Rue Taranne

6e arrt
Rue Taranne
(absorbée vers 1870)
Image illustrative de l’article Rue Taranne
La rue Taranne sur le plan de Turgot vers 1734.
Situation
Arrondissement 6e
Quartier Saint-Germain-des-Prés
Début Rue Saint-Benoît
Fin Rue des Saints-Pères
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Rue Taranne (absorbée vers 1870)
Rue Taranne
(absorbée vers 1870)
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Rue Taranne (absorbée vers 1870)
Rue Taranne
(absorbée vers 1870)
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La rue Taranne[1] est une ancienne rue de Paris intégrée au boulevard Saint-Germain lors de son percement dans les années 1870.

Situation

Apparue au XVIe siècle, dans le faubourg Saint-Germain, elle menait de la rue Saint-Benoît à la rue des Saints-Pères.

Origine du nom

La dénomination de cette voie est une altération de « rue de Tarrennes », nommée en l'honneur de Simon de Tarrennes, échevin en 1417, sous la prévôté de Guillaume Cirasse[2].

Historique

Les sources utilisées principalement pour retracer en particulier les origines de la rue Taranne sont les suivantes :

Contrairement à ce qu'affirment certaines sources, la rue Sainte-Marguerite longeait l'abbaye Saint-Germain par le sud et n'est donc pas un ancien nom de la rue Taranne, comme l'atteste ce plan de 1723.

Au XVIe siècle : un cloaque

Plan de Truschet et Hoyau (vers 1550).
Détail du plan de Belleforest (1575).

Les plans de Paris du XVIe siècle, malgré leurs imprécisions, témoignent de la faible urbanisation de cette partie du faubourg Saint-Germain à l'époque. Le vaste domaine de l'abbaye Saint-Germain-des-Prés domine le quartier. À l'ouest, on peut voir la petite chapelle Saint-Pierre, datée du XIIIe siècle[3] ; les plans d'époque ne montrent généralement pas le petit cimetière Saint-Germain qui en dépendait ; entre les deux, une large voie préfigure la rue Taranne.

Depuis le XVe siècle, la riche famille des Taranne[4] s'était installée dans les environs et l'usage y avait associé son nom, avant même que la rue n'existât officiellement ; c'est ainsi que la plus ancienne mention connue de la rue Taranne se trouve dans un contrat de bail du [5] et qu'une demeure de la rue conserva le nom d'« hôtel de Taranne ».

Un égout à ciel ouvert empruntait, dit-on[6], la rue Taranne et se jetait dans les fossés qui aboutissaient à la Seine à la tour de Nesle. Quoi qu'il en fut, le quartier de manière générale et l'angle des rues Taranne et Saint-Benoît en particulier souffrent d'un problème d'évacuation des eaux qui cherchent leur chemin vers la Seine ; le nom de la rue de l'Égout en atteste et différents « arrêts » le confirment[7] :

  • arrêt du  : c'est la plus ancienne mention connue de la rue Taranne dans un acte public ;
  • l'arrêt du déplore une aggravation de la situation : « Et d'autant qu'il est très nécessaire pour obvier à l'inconvénient de ceux qui pourraient être infectés au moyen des eaux qui s'amassent en la rue de Tarenne [sic], et que l'année présage de grandes chaleurs[8]. » ;
  • arrêt du pour les frais de la pente des eaux & pavé du Faubourg Saint-Germain. « La Cour, après avoir ouï le procureur général du roi en ses remontrances et conclusions, et, vu l'arrêt d'icelle du 9 mars 1577 a ordonné et ordonne que par maître Jacques Brisart et Jacques Violle, conseillers du Roi en icelle, commissaires par Elle commis pour l'exécution d'autres arrêts de ladite cour du 3 de ce mois, fera procéder à la taxe par tiers des deniers nécessaires à lever pour les frais de la pente des eaux, rue et pavé depuis la Croix-Rouge faubourg Saint-Germain-des-prés, rue du Four, et Taranne jusques à la rivière de Seine, tant sur les prévôts des M. et échevins de cette ville, religieux, abbé et convent de Saint-Germain-des-prés, que manants et habitants du dit bourg Saint-Germain […][9]. »

Il ne sera couvert en partie qu'en 1615, aux dépens de l'abbaye et des riverains[10].

Au XVIIe siècle

Cet extrait du plan de Bullet et Blondel (1676) montre le passage qui menait de la rue Taranne à l'hôpital et le cimetière qui jouxtait l'église.

Un hôpital

En 1606, Marie de Médicis fait venir d'Italie les frères de Saint-Jean-de-Dieu qui reçoivent de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés l'usage puis la cession de la chapelle Saint-Pierre et du cimetière Saint-Germain.

En 1613, Marie de Médicis pose la première pierre d'un nouvel édifice qui remplace l'ancienne chapelle et sera dédié en par l'archevêque d'Embrun. C'est l'actuelle cathédrale Saint-Vladimir-le-Grand.

La congrégation avait reçu pour mission de la part d'Henri IV et de l'archevêque de Paris, de fonder un couvent-hôpital pour soigner les malades pauvres. Ce sera le rôle de l'hôpital de la Charité dont la construction commence en 1613, sur la rue des Saints-Pères, à côté de l'église. Si l'entrée principale s'en trouvait rue des Saints-Pères, il était aussi possible d'y accéder par la rue Taranne.

C'est à cette époque que l’égout est partiellement couvert (voir ci-dessus).

La courtille

La courtille de l'abbaye sur le plan Quesnel (1609).

De l'abbaye dépendait, à l'ouest de son domaine, une courtille, parfois appelée « clos des Vignes », de 3 arpents et demi. Ce jardin, entouré d'une enceinte, s'étendait sur l'espace que formeront les rues des Saints-Pères, Saint-Benoît, de l'Égout et Jacob et le passage du Dragon ; il marquait en particulier le tracé de la rue Taranne qui va s'élargissant en direction de l'actuelle cathédrale Saint-Vladimir-le-Grand.

La courtille fut vendue en 1637 à quatre particuliers qui purent ainsi bâtir le côté nord de la rue.

« Le sieur Chatelain & consorts en acquirent trois arpents deux perches & demi par contrat du 26 octobre [1637] &, par acte du 17 mars 1638, le sieur Chatelain céda à un Frère de la Charité sa portion dans cet acquêt qui était de 360 toises 1 pied 3 pouces[11]. »

— « Les Frères de la Charité », Journal des Beaux-Arts et des Sciences, IIIe supplément, Paris, Lacombe, 1775, p. 97.

Une fontaine

En vertu d'une ordonnance royale de 1671, une fontaine fut installée en 1675 à côté de la porte de l'église de l'hôpital, qui donnait rue Taranne (entre les maisons qui seront numérotées 18 et 20 au XIXe siècle[12]) ; elle prit le nom de l'institution à laquelle s'adossait : la fontaine de la Charité.

Carrosse à cinq sols

Entre 1662 et 1677, circulent à Paris les Carrosses à cinq sols, la première offre de transport en commun au monde. La quatrième des cinq itinéraires existants, a son bureau à l'extrémité est de la rue Taranne.

Conclusion

Le plan de Boisseau (1648) est le premier à reprendre le nom de la rue Taranne.

C'est au XVIIe siècle que se développe la rue Taranne, dans la foulée du développement progressif du faubourg. Le plan de Boisseau de 1648 est le premier à y faire figurer son nom. On trouve en une première description en 1698.

« La rue de Taranne est embellie par quelques Maisons dont les principales sont l'Hôtel de S. Simon en face de cette rue, & la Maison occupée par le Marquis de Polignac [maison des bains, ci-dessous]. Mais la plus considérable sans contredit est la Maison du Président Lambert de Vermont […]. Il y a dans le fond [du jardin] un bosquet […] où l'on peut jouir de la solitude & de la fraîcheur avec autant de tranquillité que si l'on était fort éloigné du tumulte & de l'embarras de la Ville[13]. »

Au XVIIIe siècle

  • Le plan de Delagrive de 1728 fait apparaître explicitement le vaste domaine de ce qui sera la maison des bains (no 12), l'hôtel Taranne et l'hôtel de La Force.
    Le plan de Delagrive de 1728 fait apparaître explicitement le vaste domaine de ce qui sera la maison des bains (no 12), l'hôtel Taranne et l'hôtel de La Force.
  • Détail du plan de Turgot (1734).[à vérifier]
    Détail du plan de Turgot (1734).[à vérifier]
  • Détail du plan de Jaillot (1775).
    Détail du plan de Jaillot (1775).

La rue Taranne, comme tout le faubourg Saint-Germain et les autres anciens faubourgs de Paris, est intégrée à la Ville en 1701[14].

Article détaillé : Cour du dragon.

En 1732, entre la rue Taranne et la petite rue Taranne (aujourd'hui rue Bernard-Palissy) fut aménagée la cour du Dragon qui reliait les rues de l’Égout (supprimée lors du prolongement de la rue de Rennes en 1868) et la rue du Sépulcre (aujourd'hui, rue du Dragon). Située directement à l'arrière de la rue Taranne, son percement ne fut pas sans conséquence sur les parcelles du côté sud de la rue Taranne ; voir entre autres ci-dessous l'histoire de l'hôtel Taranne[15].

Le , durant une période de canicule (37,7 °C à Paris, le ), la foudre tomba sur la rue et consuma 6 maisons[16].

Diderot signale un incendie au bout de la rue dans sa lettre à Sophie Volland du . Il s'agit sans doute de l'hôtel de Berny (voir ci-dessous).

