Eygalayes

Eygalayes
Eygalayes
Cimetière National d'Eygalayes regroupant 35 tombes des maquisards du Ventoux fusillés le 22 février 1944.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Éric Lyobard
2022-2026
Code postal 26560
Code commune 26126
Démographie
Gentilé Eygalayais
Population
municipale
90 hab. (2021 en augmentation de 18,42 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 14′ 24″ nord, 5° 36′ 30″ est
Altitude Min. 722 m
Max. 1 484 m
Superficie 17,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives 3e circonscription de la Drôme
Localisation
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Eygalayes
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Liens
Site web https://eygalayes.fr
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Eygalayes est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

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Eygalayes est situé à l'extrême sud-est de la Drôme à 8 km de Séderon.

La commune est desservie par la ligne d'autocars no 43 (Laragne - Mévouillon)[1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Les Omergues, Ballons, Izon-la-Bruisse, Lachau, Montfroc, Séderon et Vers-sur-Méouge.

Carte
Les limites communales de Eygalayes et celles de ses communes adjacentes.

Géologie et relief

  • Montagne de Palle (1484 m)[2].
  • Col Saint-Jean (1159 m).

Hydrographie

  • La Méouge ;
  • le Riançon, affluent de la Méouge ;
  • L'Eygalayes : ruisseau qui a sa source sur la commune d'Izon et se jette dans la Méauge [Méouge], sur la commune d'Eygalayes, après un cours de 6,8 kilomètres. En 1891, il avait une largeur moyenne de 15 m, une pente de 408 m, un débit ordinaire de 0.10 m3, extraordinaire de 62 mètres cubes[3].

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat d'Auvergne-Rhône-Alpes et Climat de la Drôme.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 973 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Séderon à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages

  • Rives de la Méouge[2].

Urbanisme

Typologie

Eygalayes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), terres arables (8,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 98, alors qu'il était de 88 en 2013 et de 90 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 46,2 % étaient des résidences principales, 51,8 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Eygalayes en 2018 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (51,8 %), très supérieure à celle du département (8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,8 % en 2013), contre 61,9 % pour le Drôme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Eygalayes en 2018.
Typologie Eygalayes[I 1] Drôme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 46,2 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 51,8 8 9,7
Logements vacants (en %) 2,1 8,6 8,2

Toponymie

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1344 : Aiquelaye (archives de la Drôme, E 2093).
  • 1507 : L'universitat d'Aygolayo (archives de la Drôme, E 3045).
  • 1513 : Aquelaye (archives de la Drôme, E 2557).
  • 1516 : Argueleya (pouillé de Gap).
  • 1516 : mention de la paroisse : Cura de Argualeya et Gaudichardo (pouillé de Gap).
  • 1527 : Aigalaye (archives de la Drôme, E 1093).
  • 1581 : Eyyalayes et Gaudissart (archives de la Drôme, E 3048).
  • 1603 : Eygalaye les Gaudichart (archives de la Drôme, E 3058).
  • XVIIe siècle : Esgalhie et Esgalaye (parcellaire).
  • XVIIIe siècle : Esgallaye (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 289).
  • 1891 : Eygalayes, commune du canton de Séderon.

Le nom de la commune viendrait de aqua (eau) et laye (forêt en langue romane)[2].

Histoire

Article connexe : Histoire de la Drôme.

Préhistoire

Découverte d'outils de l'âge du Bronze[2].

Du Moyen Âge à la Révolution

Terre qui porta pendant longtemps le nom de Gaudissard (voir ce nom), et dont une partie était en Dauphiné, bien que le gros de la terre fût en Provence[16].

  • Après un différend avec les contrées voisines, le village de Gaudissard qui comportait un château sis sur une colline fut complètement rasé vers 1302. Un nouveau village fut construit non loin de là. Son nouveau nom apparaît dès 1346 comme étant celui d'Ayguelaye[17]. Une partie du village se trouve en Dauphiné (rive gauche du Riançon) et une autre en Provence (rive droite du Riançon, ru affluent de la Méouge).

