Forces françaises en Allemagne

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Forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne
Création  : Troupes d'occupation en Allemagne ;
 : Forces françaises en Allemagne ;
 : Forces françaises stationnées en Allemagne ;
 : Forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne.
Pays Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Allégeance Drapeau de la France France
Garnison Zone d'occupation française en Allemagne et Berlin-Ouest
Ancienne dénomination Troupes d’occupation en Allemagne (TOA)
Forces françaises en Allemagne (FFA)
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Les forces armées françaises présentes en Allemagne depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ont connu plusieurs appellations : troupes d'occupation en Allemagne (TOA) de 1945 à 1949, forces françaises en Allemagne (FFA) de 1949 à 1993, forces françaises stationnées en Allemagne (FFSA) de 1993 à 1999 et enfin forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne (FFECSA) depuis 1999.

Depuis 2014, il reste environ 500 personnels du ministère des Armées en Allemagne principalement à Müllheim, Breisach et Faßberg.

Histoire

Précédent après la Première Guerre mondiale

Zones d'occupation militaire alliée en Allemagne en 1923 ; en bleu, la zone française d'occupation, en vert vif le territoire du bassin de la Sarre.
Retrait des forces françaises de Dortmund en 1924 après l'occupation de la Ruhr.
Départ des forces françaises de Rhénanie le .
La dernière parade des troupes françaises devant la gare centrale de Mayence sous le commandement du général Adolphe Guillaumat, juste avant leur départ, le .
Le général Adolphe Guillaumat avec le drapeau de la France devant la porte du Deutschhaus le .

À la suite de l'armistice de la Première Guerre mondiale, des forces de l'Entente occupent une partie du territoire allemand de la fin de 1918 jusqu'en 1930. La France administre le territoire du bassin de la Sarre jusqu'en 1935[1].

Le , des éléments des VIIIe et Xe armées françaises franchissent la frontière franco-allemande, 21 divisions au total doivent occuper la zone Landau-Gerolstein-Königstein. Des divisions complémentaires sont placées en réserve dans la région de Neunkirchen (3 divisions) et surtout en Lorraine et en Belgique (30 divisions)[2].

Le traité de Versailles prévoit une présence militaire des Français, des Britanniques, des Américains et des Belges sur la rive gauche du Rhin et une partie de la rive droite à partir de pour une période de cinq à quinze ans selon les territoires. Les Français héritent de la plus grande des zones d’occupation, qui s’agrandit encore avec le prompt retrait des États-Unis, de la direction de la Haute commission interalliée aux territoires rhénans (HCITR), de la présidence de la Commission de gouvernement de la Sarre mandatée par la Société des Nations , ainsi que celle de Memel et de la haute Silésie.

Les forces d'occupation des territoires rhénans au sein de l'armée française du Rhin, créée en , varient en nombre selon les périodes mais comptent au moins 100 000 hommes. L'effectif maximum est observé en lors de la première occupation de Ruhrort, Düsseldorf et Duisbourg avec 250 000 soldats dont 210 000 Français[3].

La France, opposée à l'intervention de l'Armée allemande sans contrepartie lors du soulèvement de la Ruhr, réagit à cette dernière en envoyant ses troupes le 6 avril 1920 occuper temporairement Francfort et Darmstadt[4].

Les forces françaises interviennent dans des missions de maintien de la paix en compagnie de troupes alliées, à plusieurs endroits :

  • en Haute-Silésie, entre 1920 et 1922, pour séparer milices polonaises et allemandes (en déployant les 15 000 hommes de la 46e division d'infanterie[5] regroupant les 6e BCA, 7e BCA, 10e BCP, 13e BCA, 15e BCP, 24e BCA, 29e BCP et le 27e BCA dont le chef de corps est tué lors d'une opération).
  • Et à Memel, à partir du et jusqu'en , quand le 21e bataillon de chasseurs à pied s'interpose entre pro-polonais et pro-lituaniens.

Le coût total d'entretien des armées d'occupation entre 1919 et 1924 est évalué à 240 millions de Goldmarks[6].

Entre 1923 et 1925, les forces françaises et belges occupent la Ruhr pour tenter de contraindre l'Allemagne à payer ses indemnités de guerre.

À partir du et jusqu'au retrait total des forces françaises d'Allemagne le , Adolphe Guillaumat commande l'armée d'occupation du Rhin et exerce le commandement supérieur des forces alliées des territoires rhénans.

À l'issue de la Seconde Guerre mondiale : les troupes d'occupation en Allemagne

Insigne des troupes d'occupation en Allemagne : L'épée fracasse la croix gammée nazie.

Après la défaite de 1945, l'Allemagne et l'Autriche, d'une part, et les villes de Berlin et Vienne, d'autre part, sont divisées chacune en quatre zones d'occupation, réparties entre les quatre grands alliés : Union soviétique, Royaume-Uni, États-Unis et France.

Zones d'occupation alliée de l'Allemagne après 1945.
Les quatre secteurs de l'occupation alliée de Berlin.

La Zone d'occupation attribuée à la France comprend les territoires situés le long de la frontière française, ainsi que les districts nord de Berlin-Ouest, dans ce qui deviendra l'Allemagne de l'Ouest. Le premier gouverneur de cette zone est le général d'armée Marie Pierre Kœnig.

En 1945, l’Armée française crée donc les troupes d'occupation en Allemagne (TOA), dont le quartier-général est établi à l’hôtel Brenner (de), 4/6 Schillerstraße , à Baden-Baden. Une monnaie autonome est également créée, et n'ayant cours légal que dans la zone d'occupation française : le Franc FFA.

En , l'armée luxembourgeoise reprend une partie de la zone d'occupation française en Allemagne. Le 2e bataillon occupe une partie de l'arrondissement (Kreis) de Bitburg et un détachement du 1er bataillon une partie de l'arrondissement de Saarburg. Le 2e bataillon reste à Bitburg jusqu'en 1955. (En même temps, une partie de la zone britannique, s'étendant de la frontière belge à la frontière de l'Allemagne de l'Est, est reprise par la Belgique qui y installe ses troupes d'occupation).

Les Forces françaises en Allemagne (10 août 1949 - 30 août 1993)

Insigne des FFA.
Un général de brigade français (à droite) avec un policier allemand le .

L'appellation TOA est remplacée par celle de « Forces françaises en Allemagne » (FFA) lors de l'entrée en fonction d'un haut-commissaire, par le décret du , paru au Journal officiel de la République française no 185 du prenant effet le . Il ne faut pas confondre la durée de l'occupation avec celle de la présence des TOA : les conventions de Bonn du mettent fin au régime d'occupation et sont amendées par les accords de Paris du . L'article premier de ces accords prévoyait qu'à partir du « des forces de même nationalité et de même importance que celles qui se trouveront à cette date sur le territoire de la RFA pourront y être stationnées ».

En 1951, la France installe à Trèves l'état-major de sa 1re division blindée. Pendant toute la guerre froide, la 1re DB oppose à l'éventuelle menace venue de l'Est l'effet dissuasif de ses équipements modernes. Elle représente une grande et puissante unité de l'arme blindée et cavalerie. La même année, la France installe la 3e division blindée dans le Bade-Wurtemberg. La 5e division blindée est également basée en Allemagne.

Ces grandes formations constituent le 2e corps d'armée de la Ire armée française.

Insigne de forces françaises à Berlin à partir de 1949.

Des forces françaises à Berlin sont stationnées à Berlin-Ouest de à dans le quartier Napoléon — ancienne « caserne Régiment-Général-Göring » — Ses principaux occupants seront le 11e régiment de chasseurs et le 46e régiment d'infanterie.

Au moment le plus intense de la guerre froide, les FFA comptèrent jusqu'à 50 000 soldats.

Les forces françaises en Allemagne eurent à leur disposition des armes nucléaires tactiques américaines au sein de l'OTAN dans le cadre d'un partage nucléaire à partir de 1960. Celles-ci équipaient des bombardiers SO.4050 Vautour pour l'entrainement et quatre escadrons North American F-100 Super Sabre de l'Armée de l'air à partir de 1963[7] (une soixantaine de Sabre en 1966) avec une trentaine de bombes nucléaires tactiques MK28 et MK43 américaines livrées à la base aérienne 136 Bremgarten et la base aérienne 139 Lahr en avril 1963[8]; les divisions mécanisées modèle 59 avaient deux batteries de deux MGR-1 Honest John (un total de dix batteries en 1966 soit vingt lanceurs[9]), et huit batteries de missiles sol-air MIM-14 Nike-Hercules armées par la 520e et la 521e brigade d’engins dans le Bade-Wurtemberg de 1960 à 1966[10],[11].

Le , un accord logistique franco-allemand est signé permettant à la Bundeswehr d'entreposer et de tester son matériel, ainsi que d'entrainer son personnel sur des sites militaires français. Ainsi, en 1966, plus de 26 000 militaires allemands furent entrainés par les FFA.

Le retrait du commandement militaire intégré de l'OTAN décidé par le général de Gaulle est annoncé au président des États-Unis Lyndon Johnson le [12] ; le , de Gaulle précise que l’affectation au commandement OTAN des forces terrestres françaises stationnées en Allemagne, ainsi que celle du 1er corps aérien tactique, va prendre fin le [13].

Le , un échange de lettres entre les ministres des Affaires étrangères français et allemand règle le statut des forces françaises en Allemagne[14]. Cette clarification était rendue nécessaire à la suite de ce retrait de la France du commandement intégré[15].

Les forces françaises qui auparavant devaient tenir un créneau en première ligne dans le dispositif allié en cas d'invasion des troupes du pacte de Varsovie eurent des relations plus distendues avec leurs homologues occidentaux qui cependant s'améliorèrent avec le temps.

L’accord entre le chef d'État-Major des armées Charles Ailleret et le chef suprême des forces alliées en Europe Lyman Lemnitzer, conclu le , et dont le texte est très succinct et de caractère très général, n’a prévu que des contacts d’état-major indispensables au cas où l’Europe occidentale aurait été le théâtre d’un conflit dans lequel la France aurait choisi de s’impliquer[16],[17], les FFA jouant le rôle de réserve générale et l'autonomie de décision de l'emploi des forces est respecté. L’accord Valentin-Ferber, du , complétait le précédent : le corps d’armée français en Allemagne étant très étroitement rattaché à l’ensemble de la 1re armée dont le commandement était en territoire français, c’est bien celle-ci qui serait impliquée par l’éventuelle coordination entre états-majors français et atlantique[18]. Une structure permanente, comportant une commission centrale 1re armée/AFCENT et trois commissions de planification (AFCENT, CENTAG, NORTHAG), est créée à cette date.

En 1976 ont lieu des entretiens entre les ministres de la Défense de la France et de la République fédérale d'Allemagne sur le retrait partiel de troupes françaises d'Allemagne de l'Ouest soit environ 10 000 hommes.

Conclu en 1978, l’accord Biard-Schulze porta sur les procédures nécessaires à cet égard, bien qu’il fût précisé qu’il n’avait qu’une « portée générale »[19]. À partir du début des années 1980, des initiatives nouvelles sont venus préciser les hypothèses d’actions conjointes entre forces françaises et atlantiques telle de la décision d’envisager l’engagement du nouveau troisième corps d’armée, créé à Lille, au-delà de la ligne Rotterdam-Dortmund-Munich, admise auparavant comme limite extrême d’éventuels mouvements français[20]. À l'occasion de consultations gouvernementales franco-allemandes en , les deux États conviennent d'organiser leur coopération militaire et de sécurité conformément au traité de l'Élysée[21].

Le président François Mitterrand et le chancelier Helmut Kohl passent en revue des troupes de la Force d'action rapide stationnées au Bade-Wurtemberg, le .

Alors que depuis 1966, jamais plus d’un régiment n’avait pris part à des manœuvres interalliées, on mit publiquement en avant le rapprochement progressif entre l'Armée française et l’organisation militaire atlantique, comme en avec la participation de 3 500 militaires à l’exercice « Fränkischer Schild » et celle, plus ample encore, de 20 000 hommes dont des unités de la force d'action rapide à l’exercice « Moineau hardi » de [22],[23].

La principale force de frappe des FFA était, dans les années 1980, composée d’environ 600 chars AMX-30B2 tandis que 850 de ceux-ci restaient stationnés sur le territoire métropolitain français.

Le 50e sommet franco-allemand, tenu à Karlsruhe le et , décide, entre autres, de la création d'un Conseil franco-allemand de défense et de sécurité. Les ministres de la Défense signent un accord sur le développement et la production d'un hélicoptère antichar commun qui deviendra le Eurocopter EC665 Tigre. Les contours de la future brigade franco-allemande sont précisés (quatre bataillons stationnés à Böblingen); celle-ci sera créée le .

En 1990, après la chute du mur de Berlin, le président François Mitterrand annonce le retrait progressif des 46 000 militaires des forces françaises en Allemagne, lors du 56e sommet franco-allemand de Munich les et . Le de la même année, le commandement allié de Berlin cesse son activité, le statut quadripartite de la ville étant éteint[24].

Les forces françaises stationnées en Allemagne et les forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne (depuis 1993)

Insigne des FFSA.
AMX-30B2 dans une caserne allemande en 1997-1998.