« Hier, je m'en revenais de chez M. Damilaville, à minuit, par le plus affreux temps du monde… Arrivé à ma porte, Jeanneton appelée, en attendant qu'elle descendît, mon fiacre m'a dit qu'un hôtel qui fait le coin de la rue des Saints-Pères, à côté de chez moi, habité par M. de Bacqueville, était en feu. […] Le feu y était depuis midi. […] Une grande aile de l'hôtel a été brûlée. »

Dans la nuit du 19 ou , un incendie éclata à la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, située à l'extrémité est de la rue Taranne. Dans les jours qui suivirent, les ouvrages sauvés des flammes furent entreposés rue Taranne, dans la maison Viennay (c'est-à-dire Viennoy, la future maison des bains ?). De là, les volumes rejoindront la Bibliothèque nationale en 1796[17].

Au XIXe siècle

La rue Taranne vers 1866, photographie de Charles Marville.
Plan extrait de A. M. Perrot, Petit atlas pittoresque des quarante-huit quartiers de la ville de Paris, Paris, E. Garnot, 1834. On peut y voir l'emplacement des bains et du stationnement des cabriolets.

Une décision ministérielle du 2 thermidor an X (), signée Chaptal, fixe la moindre largeur de la rue à 9,50 m.

En 1808, la rue du Sépulcre est renommée « rue du Dragon » à la demande des habitants.

Une ordonnance de Louis-Philippe Ier du revient sur l'alignement des immeubles[18] et porte la moindre largeur à 12 m et la plus grande à 23 m et soumet les premiers immeubles impairs à un retranchement qui élargit le carrefour avec la rue de l'Égout (rue de Rennes) :

  • no 1 : 2,50 à 3 m ;
  • no 3 : 2,80 m à 2,50 m ;
  • no 5 : 1,30 à 1,80 m ;
  • no 7 : 1 m.

En 1845, la 5e ligne d'omnibus passe dans la rue : venant de la rue des Saint-Pères, elle emprunte la partie ouest de la rue Taranne, puis tourne à droite dans la rue du Dragon[19]. En 1855, la ligne d'omnibus I (i majuscule) passe dans la rue, venant de la rue du Dragon vers la rue Sainte-Marguerite (rue Gozlin)[20]. En 1856, c'est la ligne V (Barrière du Maine - Chemin du Nord) qui passe rue Taranne[21].

Quelques événements liés à la période de la Commune de Paris (1871) se sont déroulés rue Taranne et place Saint-Benoît[22]. Le Journal officiel de la République française évoque des barricades rue Taranne le (p. 2399). Une gravure d'un dessin de M. Sahib s'intitule en effet : Les Défenseurs de la Commune. Une femme conduisant une batterie de mitrailleuse, place Taranne, le [23].

« Sur la rive gauche, le général Cissey avait pris d’assaut, dès le matin, la gare Montparnasse, après avoir tourné, par le carrefour de la Croix-Rouge, la rue du Dragon et la rue de Taranne, les batteries de la rue de Rennes. », Prosper-Olivier Lissagaray, Le huit journées de mai, Bruxelles, Bureau du Petit journal, 1871, p. 68.

Disparition

Sur le plan de Paris d'Andriveau-Goujon (1878), la rue Taranne a disparu.

« La rue Taranne avait peu à redouter de cette trouée radicale, en raison du médiocre intérêt que présentaient ses maisons »

— A. De Champeaux, « L'art décoratif dans le vieux Paris. IV, Le faubourg Saint-Germain (suite) », Gazette des Beaux-Arts, janvier 1891, p. 268.

« Chambéry est une ville d'un aspect monacal. Ses rues sont étroites, tortueuses ; son unique place intérieure, celle de Saint-Léger, n'est pas plus vaste que la rue Taranne à Paris, à laquelle elle ressemble beaucoup. »

— M. Goumain-Cornille, La Savoie, le Mont Cenis et l'Italie septentrionale, 1865, p. 27.

Quoi qu'il en fut, les hôtels anciens avaient vieilli et avaient déjà connu divers réaménagements. En dépit de quelques occupants illustres, aucune historicité ne pouvait protéger la rue Taranne de la détermination de dérouler le nouveau boulevard Saint-Germain. L'effacement de la rue Taranne est annoncé fin , par décret impérial[24].

Les travaux commencent par le prolongement de la rue de Rennes ; le tronçon qui l'amène à Saint-Germain-des-Prés est percé entre et . Dans ce cadre, le carrefour Saint-Benoît, l'angle formé par les rues Taranne et de l'Égout sont redessinés, mais l'alignement et certaines maisons du côté sud de la rue Taranne ont été conservées. C'est surtout le côté nord de la rue Taranne — les maisons portant un numéro pair[25] — qui a été démoli, pour partie déjà en .

Évocations dans la presse
  • Ernest Herbaut, « Le boulevard Saint-Germain », L'Univers illustré, , p. 150.
  • Le Petit Journal, , p. 3, 2e colonne.
  • Société académique de l'Aube, [compte rendu de la séance] du , Revue de Champagne et de Brie, 1876, no 1, p. 166
  • Journal des débats politiques et littéraires, , p. 3.
  • « La percée du boulevard Saint-Germain fera disparaître plusieurs maisons auxquelles se rattachent d'intéressants souvenirs », L'Univers illustré, , p. 403.
  • Société académique de l'Aube, [compte rendu de la séance] du , [Indemnités à accorder aux expropriés], Revue de Champagne et de Brie, 1876, no 1, p. 502.

Le dernier immeuble à démolir tombe le dimanche [26].

Le boulevard Saint-Germain achevé, les maisons subsistantes de la rue Taranne (côté sud) sont renumérotées (no 149 à no 175) pour assurer la continuité des numéros sur le boulevard. De nouveaux immeubles viennent rapidement border le côté nord du nouveau boulevard : les nos 180 et 182, par exemple, sont bâtis dès 1878[27]. Le Café de Flore est attesté dès 1884[28].

Vestiges

La cathédrale Saint-Vladimir-le-Grand.

Les deux bâtiments qui marquaient son extrémité ouest, au coin de la rue des Saints-Pères, existent toujours (en 2014)[Passage à actualiser] : c'est, au nord, la cathédrale Saint-Vladimir-le-Grand, bâtie au XVIIe siècle, et, au sud, l'actuel no 175 du boulevard Saint-Germain, construit en 1680. C'est à ce coin (48° 51′ 16″ N, 2° 19′ 49″ E) que l'on peut voir aussi une ancienne inscription du nom de la rue.

Sur le trottoir sud du boulevard Saint-Germain, certains immeubles ont encore appartenu à la rue Taranne[29] :

  • no 149, construit en 1860 (brasserie Lipp) ;
  • no 153, construit en 1700 ;
  • no 155, construit en 1780 ;
  • no 157 (9, rue Taranne au XIXe siècle), construit en 1800 et dont on peut toujours voir la porte d'origine (reproduite dans un ouvrage d'art en 1835) ;
  • no 159, construit en 1870 ;
  • no 169, construit en 1720 ;
  • no 173, construit en 1800 ;
  • no 175, construit en 1680.

Le , M. Delabrousse proposa au conseil communal de nommer le tronçon du boulevard qui remplaçait la rue Taranne du nom de Diderot — dont la maison qu'il occupa trente ans avait été rasée[30]. Ce ne fut manifestement pas retenu.

Plaque à l'angle du boulevard Saint-Germain et de la rue des Saints-Pères.

Le , André Laugier fait adopter l'idée d'apposer une plaque émaillée qui rappelle le souvenir de la rue Taranne, au 175, boulevard Saint-Germain[31].

En 1912, on joint encore le souvenir de l’« ancienne rue Taranne » à l'évocation du nouveau boulevard Saint-Germain[32].

Repères cadastraux

La rue Taranne allait de la rue Saint-Benoît à la rue des Saint-Pères, parallèlement à la Seine, en s'élargissant d'est en ouest. Au milieu de son côté sud — le plus éloignée du fleuve — aboutissait la rue du Sépulcre, aujourd'hui rue du Dragon.

Numérotation

Article détaillé : Numérotation des rues.

Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, les immeubles ne sont pas numérotés. Le repérage des immeubles et des parcelles doit se faire à partir des enseignes, des plans de ville, des plans cadastraux et des adresses postales descriptives (« vis-à-vis la rue Saint-Benoît », « au coin de la rue du Sépulcre », « face à la fontaine »…).

Entre 1789 et 1805, les immeubles portent une numérotation basée sur un découpage par district, qui explique la présence de numéros supérieurs à ceux que l'on trouvera au XIXe siècle.

En 1805, Napoléon impose une numérotation séquentielle. Les maisons de la rue Taranne sont alors numérotées d'est en ouest (no 1 du côté de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés). En 1812, les maisons du côté sud sont numérotées de 1 à 27 (la rue du Sépulcre se situant entre les nos 15 et 17) et les maisons paires des nos 2 à 20[33],[2].

À la disparition administrative de la rue, les maisons conservées du côté sud sont renumérotées de 149 à 175 pour s'inscrire dans la continuité de la numérotation du boulevard Saint-Germain.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

La numérotation donnée entre parenthèses est celle portée par les immeubles au XIXe siècle.

Siège de l’École libre des sciences politiques (n°16)

L'École libre des sciences politiques trouve son deuxième siège dans un appartement de la rue Taranne, au n°16[34], en 1873, avant d'en être expropriée[35].