La seigneurie[16] :

  • 1254 : possession des Rambaud (Raimbaud).
  • 1302 : possession des Pontevez.
  • La partie provençale est alors acquise par les comtes de Provence qui l'inféodent aux Baux de Brantes
    • 1394 : cette portion passe aux Sault.
    • 1477 : les Sault sont remplacés par Dominique Simon dit Seramusse.
    • Les Sault laisse leur portion aux Isoard de Chanarilles.
    • 1597 environ : vendue aux La Tour-Gouvernet, derniers seigneurs d'Eygalayes.
  • La partie dauphinoise.
    • Possession des Mévouillon.
    • Vers 1308 : passe aux Adhémar (elle leur appartient encore en 1478).
    • Vraisemblablement acquise par les La Tour-Gouvernet en même temps que la partie provençale.

1300 (démographie) : environ 37 familles[16].

1787 (démographie) : 400 habitants[16].

Avant 1790, Eygalayes était du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix, viguerie et recette de Sisteron. La paroisse fait partie du diocèse de Gap, dont l'église était dédiée aux saints Fabien, Sébastien et Jacques, et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu (voir Le Prieuré)[16].

Gaudissard

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 1299 : Universita de Gaudissardo (archives de la Drôme, E 3093).
  • 1301 : De Gaudeysardo (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
  • 1344 : Castrum de Gaudissardo (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
  • 1516 : mention de la paroisse : Cura de Argualeya et Gaudichardo (pouillé de Gap).
  • 1548 : Goudisard (archives de la Drôme, E 3330).
  • 1588 : Goudisart (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
  • XVIe siècle : Godichard (Lacroix : L'arrondissement de Nyons, 291).
  • 1603 : Gaudichard (archives de la Drôme, E 3053).
  • 1891 : Gaudissard, quartier de la commune d'Eygalayes.

Ancien chef-lieu de la communauté et paroisse d'Eygalayes[18].

Le château, ruiné en 1302, semble avoir formé à l'origine un fief distinct qui, possédé tout d'abord par les barons de Mévouillon, fut donné aux Baux, en 1302, par le comte de Provence et passa ensuite par alliance aux Adhémar[18].

Le Prieuré

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

  • 1115 : Ecclesia de Serreriis (archives de la Drôme, fonds de Saint-Ruf).
  • 1302 : Ecclesia et claustrum de Cereriis (archives de la Drôme, E 3152).
  • 1503 : Prioratus Sancti Jacobi de Sarreriis loci Aquelaye (Taulier, notaire à Valence).
  • 1516 : Prioratus de Argualeya et de Gaudichando (pouillé de Gap).
  • 1588 : Le prioré de Goudissart (archives de la Drôme, E 3330).
  • 1891 : Le Prieuré, ferme et quartier de la commune d'Eygalayes.

Emplacement d'un ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, congrégation de Saint-Ruf, dit, tour à tour, de Serrières, de Gaudissard et d'Eygalayes, et dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de la paroisse d'Eygalayes[19].

Révolution française et Empire

En 1790, Eygalayes est compris dans le canton de Montauban; mais la réorganisation de l'an VIII le fait entrer dans celui de Séderon[16].

Époque contemporaine

Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune est concernée par le Maquis Ventoux.

Article détaillé : Maquis Ventoux.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Séderon[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nyons et Baronnies

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Drôme.

Intercommunalité

Eygalayes était membre de la petite communauté de communes des Hautes Baronnies, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