Les forces françaises en Allemagne sont dissoutes le , consécutivement à la fin de la guerre froide. Elles sont alors partiellement remplacées par les « forces françaises stationnées en Allemagne » (FFSA) qui ne comptent plus que 25 000 hommes et adoptent un nouvel insigne comportant les couleurs de la France, de l'Allemagne et les étoiles de l'Europe. Les derniers soldats russes quittent l'Allemagne de l'Est en 1994.

La 1re division blindée de Baden-Baden, dernière division française stationnée en Allemagne, est dissoute le 1er juillet 1999. Les FFSA deviennent les « forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne » (FFECSA). La présence française en Allemagne se résume alors aux unités de la brigade franco-allemande et au 16e groupe de chasseurs. Le nombre de militaires français est réduit à 4 400 hommes contre 47 500 hommes en 1990[25].

Le 8 septembre 1999, le commandant de la circonscription militaire de défense de Metz devient également commandement des forces françaises et de l'élément civil en Allemagne (COMFFECSA). Il dispose d'une antenne de commandement située à Donaueschingen qui succède à l'état-major des FFSA de Baden-Baden.

Vers le retrait des forces françaises

Consécutivement à la réforme des armées françaises de 2008 le 16e bataillon de chasseurs quitte Saarburg en 2010 et s'installe à Bitche en Moselle. En 2011 le 3e régiment de hussards quitte Immendingen pour rejoindre Metz.

Le 110e régiment d'infanterie de Donaueschingen est dissous le . Depuis cette date la présence militaire française en Allemagne s'est stabilisée avec environ 500 personnels et comporte :

Le gouverneur militaire de Metz est commandant de la zone Terre Nord-Est et des forces françaises et de l'élément civil stationnés en Allemagne.

Résumé chronologique

  • 26 juillet 1945 : Troupes d'occupation en Allemagne (TOA) ;
  • 10 août 1949 : Forces françaises en Allemagne (FFA) ;
  • 12 janvier 1989 : création de la brigade franco-allemande (BFA) ;
  • 1er septembre 1993 : Forces françaises stationnées en Allemagne (FFSA) ;
  • 1999 : Forces françaises et l'élément civil stationnés en Allemagne (FFECSA).

Liste des commandants en chef des forces françaises en Allemagne

Le général Jean de Lattre de Tassigny.
Le général Marie-Pierre Kœnig en 1944.
Le général Augustin Guillaume en 1953.
Le général Pierre Brasart.

Les généraux CSTOA[N 1] étaient subordonnés au général Kœnig, ce dernier détient le pouvoir législatif et est secondé par un gouvernement militaire détenant le pouvoir exécutif et recevant des consignes du Commissariat français aux affaires allemandes et autrichiennes. Cette situation prend fin le , date du vote de la Loi fondamentale de la République fédérale d'Allemagne. Le nouveau statut des forces entre en vigueur le , date de nomination du premier CCFA, le général Guillaume qui change ainsi de titre et reste en poste jusqu'au .

La liste des généraux commandants en chef des forces françaises en Allemagne est ainsi la suivante :

Nom Grade[N 2] Fonction[N 1] Période en fonction
Jean de Lattre de Tassigny G. A. Cdt en chef de la 1re armée -
Marie-Pierre Kœnig[N 3] G. A. CCFA -
Joseph de Goislard de Monsabert G. CA. CSTOA -
François Sevez[N 4] G. CA. CSTOA -
Augustin Guillaume G. CA. CSTOA puis CCFA -
Roger Noiret G. A. CCFFA -
Pierre-Élie Jacquot G. A. CCFFA -
Jacques Allard G .A. CCFFA -
Jean Crépin G. A. CCFFA -
Michel de Brébisson G. A. CCFFA -
Jacques Massu G. A. CCFFA -
Jean-Louis du Temple de Rougemont G. CA. CCFFA -
Gérard Lecointe G. CA. CCFFA -
Jean-Pierre de Lassus Saint-Geniès G. CA. CCFFA -
Jean Richard G. CA. CCFFA -
André Laurier[N 5] G. CA. CCFFA -
Pierre Brasart G. CA. CCFFA -
Bernard Philipponat G. CA. CCFFA -
Furcy Houdet G. CA. CCFFA -
Jean-Louis Brette (en) G. CA. CCFFA -
Noël Chazarain G. CA. CCFFA -
Michel Cavaillé G. DIV. CCFFA -
Alain Curé G. DIV. CFFSA -
Yves Crène G. DIV. CFFSA -
Claude Bénito G. DIV. CFFSA -

Vie quotidienne

Le BABO (Bâtiment administratif de Baden-Oos) construit en 1954, au quartier-général des FFA à Baden-Baden.

Afin de permettre la vie quotidienne des soldats (appelés et engagés), du personnel civil et des familles d'expatriés, toute une infrastructure se met en place. Elle organise notamment le logement dans les cités-cadres, l'éducation des enfants d'expatriés, l'acheminement du courrier (militaire, administratif et civil), sans oublier les économats qui fournissent les familles en biens de consommation, ou encore une maison de la presse. Le service de santé des armées met en place plusieurs centres hospitaliers. La plupart des services administratifs (état civil, Trésor public, immatriculation des véhicules) sont regroupés dans le bâtiment BABO à Baden-Baden. Parallèlement, des entreprises privées s'implantent à proximité des cités-cadres (par exemple : auto-écoles, sociétés de leasing, entreprises de déménagement, (même un restaurant asiatique à Baden), etc.), ces entreprises du secteur allemand utilisent toutes la langue française et acceptent les règlements en deutschemarks ou en francs français[26]. La vie culturelle n'est pas oubliée avec des lieux de culte, des maisons des jeunes, des cinémas, etc. Le but est que les expatriés trouvent à proximité de leur lieu de résidence la majorité de ce qu'ils pourraient trouver en métropole, et le tout en utilisant la langue française.

Le commandant en chef en Allemagne fut aussi le commandant de l'enseignement français en Allemagne durant quelques années ; avec l'aide de l'Académie de Strasbourg, de nombreux établissements scolaires sont créés, destinés à accueillir les enfants des éléments constituant les troupes d'occupation, notamment : le lycée Ausone de Trèves[27] ; le lycée Paul-Tirard de Mayence[28] ; le lycée Hoche de Landau ; le collège Marceau de Coblence, (ce dernier ayant été installé au 31 Süd-allee puis en au 2 Süd-allée et fut dirigé par Monsieur Paul Coussot) ; le collège Turenne de Fribourg-en-Brisgau[29],[30], le lycée Charles de Gaulle de Baden-Baden.

À Coblence, la vie des Français s'organise notamment autour du cinéma « Le Paris », du cercle du Rhein-Mosel Club et des économats des FFA.

De nombreuses manifestations mêlant population militaire et civile française, et population allemande sont organisés, notamment les "volksmarsch (als)" (journées de randonnée organisées par les garnisons) et les « JPO » (journées portes ouvertes organisées par les casernes importantes). Ces manifestations étaient des rendez-vous annuels incontournables dans les villes de garnison. Notons la création par le Gouvernement militaire français de Berlin-Ouest des « 25 km de Berlin » en 1981, la première course à pied dans une grande ville allemande[31].

Composition des unités après 1945

La Gendarmerie nationale en Allemagne 1945 - 1989

Après la capitulation signée les et , deux légions de la Gendarmerie nationale d'occupation sont constituées (Rhénanie-Palatinat, Sarre pour la 1re, Bade-Wurtemberg pour la 2e) et disposent chacune d'un groupe de trois escadrons mobiles. En outre, un détachement autonome intervient à Berlin et une compagnie autonome est constituée pour l'Autriche, qui est annexée à l'Allemagne depuis 1938. En , 11 000 gendarmes sont présents en Allemagne. Une école est créée à Horb am Neckar. Le recrutement est constitué de gendarmes mutés, et en faible minorité de jeunes gens engagés dans les années 1943 et 1944 pour échapper davantage au STO que pour l'engouement pour le métier.

La guerre d'Indochine réclame des hommes qui sont prélevés sur les deux légions, si bien qu'en 1950, l'effectif de la gendarmerie des FFA se trouve réduit à 320 hommes, puis 1 760 en 1956. Le corps est réorganisé : la compagnie autonome de la Sarre disparaît après le rattachement de cette région à la RFA. Le commandement des forces de gendarmerie des FFA a sous son autorité deux légions d'occupation, une légion d'intervention, le détachement de gendarmerie du Haut Commissariat et celui de Berlin. Les formations seront ensuite transformées en groupements de gendarmerie puis en groupements prévôtaux. En 1968, le commandement de la gendarmerie des FFA devient unité formant corps[32].

Garnisons des troupes d'occupation en Allemagne (TOA) du 8 mai 1945 au 10 août 1949

Les effectifs des troupes d'occupation en Allemagne sont passés de 324 000 hommes[33] le à un peu moins de 60 000 en 1949[33].

Les militaires se sont répartis dans les villes de garnisons suivantes. (Liste à compléter) :

Explications sur le classement des unités militaires dans cette section

Pour afficher les unités présentes dans chaque garnison, cliquez sur [afficher] (du fait des changements de casernements, une même unité peut apparaître à plusieurs endroits) (Listes à compléter) : (Quand elle existe, cliquez sur l'insigne du régiment pour l'agrandir)

Défilé de soldats français du 159e RIA devant les ruines du Reichstag le [34].
Armée de terre
  • Direction des transports militaires par voie ferrée[35] (DTMVF) de 1945 à 1952 quartier Colonel Roux[36]

unité(s) interarmes

  • l’École interarmées de perfectionnement pour officiers d’Achern (EIPO Achern) du (Creation)[37] à manque l'année de départ
Service de santé des armées
  • Hôpital d’évacuation 414 Koblenz-Andernach (HE414)[38] du à 1946
  • 421e régiment d’artillerie antiaérienne (421e RAA) du (création) au [39]
Armée de terre
  • 46e régiment d'infanterie (46e RI) de 1945 (venant de La Rochelle) au (départ pour Berlin)
Gouvernement militaire
  • Délégation supérieure Rhénanie-Hesse-Nassau du à [40]

Armée de terre

  • 10e division d'infanterie FFI (10e DI)[36] du au (dissolution)
Armée de terre
  • Centre de formation technique du train (CFTT) de à 1949 (transféré à Horb)[41]
Armée de terre
  • compagnie de transmissions 61/81 (du 1er corps d'armée) ('CT61/81') du au (dissout avec la 61/82 pour former le 18e RT)[42]
  • 53e compagnie mixte de transmissions (53e CMT) de 1947 à 1949 (intégré au 46e BT)
  • 46e bataillon de transmissions (46e BT) caserne Foch de manque l'année d'arrivée à 1958[43] (transféré à Fribourg).

Matériel

  • 251e bataillon de réparation du matériel (251e BRM) du à (départ pour St Wendel)[44]

Service de santé des armées

  • Hôpital d'evacuation motorisé 411[26] "Sahara"[45] (HEM 411)[46]

Gendarmerie d'occupation

  • Compagnie du Palatinat de la 1re légion du au manque l'année de départ[47]
  • Groupe d'escadrons mobiles du au (renommé)[47]
    • Groupe d'escadrons mobiles n°2 du au (départ pour Sprendlingen)[47]
Etat major
  • Direction du service de santé du commandement en chef français en Allemagne du à 1952[26]

Service de santé des armées

Armée de terre
  • Bureau postal militaire 507 (BPM507) du au [48] à Baden-Oos

Service de santé des armées

  • 661e section d'infirmiers militaires (661e SIM) du au [49]
  • 30e bataillon de chasseurs portés (30e BCP) du [50] au [50] départ pour Cochem)
Forces françaises à Berlin

Armée de terre

  • 2e régiment de spahis algériens (2e RSA) de manque l'année d'arrivée (à partir de 1945) ( venant de Arberg en Autriche) à manque l'année de départ (jusqu'à 1955) (départ pour Pirmasens)
  • 3e régiment de chasseur d'Afrique (3e RCA) du [51] au
  • 9e régiment de chasseur d'Afrique (9e RCA) du à manque l'année de départ[51]
  • 1er régiment de zouaves (1er RZ) du à manque l'année de départ[51]
  • 49e régiment d'infanterie (49e BI) de 1945[51] au (venant d'Erpolzheim - départ pour l'Indochine)
  • 7e régiment de chasseurs d´Afrique (7e RCA)[51] du (venant d'Alzey et Dalsheim) au (dissolution)
  • 101e régiment du génie (101e RG)de 1945 à 1945 (dissolution)[51]
  • 151e régiment du génie (151e RG)de 1945 à 1945 (dissolution)[51]
  • 1er régiments du génie (1er RG) de 1945 à manque l'année de départ
  • 46e régiment d'infanterie (46e RI) Quartier Napoleon du au (dissolution)
  • Bureau postal militaire 600 (BPM600) du au [48]

