henri IV de France
Mère Marie de Médicis
Conjoint Charles Ier d'Angleterre
Enfants Charles II
Marie Henriette Stuart
Jacques II
Élisabeth Stuart
Anne Stuart
Henry Stuart, duc de Gloucester
Henriette Stuart
Religion Catholicisme

Signature

Signature de Henriette-Marie de France

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Henriette Marie de France, née le à Paris et morte le à Colombes, est une reine consort d'Angleterre. Benjamine du roi de France Henri IV et de la reine Marie de Médicis, elle épousa en 1625 le roi d'Angleterre Charles Ier Stuart. Elle est la sœur du roi de France Louis XIII, la tante du futur roi de France Louis XIV, la belle-mère du Grand Pensionnaire des Pays-Bas Guillaume d'Orange, la mère de deux rois d'Angleterre, Charles II et Jacques II. La guerre civile anglaise, qui culmine en 1649 par la décapitation à Londres de son mari, l'amena à se réfugier en France.

L'État du Maryland, au nord-est des États-Unis, fut baptisé en son honneur, ainsi que la rue de la Reine-Henriette dans la ville de Colombes, en France.

Biographie

Enfance

Née au palais du Louvre à Paris le , Henriette Marie est le dernier et sixième enfant et la troisième fille du roi de France Henri IV et de la reine Marie de Médicis.

La princesse n'a quasiment pas connu son père, assassiné au mois de mai suivant sa naissance et est élevée avec son frère Gaston, duc d'Orléans, d'un an son aîné, par leur mère. Cela ne l'empêche pas pour autant d'hériter du caractère entreprenant, courageux de son père. Elle possède également des traits de caractère de sa mère : pieuse, généreuse, intellectuelle[1], avec un goût prononcé pour l'art.

Elle est baptisée le en la chapelle de la Reine au palais du Louvre en même temps que son frère Gaston, duc d'Orléans : son parrain est le Cardinal de La Rochefoucauld et sa marraine est Madame Élisabeth, sa sœur aînée[2].

Mariage

Henriette Marie est séparée de sa mère entre 1617 et 1620 (période où la reine mère est exilée loin de Paris). Son frère, le roi Louis XIII, donne sa main au prince Charles Stuart, futur roi Charles Ier d'Angleterre et d'Écosse, le (soit à seize ans)[3]. Grâce à son parrain, la fiancée peut épouser l'héritier du trône d'Angleterre, bien que Charles soit protestant et non catholique. Ainsi, elle part pour se marier avec un cortège de douze prêtres de l'Oratoire. C'est George Villiers de Buckingham, favori de son époux, qui vient en France négocier son mariage, c'est à cette occasion qu'il courtise la reine Anne d'Autriche, ce qui provoque l'ire de son époux le roi Louis XIII (frère d'Henriette).

  • Bustes de Charles Ier et d'Henriette-Marie de France, XVIIe siècle.
    Bustes de Charles Ier et d'Henriette-Marie de France, XVIIe siècle.
  • Charte de Charles Ier relative à son mariage, 4 juillet 1625, Archives nationales.
    Charte de Charles Ier relative à son mariage, , Archives nationales.

Reine consort d'Angleterre

Jusqu'en 1628, George Villiers de Buckingham fait barrage entre la reine et le roi, mais après l'assassinat de Buckingham, Henriette Marie peut se rapprocher de Charles Ier. La naissance de leurs enfants, à partir de 1629, rapproche les deux époux, et Henriette Marie acquiert beaucoup d'influence sur son mari.

Française, elle le pousse dans le sens d'une politique autoritaire et centralisatrice, ainsi que vers une plus grande tolérance envers les catholiques. En effet, Henriette, fort pieuse et opiniâtre comme sa mère, pratique ostensiblement le catholicisme, ce qui irrite les puritains anglais. Suivant les clauses de son contrat de mariage négocié entre les cours de France et d'Angleterre elle est venue de France avec un certain nombre de prêtres, dont son aumônier, Jean Paumart. En outre, la Reine exerce une influence sur les spectacles à la Cour.

Elle devient de plus en plus impopulaire car les puritains la soupçonnent de vouloir éradiquer le protestantisme au profit du catholicisme. La famille royale est même obligée de se réfugier un temps à Oxford, car Cromwell menace d'arrêter la souveraine, ayant déjà fait arrêter certains de ses fidèles. Simultanément, les Écossais se rassemblent pour marcher droit sur la capitale pour prendre la défense de la reine.

Lors de la guerre civile, elle profite de son voyage en 1642 dans les Provinces-Unies où elle accompagne sa fille Marie qui épouse Guillaume II d'Orange-Nassau pour réunir des fonds et une petite armée gagnée à la cause royale. Elle revient à Newcastle en , après avoir survécu à une tempête au cours de laquelle la reine a un mot qui manifeste son courage et rappelle les manières de son père : « Les reines ne se noient pas. » Arrivée à bon port, elle est accueillie à coups de canons par cinq vaisseaux rebelles. Afin de se protéger, elle est contrainte de passer la nuit dans un fossé sale qui la couvre de sable. Grâce à l'armée qu'elle a réunie, elle parvient à rejoindre le roi à Oxford. Cependant, celui-ci décide de diviser les troupes en deux dans le but de réprimer les rébellions, ce qui se révèle une erreur, diminuant ainsi les forces de son armée.