Hôtel de Selvois, de Saint-Simon et de La Force (rue des Saints-Pères, no 39)

Bien que situé sur la rue des Saints-Pères, les habitants de l'hôtel de Selvois sont parfois signalés comme installés rue Taranne dont il ferme l'horizon vers l'ouest[36].

Jusqu'en 1544 au moins se trouvait à son emplacement un cimetière réservé aux lépreux de la maladrerie Saint-Germain, qui répondait au cimetière Saint-Germain.

En 1644, Olivier Selvois, trésorier des maisons et finances d'Henri de Bourbon-Verneuil commande à Daniel Gittard[37] un immeuble à construire à l'extrémité ouest de la rue Taranne dont il fermera dorénavant la perspective[38].

Le mémorialiste Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon naît dans l'immeuble en 1675 et lui donnera son nom[39].

L'hôtel est racheté par le duc de La Force le [40] et signalé comme hôtel de La Force sur le plan de Roussel de 1730[41].

Vers 1700, « cette maison passait pour belle » et présentait « des beautés, de la régularité et de la symétrie dans l'élévation », mais n'est plus que « fort ordinaire quoi qu'assez vaste » cinquante ans plus tard, selon Jacques-François Blondel, qui accompagne son texte d'une belle gravure représentant l'hôtel et cette extrémité de la rue Taranne (avec la fontaine de la Charité)[42].

Placé perpendiculairement à l'axe du déroulement du boulevard Saint-Germain, l'hôtel fut rasé entre 1876 et 1877[43].

Dans le tableau des occupations ci-dessous, nous avons retenu le nom d'hôtel de Selvois, par souci d'uniformité.

La maison de Lambert de Vermont

Cette maison est évoquée l'une des principales de la rue dans la première description connue de la rue Taranne, en 1698[44]. Il pourrait s'agir de la maison des bains qui semble la seule à l'époque à posséder un jardin aussi vaste.

« Mais la plus considérable sans contredit est la Maison du Président Lambert de Vermont[45] dont à la vérité les Appartements ne sont pas nombreux, [mais] en récompense ils sont disposés d'une manière fort régulière. Les Meubles y font très propres & bien très bien entendus. L'Appartement d'en-haut est composé de quatre pièces de plein-pieds [sic], & cet Appartement est terminé par une Galerie. Ce qui donne encore beaucoup d'agrément à cette belle Maison est le Jardin, séparé de la cour par une longue grille en fer, lequel est orné d'un Parterre garni de Vases dorés, remplis de fleurs. Il y a dans le fond un Bosquet coupé par des allées, où l'on peut jouir de la solitude & de la fraîcheur avec autant de tranquillité que si l'on était fort éloigné du tumulte & de l'embarras de la Ville. »

Hôtel de Sinéty (no 25)

L'hôtel de Sinéty[46] est signalé au no 25 (en 1860).

Il tient son nom du marquis de Sinety, ancien colonel de cavalerie. Il en avait hérité à titre de légataire universel de son grand-oncle M. Brancas-Villars, duc de Céreste, pair de France — qui l'occupe au moins de 1829 à 1835 et y aura un temps Wladimir Brunet de Presle comme locataire.

Le duc de Céreste tenait lui-même l'hôtel d'un legs du lieutenant-général marquis d'Avesne, allié aux Brancas, acquéreur en l'an XIII (1804-1805) de Pierre-Nicolas Berryer (1757-1841), père du célèbre avocat.

Le bâtiment était depuis 1752 le siège de la Prévôté de l'Hôtel-du-Roi, en vertu d'un long bail fait par Oré, entrepreneur des bâtiments du roi, au marquis de Sourches, grand-prévôt de France, gouverneur de Berghes. Son hôtel de Paris avait été, à l'origine, le trésor général des finances de Mademoiselle, souveraine de Dombes, Duchemin de Bisseaux étant trésorier de la princesse, puis Edme Bobert. D'un partage réalisé entre les deux filles de Robert date la séparation du bien en deux : le no 25 étant l'hôtel dit de Sinety et le no 27, l'hôtel dit de Bernis.

« On voit encore [en 1891] les consoles de balcons de l'hôtel Synéty [sic][47]. »

Cimetière de la Maladerie, maison Ramelly, hôtel de Berny (no 27)

Au milieu du XIIIe siècle, un cimetière pour pestiférés avait été aménagé au coin sud de la rue Taranne et de la rue des Saints-Pères, en face, donc, du cimetière Saint-Germain. Le terrain est celui de l'actuel immeuble du 175, boulevard Saint-Germain. Le , des travaux de terrassement, entrepris dans le cadre du percement du boulevard Saint-Germain, ont mis au jour de grandes quantités d'ossements, vestiges de ce cimetière, face au 27, rue Taranne (coin sud-est de la rue Taranne, au croisement avec la rue des Saint-Pères).

Une maison, propriété d'Augustin Ramelly, est attestée sur ce terrain en 1595[48], date à partir de laquelle les pestiférés — et les protestants — furent enterrés dans le cimetière Saint-Germain.

Lors du décès d'Edme Robert, son hôtel, l'hôtel de Sinéty, est partagé entre ses deux filles. Le nouvel hôtel ainsi créé à l'extrémité de la rue est dit de Berny. En 1745, il est habité par le marquis de Marivaux.

C'est sans doute l'incendie de cette maison[49] qu'évoque Diderot dans sa lettre à Sophie Volland du .

« Hier, je m'en revenais de chez M. Damilaville, à minuit, par le plus affreux temps du monde… Arrivé à ma porte, Jeanneton appelée, en attendant qu'elle descendît, mon fiacre m'a dit qu'un hôtel qui fait le coin de la rue des Saints-Pères, à côté de chez moi, habité par M. de Bacqueville, était en feu. […] Le feu y était depuis midi. […] Une grande aile de l'hôtel a été brûlée. »

Hôtel de l'abbé Viennet (nos 21-23)

Les nos 21 et 23 ne formaient qu'un immeuble, celui dit de l'abbé Viennet (ou Viennoy), curé de l'église Saint-Merri[50] ou « ancien conseiller-clerc au Parlement[51] ».

Fontaine de la Charité (entre les nos 18 et 20)

Article détaillé : Fontaine de la Charité.
La fontaine de la Charité en 1854.

La fontaine de la Charité est construite en 1675, à côté d'une porte d'accès à l'hôpital, et détruite en 1860[réf. nécessaire].

Imprimerie de Louis-François Prault (nos 16-749)

L'adresse de l'imprimerie de Louis-François Prault (1734-1806) a porté, rue Taranne, les numéros 749 (attesté entre 1798-1805) et 16 (entre et 1806)[52]. Ces deux numéros désignent donc probablement le même immeuble.

Louis-François Prault était imprimeur du Roi et ami du peintre Jean-Honoré Fragonard, qui en aurait fait son portrait[53].

Sa bibliothèque et son fonds de commerce furent vendus en 1807 par sa veuve : « La vente des livres se fera en la maison de M. Prault, rue Taranne no 16, à cinq heures de relevée le lundi 16 février 1807 et les huit jours suivants[54]. »

Maison des bains (no 12)

Cette vaste propriété apparait sur un plan de 1728 (voir ci-dessus). Elle fait face à la rue du Sépulcre.

D'Holbach aurait vécu dans cet immeuble[55] qui était à l'époque la propriété du comte de Polignac.

Les bains

Le nom de « maison des bains » est attesté à partir de 1809[56].

Entre 1818 et 1826, les bains Taranne sont tenus par Charles Troyes et compagnie ; on y trouve des bains de luxe et d'eaux minérales[57]. Les propriétaires y établissent également un dépôt d'eaux minérales naturelles aux propriétés médicinales, d'origines françaises et étrangères[58]. Son épouse meurt à cette adresse le [59].

En 1828, les bains passent entre les mains de M. Cabanes et sont restaurés[60].

En 1829, les bains sont tenus par M. Deruez, pharmacien de son état, « avec élégance et propreté[61] ».

Sociétés savantes

Le bâtiment fut par ailleurs le siège de la Société de géographie de 1822 à 1827 et de plusieurs autres sociétés au XIXe siècle, telles la Société de la morale chrétienne, la Société française pour l'abolition de l'esclavage, la Société pour l'instruction élémentaire[62] et la Société asiatique.

Hôtel de Taranne

Le plan de Roussel[63] de 1730 situe l'hôtel de Taranne au milieu du tronçon entre la place Saint-Benoît et la rue du Sépulcre.

Édouard Fournier précise que l'hôtel occupait effectivement le terrain situé entre les futures petite et grande rues Taranne, qu'il fut partiellement démoli pour percer la rue du Sépulcre et que son jardin fut amputé pour dessiner la petite rue Taranne et la cour du Dragon[64]. Il s'ensuit que l'hôtel se situait au coin de la rue du Sépulcre, à l'emplacement de l'actuel 163, boulevard Saint-Germain.

D'après d'Aucourt, ce bâtiment portait le no 11 de la rue Taranne et communiquait avec la cour du Dragon, mais il signale un second hôtel Taranne au no 8, sur le trottoir d'en face, donc[65].

En 1754, on y signale une belle cour, des remises et des écuries. Le loyer mensuel des appartements varient entre 60 et 600 livres[66].

Hôtel de Bourgogne

« Appartements depuis 70, 120, 150, 200 & 230 liv. par mois. Table d'hôte à 30 sols par repas. » (1754)[66].

Hôtel du Grand Écuyer

« Appartements depuis 60, 80, 120 & 150 liv. par mois. » (1754)[66].