Service de santé des armées

  • 425e hôpital militaire de campagne (425e HMC)[51] du (venant de Wildbad) à 1949[26] (départ pour Donaushingen)
Armée de terre
  • 19e bataillon de chasseurs portés (19e BCP) de 1945 à manque l'année de départ (départ pour Landau)
Bingen
Armée de terre
  • 53e compagnie de transmissions (53e CT) de 1945 à 1947 renommé et transféré à Bad Kreuznach
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens (3e RSA) de 1946 à 1947 (départ pour Mayence)
Bühl
Armée de terre
  • Centre d'instruction du groupe de circulation routière 521 (GCR521) du au manque l'année de départ Camp Robé Robert, Altschweier[36]
  • Bureau postal militaire 515 (BPM515) du à juillet 1945 (départ pour Coblence)[52]

Service de santé des armées

  • Centre de réadaptation professionnelle du sanatorium Résistance[49] (CRP Résistance) de 1945[36] à manque l'année de départ
  • Centre de réadaptation professionnelle Stalingrad (CRP Stalingrad) de 1945 à 1949 situé dans le monastère Kloster Maria hilf[36]
  • Sanatorium militaire Rhin et Danube village de Bûhlerhôhe[49]
  • Sanatorium militaire pour femmes village de Bûhlerhôhe[49]
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de 1949 (venant de Mayence) à 1951 (départ pour Fritzlar)[53]
  • 5e régiment d'infanterie (5e RI) de 1945 à 1955
  • Bureau postal militaire 515 (BPM515) de juillet 1945 au (venant de Bühl)[52]

Matériel

  • 160e compagnie de réparation divisionnaire (160e CRD) du au renommée[54]
    • 159e compagnie de réparation divisionnaire (159e CRD) du au (dissolution)[54]

Armée de l'air

  • Base aerienne 137[55] Coblence-Niedermendig (BA137) de 1945 à 1957[36]
  • manque les unités presente sur la base aérienne

Gendarmerie d'occupation

  • Compagnie de Coblence-Trèves de la 1re légion (1er LGO) du au manque l'année de départ (renommée)[47]
    • Compagnie des provinces rhénanes de la 1re légion (1er LGO) de manque l'année d'arrivée au (deviens)[47]
    • Compagnie des provinces rhénanes de la 3e légion (3e LGO) de à manque l'année de départ[47]
  • 30e bataillon de chasseurs portés (30e BCP) du [50] (venant de Baumholder) à 1946[56] (départ pour Limoges)
Constance
Armée de terre
  • 8e régiment de chasseurs d'Afrique (8e RCA)[36] de 1946 à 1947[57]
  • Bureau postal militaire 523 (BPM523) du au [48]

Matériel

  • 162e compagnie de réparation divisionnaire (162e CRD) du [58] au manque l'année de départ départ pour Gottmadingen
Diez
enceinte temporaire des prisonniers de guerre A19 (de)
  • manque le nom de l'unité du à 1948

camp pour personnes déplacées de Diez (de)

  • manque le nom de l'unité de 1948 à 1952

Armée de terre

  • 46e régiment d'infanterie (46e RI) quartier Charles de Gaulle (de) du à manque l'année de départ ( ?) (départ pour Berlin ?)
  • 32e bataillon de génie (32e RG) quartier Charles de Gaulle (de) de manque l'année d'arrivée ( ?) à 1956
  • 1er régiment d'infanterie (1er RI) de 1945 à 1955 (départ pour l'Algérie)

Gendarmerie d'occupation

  • compagnies territoriales de la 2e légion de gendarmerie d'occupation (2e LGO) du au manque l'année de départ [47]

Service de santé des armées

  • Hôpital militaire d'évacuation [manque le numéro de l'unité et son nom][26]
Armée de terre
  • 10e régiment du génie (10e RG) de 1948[59] à 1954[60]

Service de santé des armées

  • 401e Hôpital militaire d'évacuation[61] (401e HEM)[26]
Armée de terre
  • 31e groupe autonome des forces terrestres antiaériennes (31e GAFTA) de 1945 au (dissolution)

Aéronautique navale

  • Escadrille 3S de novembre 1945 (venant de la flottille du lac de Constance à Immenstaad) au (dissolution)[62]
État-major
  • Direction générale de contrôle et désarmement des effectifs (DGCDE)[36] de 1945 à 1955[63]

Armée de terre

  • 20e bataillon de chasseurs portés (20e BCP) de 1945 à manque l'année de départ (present en 1959[36]) (départ pour Tübingen)
Matériel
  • 21e compagnie de réparation divisionnaire (21e CRD) du à (départ pour Zimmern)[64]

Gendarmerie d'occupation

  • compagnie A2 du au manque la date de départ[47]
Armée de l'air
Armée de terre
  • Groupe de transport 385 (GT385) de 1946 à 1947[65] transféré à Kaiserslautern
Matériel
  • 162e compagnie de réparation divisionnaire (162e CRD) du manque l'année d'arrivée venant de Constance au [66],[58], dissolution
Armée de terre
  • école d'application d'artillerie (EAA) Quartier Jeanne d'Arc de à 1952 (départ pour Mourmelon)[67]
  • 32e régiment d'artillerie (32e RA) Quartier Jeanne d'Arc et quartier Clappier de manque l'année d'arrivée à 1956 départ pour Coblence-Pfaffendorf[67]
  • 101e Groupe d’Observations d’Artillerie (101e GOA) de 1945 au manque l'année de départ[67]
  • 102e Groupe d’Observations d’Artillerie (102e GOA) du ( venant de Jungingen) à manque l'année de départ[67]
Armée de terre
  • 102e groupe d'observation d'artillerie (102e GOA) du [68] au (départ pour Idar-Oberstein)[67]
Armée de terre
  • Groupe de transport 385 (GT385) de 1947 à 1952 venant de Germersheim[65]
  • 24e bataillon de chasseurs à pied (24e BCP) (ou (24e BCA)) de 1946 à 1951

Matériel

  • 251e bataillon de réparation du matériel (251e BRM) du à manque l'année de départ (present en 1957) quartier Klebert(venant de Saint Wendel)[44]
  • Compagnie Rogez du 30e bataillon de chasseurs portés (30e BCP) du [50] au [50] (départ pour Limoges)
Armée de terre
  • 10e régiment du génie (10e RG) de 1946[60] à 1948[59] (transféré à Emmendingen)
  • Groupe de transport 504 (GT504) du au stationnée dans l'ancienne usine à gaz de Khel - Sundheim (dissolution, la 1re compagnie de ravitaillement par air du GT504 deviens unité formant corps[69]
    • 1re compagnie de ravitaillement par air (CRA1) du au stationnée dans l'ancienne usine à gaz de Khel - Sundheim[69], renommé
    • 1re compagnie de livraison par air (1re CLA) du à manque l'année de départ, present en aout 1956[69] stationnée dans l'ancienne usine à gaz de Khel - Sundheim[69]
Armée de terre
  • 83e compagnie mixte de Transmissions (83e CMT) en 1945 renommé avec la 84
  • 84e compagnie mixte de Transmissions (84e CMT) en 1945 renommé avec la 83
    • 53e compagnie de transmissions (53e RT) en 1945 transféré à Bingen
Armée de terre
  • 24e bataillon de chasseurs à pied (24e BCP) (ou (24e BCA)) de 1946 à 1946
Armée de terre
  • 3e régiment de chasseurs d'Afrique (3e RCA) de 1948 à 1956 (départ pour l'Algérie)
  • 2e Légion de Gendarmerie TOA[36]

Unité(s) interarmes

  • Ecole des cadres interarmes de Langenargen Rhin-et-Danube de 1945 à 1949[70]
Armée de terre
  • 454e  groupe d'artillerie antiaérienne (454e GAA) du à 1951[71]
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens (3e RSA) de 1948 (venant de Boppard) à 1949 (départ pour Coblence)

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)

  • Groupe aérien d'observation de l'artillerie n°2 (GAOA n°2) de manque l'année d'arrivé Aéroport de Mainz-Finthen à 1949 (transféré à Baden)[72]
unité(s) interarmes
  • École d'appui aérien ('EAA) de 1946 à 1951 (venant de Lindau)[73]
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de 1945 (venant de Stuttgart après la campagne d'Allemagne) à manque l'année de départ (départ pour Worms)[53].
Nahbollenbach (de)
Matériel
  • 612e compagnie magasin (612e CM) de 1945 à 1946[74] renommé
    • 605e compagnie magasin (605e CM) de 1946 à 1950[75] ,[76]
Armée de terre
  • 1er régiment de cuirassiers (1er RC) quartier Dorance de à 1956 (départ pour l'Algérie)[77]
Armée de terre
  • Groupe de transport 504 (GT504) de (venant de Spaichingen) au (dissolution)[78]
  • 51e batterie géographique d’Offenburg (51e BG) de manque l'année d'arrivée, peut-être 1946 à manque l'année de départ (renommé)[79]
  • 609e gestion mixte de subsistance (609e GMS) de 1947 à 1959[80]
  • Bureau postal militaire 510 (BPM510) du au [48]

Gendarmerie d'occupation

  • compagnies territoriales de la 2e légion de gendarmerie d'occupation (2e LGO) du au manque l'année de départ[47]
Armée de terre
  • 502e groupe de transport (502e GT) du [36] à 1954[81] Camp Lyautey[36]
  • 2e régiment de spahis algériens (2e RSA) de manque l'année d'arrivée (à partir du 1946) (venant de Berlin) à manque l'année de départ (jusqu'à 1955) (départ pour Pforzheim)
  • 7e régiment de chasseurs d'Afrique (7e RCA) du (venant de Berlin) à 1963 (départ pour Friedrichshafen)
Armée de terre
  • 3e régiment de chasseurs d'Afrique (3e RCA) de 1948 à 1956 (départ pour l'Algérie)

Service de santé des armées

  • Hôpital militaire de campagne [manque le numéro de l'unité et son nom] du à 1949[26]
Rexingen (de)
Armée de terre
  • 31e groupe autonome des forces terrestres antiaériennes (31e GAFTA) de 1945 au manque l'année de départ (départ pour Dornhan)
Rotenfels (Gaggenau)
Armée de terre
  • Direction du service des matériels des TOA (service mécanographique[82]) (DSMTOA)[36]
Service de santé des armées
  • Sanatorium militaire Alsace[49] de 1945[83], à manque l'année de départ (présent en 1949[84]) transféré sous l'autorité de la Fondation universitaire de France[84]
Marine nationale - Flottille du Rhin
  • Ecole de pilotage du Rhin (EPR) du [85] au [86] départ pour Kehl et transfers à l'Armée de terre (Genie)[87]
Matériel
  • 251e bataillon de réparation du matériel (251e BRM) du à (venant de Bad Kreuznach) (départ pour Kaiserslautern)[44]
Steinbach (de) (Bühl)
Armée de terre
  • 18e régiment de transmissions (18e RT) du au [36] (renommé)
    • 42e régiment de transmissions (42e RT) du à 1947[36] (départ pour Zweibrücken (Deux-Ponts))
Armée de terre
  • 83e compagnie mixte de Transmissions (83e CMT) en 1945 transféré à Lachen-Speyerdorf
  • 84e compagnie mixte de Transmissions (84e CMT) en 1945 transféré à Lachen-Speyerdorf
service de santé des armées
  • Sanatorium d'altitude 18 juin[49]
Service de santé des armées
  • Hôpital militaire de campagne 421 (HC421) du (venant de Karlsruhe) au [49]
  • Hôpital militaire de campagne 422 (HC422) de (venant de Bruchsal) au [49]
  • Hôpital militaire de campagne 451 (HC451) du au [49]
  • Formation Chirurgicale Mobile N°1 (FCM1) du (venant de Bretten) au (dissolution)[49]
  • Hôpital militaire manque le qualificatif 355 "Émile-Roux" du [88] à 1949[26] (renommé)
Service de santé des armées
  • Hôpital militaire de campagne [manque le numéro de l'unité et son nom] du à 1949[26]
Armée de terre
  • 23e régiment d'infanterie coloniale (23e RIC) Richthofenkaserne (futur quartier Lyautey) et Boelckekasernequartier (futur quartier Mangin) de manque la date d'arrivé en 1945 au (départ pour l'Indochine)[89]
  • 3e compagnie moyenne de réparation auto du 653e bataillon de réparation du materiel (653/3e CMRA) du (venant de Casablanca) à 1946[90] (transférée à Stetten)
  • Bureau postal militaire 519 (BPM519) du au [48]
Weingarten
Armée de terre
  • 3e régiment de chasseurs d'Afrique (3e RCA) d' (venant d'Algérie) à (départ pour l'Algérie)[91]
Armée de terre
  • 13e régiment de dragons (13e RD) de 1945 au (dissolution)
  • 453e groupe d’artillerie antiaérienne (453e GAA) du à 1949 (départ pour Idar-Oberstein)[92]
Worms
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de manque l'année d'arrivée (venant de Nagold) à 1946 (départ pour Boppard)[53]

Gendarmerie d'occupation

  • Compagnie de la 1re légion (1er LGO) du au (dissolution)[47]
Armée de terre

Matériel

  • 21e compagnie de réparation divisionnaire (21e CRD) du (venant de Fribourg et Vilingen) à (départ pour l'Indochine)[64]
  • 54e  compagnie de réparation divisionnaire (54e CRD) du [54] à 1951[66] (départ pour Villingen)
Zweibrücken (Deux-Ponts)
Armée de terre
  • 42e régiment de transmissions (42e RT) de 1947 à 1962 quartier Leduc renommé quartier Canrobert