Une nouvelle grossesse éloigne la reine des conflits en . Elle se retire à Exeter pour donner le jour, dans une chaumière, à une fille : Henriette Anne.

Exil en France

Malgré la fatigue de l'accouchement, elle est déterminée à rejoindre Paris car le Parlement de Londres offre cinquante mille écus à quiconque rapporte la tête de la souveraine. Elle finit par s'embarquer à Plymouth et réussit à s'enfuir, même avec les voiles de son navire déchirées par les boulets de canons. Devant la fureur de ses assaillants et ne voulant pas tomber en leurs mains vivante, elle ordonne au capitaine : « Quand vous ne pourrez plus me défendre, tuez-moi. »

Portrait de Henriette-Marie de France, réalisé par Pieter de Jode le Jeune, d'après Antoine van Dyck en 1652.

Le , Henriette de France, reine d'Angleterre en fuite, débarque « en un petit havre nommé Mellon [Melon, en Porspoder] ». Son navire croise toute la journée devant la grève, ce qui inquiète les habitants, craignant une attaque, ce qui la force à parlementer. « Toute la coste estant en armes l'obligea de faire mettre un mouchoir au bout d'un baston ». La reine débarque en piteux équipage ; elle loge dans une petite maison couverte de toit de chaume. Elle est cependant solennellement accueillie à Brest, puis dans d'autres villes bretonnes (dont Vannes, rue des Chanoines, dans l'Hôtel de l'Archidiaconat), le long de son trajet vers la capitale[4].

Elle ne revoit plus jamais le roi son mari, qui est emprisonné puis condamné à mort. Charles Ier est décapité le . Henriette Marie, apprenant la nouvelle en France, est effondrée et décide de créer un couvent de la Visitation, à Chaillot, dans lequel elle se retire tout en parachevant l'éducation de ses enfants dans la foi catholique. Quelques années plus tard, elle marie la fille qu'elle mit au monde dans la détresse, Henriette Anne, au frère de Louis XIV : Philippe de France, duc d'Orléans.

Elle a la joie de revoir ses fils Charles et Jacques, qui parviennent à s'enfuir d'Angleterre, mais elle perd sa fille Élisabeth, prisonnière des puritains (). La reine veuve reste en France avec sa fille Henriette Anne, tandis que le cardinal Mazarin, principal ministre du jeune Louis XIV, neveu d'Henriette, oblige Charles et Jacques à quitter le Royaume, voulant l'alliance de la république anglaise contre l'Espagne. Henriette Marie vit près de Paris, à Colombes, dans une certaine gêne matérielle, restant des journées entières au lit faute de pouvoir acheter du bois pour chauffer sa demeure.

En 1660, elle accompagne son fils Charles II à Londres lors de la restauration anglaise et assiste à son mariage avec l'infante Catherine de Portugal, richissime et catholique. Cependant, elle ne supporte plus le climat humide d'Angleterre. Elle décide de rentrer en France pour se préparer à la mort dans son monastère de Chaillot. Malade et insomniaque elle est soignée par les médecins que Louis XIV lui envoie. Le , elle meurt au château de Colombes.

Sur ordre du Roi, elle est inhumée à Saint-Denis, et son cœur envoyé au couvent des Visitandines de Chaillot, où Bossuet prononce à cette occasion l’Oraison funèbre de Henriette-Marie de France (à ne pas confondre avec l'Oraison funèbre de Henriette-Anne d'Angleterre, sa fille et belle-sœur du Roi).

Son château de Colombes est aujourd'hui détruit, mais une rue et une école de la ville sont dédiées à la « Reine Henriette ».

Descendance

Le roi Charles et la reine Henriette Marie ont neuf enfants :

  • Charles Jacques, duc de Cornouailles ( - ) ;
  • Charles II (1630-1685), épouse en 1662 Catherine de Bragance (1638-1705) sans postérité ;
  • Marie Henriette (1631-1660), épouse en 1641 Guillaume II, prince d'Orange (1626-1650) ;
  • Jacques II (1633-1701), duc d'York puis roi d'Angleterre, épouse en 1661 Anne Hyde (1637-1671) puis en 1673 Marie de Modène (1658-1718) d'où postérité ;
  • Élisabeth (1635-1650) ;
  • Anne (1637-1640) ;
  • Catherine (mort-née le ) ;
  • Henri (1640-1660), duc de Gloucester ;
  • Henriette Anne (1644-1670), épouse en 1661 Philippe de France, duc d'Orléans (1640-1701).

