Santé animale

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article adopte un point de vue régional ou culturel particulier et nécessite une internationalisation ().

Merci de l'améliorer ou d'en discuter sur sa page de discussion ! Vous pouvez préciser les sections à internationaliser en utilisant {{section à internationaliser}}.

Jeune berger recueillant un animal blessé dans une zone rurale du Cap-Oriental (Afrique du Sud).

La santé animale concerne l'animal domestique (de compagnie ou de rente) et l'animal sauvage. C'est un enjeu éthique, sanitaire et économique car de nombreuses maladies sont zoonotiques (c'est-à-dire pouvant se transmettre entre animaux humains et non humains).

La santé animale peut être dégradée par de nombreux facteurs :

  • indirects comme la dégradation environnementale (pollution], disparition d'habitats, fragmentation écologique…) ou pour certaines espèces le dérèglement climatique qui ajoutent leurs effets à la perte de biodiversité, l'introduction de nouveau microbes et d'espèces invasives, l'élevage intensif ou la promiscuité entre animaux peut favoriser les épidémies. Le contact avec des éléments toxiques (plomb, pesticides…) ; Stress général ou aigu par exemple induit par de mauvaises conditions d'élevage, de transport ou d'abattage des animaux ;
    • Nutrition mal équilibrée (carences minérales et/ou de vitamines) ;
    • Mauvaise disponibilité en eau (lié à l'aridité du lieu…) ;

En France

Gouvernance sanitaire

En 2012, la santé animale est rapprochée de la santé végétale.

La nouvelle « gouvernance sanitaire en santé animale et végétale »[1] se met en place en 2012, à la suite des États généraux du sanitaire (début 2010) avec 3 décrets du (composition et fonctionnement des structures devant émettre les avis pour la politique sanitaire, mais aussi sur la hiérarchisation des maladies animales et des organismes nuisibles aux végétaux (en vue de leur catégorisation).

Veille, éco-épidémiologie

En France, des réseaux de vétérinaires et administrations (DSV, DRAAF, DDPP/DDCSPP, DAAF) assurent cette veille. Un réseau dit « SAGIR »[2], autour de l'ONCFS, avec les services vétérinaire assure un suivi de la faune sauvage. Et, un système d'information géographique dit MAPSIGAL (préfigurant GEOSIGAL 2) seront en place dans les services déconcentrés de l'État le pour mieux répondre aux situations de gestion de crise et plan d'urgence[3].

Notes et références

  1. ANSES Brève intitulée La nouvelle gouvernance sanitaire française se met en place ; in Bulletin épidémiologique – Santé animale, alimentation 2012-10-16, PDF, 5 p.
  2. ONCFS, portail SAGIR
  3. NOTE DE SERVICE DGAL/MUS/N2011-8066 Date: 16 mars 2011 intitulée Déploiement opérationnel de l'application MAPSIGAL

Voir aussi

Bibliographie

  • Archie Hunter (trad. de l'anglais), La santé animale : Généralités Tome 1, Paris/Wageningen (Pays-Bas)/Paris, CIRAD, , 223 p. (ISBN 2-87614-622-3)

Articles connexes

Liens externes

  • (fr) Site de l'Organisation mondiale de la santé animale
  • (fr) Vétérinaire411
  • (fr) Animal-services
  • (fr) Département santé animale de l'INRA
  • 3115 Urgences Vétérinaires le numéro gratuit et national
  • icône décorative Portail de la zoologie
  • icône décorative Portail des animaux de compagnie
  • icône décorative Portail de l’élevage
  • icône décorative Portail de la médecine vétérinaire