The Moon and Sixpence

Page d’aide sur l’homonymie

Ne pas confondre avec son remake, The Moon and Sixpence (téléfilm) (1959).

The Moon and Sixpence
Description de l'image The Moon and Sixpence (1942) poster.jpg.
Données clés
Réalisation Albert Lewin
Acteurs principaux

George Sanders
Herbert Marshall

Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Sortie 1942

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

modifier Consultez la documentation du modèle

Elena Verdugo, George Sanders et Florence Bates (de g. à d.)
Herbert Marshall, Florence Bates, Willie Fung, Elena Verdugo et inconnue (de g. à d.)

The Moon and Sixpence est un film américain réalisé par Albert Lewin, sorti en 1942.

Synopsis

Londres, vers la fin du XIXe siècle. Un chroniqueur mondain, Geoffrey Wolfe, fait la connaissance de Charles Strickland et de sa femme Amy. Quelque temps après, Madame Strickland informe Wolfe que son mari l'a quittée, elle et leurs enfants, pour aller vivre à Paris avec, croit-elle, une autre femme, et lui demande d'aller le retrouver pour le convaincre de revenir. Il s'avère alors qu'en réalité, Strickland a décidé d'abandonner sa vie monotone d'agent de change pour se consacrer à la peinture, sa passion allant de pair avec une vie de bohème qui le mènera jusqu'à Tahiti…

Fiche technique

  • Titre : The Moon and Sixpence
  • Scénario : Albert Lewin, d'après le roman L'Envoûté de William Somerset Maugham
  • Photographie : John F. Seitz
  • Musique : Dimitri Tiomkin
  • Directeur artisque : F. Paul Sylos
  • Costumes : Albert Deano
  • Montage (supervisé par George Hively) : Richard L. Van Enger
  • Producteur : David L. Loew, pour la Compagnie indépendante de David L. Loew et Albert Lewin
  • Producteur associé : Stanley Kramer
  • Société de distribution : United Artists
  • Format : Noir et blanc (+ une séquence, ainsi que le générique de fin, en couleurs - Technicolor)
  • Genre : Drame
  • Durée : 85 minutes
  • Date de sortie :

Distribution

Acteurs non crédités

Commentaires

  • Albert Lewin s'inspire librement de la vie de Paul Gauguin, Strickland étant manifestement un peintre de génie, mais en même temps un homme méprisable par sa manière de traiter son entourage[1].

Note et référence

  1. Télé 7 jours, du 18 au 24 avril 1987, p. 68
    « Drame. Un très beau film, moitié fiction, moitié réalité puisqu'il s'inspire de la vie de Gauguin. »

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMovie
    • Allociné
    • American Film Institute
    • Cinémathèque québécoise
    • IMDb
    • Movie Review Query Engine
    • OFDb
    • The Movie Database
v · m
Lieux
Famille
Entourage
Œuvres
Adaptations cinématographiques
Voir aussi
  • icône décorative Portail du cinéma américain
  • icône décorative Portail des années 1940