Garnison des forces françaises à Berlin (FFB) de 1949 au 3 octobre 1990

Insigne des Forces françaises à Berlin adopté en 1949.
Explications sur le classement des unités militaires dans cette section

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Gare française de Berlin-Tegel.
Berlin Camp Foch
  • détachement de Gendarmerie de Berlin à partir de juin 1946
Berlin Quartier Napoléon

Armée de terre

  • 11e régiment de chasseurs (11e RC) de 1955 à 1994
  • 46e régiment d'infanterie (46e RIL')
  • 11e compagnie de transmissions (11e CT)

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)

  • 12e groupe d'hélicoptères légers (12e GHL) de 1987 à manque l'année de départ[93]
  • Bureau postal militaire 600 (BPM600) du au [48]
Berlin Tegel
Armée de terre
  • Club Nautique Français de Tegel

Armée de l'Air

  • base aérienne 165 Berlin Tegel
  • Escadron de guerre electronique 30.813 (EGE30.813) de 1955 à 1959 nord du champ de tir de Tegel[94] (devenu)
    • Détachement n°2 de l'escadron électronique 50.450 (EE50.450) de 1959 à 1963 Terrain d’aviation de Tegel[94] (devenu)
    • Détachement n°2 du groupe électronique 30.450 (GE30.450) de 1963 au Bâtiment 33 base aérienne 165 Berlin Tegel[94] (devenu)
    • Détachement n°2 du groupe électronique 35.351 (GE35.351) de au Bâtiment 33 base aérienne 165 Berlin Tegel[94] (devenu)
    • Escadron électronique Sol 02.054 (EES02.054) de au Bâtiment 33 base aérienne 165 Berlin Tegel[94] (dissolution)

Service de santé des armées

  • 357e hôpital des armées Louis Pasteur (357e HA) (dissous en 1993)

Garnison du groupement des forces du secteur français de Berlin (G.F.S.F.B) du 3 octobre 1990 au 12 septembre 1992

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Berlin Camp Foch
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Berlin Quartier Napoléon
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Berlin Tegel
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Garnison des forces françaises stationnées à Berlin (FFSB) du 12 septembre 1992 au 28 septembre 1994

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Berlin Camp Foch
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Berlin Quartier Napoléon
  • éléments liquidateurs des forces
Berlin Tegel
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Garnisons des forces françaises en Allemagne (FFA) du 10 août 1949 au 30 août 1993

Un effectif d'environ 50 000 militaires est réparti dans les villes de garnisons suivantes (Liste à compléter) :

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Un engin blindé de reconnaissance du 1er régiment de spahis en 1978 dans une caserne de Spire.
Parade du 11e régiment de chasseurs des forces françaises à Berlin le lors de la journée des forces alliées à Berlin-Ouest. Au premier plan, des AMX-30B2 suivis de VAB.
Chef de char d'un AMX-10P du 2e GC de Neustadt lors d'un exercice en 1989.
Quartier Edon de Lachen derrière l'aérodrome en 1988
  • Centraux mécanographiques des armées (CMA)[36]

Armée de terre

  • Groupe de circulation routière 521 (GCR521)[36] de 1950[95] au (quartier Turenne), transformé en
    • 601e  Groupe de circulation routière (601e GCR)[36] du à (quartier Turenne), transféré à Offenbourg et de 1960 au , renommé
    • 601e régiment de circulation routière (601e RCR)[36] du au quartier St-Exupéry (dissolution)
  • 680e régiment de circulation routière (680e RCR) (Régiment de reserve)[96]
  • Commandement et direction des transmisions du 2e corps d'armée et des FFA (CDT2e CA)[97]
  • 42e régiment de transmissions (42e RT)[36] de 1959 à 1969 (départ pour Rastatt)
  • 561e compagnie légère de matériel de transmissions (561e CLMT)[36]
  • Direction des transports militaires par voie ferrée[35] (DTMVF) de 1945 à 1952 quartier Colonel Roux[36]
  • Groupe de transport 385 (GT529)[36]
  • Bureau postal militaire 510 GA1 (BPM510GA1) du au [48], puis
    • Bureau postal militaire 510 B (BPM510B) du au [48] , puis
    • Bureau postal militaire 512 (BPM512) du au [48]

Matériel

  • 4e section[98] de la 552e compagnie renforcée de réparation du matériel (552e CRMM)[36] de 1971 à 1978[98] transformée en
    • 53e groupe de réparation du matériel (53e GRM) de 1978[98] à manque l'année de départ
  • 203e groupe réparation matériel de corps d’armée (203e GRMCA)[99] de manque l'année d'arrivée à 1985 regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat

Armée de l'air

  • 1re commandement aérien tactique (1re CATac) jusqu'en 1960[36]
  • Commandement de la force aérienne tactique de la 1re région aérienne (FATac/1) du au [100]
  • Base aérienne 904 (BA904) quartier Turenne de 1961 au (dissolution)[101]
  • Base aérienne 178 Achern (BA178) (dissoute en 1994)[36]
    • Groupe de contrôle tactique aérien (GCTA451)[36]
    • Escadron électronique sol 21.054 (EES21.054)[36]
    • Escadron électronique sol 41.351 (EES41.351)[36]
    • Section sécurité incendie sauvetage Achern (SSIS)[36]

unité(s) interarmes

  • Centre de formation à l'appui aérien 01-451 ('CFAA 01-451) de 1984 à 1990 ( transféré à Toul-Rosières)[102]
Armée de terre
  • 2e groupe du 32e régiment d'artillerie (2/32e RA) de 1951 (venant de Idar-Oberstein) à 1956 (départ pour Koblenz-Pfaffendorf (de))[103]
Service de santé des armées
  • Hôpital militaire d'évacuation 414 (HME414)[38],[26] du à 1955 (transféré à Coblence).
Auenheim (de)
Armée de terre
  • 9e bataillon du génie (9e BG) de 1946 à 1951 départ pour Spire
  • 24e bataillon de chasseurs à pied (24e BCP) (ou (24e BCA)) de 1951 à 1956, renommé
    • 24e bataillon de chasseurs à portés (24e BCP) (ou (24e BCA)) de 1956 à 1960[36] où il rejoint Tubingen
  • 3e groupe du 24e régiment d'artillerie (24e RA)[36] ; 24e RG[36]
Armée de terre
  • 531e compagnie sanitaire de transport (531e CST) de 1945 à (départ pour Horb)[104]
Armée de terre
  • 46e bataillon de transmissions (46e BT)[43] de 1949 à 1958 caserne Foch[36] renommé 53e BT et transféré a Fribourg

Service de santé des armées

  • Hôpital d'évacuation militaire 411[26] (HEM 411)[46]
Armée de terre
  • 44e régiment de transmissions ('44e RT)[36]

Armée de l'air

  • 6e détachement électronique (6e DE) du au [105] (devenu)
    • Détachement électronique 36/351 (DE36/351) du au [105] (puis)
    • Escadron électronique sol 36/351 (EES 36/351) du au [105] (rattaché à 54e escadre électronique tactique (54eETT))
    • Escadron électronique sol 06/054 (EES 06/054) du au (dissolution)[105]
État-major
  • Direction du service de santé du commandement en chef français en Allemagne du à 1952[26]

Service de santé des armées

  • Centre d'instruction du service de santé (CISS) du manque l'année d'arrivée à 1957[26]
  • 5eRCSEM[36]

État-major

  • État-major du 2e corps d’armée de 1969 à 1993[106] quartier Maréchal de Lattre de Tassigny[107]
  • Commandement en chef des forces françaises en Allemagne Ludwig-Wilhelm-Straße 5[107]
  • État-major de la 1re division blindée de 1993 (venant de Landau) à 1999
  • État-major brigade logistique[107]
  • Commandement de l'aviation légère de l'Armée de terre (COMALAT 2)[108]
  • État-major de la direction des transports militaires par voie ferrée (DTMVF) de 1960[109], à manque l'année de départ
  • Service intendance des forces françaises en Allemagne[36]
    • Commandement de l'intendance (2e corps d'armée) (CI2e CA)[36]
    • Direction du commissariat de l'Armée de terre (2e corps d'armée) (DiCAT2e CA) de 1984 à 1994[80]

Armée de terre

  • 50e régiment de transmissions (50e RT) Quartier Maréchal de Lattre de Tassigny[107]
  • Groupe d'exploitation des transmissions 813 (GET813) de 1970 à manque l'année de départ (present en 1980)[36]
  • 20e régiment du train (20e RT) quartier Marechal de Lattre de Tassigny de 1982 à manque l'année de départ (present en 1991)[36]
  • 10e bataillon de chasseurs à pied (10e BCP) en 1954 (recréation et départ pour l'Algérie)
  • 2e compagnie de poste militaire (2e CPM)[110]
  • Bureau postal militaire 507 (BPM507) du au [48] à Baden-Oos

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)[72] aérodrome de Baden-Oos (de) quartier Estienne[36] de 1949 à 1999

  • Groupe aérien d'observation de l'artillerie n°2 (GAOA n°2) de 1950 à 1958 [108], renommé
    • Groupement ALAT n°2 (GALAT2) de 1958 à 1961[108], renommé
    • Groupement ALAT de la 3e Division (GALDiv3) de 1961 à 1966 (départ pour Fribourg)[108]
  • Détachement ALAT du commandement en chef des forces françaises en Allemagne (DetALAT CCFFA) de 1961 à 1967[108] renommé
    • Peloton ALAT du commandement des forces françaises en Allemagne (PALAT CC-FFA) de 1967 à 1969[108] renommé
    • Escadrille ALAT du commandement des forces françaises en Allemagne (E-ALAT CCFFA) de 1969 à 1978[108], renommé
    • Escadrille de liaison du 1er corps d'armée (EL-1er CA) de 1978 à 1993[108]
  • 12e groupe d'hélicoptères légers (12e GHL) de aérodrome de Baden-Oos (de) au (renommé)[93]
    • Escadrille du 2e corps d'armée de 1992 à manque l'année de départ[93]

soutien ALAT

  • Détachement du 671e  compagnie de réparation de l'aviation légère d'observation de l'artillerie (671e CRALOA) de 1952 à 1956[108] renommé
    • détachement du 671e compagnie de réparation de l'aviation légère de l'Armée de terre (671e CRALAT)[36] de 1957 à 1958[108]
    • (manque la période 1958 à 1960)
    • détachement du 53e bataillon des services (53e BS) de 1960 à 1970[111], renommé
    • détachement du 83e régiment de soutien (83e RS) de 1970 à 1973[111]

Service de santé des armées

  • 661e section d'infirmiers militaires (661e SIM) du au [49]

unité(s) interarmes

  • Ecole des opérations aériennes combinées 700 (EOAC700)[102] stationnée en bordure de l'aérodrome de Baden-Oos (de)[73] de 1955 (venant de Meersburg) à 1984 (disolution, reformé à Achern sous l'appelation CFAA 01-451)[112]
Armée de terre
  • 39e compagnie de camp (39e CC)[113]
Caserne de la Mötscher Straße
 Bon article

Armée de terre

  • 481e groupe d'artillerie antiaérienne (481e GAA) de 1957 (venant de Mayence) au (renommé)[114]
    • 451e groupe d'artillerie antiaérienne légère (451e GAAL) du à (renommé)[114]
    • 51e régiment d'artillerie (51e RA)[115] de à 1979 (transféré à Wittlich)
  • 512e régiment du train (512e RT)[115] de à manque l'année de départ (peut-être 1985)
  • 403e bataillon de soutien (403e BS)[36] de 1959 à 1977[116]
  • manque le nom de l'unité de manque l'année d'arrivée à 1985[117]
Matériel
  • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)
Bühl
Armée de terre
  • 201e compagnie d'intendance de groupement logistique (201e CIGL) de 1970 à 1971 devenu
    • 612e compagnie d'intendance (612e CI) de 1971 à 1978, devenu
    • 612e groupement d'intendance (612e GI) de 1978 à 1984[36], et devenu enfin
    • 612e groupement du commissariat de l'Armée de terre (612e GtCAT)[80] de 1984 à 1994[36]
  • Bureau postal militaire 507GA1 (BPM507GA1) du au [48]
    • Bureau postal militaire 507A (BPM507A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 501 (BPM501) du au [48]
    • Bureau frontière H (BF H) du au [48]
    • Centre de tri militaire (CTM507) du au [48]
  • 2e compagnie de poste militaire (2e CPM)[36] du au Quartier Pennanec'h[36] (Dissolution)

Service de santé des armées

  • 351e hôpital central des armées Francis-Picaud (351e HCA) du au [36]
  • 32e section d'infirmiers militaires (32e SIM) de 1960 à 1992[49] quartier Negrier[36]
  • 610e centre de ravitaillement du service de santé des armées (610e CRSS) quartier Negrier[36]
  • 611e centre de ravitaillement du service de santé des armées (611e CRSS) quartier Negrier[36]
  • Pharmacie Régionale des FFA[49] quartier Negrier[36]