Ascendance

Ascendance d'Henriette Marie de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32. Jean VIII de Bourbon-Vendôme
 
 
 
 
 
 
 
16. François de Bourbon-Vendôme
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33. Isabelle de Beauvau
 
 
 
 
 
 
 
8. Charles IV de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34. Pierre II de Luxembourg-Saint-Pol
 
 
 
 
 
 
 
17. Marie de Luxembourg-Saint-Pol
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35. Marguerite de Savoie
 
 
 
 
 
 
 
4. Antoine de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36. Jean II d'Alençon
 
 
 
 
 
 
 
18. René d'Alençon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37. Marie d'Armagnac
 
 
 
 
 
 
 
9. Françoise d'Alençon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38. Ferry II de Lorraine-Vaudémont
 
 
 
 
 
 
 
19. Marguerite de Lorraine-Vaudémont
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39. Yolande d'Anjou
 
 
 
 
 
 
 
2. Henri IV de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40. Alain d'Albret
 
 
 
 
 
 
 
20. Jean III de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41. Françoise de Châtillon
 
 
 
 
 
 
 
10. Henri II de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42. Gaston de Foix-Navarre
 
 
 
 
 
 
 
21. Catherine de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43. Madeleine de France
 
 
 
 
 
 
 
5. Jeanne III de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44. Jean d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
22. Charles d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45. Marguerite de Rohan
 
 
 
 
 
 
 
11. Marguerite d'Angoulême
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46. Philippe II de Savoie
 
 
 
 
 
 
 
23. Louise de Savoie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Marguerite de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
1. Henriette Marie de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48. Jean de Mécicis
 
 
 
 
 
 
 
24. Jean de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49. Catherine Sforza
 
 
 
 
 
 
 
12. Cosme Ier de Toscane
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50. Jacopo Salviati
 
 
 
 
 
 
 
25. Maria Salviati
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51. Lucrèce de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
6. François Ier de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52. Fadrique Álvarez de Toledo
 
 
 
 
 
 
 
26. Pierre Álvarez de Tolède
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Isabel de Zúñiga y Pimentel
 
 
 
 
 
 
 
13. Éléonore de Tolède
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54. Luis Pimentel y Pacheco
 
 
 
 
 
 
 
27. María Osorio Pimentel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55. Juana Osorio de Villafranca
 
 
 
 
 
 
 
3. Marie de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56. Maximilien Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
28. Philippe Ier de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57. Marie de Bourgogne
 
 
 
 
 
 
 
14. Ferdinand Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58. Ferdinand II d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
29. Jeanne Ire de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Isabelle Ire de Castille
 
 
 
 
 
 
 
7. Jeanne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60. Casimir IV Jagellon
 
 
 
 
 
 
 
30. Vladislas IV de Bohême
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61. Élisabeth de Habsbourg
 
 
 
 
 
 
 
15. Anne Jagellon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62. Gaston II de Foix-Candale
 
 
 
 
 
 
 
31. Anne de Foix
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63. Catherine de Foix-Navarre
 
 
 
 
 
 
 

Titulature

Armes d'Henriette Marie de France en tant que reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande.

Née fille de France, Henriette Marie porta durant sa vie différents titres :

Bibliographie

  • Arnault Pfersdorff, Le destin tragique d'Henriette d'Angleterre, roman, Éditions Publibook 2002 (ISBN 978-2748319965).
  • Micheline Dupuy, Henriette de France, reine d'Angleterre, Paris, Perrin, 1994, 380 pages.
  • Jacqueline Duchêne, Henriette d'Angleterre, duchesse d'Orléans, Paris, Fayard, 1995, 464 pages (ISBN 978-2213648804).
  • Charles de Baillon, Henriette-Marie de France reine d'Angleterre 1609-1669, Paris, France-Empire, 2013, 244 pages (ISBN 978-2704811960).
  • André Maurois, Trois portraits de femmes, Paris, Hachette-les soirées du Luxembourg, 1967, 136 pages.
  • Encyclopédie Universalis, « Henriette Marie de France (1609-1669) reine d'Angleterre ».
  • Bossuet, Madame se meurt ! Madame est morte ![5].

Notes et références

  1. « Henriette de France », sur abbaye-saint-benoit.ch via Wikiwix (consulté le ).
  2. L'acte de baptême a disparu dans l'incendie des archives de Paris en 1871 mais l'information se trouve dans Henri IV, roi de cœur, Société des amis du château de Pau, 1971, p. 92.
  3. (en) Frank Kitson, Prince Rupert : Admiral and General-at-Sea, Constable, , p. 21.
  4. Alexandre Masseron (citant des travaux de l'historien Henri Bourde de la Rogerie), « Henriette de France en Bretagne », Journal des débats politiques et littéraires, no du , consultable sur Gallica.
  5. Oraison funèbre.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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Wessex et Jelling
Normands
Plantagenêt
Tudor
Stuart
En 1707, Georges de Danemark devient le premier prince consort britannique.
v · m
Dunkeld
Bruce
  • Élisabeth de Burgh (1306-1327)
  • Jeanne d'Angleterre (1329-1362)
  • Marguerite Drummond (1364-1369)
Stuart
En 1707, Georges de Danemark devient le premier prince consort britannique.
v · m
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