Hôtel de Damas

De 1714 à 1784, l'hôtel de Damas (de la famille de Damas liée aux Sourches ?) semble avoir été la propriété ou la résidence de fonction de Louis I et de son fils Louis II Bouchet de Sourches, grands prévôts de France. La fonction et le titre de marquis de Sourches se transmettait dans la famille depuis 1646.

Relevé des occupants

Remarque méthodologique

Le tableau ci-dessous est à considérer avec prudence pour différentes raisons. Il repose sur des sources secondaires susceptibles de véhiculer des erreurs. Les dates sont celles d'un signalement référencé et non d'une date d'arrivée ou de départ. Les données sont lissées — les noms de famille en particulier — pour rendre le tri pertinent. Les sources contiennent parfois des informations supplémentaires qui n'ont pas été reprises dans le tableau.

Tableau

Les occupants de la rue Taranne
Les occupants de la rue Taranne
Date No [67] Occupant Evènement Source
7 Ephraïm Conquy graveur
1750 (env.) Saint-Benoît (à l'angle de la rue Saint-Benoît et de la place du même nom, voisin de Diderot) Parrocel, Joseph-Ignace-François Société de l'histoire de l'art français, Archives de l'art français, Paris, 1858, p. 58
1776 Saint-Benoît (rue Saint-Benoît, au coin de la rue Taranne) Parrocel, mademoiselle l'aînée, peintre en miniature[68] Le Brun, Almanach historique et raisonné des architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et cizeleurs, Paris, Delalain, 1776, p. 134
1696 12, Maison du Président Lambert de Vermont Lambert de Vermont président Germain Brice (voir sa notice en ligne, Description nouvelle de la ville de Paris, vol. 2, Paris, Nicolas Legras, 1698, p. 264-265
1797, Dodoucet imprimeur Pierre-Hugues Veyrat, Précis historique des faits authentiques, relatifs à la journée du 18 fructidor, p. 5
1748, Leslay Duplessis Pierre, maréchal des camps et des armées du Roi Billet d'enterrement Les affiches de Paris, , n. p.
1754 près de la rue du Sépulcre Silvy chirurgien ordinaire des écuries de la Reine. Almanach national, 1754, p. 464
1754 Robuste évêque de Nitrie (Égypte), conseiller-commissaire député du diocèse de Reims, décédé à Paris, le . Almanach national, 1754, p. 78
1740 Luzerne, comte de AR, p. 104
1868 1 Humbhauer, mademoiselle lingère Indicateur des mariages, 14-, p. 2
1810 7 Cochard membre de la Cour de cassation pour la Haute-Saône AR, 1810.
1811 16 Laqueille, Mad. non commerçant[69] Almanach du commerce de Paris, 1811, p. 378.
1760, Ramelly ? Bacqueville, monsieur de Incendie de son hôtel Lettre de Diderot à S. Volland du
1842 10 Almanach royal et national, 1842, p. 62 et 156.
1680-1689 Ramelly Wassenaer, Unico Wilhelm van envoyé plénipotentiaire hollandais Sadi de Gorter, L'hôtel d'Avaray (extrait en ligne).
1720, Romat, François et Darlons, Marie-Anne, fille de feu Darlons, Dominique, secrétaire des commandements du prince de Condé (contrat de mariage) conseiller du Roi, avocat général à la Cour des aides de Bordeaux Archives nationales, MC/ET/I/294
1720, Vigier, Jean-Baptiste compagnon menuisier et Renoult, Madeleine, fille de François Renoult, boulanger rue du Four (contrat de mariage) Archives nationales, MC/ET/I/297
19 maison du Mémorial forestier éditeur de Louis Sallentin (de l'Oise), L'Improvisateur français, t. XVIII, 1806 (voir en ligne). Gazette nationale, , no 144, p. 710.
1832 5[70] ? Lelewel, J., historien, politicien occupe brièvement plaque commémorative sur la façade (visible en 2014)
1827 12 Grundler médecin AR, 1827, p. 875
1840 (vers) 12 Troyes, Charles et Cie vend 12 bouteilles d'eau de Seltz à la famille de Victor Hugo Fernand Brunerye, Fournitures pharmaceutiques faites à Victor Hugo, Revue d'histoire de la pharmacie, 1938 (vol. 26), no 104, p. 418-420.
1795 Thévenot, Jean Coulon de auteur page de titre : L'Art d'écrire aussi vite qu'on parle (…), 19e éd., par le citoyen Coulon Thévenot, À Paris, chez l'auteur, grande rue Taranne.
1865 4 Guillez, Louis Isidore adresse privée de cet imprimeur Archives Nationales, F18 1773 ; Dictionnaire des imprimeurs-lithographes du XIXe siècle en ligne.
1663, janvier Pardaillan de Gondrin, Louis Henri de, marquis de Montespan et son épouse Françoise de Rochechouart de Mortemart (maîtresse de Louis XIV) se marient en et louent un petit appartement dans la rue. J. Picard, « Louis de Pardaillan (…). Un Gascon peu docile », Revue de Comminges, 2002, no 1, p. 50
1864 20 Gallais Mlle Quitte le domicile de ses parents pour épouser le libraire Picard. L'Indicateur des mariages de Paris, 1864, no 1075, p. 2, 1re colonne.
1864 7 Goulet orfèvre L'Indicateur des mariages de Paris, 1864, no 1075, p. 2, 2e colonne.
1864 19 Vincent Mlle quitte la rue pour se marier. femme de chambre L'indicateur des mariages de Paris, 1864, no 1075, p. 4, 1re colonne.
1710-1719 hôtel de Taranne Delisle, J.-N. il observe l'éclipse d'Aldébaram par la Lune le au soir ; de même les éclipses des et . Royal society ; Mémoires de l'Académie des sciences, 1719 (éd. 1721), p. 318-319 ; AR, 1710, p. 226 et 235. Mémoires de l'Académie des sciences de Paris, 1718.
1723, janvier-1725 hôtel de Normandie Gardelle, dame Troisième lettre de Dame Gardelle à Madame la Marquise de Béon-Luxembourg. In : Œuvres de feu M.Cochin, Paris, J.-T. Hérissant fils puis L. Cellot, 1771-1775, t. I, p. 416.
14.. (XVe siècle) Taranne, Simon
14.. (XVe siècle) Taranne, Jean-Christophe
1754 à 1784 Saint-Benoît (vis-à-vis la rue Saint-Benoît[71] Diderot, D. occupe les 4e et 5e étages d'une maison écrivain Diderot, Œuvres complètes, éd. Assézat, vol. 1, p. LVII.
1756-1759 Venel censeur royal Almanach national, 1756, p. 385 ; id., 1759, p. 370.
1760 au coin de celle du Sépulcre Mechel, Crist. éditeur imprimeur Source en ligne
1763, Pajot de Villers, Christophe-Louis, chevalier[72] donne chez lui le une représentation du Devin de village de Jean-Jacques Rousseau CESAR : [1] ; voir aussi
1698 12[73], propriété du comte de Polignac Jules de Polignac (1746-1817) propriétaire de l'immeuble. Description nouvelle de la ville de Paris, vol. 2, Paris, Nicolas Legras, 1698, p. 264-265.
1777, Bermondet, comte de. Décès à l'âge d'environ 45 ans lieutenant-colonel de Dragons, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis Mercure de France, 1778, p. 227 ; JP, 1777, no 304, p. 4.
1784, vers le hôtel de Damas[74] Minier, Armand-Léon officier chez le marquis de Sourches[75] (décès) JP, , no 71, p. 320.