Économat des armées

  • direction de l’économat de l'armée[36]
  • service des transports de l'économat de l'armée dit " le garage "[36]
Etat-major
  • PC de la 3e division d'infanterie de 1951 à 1957 (départ pour Fribourg)[118]

Armée de terre

  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de 1949 (venant de Mayence) à 1951 (départ pour Fritzlar)[53]
  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de 1956 (venant de Fritzlar) à 1656 (départ pour Pforzheim)[53]
  • 7e régiment tirailleurs algériens (7e RTA)[119] de 1951 (venant de Trèves) à 1953 (départ pour l'Indochine)
  • 5e  régiment d'infanterie (5e RI) de 1949 à 1955 caserne Billotte[36]
  • 5e régiment de hussards (5e RH) du au (reconstitution) (transféré à Fritzlar)[120]
  • 50e bataillon de transmissions (50e BT) du au départ pour Fribourg[121]
  • 40e compagnie de transmission (40e CT) caserne Frere de 1958 au (dissolution)
  • 46e bataillon de transmissions (46e BT)
  • 453e groupe d’artillerie antiaérienne (453e GAA) de 1951 à 1956 départ pour Müllheim[92]
  • 30e régiment de dragons (30e RD) de 1950 (venant de Gonzenheim) à 1956[122]
  • 32e régiment d'artillerie voir Pfaffendorf

Armée de l'air

  • Base aérienne 137[55] Coblence-Niedermendig (BA137) de 1945 à 1957[36]
  • manque les unités présente sur la base aérienne

Service de santé des armées

  • Hôpital militaire manque le numéro de l'unité "Andrè Curtillat-Lazarat"[36] de 1955 à 1957 (venant d'Andernach transféré a Treves)[26]

Gendarmerie d'occupation

  • Compagnie de la légion nord du manque la date d'arrivée au (renommée)
    • Compagnie de Coblence-Trèves du au (renommée)
    • Compagnie de Coblence-Trèves de la 1re légion du au manque l'année de départ (renommée)
    • Compagnie des provinces rhénanes de la 1re légion de manque l'année d'arrivée au (deviens)
    • Compagnie des provinces rhénanes de la 3e légion de à manque l'année de départ
Coblence-Pfaffendorf (de) voir Pfaffendorf
Constance
  • État-major de la 13e brigade motorisée
  • 413e bataillon de commandement et de soutien (413e BCS) de 1959 à 1977[123]
  • Groupe de liaison de Constance de au (dissolution)[124]

Armée de terre

  • 129e régiment d'infanterie (129e RI) de 1949 à 1977[123]
  • 34e régiment d'artillerie (34e RA)
  • 110e régiment d'infanterie coloniale (110e RIC) de 1949 à 1955 quartier Jean Bart (prés du quartier Vauban) renommé en
    • 21e régiment d'infanterie coloniale (21e RIC) de 1955 à manque l'année de départ
  • Groupe d'exploitation des transmissions 813 (GET813) de manque l'année d'arrivée (present en 1976) à manque l'année de départ (present en 1976)
  • 42e bataillon d'infanterie (42e RI) quartier Maugean de 1956 à (renommé)
    • 42e régiment d'infanterie mécanisée (42e RIM) quartier Maugean de 1958 à février 1960 (départ pour Radolfzell)
    • Bureau postal militaire 523 (BPM523) du au [48]
Armée de terre
  • 402e régiment d’artillerie antiaérienne (402e RAA)[125] du [126] (venant de Kehl) au [127] (départ pour Laon)[128]
Diez
  • Forces auxiliaires des FFA (FA-FFA) quartier de Gaulle[36] de manque l'année d'arrivé (present en 1957) à manque l'année de départ
Armée de terre
  • 730e compagnie de Munitions dépôt d'arméemanque le numéro (730e CMu/DAmanque le numéro) de manque l'année d'arrivé à manque l'année de départ, entre 1975 et 1979[129]
  • 204e compagnie d'intendance de groupement logistique (204e CIGL)[130], de 1970 à 1971[80], devenu
    • 615e compagnie d'intendance (615e CI)[130] de 1971 à 1978[80], devenu
    • 615e groupement d'intendance (615e GI)[36] de 1978 à 1984[80]
  • 613e compagnie d'intendance (613e CI) de 1971 à 1978[80](renommé)
    • 613e groupement d'intendance (613e GI) de 1978 à 1984[80] (renommé)
    • 613e groupement du commissariat de l'Armée de terre (613e GtCAT) de 1984 à 1994[80] (renommé)
    • 613e groupement logistique du commissariat de l'Armée de terre (613e GLCAT) de 1994[80] à manque l'année de départ
  • 110e régiment d'infanterie motorisé (110e RIC) de 1964 à 1984[36] (renommé)
    • 110e régiment d'infanterie (110e RI) de 1984 à 2004
  • Compagnie d'eclairage du 19e groupe de chasseurs portés (19e GCP) de manque l'année d'arrivé à manque l'année de départ
  • Bureau postal militaire 519B (BPM519B) du au [48]
  • Bureau postal militaire 519 (BPM519) du au [48]
  • Bureau postal interarmées 519 (BPM519) du au [48]

Service de santé des armées

  • 425e hôpital militaire de campagne (425e HMC) de 1949 (venant de Berlin) à manque l'année de départ, vraisemblablement
    • 354e hôpital complémentaire des armées "Henri Loinger" (354e HCA) du à manque l'année de départ (renommé)[réf. nécessaire]
    • 354e Hôpital des armées "Henri Loinger" (354e HA) de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
Armée de terre
  • 10e régiment du génie (10e RG) de 1948[59] à manque l'année de départ (present en 1953[59])
  • Bureau transport de la direction des transports militaires par voie ferrée (DTMVF) de 1960 à 1978[109]
Armée de terre
  • 20e bataillon de chasseurs portés (20e BCP) de 1945 à manque l'année de départ (present en 1959[36]) (départ pour Tübingen)
  • manque les unités présentes quartier Murgtal
  • 3e régiment de commandement et de soutien (3e RCS)

Etat major

  • État-major de la 3e division blindée

Armée de terre

  • 613e compagnie d'intendance (613e CI) de 1971 à 1978[80] (renommé)
    • 613e groupement d'intendance (613e GI) de 1978 à 1984[80] (renommé)
    • 613e groupement du commissariat de l'Armée de terre (613e GtCAT) de 1984[80] à 1992[36] (dissolution)
  • 53e bataillon de transmissions de 1958 à 1969 quartier Vauban[36]
    • 53e régiment de transmissions[131] de 1969 à 1992 quartier Vauban[36]
  • 110e bataillon d'infanterie (110e BI) de 1953 au (renommé en)
    • 110e régiment d'infanterie motorisé (110e RIM) de 1955 à 1955 (départ en AFN)
  • Bureau postal militaire 511 (BPM511) du au [48]

Matériel

  • 203e groupe réparation matériel de corps d’armée (203e GRMCA)[99] de manque l'année d'arrivée à 1985 regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat
  • 53e groupement réparation matériel (53e GRM) de manque l'année d'arrivée à 1985 regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat
    • 2e régiment du matériel (2e RMat) du [132] à 1992 quartier Chaudessolle et quartier Saint-Christophe

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)

  • Groupement ALAT de la 3e Division ('GALDiv 3)[72] de 1966 à 1978 puis
    • 2e régiment d’hélicoptères de combat (2e RHC) de 1978 à 1985
  • (3e escadrilles d'hélicoptères d'attaque)
  • (4e escadrilles d'hélicoptères d'attaque)
  • (5eescadrilles d'hélicoptères d'attaque)
  • 12e groupe d'hélicoptères légers (12e GHL) de 1978 à 1985[93]

soutien ALAT

  • 53e bataillon des services (53e BS) de 1960 à 1970[111] quartier Vauban[36] (renommé)
    • 83e régiment de soutien (83e RS) de 1970 à 1973[111] quartier Vauban[36]

Armée de l'air

  • Compagnie de contre-mesures 30.813 (CCM30.813) du au [133] (renommé)
    • Escadron de guerre électronique 30.813 (EGE30.813) du au [133] (renommé)
    • Escadron électronique 50.540 (EE50.540) du au [133] (départ pour Lahr)

Service de santé des armées

  • 352e Hopital des armées (352e HA "A. Limouzin"
  • manque le numeroBataillon de Commandement et de Soutien (??BCS)

Armée de terre

  • 5e régiment de dragons (5e RD) de 1964 à 1968
  • Groupe d'exploitation des transmissions 813 (GET813) de manque l'année d'arrivée (present en 1976) à manque l'année de départ (present en 1976)
  • 42e régiment d'infanterie (42e RI)
  • 730e compagnie de Munitions (730e CMu) de manque l'année d'arrivée à 1978 (renommée)
    • 730e groupement de Munitions (730e GMu) de 1978 à 1985 (dissolution)[134]
  • Bureau postal militaire 605 (BPM605) du au [48].

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)

  • 2e régiment d’hélicoptères de combat (2e RHC)
  • Ecadrille légère
  • 6e escadrille de manœuvre (6e EM)
  • 7e escadrille de manœuvre (7e EM)
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis algériens de reconnaissance (3e RSAR) de 1951 (venant de Coblence) à 1956 (départ pour Coblence)[53] , [135]
  • 5e régiment de hussards (5e RH) Quartier Général Lasalle de (venant de Coblence) à 1956 (transféré à Weingarten[120])
Armée de l'air
  • Escadron Electronique sol 07.054 (ESS07/054) (rattaché à la 54e EET) du au (positionné Hoher Bogen (de))[136]
Armée de terre et Bundeswehr

Armée de l'air

Tour de contrôle de la base de Bremgarten.
Armée de terre
  • 351e régiment d'artillerie (351e RA)
  • 531e compagnie sanitaire de transport (531e CST) du (venant de Bad Herrenalb) à manque l'année de départ (renommé)[104]
    • 531e compagnie sanitaire de réserve générale (CSRG) du au (renommé)[104]
    • 531e Escadron sanitaire de réserve générale (ESRG) du au (Dissolution)[104]
  • Centre de formation technique du train (CFTT) quartier Moncey[41] de 1949 ( venant de Bad Herenbald) au (transformé)
    • Groupement d'instruction technique du train (GITT) quartier Moncey[41] du au (transformé)
    • 163e Centre d'instruction du Train (CIT163) quartier Moncey[41] du à 1963 (transformé en)
    • Groupement d'instruction technique du train des forces françaises en Allemagne (GITTFFA) quartier Moncey de 1963 à 1966 (dissolution)[41]
  • Bureau postal militaire 416GA1 (BPM416GA1) du au [48]
Armée de terre
  • école d'application d'artillerie (EAA) Quartier Jeanne d'Arc de à 1952 (départ pour Mourmelon)[67]
  • 32e régiment d'artillerie (32e RA) Quartier Jeanne d'Arc et quartier Clappier de manque l'année d'arrivée à 1956 départ pour Coblence-Pfaffendorf[67]
  • 101e Groupe d’Observations d’Artillerie (101e GOA) de 1945 au manque l'année de départ[67]
  • 102e Groupe d’Observations d’Artillerie (102e GOA) du ( venant de Jungingen) à manque l'année de départ[67]
  • 481e groupe d'artillerie antiaérienne (481e GAA) de manque l'année d'arrivée (présent en 1952[36]) à manque l'année de départ[67]
  • 453e groupe d'artillerie antiaérienne (453e GAA) de 1949 (venant de Wittlich) à 1956 ( départ pour Müllheim)[92],[67]
  • 451e groupe d'artillerie antiaérienne (451e GAA)[36]
  • 421e forces territoriales antiaériennes (421e FTA)[36]
  • manque les unités présentes caserne Oberfeldwebel-Schreiber
Armée de terre
  • 5e régiment de cuirassiers (5e RC) de 1962 quartier Hoche Marceau[137] à 1992 (dissolution)[138]
  • Groupe de transport 385 (GT385) de 1947 (venant de Germersheim) à 1952 (transféré à Landau)[65]
  • 24e bataillon de chasseurs à pied (24e BCP) (ou (24e BCA)) de 1946 à 1951
  • Bureau postal militaire 520A (BPM520A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 525B (BPM525B) du au [48]
    • Bureau postal militaire 525 (BPM525) de au [48]
    • Bureau frontière P (BF P) du au [48] (départ pour Trève)

