Si je mourais là-bas

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Si je mourais là-bas
Informations générales
Titre
Si je mourais là‐bas…Voir et modifier les données sur Wikidata
Auteur
Guillaume ApollinaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Pays d'origine
FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Date de création
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Publication
Date de publication
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Contenu
Sujets
Incipit
« Si je mourais là‐bas sur le front de l’armée… »Voir et modifier les données sur Wikidata
Explicit
« …Un long destin de sang »Voir et modifier les données sur Wikidata

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Si je mourais là-bas… est un poème de Guillaume Apollinaire écrit pour Lou, le à Nîmes, et publié pour la première fois en 1947 dans le recueil Poèmes à Lou.

Si je mourais là-bas est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915, pour Lou. Il résulte de la relation avec cette jeune femme rencontrée à Nice en 1914. Guillaume Apollinaire imagine sa mort sur le front, en fait part à sa bien-aimée, et imagine ses sentiments. Il est constitué de cinq quintils, en alexandrins, et d'un alexandrin final : « O mon unique amour et ma grande folie »[1].

À l'exception du 4e couplet, il a été mis en musique et chanté pour la première fois par Jean Ferrat en 1966 sur l'album Maria[2].

Références

  1. « Si je mourais là-bas », sur bacdefrancais.net
  2. Alexandre Simoni, Jean Ferrat, les mots de la vie, City Edition, (lire en ligne)

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