1797, 16 déc. 24, porte cochère en face de la fontaine[76] Gazette historique et politique siège Journal typographique et bibliographique, 26 frimaire VI (), p. 79.
1797, 6 oct. 24 Mignart imprimerie Journal typographique et bibliographique, 6 oct. 1797, 16.
1798 33[77], vis-à-vis de celle du Sépulchre Mignard, Jacques, du département de l'Yonne et bureau général de la Gazette historique. auteur d'un Système sur la formation de la Terre et de toute chose. A.-M. Cécile, Tableau historique, littéraire et politique de l'an VI de la République française, Paris, Moutardier, 1798, p. 302
1784, vers le Fabre, Marie-Madeleine, épouse de M. Charles Gireroux (?), maître tapissier (décès) JP, , no 199, p. 852.
1784, vers le Le Clerc, Marguerite-Françoise, épouse de François Lemoine, officier de la Reine (décès) JP, , no 211, p. 902.
1794 38 Soules, A.-P., âgé de 31 ans, natif d'Avize, département de la Marne. ex-administrateur de police et officier municipal Voir le 52e nom de la liste des complices de Henri Admirat
1795 24 Mignard, Pierre auteur Œuvres philosophiques, politique, de morale, de médecine & de finances, Paris, an III et an IV, chez l'auteur, rue Taranne, no 24, signalé dans Magasin du bibliophile, 1797
1796, [78] 24 Mignard, Jacques, prend en location une maison appartenant aux citoyens Pétérinck et veuve Raison, pour 3 630 livres par an. imprimeur et libraire patenté J. Mignard, Pétition aux citoyens représentans du peuple composant le Conseil des Cinq-Cents, 23 messidor an V.
1799-1800 (an VIII) 35, en face de la rue du Sépulcre[79] Mignard, Jacques (ou Mignart) auteur Aperçu des crimes commis par les Anglo-Américains envers les François, à Paris, chez l'auteur, rue Taranne, no 35, an VIII[80] ; Mignard, Aperçu des crimes commis par les Anglo-Américains envers les Français, chez l'auteur, rue Taranne, 1799.
1630-… (XVIIIe siècle) 14[81], au coin[82] de la rue du Sépulcre Vente d'eau de mélisse. Au XVIIIe siècle, le sieur Olivier vendait une eau pour les maux de dents et semble se confondre avec le sieur Fister qui débitait une essence pour usages internes. commerçant Delaunay, Le Monde médical parisien au XVIIIe siècle, Paris, 1907, p. 307 ; Jules Mathorez, Les Étrangers en France sous l'Ancien Régime. Les Allemands, les Hollandais, les Scandinaves, E. Champion, 1921, p. 127
1827 23 Raudot député de l'Yonne AR, 1827, p. 142
1798 16 / 749 Prault imprimerie Quelques vues sur les moyens de conserver et rétablir l'opéra dans tout son éclat. Imp. de Prault, rue de Taranne, no 749, Source
1807, 16 Prault, Louis-François (1734-1806) imprimeur. Vente de sa bibliothèque et de son fonds de commerce par sa veuve. Journal général de la littérature de France, Paris, Treuttel et Würtz, 1806, p. 351.
1789 Hôtel de M. l'abbé Viennet Colson curé de Nitting et député à l'Assemblée nationale de 1789 pour le bailliage de Sarreguemines Rondonneau de la Motte, Motifs et résultats des assemblées nationales, Imprimerie Polytype, 1787 p. 67
1793 58 Armonville député de la Marne à la Convention nationale Rondonneau de la Motte, Motifs et résultats des assemblées nationales, Imprimerie Polytype, 1787 p. 27
1789 hôtel de Taranne Jouffroy de Gonsans, François-Gaspard de évêque du Mans et député à l'Assemblée nationale de 1789 pour la sénéchaussée du Maine. Rondonneau de la Motte, Motifs et résultats des assemblées nationales, Imprimerie Polytype, 1787 p. 46
1789 Hôtel de Taranne Faure de Beaufort, Pascal (1712-1793) médecin Ordinaire du Roi, faisant commerce de son eau antiputride adresse signalée sur sa correspondance
1793 ? hôtel de Taranne Drouet député à la Convention nationale Rondonneau de la Motte, Motifs et résultats des assemblées nationales, Imprimerie Polytype, 1787 p. 81
1733 Huart du Parc conseiller-correcteur de la Chambre des comptes AR, 1740, p. 191
1740 Saint-Benoît (vis-à-vis la rue S. Benoît) Geuslain, Charles-Étienne (1685-1765) académicien de l'Académie royale de peinture[83] AR, 1740, p. 324
1719-1740 De Pleurre, Jean-Nicolas, seigneur de Romilly (° 1678)[84] conseiller honoraire à la Grand Chambre de la Cour de Parlement AR, 1719 p. 125 ; AR, 1740, p. 171
1732 Goislard de Montsabert[85] conseiller de la cinquième chambre des enquêtes (Parlement de Paris) AR, 1740, p. 182
1710 Guerin chirurgien juré de Paris AR, 1710, p. 276
1740 Guerin fils chirurgien major des mousquetaires de la garde du roi AR, 1740, p. 259
1740 Hôtel de Damas Le Vavasseur procureur près la prévosté de l'hostel du Roy AR, 1740, p. 167
17.. (XVIIIe siècle) Maison Le Rat Brice Le Chauve, Claude architecte de l'immeuble Michel Gallet, Les Architectes parisiens du XVIIIe siècle : dictionnaire biographique et critique, Paris, Éditions Mengès, , 493 p. (ISBN 2-85620-370-1), p. 301
1710 Maupassant greffier à la juridiction des Eaux et forêts AR, 1710, p. 158
1710 Le Vasseur de Saint-Vrain conseiller à la 3e chambre de la Cour des Aides AR, 1710, p. 136
1799, Geffrard de la Motte, Jean-François-Joseph, comte de Sanois (décès) Le comte de Sanois, dernier seigneur de Pantin, biographie, 2009
1789 5 Landot de La Croix, Antoine (pose des scellés après décès) ancien secrétaire de feu M. le Chancelier de Maupeou JP, , p. 710
1790, fin janvier Muzy, mademoiselle Thérèse, veuve Boucland (?) (décès) JP, , no 31, p. 124
1790, mi-janvier Couart, Antoine(pose des scellés après décès) greffier au Châtelet JP, , no 17, p. 68
1842 13 Sylvestre, baron de[86] membre de l'Académie Almanach royal et national, 1842, p. 772, 959
1754 Hôtel de Selvois Mabille exempt attaché au bailliage et à la capitainerie royales des chasses de la Varenne des Tuileries. Almanach national, 1754, p. 326
1842 27 Duret d'Archiac, Jean-Victor juge près le tribunal de 1re instance Almanach royal et national, 1842, p. 845
1843 10 Turbat, Félix juge près le tribunal de 1re instance Almanach royal et national, 1843, p. 868
1842 16 Jourdain, Charles-Félicité juge près le tribunal de 1re instance Almanach royal et national, 1842, p. 845
1842 27 Vanin de Courville, Charles-Hippolyte juge près le tribunal de 1re instance Almanach royal et national, 1842, p. 845
1842 8 Martel, Constantin juge près le tribunal de 1re instance Almanach royal et national, 1842, p.
1842 1 Dallemagne commis-greffier près le tribunal de 1re instance (8e chambre) Almanach royal et national, 1842, p.
1827-1842 20 Devergie, N. médecin, docteur en médecine, chirurgien en second de l'hôpital du Gros-Caillou, chirurgien et professeur à l'hôpital du Val de Grâce Almanach royal et national, 1842, p. 848 ; id., 1827, p. 874 ;

