Télé Gaucho

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Gaucho (homonymie).

Télé Gaucho

Données clés
Réalisation Michel Leclerc
Scénario Michel Leclerc
Thomas Lilti
Acteurs principaux

Sara Forestier
Éric Elmosnino
Emmanuelle Béart
Maïwenn
Félix Moati

Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie
Durée 108 minutes
Sortie 2012

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

modifier Consultez la documentation du modèle

Télé Gaucho est un film français réalisé par Michel Leclerc et sorti en 2012.

Le film s'inspire librement de l'histoire de Télé Bocal[1].

Synopsis

Vie d'une télé locale indépendante dans les années 1990 en France gérée par Jean Lou, Yasmina, Étienne et Adonis, des anarchistes et provocateurs de la première heure, prêts à faire la révolution[2],[3].

Fiche technique

  • Titre original : Télé Gaucho
  • Réalisation : Michel Leclerc
  • Scénario : Michel Leclerc, Thomas Lilti
  • Direction artistique : Pauline Bourdon
  • Musique : Jérôme Bensoussan
  • Photographie : Guillaume Deffontaines
  • Montage : Annette Dutertre
  • Société de production : 31 Juin Films
  • Budget : 3,72 millions d’euros
  • Pays d'origine : Drapeau de la France France
  • Langue : français
  • Genre : comédie
  • Durée : 108 minutes
  • Date de sortie :
  • Box office: 56 895 entrées

Distribution

L'acteur principal Félix Moati au festival du cinéma américain de Deauville 2012.

Réception critique

  • La Croix par Arnaud Shwartz : « C’est dommage : surgie après l’invention du camescope mais avant celle d’Internet, l’expérience de Télé Gaucho répondait sans doute à un besoin d’expression libre et directe, qui méritait qu’on s’y arrête. »[réf. nécessaire]
  • Le Nouvel Observateur par Xavier Leherpeur : « Un film joyeux et débridé qui restitue ce goût à nul autre pareil pour l'irrévérence et un bordel joliment orchestré par la mise en scène, que revendique toujours Télé Bocal, dont la voix discordante se fait entendre sur la TNT, chaque jour, entre 23 heures et 2 heures du matin. »[réf. nécessaire]
  • L'Express par Laurent Djian : « Leur appétit de révolte ou leurs engueulades homériques offrent des situations aussi loufoques que désopilantes. »[réf. nécessaire]
  • Le Point par François-Guillaume Lorrain : « On imagine le joyeux foutoir, que Michel Leclerc, qui fit partie de l'aventure, tente de restituer cahin-caha, sans essayer de mettre trop d'ordre à une aventure qui n'en avait guère. »[réf. nécessaire]
  • Le Parisien par Pierre Vavasseur : « « Télé Gaucho » est censé nous raconter cette joyeuse aventure mais l’affaire tourne vite au ciné gâchis. Séquences brouillonnes ou idiotes, scénario crypté, seconds rôles décoratifs, mise en scène aux abonnés absents : Leclerc livre une tambouille volontairement anarchique à la va-comme-que-je-te-filme. »[réf. nécessaire]
  • Le Monde par Isabelle Regnier : « "Télé Gaucho" : une comédie plutôt réussie doublée d'un récit d'apprentissage. » regrettant néanmoins que le film « se condamne à n'être guère plus qu'une sorte de reboot de Mes Meilleurs Copains. »[4]
  • Le Journal du dimanche par Jean-Pierre Lacomme : « La politique sert de toile de fond mais ce qui domine ici, c'est l'amour des personnages, la générosité et le rire, qui valent bien toutes les banderoles. »[réf. nécessaire]
  • Marianne par Danièle Heyman : « Ah ! Quel joyeux bordel ! Quel sympathique foutoir ! Michel Leclerc n'a pas raté son coup d'après Le Nom des gens. »[réf. nécessaire]
  • Télé 7 Jours par Viviane Pescheux : « le réalisateur du "Nom des gens" trouve, une fois encore, le ton juste, entre situations cocasses et personnages hauts en couleur. »[réf. nécessaire]
  • Positif par Adrien Gombeaud : « un projet foutrac et sympa, comme l'étaient les programmes libertaires dont il s'inspire. […] Il reste soulevé par des bouffées de romantisme acharné, par l'humour et la sensualité candide de Sara Forestier. »[réf. nécessaire]
  • Première par Antoine Prioul : « Choper le rire comme il vient, à savoir par la bande, c'est un peu la marque de fabrique de Michel Leclerc […] l'ennui, c'est que cette mécanique du hasard provoqué s'avère un rien prévisible. »[réf. nécessaire]
  • Les Fiches du cinéma par Isabelle Danel : « Sympathique, mais trop foutraque, le film laisse une impression de brouhaha auquel il manque le rythme et les rires. Mais il révèle le jeune Félix Moati. »[réf. nécessaire]
  • Transfuge par Romain Blondeau : « Sans jamais retrouver ni l'habileté ni la drôlerie du "Nom des gens", Michel Leclerc décline les vannes paresseuses et inopérantes dans l'hystérie générale. »[réf. nécessaire]

Autour du film

Lieux de tournage

Distinction

Nomination

Notes et références

  1. « Par ici les sorties », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Télé Gaucho : Sara Forestier et Eric Elmosnino réunis à l'écran
  3. Premiers extraits de Télé Gaucho, sur premiere.fr
  4. "Télé Gaucho" : une comédie plutôt réussie doublée d'un récit d'apprentissage, lemonde.fr, 11.12.2012
  5. Purepeople.com
  6. Purepeople.com
  7. « Le bar de la Réunion - TÉLÉ GAUCHO », sur www.parisfaitsoncinema.com (consulté le )


Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Allociné
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • Cinémathèque québécoise
    • IMDb
    • LUMIERE
    • OFDb
    • The Movie Database
    • Unifrance
  • Télé Gaucho sur UGC Distribution
v · m
Michel Leclerc
Réalisateur
v · m
Réalisateur
Scénariste
  • Cœur Océan (série TV - 2 saisons, 2009)
  • Télé Gaucho (2012)
  • Mariage à Mendoza (2012)
  • Gauguin : Voyage de Tahiti (2017)
  • Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (2019)
  • icône décorative Portail du cinéma français
  • icône décorative Portail des années 2010