L'article histoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination des maires de la commune.
Liste des Maires jusqu'en 1945[21]
Date Nom du maire Date de naissance Nombre d'électeurs inscrits Nombre de votants Nombre de suffrages exprimés Nombre de suffrages pour le maire
1831 Jean-François Roux 1er avril 1788 44
1834 Jean-François Roux 1er avril 1788 60
1837 Pierre Denis Paul Vial 13 octobre 1789 40
1840 Pierre Denis Paul Vial 13 octobre 1789
1843 Jean-François Roux 29 janvier 1814 30
1846 Jean-François Roux 29 janvier 1814 37
1848 Jean-François Roux 29 janvier 1814 118 82
1852 Jean-François Roux 29 janvier 1814 134 59 30 58
1855 Jean-François Roux 29 janvier 1814 130 60 60 59
1860 Jean-François Roux 29 janvier 1814 114 78 78 77
1865 Jean-François Roux 29 janvier 1814 142 126 126 100
1870 Jean-François Roux 29 janvier 1814 128 102 102 96
1871 Jean-François Roux 29 janvier 1814 126 102 102 91
1874 Jean-François Roux 29 janvier 1814 108 72 37 69
1876 Jean-François Roux 29 janvier 1814 120 84 81
1878 Bertrand Joseph 19 septembre 1821 123 100 100 90
1881 Joseph Bertrand 19 septembre 1821 98 93 90
1884 Fortuné Gabert 16 mars 1831 90 87
1885 Fortuné Gabert 16 mars 1831 100 64 63 60
1888 Joseph Bertrand 9 février 1821 105 97 93 88
1892 François Roux 3 décembre 1851 87 87
1896 François Roux 3 décembre 1851 88 62
1900 Désiré Girard 12 septembre 1842 92 91 50
1904 Désiré Girard 12 septembre 1842 91 79 54
1906 Lucien Pascal 1854 92 58 58 49
1908 Lucien Pascal 1854 96 81 78
1912 Lucien Delhomme 22 octobre 1875 97 88 88 45
1913 Lucien Delhomme 22 octobre 1875 98 78 78
1919 Lucien Delhomme 22 octobre 1875 77 56 54 51
1922 Martial Jean 16 octobre 1886 79 44 32
1925 Aimé Esseric 11 avril 1855 66 50 49 26
1928 Aimé Esseric 11 avril 1855 63 52 52
1929 Joseph Bernard 1884 63 45 45 38
5 mai 1929 Joseph Bernard 1884 43 43 42
1935 Fernand Girard 64 58 58 36
 
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 mars 2001 André Nicolas PS  
mars 2001 mars 2008 Jacques Laurent    
mars 2008 mars 2014 Josette Fournier    
mars 2014 juillet 2020 Marie-Claude Fontaine-Pascal[22] DVG Retraitée
juillet 2020[23] automne 2022 Georges Roméo   Artisan ou commerçant retraité
Démissionnaire
septembre 2022[24] En cours
(au 30 mars 2023)
Éric Lyobard   Agriculteur

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 90 habitants[Note 2], en augmentation de 18,42 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
441454420442467469478460458
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
443439444402367365326303287
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
266233259251194181159162134
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
11410689807676716884
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 - - - - - - - -
90--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête patronale : dernier dimanche d'août. Fête communale : 28 août[2].

Cultes

La paroisse catholique d'Eygalayes dépend du diocèse de Valence, doyenné de Buis-les-Baronnies[28].

Économie

En 1992 : pâturages (ovins, bovins, caprins), lavande, tilleul, miel[2].

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Sébastien d'Eygalayes, de style roman[2].
  • Chapelle Saint-Jaumes : ancien prieuré[2].
  • Monument aux morts de la Première Guerre mondiale dont la devise est : Le droit prime la force[réf. nécessaire].
  • Nécropole nationale d'Eygalayes : édifiée à l'une des entrées du village Aux morts du maquis, 35 tombes de maquisards fusillés par les Allemands le [réf. nécessaire].
  • Monument aux morts d'Eygalayes (Première Guerre mondiale) : Le droit prime la force.
    Monument aux morts d'Eygalayes (Première Guerre mondiale) : Le droit prime la force.
  • Stèle commémorative du lieu où ont été fusillés 35 maquisards du Ventoux le 22 février 1944.
    Stèle commémorative du lieu où ont été fusillés 35 maquisards du Ventoux le 22 février 1944.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Eygalayes, sur Wikimedia Commons
  • Eygalayes, sur le Wiktionnaire

Articles connexes

Liens externes

  • Site de la mairie
  • « Dossier complet : Commune de Eygalayes (26126) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
  • Résumé statistique de Eygalayes sur le site de l'Insee

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Eygalayes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Eygalayes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  3. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Drôme - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

  1. ligne de bus no 43
  2. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Eygalayes.
  3. J. Brun-Durand (Société d'Archéologie et de Statistique de la Drôme), Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p. 136 (ruisseau).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Eygalayes et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d e f et g J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 136 (commune).
  17. Balades en Baronnies, Freddy Todeur, Ed. A. Barthélémy (ISBN 2-87923-208-2)]
  18. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 157 (Gaudissard).
  19. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 289 (Le Prieuré).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Les données de ce tableau ont été recueillies auprès des Archives départementales de la Drôme. Les cases vides indiquent que les données n'ont pas pu être trouvées ou étaient inexistantes.
  22. Eygalayes sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 20 novembre 2014).
  23. « Georges Roméo élu maire », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. paroisse catholique d'Eygalayes
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