Bibliographie de la France, Paris, Pillet, 1840, p. 219 ; AR, 1830, p. 899 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 178

1842 9 Regnard avocat à la cour royale de Paris Almanach royal et national, 1842, p. 890
1842 15 Charlier receveur-particulier, percepteur Almanach royal et national, 1842, p. 914
1842 21 Rognetta médecin Almanach royal et national, 1842, p. 1013
1786, début janvier hôtel de Taranne Coupigny Desnues, comtesse de (pose des scellés après son décès) JP, , no 11, p. 47
1787, fin avril Chagot, Claude(décès à 82 ans) doyen des marchands de vin du Roi JP, , no 118, p. 516
1787, fin mai L'Ecureau de Messalain, Charles-Gabriel écuyer, fourrier des logis de Madame (décès) JP, , no 146, p. 640
1778-1785 Rodier, André-Paul (° 1759) conseiller à la 2e chambre de la Cour des aides. J.-Cl. Waquet, Les Grands Maîtres des eaux et forêts de France de 1689 à la Révolution, Paris, Droz, 1978, p. 403 ;

AR, 1784, p. 331 ; J.-Cl. Waquet, Les Grands Maîtres des eaux et forêts de France de 1689 à la Révolution, Paris, Droz, 1978, p. 403.

1762-1787, mi-mars Rodier, André-Julien, domicilié dans la rue à son décès en secrétaire du roi, conseiller du Roi en ses conseils, intendants général des classes de la Marine, conseiller secrétaire du Roi, Maison Couronne de France & de ses Finances AR, 1784, p. 281 ; J.-Cl. Waquet, Les Grands Maîtres des eaux et forêts de France de 1689 à la Révolution, Paris, Droz, 1978, p. 403 ; JP, , no 76, p. 332
1827-1842 19[87] Gaultier de Claubry membre de académie de médecine[88] Almanach royal et national, 1842, p. 1007 ; id., 1827, p. 875 ; Almanach royal, 1830, p. 907
1828 6 Bancelin-Dutertre employé à la direction de la Librairie, auteur, éditeur. Il est auteur d'un Annuaire des imprimeurs et des libraires de France, Paris, 1828. Son adresse est sur la page de titre.
1710 hôtel de Taranne Salentin résident du roi de Prusse AR, 1710, p. 53
1714, Hôtel de Selvois Caumont, Henri Jacques Nompar de, duc de La Force Achète l'hôtel - vraisemblablement aux Selvois car les Saint-Simon n'en furent jamais que locataires AR, 1720, p. 48, 229, 233. — Jacques-François Blondel, Architecture françoise ou Recueil des élévations, coupes et profils (…), Paris, Charles-Antoine Jombert, 1752, t. II, p. 295.
1724 Roy, Antoine et sa fille Anne, qui épousera Louis Courauldin signalé dans la rue en 1738. officier du roi Archives nationales de France, Minutes de Nicolas Charles Le Prévost, MC/ET/I/316.
1738-1754 maison de son beau-père Antoine Roy en 1724 ? Courauldin, Louis avocat au Parlement de Paris AR, 1740, p. 239 ; Almanach national, 1754, p. 245
1719, Hôtel de Selvois Vaudetar, Émilie-Louise de, fille de Marie Anne Louise de Caumont, mademoiselle de la Force, fille d'honneur de la dauphine et de Louis de France, née le à Courtomer. décès Le sang de Louis XIV, Portugal, 1961, p. 68-69.
1754 Le Hoc docteur-régens (sic) de la faculté de médecine en l'université de Paris Almanach national, 1754, p. 165
1714-1764 hôtel de Damas Sourches, Louis I du Bouchet de Sourches, marquis de (1666-1746)[89] maréchal des camps et armées du Roi, conseiller d'état, grand prévost de France. AR, Paris, veuve d'Houry, 1747, p. 167 ; AR, 1764, p. 200.
1747 hôtel de Damas Le Grain lieutenant vétéran attaché à la prévosté de l'hostel du roi. AR, Paris, Le Breton, 1752, p. 171 et 172
1719 hôtel de Damas Montsoreau, comte de lieutenant général des armées du roi, conseiller d'État, prévôt de l'hôtel de Sa Majesté et Grand prévost de France[89]. AR, Paris, veuve d'Houry, 1740, p. 166
1736 hôtel du Pérou Aubans, madame d' Édith de Cramm, La Marquise de Créquy. Extraits de ses souvenirs, 1710 à 1803, Erlangen und Leipzig, A. Deitchert'sche, 1892, p. 96.
1784 Hôtel de Selvois Saint-Simon, marquis de (1743-1819) AR, 1784, p. 205.
1778 Rozier avocat aux Conseils du roi. AR, 1784, p. 287.
1784 hôtel de Taranne La Chapelle, J.-B. de AR, 1784, p. 496.
1767 rue du Sépulchre, au coin de celle Taranne (sic) Le Poitevin avocat au Parlement de Paris AR, 1784, p. 373.
1784 Thiot attaché au commissariat du Châtelet pour le quartier de Saint-Germain des prés. AR, 1784, p. 403.
1877, 2 Laffite (restaurant)[90] restaurant Dépouillement des annuaires de la Pomme, p. 2 ; Eugène Hoffmann, Jean-Louis Hamon, peintre, Paris, chez l'auteur, 1903, p. 49.
1820 25 Dupont éditeur Notice bibliographique : Contes de La Fontaine, imp. P. Dupont.
1802 737 Goujon fils imprimeur-libraire Notice bibliographique : Louis Dubois, Notice historique et littéraire sur Valazé (…). À Paris, chez Goujon fils, imprimeur-libraire, rue Taranne, no 737, an XI-1802
1804 737 Goujon, veuve imprimeur-libraire La Revue philosophique, littéraire et politique, 1804, p. 290
1805 7 Goujon auteur d'un ouvrage juridique, distribué à son domicile. Notice bibliographique : De l'étude du droit est disponible chez l'auteur. Journal général de la littérature de France , 1805, vol. 8, p. 28
1824 12 Charton, Édouard habite au no 12 et se fait membre de deux sociétés philanthropiques qui ont leur siège au même numéro : la Société pour l'instruction élémentaire[62] et la Société de la morale chrétienne.
1824 27 Réveillé-Parise, J.-H. médecin, membre de l'Académie royale de médecine
1822, 12 Société de géographie siège source en ligne
1710 hôtel de Taranne Dermineur ministre du duc de Wittemberg AR, 1710, p. 53
1829 12 Aguette, magasins commerce source en ligne
1817-1835 14 Aubrée, Armand éditeur Société pour l'instruction élémentaire, Journal d'éducation, 1817, p. 276 ; Bibliographie de France, Cercle de la Librairie, 1830, p. 623 ; Son édition des œuvres deJean-Jacques Rousseau ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 14
1754 Roussel guidon auprès de la compagnie du lieutenant criminel de robe-courte au Châtelet de Paris. Almanach national, 1754, p. 329
1848, 12 Société pour le patronage des jeunes détenus et des jeunes libérés du département de la Seine, assemblée générale siège Compte rendu de l'assemblée édité par A. Henry à Paris en 1849.
1849 10 Pierre-Auguste notaire de 1816 à 1829 (domicile)
1848-1853 25 Hullin de Boischevalier, F. peintre
1737, petit hôtel de Taranne Lalotte, mademoiselle (résidence), condamnée pour port d'indienne. Dictionnaire ou Traité de la police générale des villes, bourgs, paroisses et seigneuries de la campagne, Paris, Gisset, 1758, p. 357 ; ordonnance du Lieutenant général de police, in : Dictionnaire ou Traité de la police générale des villes, bourgs, paroisses, et seigneuries de la campagne, 1778, p. 425.
1856 16 Canal de Briare siège administratif
1862 (approx.) Guyon, Félix et son épouse médecin source en ligne
1848 (après) 8 Société de la Voix des Femmes, fondée en siège source en ligne
1835-1860 12 Société impériale centrale d’horticulture présente en 1835 quitte la rue en 1860 siège Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 290 ; source en ligne
1871, octobre 19[91] Fauré, Gabriel loge. source en ligne
1844 (après) Renoir, Auguste
1871-1877 6 École libre des sciences politiques création en 1871 et expropriation en 1877 Annales des sciences politiques, 1909, p. 3 ; source en ligne
1830-1835 13 Silvestre, baron de membre de l'Institut, membre de l'Académie, secrét. perpétuel de la société royale et cent. d'agr. AR, 1830, p. 734 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 538
1821-1835 11 Benou, G. commissaire-priseur, doyen (1829) Revue d'histoire littéraire de la France, 1962, no 10, p. 589 ; AR, 1828, p. 793 ; id., 1830, p. 812 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 178 ; Indicateur de la cour de France, 1829, p. 331
1830-1835 25 Rogniat, vicomte 1er inspecteur général du Génie AR, 1830, p. 734 et 635 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 27
1827-1830 19 Lavit, père médecin honoraire de la chambre du Roi et fils, médecin (non signalé en 1830) AR, 1827, p. 877 ; AR, 1830, p. 902
1830 9 Denoisy avocat AR, 1830, p. 390
1829-1830 19 Leconte-Desgravier avocat Indicateur de la Cour de France, 1829, p. 300 ; AR, 1830, p. 389
1830 10 Mousnier-Buisson député de la Haute-Vienne AR, 1830, p. 147 et 370
1830 11 Grossot-Devercy puis Devercy greffier, ancien greffier de la justice de paix du 10e arrondissement (1835), avocat (1835), référendaire au Sceau (1842). AR, 1830, p. 799 ; Almanach royal et national, 1842, p. 111 ;

Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 178

1829-1835 25 Céreste, duc de, pair de France (1830) et duchesse de Céreste de Brancas (1835). Indicateur de la cour de France, 1829, p. 117 ; AR, 1830, p. 119 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 79
1830 10 Thierret de Sussy avocat AR, 1830, p. 384
1829-1830 27 De Robert-Saint-Vincent auditeur de 2e classe au Conseil d'État Indicateur de la cour de France, 1829, p. 212 ; AR, 1830, p. 102
1830 27 Largarde, comte de, pair de France AR, 1830, p. 124
1829-1830 10 Taillandier avocat Indicateur de la cour de France, 1829, p. 277 ; AR, 1830, p. 112
1828 25 Dampierre, marquis de AR, 1828, p. 107
1828-1829 27 Lagarde, comte de AR, 1828, p. 109 ; Indicateur de la cour de France, 1829, p. 231
1828 9 Marcellus, comte de AR, 1828, p. 110
1828-1830 21 Tramecourt, marquis de AR, 1828, p. 112 ; id., 1830, p. 125
1828-1835 9 Lapotherie, comte de AR, 1828, p. 134 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 330 ; Indicateur de la cour de France, 1829, p. 253
1828-1830 20 Postelle commissaire président de la commission de répartition des contributions de la préfecture du département de la Seine AR, 1828, p. 748 ; id., 1830, p. 766 ; Indicateur de la cour de France, 1829, p. 521
1825-1828 25 Pontevez, de abbé, aumônier du Roi, gouverneur administrateur de l'hôpital royal des Quinze-vingts, rue de Charenton AR, 1828, p. 855 ; Almanach royal, 1828, p. 51
1827-1830 7 Fouquier médecin, professeur à la Faculté de médecine AR, 1828, p. 863 ; id., 1830, p. 851 ; id., 1827, p. 875.
1873, 8 Guindorff, Hippolyte Modeste (décès) source en ligne
1867, 12 Gaudry, Albert Auteur d'une lettre à Charles Darwin.
1852, 12 Bernard agent de la Société asiatique Journal de la société asiatique, juillet 1852, p. 10
1815, 11 sept. 14 Mira, Didier et Ce, laboratoire des sieurs siège Journal des débats politiques et littéraires, , p. 1
1801 737 Goujon fils imprimerie Source
1840, 1 Derayssac, Achille, 26 ans peintre, élève de Delacroix Archives du Louvre, *LL 7, registre pour la période au , p. 27. Relevé par Paul Duro in : Les élèves de Delacroix au musée du Louvre, Archives de l'art français, vol. XXVI, p. 261.
1867, 27 Ansart Edmond membre de la Société de l'histoire de France Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, 1867, Paris Vve Jules Renouard, 1867, p. XIV.
1867, 8 Claveau inspecteur général des établissements de bienfaisance, membre de la Société de l'histoire de France Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, Paris, 1867, Vve Jules Renouard, 1867, p. XIX.
1867, 21 Dosseur, adresse de correspondance pour le comte de Mailly, membre de la Société de l'histoire de France Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, 1867, Paris Vve Jules Renouard, 1867, p. XXIX.
1835 5 Silvestre fils conseiller à la Cour royale Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 529
1835 14 Raffi capit. ingén. hydrogr. Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 476
1835 12 Société pour l'instruction élémentaire siège Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 533
1835 12 Société des méthodes d'enseignement siège Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 533
1809 12 (maison des bains) un graveur met en vente un portrait de Malesherbes et Lavoisier graveur JP, , p. 2618.
1835 9 Larochefoucault, Albert de, comte Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 331
1835 8 Bloux, madame la comtesse de Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 59
1835 8 Ratel ancien chef de division Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 479
1832-1835 1 Smith, J.-M.-Émeric docteur en médecine, médecin du bureau de bienfaisance du 10e arrondissement Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1832, p. 522-523 ; id., 1835, p. 530.
1835 15 Leprince Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 356
1835 8 Cadigan, madame la comtesse de Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 91
1835-1843 10 Cultivateur (Le), revue mensuelle (bureaux) siège Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 12 ; Feuilleton du Journal de la librairie, (no 44), p. 14.
1820-1835 16 Lynch, comte de, pair de France AR, 1830, p. 122 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 26 ; Indicateur de la cour de France, 1829, p. 233 ; Edmond Biré, L'Année 1817, Paris, Champion, 1895, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6128312q/f50.image p. 37].
1835-1842 16 Piedagnel médecin Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 456 ; Almanach royal et national, 1842, p. 848
1842-1853 16 Richard pharmacien Almanach royal et national, 1842, p. 1018 ; Le Nouvelliste, 12 déc. 1853, p. 4 (publicité)
1830-1835 20 Richard, puis Richard-Desruez (1835) pharmacien AR, 1830, p. 911 ;

Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 26

1835 7 Roment receveur de rentes Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 498
1843 8 Lainé auteur et éditeur de Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, t. VIII. Bibliographie de la France, no 29, , p. 369
1835 20 Froidevaux, Ant. ancien commissaire de mar. Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 236
1830-1742 7 Tardieu, P.-A. graveur, membre de l'Académie des Beaux-Arts AR, 1830, p. 730 ; Almanach royal et national, 1842, p. 772 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 541
1835 20 Duverger, M.-N. docteur en médecine, prof.-adjoint à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 205
1835 25 Duclosel receveur principal de l'octroi Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 192
1835 12 Wodzinski, Ch.-Ed. homme de lettres Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 582
1835 13 Petit peintre en paysages Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 451
1835 12 (maison des bains) Cabannes propriétaires de bains Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 90 ; Adolphe Joanne, Paris. Nouveau guide de l'étranger et du Parisien, Paris, Hachette, 1867, p. LXVI
1835-1867 12 (maison des bains) bains. Almanach des 225 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 90 ; Adolphe Joanne, Paris. Nouveau guide de l'étranger et du Parisien, Paris, Hachette, 1867, p. LXVI
1835 9 Pascal-Étienne avocat Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 441
1835 6 Piton Beker ex-commissaire des guerres, employé au ministère de la Guerre Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 459
1835 27 Mandat, baron Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 380
1835 10 Boinod général Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 61
1829 16 Du Hamel, vicomte maire de Bordeaux Indicateur de la cour de France, 1829, p. 118
1835 7 Hamelin directeur de la caisse syndicale des boulangers Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 280
1835 9 Guebriand, vicomte de Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 269
1831 Paradis (frère) décès. S'était associé au sieur Royer pour poursuivre la vente d'eau de mélisse. Alfred Franklin, Dictionnaire historique des arts, métiers et professions exercés dans Paris depuis le XIIIe siècle, Paris, H. Welter, 1906, p. 277
1789-1877 14 Paradis[92], Magnin et comp. (ci-devant Carmes déchaussés de la rue Vaugirard), Royer (associé de Paradis) et Boyer (magasins) vendeur exclusifs de l’eau des Carmes. Expropriés en 1877. Bazar parisien, Paris, 1826, p. 489 ; Almanach du Voleur illustré, 1861, p. 37 et 47 ; Les Merveilles de l'Exposition de 1878, 1879, p. 691-694.
1877 1 Eschenauer, pasteur, membre titulaire de la Société anthropologique de Paris Bulletin de la Société d'anthropologie de Paris, 1877, no 12, p. I
1857, 6 Scott de Martinville, Éd.-L. The Phonautographic Manuscripts of Edouard-Leon Scott de Martinville, FirstSounds.org, 2010, p. 12.
1877, 19 Dionis du Séjour, Ernest Marie Gustave, naissance. Sépultures communales individuelles de militaires de toutes époques et de morts pour la France, base de données en ligne.
1815 20 Garnier membre du corps législatif, élu d'Ille-et-Vilaine. Almanach impérial pour l'année 1813, Paris, Testu, p. 117.
1823-1842 12 Cassin, Eugène agent(-général en 1842) de la Société de morale chrétienne, éditeur (1840) ; domicile et siège de la Société Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 532 ;

Almanach royal et national, 1842, p. 1000 ; Bibliographie de la France, Paris, Pillet, 1840, p. 33 ; Id., 1823, p. 774

1840 12 Société asiatique siège Bibliographie de la France, Paris, Pillet, 1840, p. 357
1644 Hôtel de Selvois construction par l'architecte Daniel Gittard Jacques-François Blondel, Architecture françoise ou Recueil des élévations, coupes et profils (…), Paris, Charles-Antoine Jombert, 1752, t. II, p. 295.
1829 9 Delsart sténographe du roi Indicateur de la cour de France, 1829, p. 129
1782 12 (maison des bains) Viennoy, abbé ; Blanchard, J.-P. Fulgence Marion, Les ballons. Merveilles de la navigation aérienne, Paris, Hachette, 1881, p. 27.
1820 10 Seligny, de greffier en chef près la Cour de cassation. AR, 1820, Paris, Guyot, p. 196,
1840 12 Saint-Germain, Bertrand docteur en médecine Almanach général de médecine de Paris, Paris, Fortin Masson, 1845, p. 223.
1870 Laurens, Paul acte de naissance de son fils Paul Albert Laurens ?
1672 hôtel de Selvois construction Alexandre Gady, Les Hôtels particuliers de Paris. Du Moyen Âge à la Belle Époque, Parigramme, 2008, p. 43.
1576-1595 Ramelly Ramelli, Agostino propriétaire habitant
1758-1762 Le Pin Henri Noël (1734-1802)[93] apothicaire Catalogue général des marchands épiciers et des marchands apothicaires-épiciers de cette ville, faubourgs et banlieue de Paris, 1759 (cité ici
1847, Dolimier, Louis André, 43 ans layetier-emballeur[94]. Boilleau, Georges Alhinc, Dépouillement systématique des actes paroissiaux et d'état civil de Wissous : 1847, en ligne
1770, - 1773 Durin, Amable commerçant

Catalogue général des marchands (…) de Paris, Paris, Prault, 1773, p. 23

1732, - 1773 Rousseau, Charles-Toussaint commerçant Catalogue général des marchands (…) de Paris, Paris, Prault, 1773, p. 48
1791 Lange ou L'Ange Physicien, reconnu comme inventeur de la lampe à cheminée de verre et à courant d'air par l'Académie des sciences en 1785. Mathurin Roze de Chantoiseau, Tablettes de renommée (…), Paris, Veuve Duschesne, 1791, n. p.[95]
1780 hôtel de l'abbé Vienney Mourgues Cordelier de la province de Marseille, inventeur d'un réveil. Séjour. Journal de littérature, des sciences et des arts, Paris, 1780, t. II, p. 210-212.
1697 Sevin Bandeville, Claude chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, commandeur des fiefs Michel Félibien, Histoire de la ville de Paris, t. IV, Paris, G. Desprez, 1725, p. 340
1775 rue du Sépulcre au coin de la rue Taranne Posthuin, Alexandre-François-Laurent avocat Nouveau tableau des avocats au Parlement, Paris, Delaguette, 1775, p. 35
1769, - 1770, janvier Charité(au coin de la rue Taranne, près la Fontaine, maison des Pères de la Charité, au deuxième) Palomba organise chez lui un cours d'italien. Journal des savants, , p. 55 ; Gazette de France, , p. 394
1755, vis-à-vis de l'hôtel du marquis de Beauffrémont Ducasse Annonces, affiches et avis divers, , p. 42.
1755, 29 sept. Hôtel du grand Écuyer L'Écuyer, mad. Annonces, affiches et avis divers, , p. 60.
1752, Saint-Benoît (carrefour Saint-Benoît, au bout de la rue Taranne) Jodde notaire Annonces, affiches et avis divers, , p. 236
1748-1752 Charité (à côté - ou vis-à-vis - de la Charité) Scheffer, Charles-Frédéric, baron de (1715-1786)[96] ministre plénipotentiaire du roi de Suède ; initié à la franc-maçonnerie à Paris en 1737 ; correspondant de madame du Deffand. Janine Driancourt-Girod, L'Insolite Histoire des luthériens de Paris, Albin Michel, 1992, p. 371.
Chiboust Faïencier Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Paris, A. Picard et fils, 1906, p. 581
1775, Dutfoy [Dutesoy ?], Jacques, marchand faïencier domicile Minutes du notaire Alexandre Philippe Sauvaige, AnF, MC/ET/VIII/1219
1761, Dutesoy, (ou Dulefoy), marchand faïencier minutes du notaire Mathieu II Junot, AnF, MC/ET/CXI/269
1754, vis à vis de M. Beaufrémont[97] pas de nom fayencier Annonces, affiches et avis divers, , p. 260
1754, à côté d'un fayencier, vis à vis de M. Beaufrémont[97] Comtois cocher Annonces, affiches et avis divers, , p. 260
1752-1763 Charité (à côté - ou vis-à-vis - de la Charité) Scheffer, Ulrich ministre plénipotentiaire du roi de Suède Janine Driancourt-Girod, L'Insolite Histoire des luthériens de Paris, Albin Michel, 1992, p. 371 ; Almanach national, 1754, p. 116 ; Annonces, affiches et avis divers, , p. 125
1754, Carmonne, Marie-Jeanne, veuve de Michel Heliot, bourgeois de Paris décès. Annonces, affiches et avis divers, , p. 88
1754, hôtel du grand Écuyer Gosse, député des états d'Artois Annonces, affiches et avis divers, , p. 54
1754, Ducasse