Matériel

  • 352e compagnie lourde de réparation automobile (352e CLRA) de manque l'année d'arrivée quartier Hoche Marceau au [139] (renommée)
    • 151e compagnie légère de réparation du matériel (151e CLRM) quartier Hoche Marceau du au (dissolution)[139]
  • 451e compagnie lourde de réparation du matériel (451e CLRM) de manque la date d'arrivé quartier Holtzendorff à 1951 (départ pour Coblence[140]
  • 251e bataillon de réparation du matériel (251e BRM) quartier Klebert du (venant de Saint Wendel)[44] à manque l'année de départ (present en 1957)
Armée de terre
  • Groupe de transport 521 (GT521) ou? (GTRG521) quartier Pagezy[141] de (venant d'Offenbourg) au [142] (regroupé avec le GT535 pour former le)[143]
  • Groupe de transport 535 (GT535) ou? (GTRG521) quartier Pagezy[141] de (venant d'Algerie) au [142] (regroupé avec le GT535 pour former le)[143]
    • 135e régiment du train (135e RT)[115] quartier Pagezy[141] de 1975 à 1991[119]
  • détachements de liaison de la direction des transports militaires par voie ferrée (DTMVF) de 1960 au [109]
  • Bureau postal militaire 121GA1 (BPM121GA1) quartier Pagezy[141] du au [48]
    • Bureau postal militaire 121A (BPM121A) quartier Pagezy[141] du au [48]
    • Bureau postal militaire 122 (BPM122) quartier Pagezy[141] du au [48]
Armée de terre
  • 32e régiment du génie (32e RG) (venant de Vieux-Brisach)
  • 10e régiment du génie (10e RG) de 1946 à 1954 (transféré à Vieux-Brisach)
  • 402e régiment d’artillerie antiaérienne (402e RAA)[128] du au [126], Quartier Voisin et quartier Bertin[127] (départ pour Dachau)[125],
  • Ecole de pilotage du Rhin (EPR) du à 1974[86] 'venant de Saint Goar[87] dissolution
  • Bureau postal militaire 510A (BPM510A) du au [48]
  • Bureau postal militaire 508 (BPM508) du au [48]

Matériel

  • 203e groupe réparation matériel de corps d’armée (203e GRMCA)[99]
Armée de terre / Matériel
  • 730e compagnie de munitions (730e CMu) du à 1978 (renommé)[36]
    • 730e groupement de Munitions dépôts d'armée 59 (730e GMu/DA59) de 1978 au (dissolution, renommé)[134]
    • 2e régiment du matériel dépôts d'armée 59 (2e RMat/DA59) du à 1992
Matériel
  • 605e compagnie magasin (605e CM) de (venant de Treves) au (renommée)[76]
    • 605e compagnie d’approvisionnement du service du matériel (605e CASM)[119] du au [144] (renommé)
    • 605e compagnie d'approvisionement et réparation du materiel (605e CARM) du [144] au (dissolution)
  • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)
Armée de terre
  • 3e régiment de spahis (3e RS) quartier Edon de 1963 (venant de Pforzheim) au (renommé)[53]
    • 6e régiment de dragons (6e RD) quartier Edon du à 1978 (départ pour Trèves)
  • 2e groupe de chasseurs (2e GC) quartier Edon de 1988 à 1992 (dissolution
Armée de l'air
  • Base aérienne 139 Lahr
    • bataillon de l'Air 01/139 (BA 01/139) du manque l'année d'arrivée au remplacée par[145]
    • base aérienne 178 (BA178) du au caserne Ménard départ pour Bremgarten[145]
  • Escadron de Livraison par Air 55 (ELA 55) de manque l'année d'arrivée, 1946? à 1967 caserne Ménard
  • 3e escadre de chasse (3e EC) de à [146] caserne Ménard
  • 11e escadre de chasse (11e EC) de 1952 à 1953
  • Escadron de guerre électronique (EGE) de manque l'année d'arrivée, 1946? à 1967 caserne Ménard
Landau
  • 5e régiment de commandement et soutien (5e RCS) de 1978 à 1993[147]

L'état major

Armée de terre

  • État-major de la 1re division blindée (de 1992 à 1993)
  • 19e bataillon de chasseurs portés (19e BCP) de manque l'année d'arrivée à 1956 (venant de Biberach) (départ pour l'Algérie)
  • 2e régiment d’artillerie (2e RA)
  • 708e bataillon de guerre électronique (708e BGE), (devenu)
    • 44e régiment de transmissions (44e RT)
  • 5e escadron d'éclairage divisionnaire (5e EED)
  • 7e régiment d'infanterie (7e RI)présent en 1970/1971
  • 8e régiment d'infanterie (8e RI)présent en 1970/1971
  • Chantier du détachement no 1 du 612e groupement d'intendance (612e GI) de 1983 à 1984[148] devenu
    • chantier du détachement no 1 du 612e groupe du commissariat de l'Armée de terre (612e GCAT) de 1984 à 1994[148]
  • Groupe de transport 385 (GT385) de 1952 à 1956 (venant de Kaiserslautern et transféré en Algérie)[65]
  • Bureau postal militaire 520 (BPM520) du au [48]
Etat major
  • 2e bureau (service de renseignement) de L'état major de l'Armée de terre[36]

Armée de terre

  • Dépôt du service des essences des armées (SEA) de manque l'année d'arrivée à 1992 (dissolution)[109]
Armée de terre
  • 110e régiment d'infanterie (110e RI) de 1949 à manque l'année de départ Caserne Luipold /Caserne Max
Armée de terre
  • 454e  groupe d'artillerie antiaérienne (454e GAA) du à 1951 (départ pour Müllheim)[71]
  • 601e  batterie d'emission de fumées (601e BEF)[149] de 1951 à 1957[36](départ pour Mayence)
Armée de terre
  • 601e  batterie d'emission de fumées (601e BEF) de 1957 à 1960[36](dissolution)

Aviation légère de l'Armée de terre ('ALAT)

unité(s) interarmes
  • École d'appui aérien ('EAA) de 1946 à 1951 (venant de Lindau)[73], renommée en
    • École des opérations aériennes combinées ('EOAC) de 1951 à 1955 (transféré à Baden)[112].
Armée de l'air, Base aérienne
  • Escadron d'engins 1/520 (EE1/520) Aérodrome de Mengen-Hohentengen de manque l'année d'arrivée à 1966 (dissolution)[150]
Müllheim
Armée de terre
  • 12e régiment de cuirassiers (12e RC) quartier Turenne de manque l'année d'arrivée (présent en même temps que le 53e RA avec lequel il partageait le casernement) à 1991 (dissolution)[109]
  • 454e groupe d'artillerie antiaérienne (454e GAA) de 1951 au [71], (dédoublé entre le)
    • 454e  groupe d'artillerie antiaérienne légère (454e GAAL) du au [71] (départ pour le Maroc) (et le)
    • 457e  groupe d'artillerie antiaérienne (457e GAA) du au [71] (départ pour l'Algérie)[151]
  • 453e groupe d’artillerie antiaérienne (453e GAA) quartier Turenne de 1956 (venant de Coblence) au [92] (renommé)
    • 453e groupe d’artillerie antiaérienne légère (453e GAAL) quartier Turenne du au [92] (renommé)
    • 53e régiment d’artillerie (53e RA) quartier Turenne du [92] à 1979 départ pour Vieux-Brisach[152]
  • 32e régiment d'artillerie lourde et d'engins (32e RALE) de 1957 (re création, retour d'affrique du nord) à 1962 (renommé)
    • 32e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (32e RALD) de 1962 à 1967 (transféré à Stetten)
  • 34e régiment d’artillerie (34e RA) de manque l'année d'arrivée à 1991 (dissolution)[109]
  • Bureau postal militaire 511GA1 (BPM511GA1) du au [48]
  • Bureau postal militaire 511A (BPM511A) du au [48]
  • Bureau postal militaire 513 (BPM513) du au [48]
  • Bureau postal militaire 416 (BPM416) du au [48]

Matériel

  • 203e groupe réparation matériel de corps d’armée (203e GRMCA) (venant de Vieux-Brisach) (départ pour Kehl)[36]

Armée de terre et Bundeswehr (Brigade franco-allemande)

  • bataillon de commandement et de soutien de la brigade franco-allemande (BCS-BFA) caserne Robert Schuman du (venant de Hartheim am Rhein (Bremgarten))
  • État-major de la Brigade Franco-allemande (EM-BFA) depuis le
  • Bataillon de logistique franco-allemand de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
  • 1er escadron de commandement et de logistique franco-allemandde manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
  • 1er escadron de soutien franco-allemand (1er ES-BFA)de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
  • 1er groupe de soutien (1er GS-BFA)de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
  • Compagnie d'état-major franco-allemand de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
Münsingen
garnison DE Müllheim

Armée de terre

  • 42e compagnie de camp (42e CC)
  • Détachement no 2 du 612e groupement d'intendance (612e GI)[148]
  • Bureau postal militaire 416A (BPM416A) du au [48]
  • Bureau postal militaire 412 (BPM412) du au [48]
Armée de terre
  • 1re batterie du 402e régiment d’artillerie antiaérienne[127] (402e RAA) du [126] (venant de Kehl) au [127] (départ pour Laon)[128]
Nahbollenbach (de)
Matériel
  • 605e compagnie magasin (605e CM) de 1946 à 1950[75] ,[76] (départ pour Treves)
Armée de terre
  • 16e groupe de chasseurs portés (16e GCP) puis
  • 2e groupe de chasseurs (2e GC)[131]
  • 611e compagnie d'intendance (611e CI) de manque l'année d'arrivée à 1978[148] devenu
    • 611e groupement d'intendance (611e GI) de 1978 à 1983[148] devenue ensuite
    • détachement no 1 du 612e groupement d'intendance (612e GI) de 1983 à 1984[148] devenu enfin
    • détachement no 1 du 612e groupement du commissariat de l'Armée de terre (612e GCAT) de 1984 à 1994[148]
  • Le 40e régiment de transmissions de 1969 à 1973 quartier Turenne
  • Bureau postal militaire 520B (BPM520B) du au [48]
  • Bureau postal militaire 528 (BPM528) du au [48]

Service de santé des armées

  • Hôpital d'évacuation militaire 412[26] (HEM412)[46]
  • 21e compagnie médicale (21e CM) de 1978[153] à 1984 quartier Turenne (renommée)
    • 21e compagnie médicale de corps d'armée (21e CMCA)[49] du 1984[154] à 1992 quartier Turenne (dissolution)
Matériel
  • Direction de l'inspection du matériel et unité détachement du matériel
Armée de terre
  • 4e batterie du 402e régiment d’artillerie antiaérienne[127] (402e RAA) du [126] (venant de Kehl) au [127] (départ pour Laon)[128]
Armée de terre
  • 43e régiment blindé d’infanterie de marine (43e RBIM) du au [155] (Johnny Hallyday y fit son service militaire)
  • 42e régiment d'infanterie (42e RI) du manque l'année d'arrivée (present le a 1991 venant de Wittlich (dissous en 1991)
  • 11e régiment d'artillerie (11e RA) du à 1991[156]
  • 64e batterie d'artillerie de corps d'armée (64e BACA)
  • 609e gestion mixte de subsistance (609e GMS) de 1947 à 1959[80]
    • 315e gestion mixte de subsistance (315e GMS) de 1959 à 1960[80]
    • 201e compagnie d'intendance (201e CI) de 1960 à 1971[80]
    • 612e compagnie d'intendance (612e CI) de 1971 à 1977 (transférée à Bühl)[80]
  • 616e compagnie d'intendance (616e CI) de 1977 à 1978
    • 616e groupement d'intendance (616e GI) de 1978 à manque l'année de départ
    • 614e groupement du commissariat de l'Armée de terre (614e GtCAT)
  • 1re compagnie de ravitaillement par air (CRA1) de 1947 à 1953[157] renommé
    • 1re Compagnie de Livraison par Air (CLA1) de 1953 à 1960 départ pour Montigny les Metz en France[157]
  • 2e compagnie de poste militaire (2e CPM)[110]
  • Bureau postal militaire 510 (BPM510) du au [48]

Matériel

  • 401e compagnie du matériel de manque l'année d'arrivée (present en 1963) à manque l'année de départ
  • 53e groupe de réparation du matériel (53e GRM) de manque l'année d'arrivée à 1985 regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat à Fribourg
    • 2e régiment du matériel (2e RMat) de 1985 à 1992 dépôts d'armée 58
Armée de terre
  • 502e groupe de transport (502e GT) du [36] à 1954[81] Camp Lyautey[36] (départ pour la Tunisie)
Pfaffendorf (de)
Armée de terre
  • 32e régiment d'artillerie (32e RA) Quartier Jeanne d'Arc de manque l'année d'arrivée (présent en 1952[103]) à 1956 départ pour la Tunisie
Armée de terre
  • 2e régiment de spahis algériens (2e RSA) de manque l'année d'arrivé (venant de Pirmasens) à 1956 (départ pour l'Algérie)
  • 3e régiment de spahis algérien de reconnaissance (3e RSAR) de 1956 (venant de Coblence) au , (renommé)[53]
    • 3e régiment de spahis (3e RS) du à 1963 (départ pour Lachen)[53] (remplacé par)
  • 3e régiment de hussards (3e RH)[115] de à 1996 (transféré à Immendingen)
  • Bureau postal militaire 508 (BPM508) du au [48]
Armée de terre
  • 42e régiment d'infanterie mécanisée (42e RIM) de 1960 à 1968 renommé
    • 3e régiment d'infanterie (3e RI) de 1968 à 1977 (dissous le )
Rammersweier (de)
Armée de terre
  • 2e compagnie de poste militaire (2e CPM)[110]
Armée de terre
  • 42e régiment de transmissions (42e RT) de 1959 à 1993 (départ pour Achern)
  • 6e régiment du matériel (6e RM) de 1985 à 1999
  • 23e régiment du génie (23e RG) de manque l'année d'arrivée à 1967 renommé
    • 11e régiment du génie (11e RG)[158] de 1967 à (dissolution)[109]
  • 301e groupementd’artillerie (301e GA) du [159] au [89] départ pour Villingen
  • 302e groupement d'artillerie (302e GA) du à 1959 (transféré à Radolfzell)[159]
  • Bureau postal militaire 121 (BPM121) du au [48]
Armée de terre
  • Un escadron du 5e régiment de hussards (5e RH) de 1956 à 1967 (quartier Margueritte)
  • 3e régiment de chasseurs d'Afrique (3e RCA) de 1948 à 1956 (départ pour l'Algérie)
Renchen
Armée de terre
  • 702e compagnie mixte des essences (702e CME)

Matériel

  • Atelier de mécanique et de réparations (AMER)
Armée de terre
  • 2e régiment de cuirassiers (2e RC)
  • 73e régiment d'artillerie blindée (73e RA) de 1960 au (dissolution, remplacée par)
  • 24e régiment d’artillerie (24e RA) du à 1992 (dissolution)
Marine nationale - Flottille du Rhin
  • Ecole de pilotage du Rhin (EPR) du [85] au [86] départ pour Kehl et transfers à l'Armée de terre (Genie)[87]
  • 401e bataillon commandement et soutien (401e BCS) de manque l'année d'arrivée à 1978 (dissolution)

Armée de terre

  • 1er régiment de cuirassiers (1er RC) de 1961 à 1999
  • Bureau postal militaire 525GA1 (BPM525GA1) du au [48]
    • Bureau postal militaire 525B (BPM525B) du au [48]
    • Bureau postal militaire 529 (BPM529) du au [48]
Armée de terre
  • 6e régiment de dragons (6e RD) de 1978 à ((dissolution))
  • 2e groupe de chasseurs portés (2e GCP)[131] puis
  • 16e groupe de chasseurs mécanisés (16e GCM) de 1968 à 1975 (venant de Neustadt) (renommé)
    • 16e groupe de chasseurs (16e GC) de 1975 à 2010 (départ pour Bitche)
  • 8e régiment d'artillerie de marine (8e RAMa) de 1960 au quartier De Lattre de Tassigny[160] (renommé)
    • 9e régiment d'artillerie de marine (9e RAMa) du à quartier De Lattre de Tassigny[160] (transféré à Treves)
  • Bureau postal militaire 525A (BPM525A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 526B (BPM526B) du au [48]
    • Bureau postal militaire 532 (BPM532) du au [48]
Armée de terre
  • détachements de liaison de la direction des transports militaires par voie ferrée (DTMVF) caserne Verdun de 1960 à 1968[109]
Armée de terre
  • 303e  groupement d'artillerie de marine 303e GAMA du à 1968 quartier Ney[161]
  • 601e batterie d'emission de fumées (601e BEF) de 1963 (reconstitution) à 1965[36] (dissolution)
Spire
Armée de terre
  • 22e régiment de spahis (22e RS) quartier Martin remplacé par
  • 21e régiment de spahis (21e RS) de 1961 à 1965quartier Martin renommé
    • 1er régiment de spahis (1er RS) de 1965 à 1984quartier Martin départ pour Valence en France
  • 32e régiment du génie (32e RG) de manque l'année d'arrivée à 1973 caserne Normand remplacé par
  • 10e régiment du génie (10e RG)[131] de 1973 à 1997 caserne Normand (venant de Vieux-Brisach) dissolution
  • Unité d'artillerie manque son identification dans les années 1960
  • Bureau postal militaire 520GA1 (BPM520GA1) du au [48]
    • Bureau postal militaire 520A (BPM520A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 524 (BPM524) du au [48]

Matériel

  • 155e compagnie légère de réparation du matériel (155e CLRM) quartier Lyautey devenue ensuite
    • 608e compagnie de réparation du Matériel (608e CRM) quartier Lyautey
Armée de terre
  • 32e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (32e RALD) camp du Heuberg de 1967 à 1974 (venant de Müllheim)
  • 5e régiment de hussards (5e RH) de 1975 à camp du Heuberg (venant de Weingarten)(transformé en)
    • 3e régiment de dragons (3e RD)[131] de à camp du Heuberg (dissolution)
  • Escadron d’éclairage divisionnaire no 3 (EED3) du à 1994 camp du Heuberg
  • Bureau postal militaire 519A (BPM519A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 521 (BPM521) du au [48]

Matériel

  • 730e compagnie de munitions (730e CMu) de 1978 à 1985[36] regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat à Fribourg
    • 2e régiment du matériel (2e RMat) de 1985 à 1992 dépôts d'armée 63

Armée de terre et Bundeswehr

Matériel
  • 603e compagnie d’approvisionnement du service du matériel (603e CASM/CARM) de manque l'année d'arrivée (présent en 1978[162]) à 1985 quartier Ingénieur-général-Pradere regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat à Fribourg
Trèves
Armée de terre

État-major de la 1re division blindée (de 1951 à 1992)

  • 481e groupe d'artillerie antiaérienne (481e GAA) de 1951 (venant de Châlon-sur-Marne) à 1953 (départ pour Idar-Oberstein)[114]
  • 8e régiment d'artillerie de marine (8e RAMa) de 1964 à 1964[163]
  • 9e régiment d'artillerie de marine (9e RAMa) du à 1992[163] quartier du Belvédère (venant de Saarburg) (dissolution)
  • 13e bataillondu génie (13e BG) de 1951 à 1960 quartier Finat-Duclos, quartier Bertard,quartier Castelnau (renommé)
    • 13e régimentdu génie (13e RG) de 1960 au quartier Finat-Duclos, quartier Bertard,quartier Castelnau
  • 12e groupe d'hélicoptères légers (12e GHL) de 1978 à 1992[93]
  • 605e compagnie de magasin (605e CM) de 1950 au [76] (départ pour Konz)
  • 201e groupement de réparation du matériel de corps d’armée (201e GRMCA') de manque l'année d'arrivée au [164], deviens
    • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)
  • Centre Entraînement Commando no 7
  • 610e compagnie d'intendance (610e CI) de à [124] (renommé)
    • 610e groupement d'intendance (610e GI) de 1978 à 1984[80] (renommé)
    • 610e groupement du commissariats de l'Armée de terre (610e GtCAT) de 1984[80] à manque l'année de départ
  • Centre d’instruction des blindés
  • 51e bataillon de transmissions (51e BT) quartier Casablanca de 1960 à 1976[163] (renommé)
    • 51e régiment de commandement et de transmissions (51e RCT) quartier Casablanca de 1976[163] à 1978 (renommé)
    • le 51e régiment de transmissions (51e RT) quartier Casablanca de 1978 à 1984 (départ pour Compiègne)
  • 61e régiment d'artillerie (61e RA) du au ( venant de Morhange en France)
  • 51e bataillon des services (51e BS) de 1964 à 1977[163]
  • 1er régiment de commandement et de soutien (1er RCS) de 1977 à 1999[163]
  • 251e compagnie de circulation routière (251e CCR) du 1964 à 1977[163]
  • 81e régiment de soutien du train (81e RST) de manque l'année d'arrivé, present en 1975 à manque l'année de départ Quartier Castelnau[165]
  • Bureau postal militaire 526GA1 (BPM526GA1) à Trèves-Feyen du au [48]
    • Bureau postal militaire 526C (BPM526C) à Trèves-Feyen du au [48]
  • Bureau postal militaire 526 (BPM526) à Trèves du au [48]
    • Bureau frontière P (BF P) du au [48].

Matériel

  • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)

aviation légère de l'Armée de terre (ALAT)

  • Groupe d'aviation légère divisionnaire 1 (GALDiv1) de 1964[163] à (renommé)[93]
    • 12e groupe d'hélicoptères légers (12e GHL) de base de Föhren-Hetzerath à (départ pour Baden)[93]

Service de santé des armées

  • Hôpital militaire d'évacuation [manque le numéro de l'unité et son nom][26] devenu
    • 353e hôpital des armées "André Genet" (353e HA) de 1949 à manque l'année de départ (renommé)
    • 353e hôpital de zone des armées "André Genet" (353e HZA) du manque l'année d'arrivée à 1992 (dissolution)
  • 81e bataillon médical (81e BM) du manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ (avant 1998)
  • 405e bataillon de commandement et de soutien (405e BCS) de manque l'année d'arrivée à 1978

État-major

  • État-major de la 5e brigade blindée (5e BB)

Armée de terre

  • 12e régiment de cuirassiers (12e RC)[131] (transféré à Müllheim) remplacé par
  • 5e régiment de dragons (5e RD)
  • 20e bataillon de chasseurs portés (20e BCP) de manque l'année d'arrivé à 1960 quartier Maud'huy, remplacé par
  • 24e groupe de chasseurs portés (24e GCP) (ou (24e BCA)) de 1960 à 1968 quartier Maud'huy, renommé
    • 24e groupe de chasseurs mécanisés (24e GCM) (ou (24e BCA)) de 1968 à 1975 quartier Maud'huy, renommé
    • 24e groupe de chasseurs (24e GC) (ou (24e BCA)) de 1975 à 1991 quartier Maud'huy (dissolution)
  • Annexe de la 42e compagnie de camp (42e CC)
  • Détachement du 612e groupement d'intendance (612e GI)[148]
  • 55e compagnie légère de réparation du matériel ('55e CLRM) de 1970 à 1973[166], renommé
    • 405e compagnie légère de réparation du matériel ('405e CLRM) de 1973 à 1978 (dissolution)[166]
  • Bureau postal militaire 416 (BPM416) du au [48]

Service de santé des armées

  • hôpital militaire Émile-Roux
  • 405e bataillon des services (compagnie médicale) (405e BS)
Armée de terre
  • 10e régiment du génie (10e RG)[131] du [60] à 1973 (transféré à Spire)
  • 32e régiment du génie (32e RG) caserne Vauban de 1973 à 1978 [59] (départ pour Kehl)
  • 53e régiment d’artillerie (53e RA) [115] du [167] (venant de Mülheim) à 1997 (dissolution)
  • Centre d'entrainement commando n°4 du manque l'année d'arrivée (present en 1957)[36] à 1980[167](renommé)
    • 131e régiment d'infanterie (131e RI) de 1980[167] à 1992[60] (dissolution)
  • 53e régiment d'infanterie (53e RI) de 1978 à 1997[59] (dissolution)
  • Dépôt du Service des essences des armées (SEA) de manque l'année d'arrivée (present en 1989) à manque l'année de départ[96]
  • Bureau postal militaire 511B (BPM511B) du au [48]
    • Bureau postal militaire 518 (BPM518) du au [48]

Matériel

  • 203e groupement de réparation du matériel de corps d'armée (203e GRMCA)[99] de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ
  • 2e régiment du matériel (2e RMAT) du à 1992
Armée de terre
  • 12e régiment d’artillerie (12e RA) de fin 1949 à 1955 quartier Lyautey et quartier Mangin[89] ( départ pour l'Algérie)
  • 32e régiment d’artillerie (32e RA) de 1955 à 1959 quartier Lyautey et quartier Mangin[89]
  • 301e groupementd’artillerie (301e GA) du à 1970 quartier Lyautey[89]
  • 50e régiment d’artillerie (50e RA) du au quartier Lyautey[89]
  • 3e bataillon du 4e régirnent de tirailleurs marocains (4e RTM) de 1956 à quartier Mangin[89] (renommé),
    • 6e régirnent de tirailleurs marocains (6e RTM) du au quartier Mangin[89] (dissolution)
  • 19e groupe de chasseurs portés (19e GCP) du au quartier Mangin[89] (renommé),
    • 19e groupe de chasseurs motorisés (19e GCM) du au quartier Mangin[89] (renommé),
    • 19e groupede chasseurs (19e GC) du au quartier Mangin de 1973 a 1996 et quartier Lyautey de 1976 à 1996 (dissolution)[89]
  • Bureau postal militaire 519 (BPM519) du au [48]
    • Bureau postal militaire 519B (BPM519B) du au [48]
    • Bureau postal militaire 522 (BPM522) du au [48]

Matériel

  • 203e groupe réparation matériel de corps d’armée (203e GRMCA) du [99], à 1985 regroupé avec d'autres au sein du 2e RMat à Fribourg[89]
Aviation légère de l'Armée de terre (ALAT)

Le soutien est assuré par :

  • la 671e compagnie de réparation de l'aviation légère d'observation de l'artillerie ('671e CRALOA) de 1952 à 1956[108], renommé
    • 671e compagnie de réparation de l'aviation légère de l'Armée de terre ('671e CRALAT) de 1957 à 1958[108],
  • Manque le soutien de 1958 au
Weingarten
Armée de terre
  • 5e régiment de hussards (5e RH) de 1956 à 1975 quartier Gallifet (venant de Fritzlar) (transféré à Stetten am kalten Markt)
  • 32e régiment d'artillerie (32e RA) quartier Galliffet de 1974 à 1976[36]
  • 3e régiment de chasseurs d'Afrique (3e RCA) de 1948 à 1956 (départ pour l'Algérie)
  • Bureau postal militaire 605GA1 (BPM605GA1) du au [48]
Wengerohr (Voir garnison de Wittlich)
Armée de terre
  • 503e régiment de chars de combat (503e RCC) de 1955 à 1956[168] cantonné Caserne Gaffey ou(et) Caserne Lloyd manque precision sur le casernement
Armée de terre
  • Groupe d'exploitation des transmissions 813 (GET813) de manque l'année d'arrivée à 1970
  • 50e régiment de Transmissions (50eRT) de manque l'année d'arrivée (présent de 1988 à 1991) à manque l'année de départ (présent de 1988 à 1991)[36]
Armée de terre
  • 8e bataillon de chasseurs (8e BC) de 1951 à 1968 Quartier Foch et quartier Malleret (renommé)
    • 8e groupe de chasseurs mécanisés (8e GCM) de 1968 à 1975 Quartier Foch et quartier Malleret[36] (renommé)
    • 8e groupe de chasseurs (8e GC) de 1975 à 1999 Quartier Foch et quartier Malleret
  • 51e régiment d'artillerie (51e RA) du 1979 à 1993 Quartier Foch[36] (dissolution)
  • 32e régiment d'artillerie (32e RA) de manque l'année d'arrivée à manque l'année de départ départ pour Coblence
  • Bureau postal militaire 526 A (BPM526A) du au [48]
    • Bureau postal militaire 530 (BPM530) du au [48]
  • 42e régiment d'infanterie (42e RI) de juillet 1968 à manque l'année de départ venant de Radolfzell et Friedrichafen, départ pour Offenboug

Matériel

  • 733e compagnie de munitions (733e CMu) de 1968 à 1978 caserne de Wengerohr (de)[169], renommée
    • 733e groupement de munitions (733e GMu) de 1978 à manque l'année de départ caserne de Wengerohr (de)[169]
  • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)
Zweibrücken (Deux-Ponts)
Armée de terre
  • 42e régiment de transmissions (42e RT) de 1947 à 1962 quartier Leduc renommé quartier Canrobert (transféré à Rastatt et Achern)
  • Bureau postal militaire 525 (BPM525) du au [48]

Garnisons des forces françaises stationnées en Allemagne (FFSA) du à 1999

Un effectif total de 25 000 hommes est réparti dans les quinze garnisons suivantes :

Explications sur le classement des unités militaires dans cette section

Pour afficher les unités présentes dans chaque garnison, cliquez sur [afficher] (du fait des changements de casernements, une même unité peut apparaître à plusieurs endroits) (Listes à compléter, votre aide est la bienvenue) :

Insigne de la brigade franco-allemande.
Armée de terre
  • 42e régiment de transmissions (42e RT) du (venant de Rastatt) au (transféré à Laval)
  • 5e compagnie de transmission divisionnaire (5e CTD) de 1993 à 1998[36]
État-major
  • état-major des forces françaises stationnées en Allemagne
  • état-major de la 1re division blindée

Armée de terre

  • 5e régiment de commandement et de soutien (5e RCS) de 1993 à 1999 (venant de Landau, dissolution)
  • Escadrille de liaison des forces françaises stationnées en Allemagne (EL-FFSA)
  • Escadrille des forces françaises stationnées en Allemagne (E-FFSA)
  • Bureau postal militaire 507 (BPM507) du au [48] à Baden-Oos
Bühl
Armée de terre
  • 2e groupement logistique du commissariat à l'Armée de terre (2e GLCAT) de 1994 à 1999
  • 2e compagnie de poste militaire (2e CPM) du au (Quartier Pennanec'h)[36] (Dissolution)
Armée de terre
  • 110e régiment d'infanterie (110e RI) de 1984 au (dissolution)
Armée de terre
  • 3e régiment de hussards (3e RH) caserne Oberfeldwebel-Schreiber[170] de 1996 (venant de Pforzheim) à 2011 (départ pour Metz en France)
Landau
Armée de terre
  • 2e régiment d'artillerie (2e RA) de manque l'année d'arrivée à 1999 (dissolution)
Müllheim
État-major

Armée de terre et Bundeswehr

Armée de terre

  • Bureau postal militaire 416 (BPM416) du au [48]
Armée de terre
  • 3e régiment de hussards (3e RH) de à 1996 (transféré à Immendingen)
  • Bureau postal militaire 508 (BPM508) du au [48] .
Armée de terre
  • 16e groupe de chasseurs (16e GC) de 1975 à 2010 (transféré à Bitche)
  • Bureau postal militaire 532 (BPM532) du au [48]
Matériel
  • 7e régiment du matériel (7e RMat) du au (dissolution)
  • 6e régiment du matériel (6e RM) de 1985 à 1999 (transféré à Phalsbourg)
Armée de terre
  • 1er régiment de cuirassiers (1er RC) de 1961 à 1999
Spire
Armée de terre
  • 10e régiment du génie (10e RG) de 1973 à 1997 caserne Normand (venant de Vieux-Brisach) dissolution
Armée de terre
  • 3e régiment de dragons (3e RD) de à camp du Heuberg (dissolution)
Trèves
Armée de terre
  • 61e régiment d'artillerie (61e RA) du au (dissolution)
  • 13e régimentdu génie (13e RG) de 1960 au quartier Finat-Duclos, quartier Bertard,quartier Castelnau (départ pour Epernay en France)
Armée de terre
  • 53e régiment d'artillerie (53e RA)
Armée de terre
  • 8e groupe de chasseurs (8e GC) de 1975 à 1999 Quartier Foch et quartier Malleret (Dissolution)

Garnisons des forces françaises et élément civil stationnés en Allemagne (FFECSA) à partir de 1999

Au début des années 2000, un effectif total de 4 400 hommes se répartit dans les garnisons suivantes :

Explications sur le classement des unités militaires dans cette section

Pour afficher les unités présentes dans chaque garnison, cliquez sur [afficher] (du fait des changements de casernements, une même unité peut apparaître à plusieurs endroits) (Listes à compléter, votre aide est la bienvenue) :

État-major
  • Antenne de commandement des FFECSA (depuis 2015)
Armée de terre et Bundeswehr (Brigade franco-allemande)
  • 110e régiment d'infanterie (110e RI) de 1984 au (dissolution)

État-major

  • Antenne de commandement des FFESCA de 1999 à 2015 (départ pour Breisach)
Armée de terre et Bundeswehr
  • Centre de formation franco-allemand du personnel technico-logistique du Tigre (CFA-PTL) depuis 2003
Armée de terre et Bundeswehr (Brigade franco-allemande)
  • 3e régiment de hussards (3e RH) de 1996 à 2011 (départ pour Metz)
Müllheim
État-major

Armée de terre et Bundeswehr (Brigade franco-allemande)

Unités interarmes

Armée de terre
  • 16e groupe de chasseurs (16e GC) de 1975 à 2010 (départ pour Bitche)
  • section maintenance mobilité de la 1re compagnie de maintenance mobilité du 1er régiment du matériel jusqu'en 2010 (départ pour Woippy)

Unités interarmes

  • Bureau postal militaire 532 (BPM532) du au [48]
  • Bureau postal interarmées 532 (BPI532) du au [48]
  • voir la légende ci-après
    Caserne de la Brigade franco-allemande (Quartier Oberfeldwebel Schreiber) à Immendingen
  • voir la légende ci-après
    Exercice de l'OTAN Combined Endeavor 2007 concernant les communications.
  • voir la légende ci-après
    Soldat français s'entraînant pour une mission au Joint Multinational Readiness Center de l'OTAN à Hohenfels dans le district du Haut-Palatinat en 2008.
  • voir la légende ci-après
    Un militaire français armé d'un Famas dans le même centre s'entraînant pour les Operational Mentoring Liaison Team (équipe de liaison et de tutorat opérationnel-ELTO).

Depuis la dissolution du 110e régiment d'infanterie le , il reste environ 500 militaires français en Allemagne, équilibrant ainsi le contingent allemand en Alsace (291e Jägerbataillon de la BFA en garnison à Illkirch-Graffenstaden depuis 2010).

Bases aériennes françaises en Allemagne

F-100D de l'escadron de chasse 1/3 Navarre de la 3eescadre de chasse à Lahr en 1965.

Les dernières bases sont fermées depuis 1994 :

  1. Base aérienne 136 Friedrichshafen (dissoute en 1954) ;
  2. Base aérienne 136 Bremgarten (dissoute en 1968) ;
  3. Base aérienne 137 Coblence[55]. ;
  4. Base aérienne 139 Lahr (dissoute en 1967) ;
  5. Base aérienne 165 Berlin Tegel (dissoute en 1994) ;
  6. Base aérienne 178 Achern (dissoute en 1994) ;
  7. Base aérienne 243 Stetten (BA 520 à partir de 1964) ;
  8. Base aérienne 253 Fribourg ;
  9. Base aérienne 257 Friedrichshafen ;
  10. Base aérienne 520 Stetten (BA 243 jusqu'en 1964) ;
  11. Base aérienne 521 Friedrichshafen-Lowental ;
  12. Base aérienne 903 Friedrichshafen .

Statut juridique des forces françaises en Allemagne après 1945

Les accords suivants régissent la présence des forces des États de l'OTAN postés en Allemagne sur la base d'un traité international :

  • Le NATO Status of Forces Agreement (SoFA) du (Convention entre les États parties au traité de l'Atlantique nord sur le statut de leurs forces)[171]
  • L'accord supplémentaire au SoFA du (accord sur le supplément à l'accord concernant les parties de traité de l'Atlantique nord en respect des forces étrangères stationnées dans la république fédérale d'Allemagne, Federal Law Gazette 1961 II p. 1218)[172].

Notes et références

Notes

  1. a et b Les abréviations utilisées pour les fonctions dans le tableau sont les suivantes :
    • CCFA : commandant en chef français en Allemagne
    • CSTOA : commandant supérieur des troupes d’occupation en Allemagne
    • CCFFA : commandant en chef des forces françaises en Allemagne
    • CFFSA : commandant des forces françaises stationnées en Allemagne.
  2. Abréviations utilisées : « G. A. » pour général d’armée ; « G. CA. » pour général de corps d’armée, « G. DIV. pour général de division. Pour mémoire, « général de corps d'armée » et « général d'armée » ne sont pas exactement des grades de l'Armée française mais des rangs et appellations pour des généraux ayant le « grade » de général de division, ceci depuis leur création entre les deux guerres mondiales.
  3. Général commandant la 1re armée du au , date de sa dissolution.
  4. Décédé le lors d'un accident de chasse.
  5. Décédé le lors d'un accident de la route.

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Voir aussi

Bibliographie

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  • Suzie Guth, Les forces françaises en Allemagne. La citadelle utopique, L'Harmattan, Paris, 1991 (ISBN 2-7384-1127-4)
  • Forces françaises stationnées à Berlin, Berlin, des Français au service de la liberté, SIRPA-TERRE, 1994
  • Benoît Haberbusch, "Le détachement de gendarmerie de Berlin, 1945-1994", dans Le musée des Alliés de Berlin ou Berlin et la liberté préservée (1945-1989), Berlin, Musée des Alliés, 2002, p. 234-240.
  • Élisabeth Lambert Abdelgawad, Juridictions militaires et tribunaux d'exception en mutation : perspectives…, Éditions des archives contemporaines 2007
  • Hélène Perrein-Engels (thèse sous la direction de Bernard Reitel), La présence militaire française en Allemagne de 1945 à 1993 - Étude de géographie humaine, Université de Metz, , 397 p., PDF (lire en ligne)

Articles connexes

Sur les forces de l'OTAN en RFA
Sur les forces du Pacte de Varsovie en RDA

Liens externes

  • Élément organique du 2e corps d'Armée
  • Cercle national des anciens militaires français stationnés en Allemagne. Association dont les objectifs poursuivis sont soutenus par les grandes autorités de l'État français
  • Site Officiel du 5e régiment de cuirassiers de Kaiserslautern
  • Anciens des forces françaises en Allemagne et en Autriche
  • Des forces françaises en Allemagne à l'Eurocorps, Karl-Heinz Bender, 1994
  • Fédération nationale des anciens des forces françaises en Allemagne et en Autriche
  • Les Anciens des forces françaises à Berlin
  • Le 6e RD à Neustadt
  • Le 2e GC à Neustadt
  • 46e régiment d'infanterie Berlin
  • 3e régiment de dragons Stetten
  • L'annuaire des anciens des FFA/FFSA - Se retrouver et Partager
  • 5e régiment de hussards Weingarten
  • - VAFOR - Vétérans des armées françaises outre-Rhin et vétérans de la guerre froide 1945 - 1991
  • Forum-ffadiscussions et échanges entre anciens des FFA & FFSA - Fierté- Fidélité- Amitié
  • « Amicale des anciens de la mission militaire française de liaison près du haut commandement soviétique en Allemagne », mmflpotsdam.free.fr
  • « Base de données sur l'ALAT (historiques, tableaux des unités, liste des commandants, insignes, patchs, avions, hélicoptères, etc. », Christian Malcros
  • Bibliographie : Le Train militaire français de Berlin - TMFB 1945-1994, Michael Bayer & Pierre Gernez, 2024. https://nouveautes-editeurs.bnf.fr/accueil?id_declaration=10000000966281&titre_livre=Le_Train_Militaire_Fran%C3%A7ais_de_Berlin [archive]. Commande via [email protected]
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