Annonces, affiches et avis divers, , p. 514

1749, deux maisons attenantes à vendre par licitation au Châtelet de Paris, à l'enseigne de l'Écu de France : composées de plusieurs corps de logis, élevées de trois & quatre étages, avec puits commun, belles caves, etc. Les Affiches de Paris, , non paginé
1748, Cressier de Beaulieu, Étienne, courier du cabinet du Roi Décès Les Affiches de Paris, , non paginé
1748, Mayonade de Cadamas, demoiselle Élizabeth de décès Les Affiches de Paris, , non paginé
1746, Cadot, Marie-Claude, épouse de François Augier, avocat au Parlement. décès Les Affiches de Paris, , p. 7
1750, hôtel de Taranne Fournier, tenant l'hôtel de Taranne Les Affiches de Paris, no 71, , non paginé
1746, Coutelait, Gabrielle, veuve de Jacques de La Guespière, écuyer, huissier ordinaire du Roi et architecte de S. M. vente de ses meubles à la suite de son décès. Inventaire donné dans les Affiches de Paris. La maison est à louer. Les Affiches de Paris, , p. 5
1749, Saint-Benoît (carrefour saint-Benoît, au coin de la rue Taranne) Guérin, épicier Les Affiches de Paris, , non paginé
1747, 7- hôtel de La Force Courcelles, de Les Affiches de Paris, no 61, , non paginé ; id., no 64, .
1747, Duparc, Louise Billet d'enterrement Les Affiches de Paris, , non paginé
1749, Hayes Demande qu'on lui ramène son chien, perdu à Pantin le . Les Affiches de Paris, , non paginé
1750, juillet Saint-Benoît (carrefour saint-Benoît, au coin de la rue Taranne) Montbayen, mad. de Met en location une maison de campagne Les Affiches de Paris, , non paginé ; id., , non paginé
1750, Harwood, intendant de M. Hayes Billet d'enterrement Les Affiches de Paris, , non paginé
1750, novembre 19 Charité (vis-à-vis la fontaine de la Charité) Romain Vend des juments. Les Affiches de Paris, , non paginé
1785-1787 Saint-Benoît (rue et carrefour Saint-Benoît, vis-à-vis la rue Taranne) Cussac, Jean-Baptiste, libraire éditeur de Plutarque Gazette de France, , p. 241 (note) ; id., , p. 59 ; id., , p. 123 ; id., , p. 194 ; JP, , no 155, p. 679 ; Page de titre
1790-1793 Henry, libraire Éditeur entre autres de La Femme jalouse de Joseph-Alexandre de Ségur, 1790[98]) et de La Pierre philosophale (M. de Saint-Martin, 1789). Gazette de France, , p. 302 ; id., , p. 220 ; Opinion du citoyen Henry sur les subsistances, s.l., s.n., , cité ici
1791, maison en vente pour 70 000 livres (4 600 livres de loyer annuel): 3 étages, porte cochère, grand balcon, remises et écuries Tableau des biens à vendre, , p. 1
1791, 38 maison en vente pour 50 000 livres (1 350 livres de loyer annuel) : 3 corps de logis de 3 étages d'appartements, cour au fond de laquelle est un autre corps de bâtiment de trois étage, remises et écuries Tableau des biens à vendre, , p. 1
1791, Hôtel de Selvois (petit hôtel de La Force) mise en vente de l'hôtel, aux enchères, à partir de 54 850 livres, alors composé de plusieurs appartements de maîtres, avec cour, édifice, écurie, remise, belvéder (sic) et autres dépendances, produisant 8 000 livres de loyer (annuel). Tableau des biens à vendre, , p. 4 ; id., , p. 4
1791, 18 vente aux enchères de la maison, à partir de 48 550 livres. Tableau des biens à vendre, , p. 4
1826 20 Richard Pharmacie, distributeur d'eaux minérales Bazar parisien, Paris, 1826, p. 540
1875, 9 Espivent de Villeboisnet docteur en droit Bulletin de la Société de législation comparée, , no 5, p. 241
1870-1873 27 Havart ou Havard librarie Revue de France, 1873, no 12, colophon ; Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 332
1870, 16 Taveau Journal du siège de Paris, t. II, Paris, Librairie générale, s. d., p. 422.
1728 Dubreuil Bureau de Nouvelles à la main (1728-1731, 4 pages manuscrites mensuelles) Ch. Aubertin, Esprit public au XVIIIe siècle, Paris, Didier, 1873, p. 380 ; Vapereau, Dictionnaire universel des littératures, Paris, Hachette, 1876, p. 1495.
1877, coin de la rue des Saint-Pères et de la rue Taranne Société de géographie « […] le conseil municipal de la ville de Paris vient d'accorder à la Société de géographie une subvention de 44.000 francs, en diminuant en diminuant d'un quart le prix de l'immeuble acheté au coin de la rue des Saint-Pères et de la rue Taranne. […] Les travaux de terrassement sont déjà terminés et des mesures sont prises pour que l'inauguration de l'hôtel puisse avoir lieu dans le courant de l'année prochaine. » Le Temps, , p. 3
1853, 12 Bouhier de L'Ecluse, Robert-Constant (celui-ci ?) Bulletin des lois de la République française, 1855, no 257, p. 76
1878 6 Boyer, Roger pharmacien L'Union pharmaceutique, 1878, p. 92
1870 12 Laurens, Jean-Paul artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, 1870, p. 39
1870 16 Grenaille artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 96
1870 11 Labouche, Laurent graveur Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 75
1870 11 Richomme, Jules portraitiste, collectionneur Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 56 et 322
1870 7 Forgeron artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 326
1870 12 Roehn, père artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 57
1870 7 Pollet architecte Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 100
1870 12 Radigon architecte Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 100
1870 19 Duval, Jean-Baptiste architecte Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 95
1870 19 Duval, Eugène Stanislas Guillaume artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 25
1870 12 Eudes artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 26
1870 11 Midy, veuve, née Louise-Aline Labouche, à Paris artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 47
1870 5 Toudouze, Anaïs, née Colin, à Paris aquarelliste, élève de son frère Alexandre Colin Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 63
1870 23 Fresne, de collectionneur de tableaux et dessins Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 318
1870 7 Vallouy artiste Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 64
1870 7 Delbecke, Jean-Léopold artiste. Né à Courtrai. Élève de l'école de dessin Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 21
1793, Montdragon, Marie-Madeleine de (veuve de Jacques Raymond-Merlin, écuyer, seigneur du Chélas, capitaine de cavalerie au régiment de Condé) décès Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, 1876, p. 412
1878 10 Balestrieri Appareils et procédés d'éclairage électrique. Catalogue officiel de l'Exposition universelle internationale de 1878 à Paris, t. II, p. 229
1878 5 Bopp du Pont, L. & L. appareils thermostatiques pour la cuisine Catalogue officiel de l'Exposition universelle internationale de 1878 à Paris, t. II,p. 229
1878 3 Cancel, H. commerçant de fauteuils à trois pieds et matrice pour charger les cartouches des fusils de chasse Catalogue officiel de l'Exposition universelle internationale de 1878 à Paris, t. II, p. 145 et 379
1878 10 Lontin et Cie Appareils et procédés d'éclairage électrique Catalogue officiel de l'Exposition universelle internationale de 1878 à Paris, t. II, p. 233
1873 16 École libre des sciences politiques La Revue politique et littéraire, , p. 644
1677 18/20 Fontaine de la Charité Construction entre les maisons qui, en 1812, seront numérotées 18 et 20. Jean de La Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris, 1812.
1791 hôtel Viennet Pinelle, Marin (abbé d'Hilsenheim) Rodolphe Reuss, « La séance de nuit de l'Assemblée nationale du racontée par un curé alsacien », École pratique des hautes études, Section des sciences historiques et philologiques, 1923 (vol. 56), p. 1, p. 16.
1830 14 Rignoux (imprimerie) Bibliographie de la France, , no 26, p. 410
1831 2 boîte aux lettres[99] Almanach royal et national, Paris, A. Guyot et Scribe, 1831, p. 802.
1859 21 Dosseur notaire ? Journal des débats politiques et littéraires, , p. 3
1848 15 appartement de 6 petites pièces au 2e, non meublé, proposé à la location pour 560 francs. La Presse, , p. 4
1830 Loubens, Émile donne un cours sous le patronage de la Société des méthodes. Ernest Glaeser (dir.), Biographie nationale des contemporains, Paris, Glaeser, 1878, p. 469.
17.. 10 Desessart, abbé propriétaire. Charles Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 363
1726 10 Pront, Catherine, veuve de Jean Desessart achète l'immeuble à Jean Hallé, pour 92 000 livres, qui l'avait payé 20 000 livres de plus la même année. Ch. Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 363
1726 10 Hallé, Jean achète l'immeuble pour 112 000 livres. Il le revend la même année à Catherine Pront pour 92 000 livres seulement. Ch. Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 364
10 Maistre, Xavier de Ch. Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 364
2 Jourdan, Gabriel-Antoine-Aimé ancien président du district des Petits-Augustins et de la section des Quatre-Nations, actif en 1792, 52 ans Assemblée électorale de Paris (…), vol. 3, D. Jouaust, 1905, p. 68.
1843, 6 Cancalon, François décès Inventaire après décès de François Cancalon dans les archives du notaire François Mouchet, Archives nationales de France, MC/RE/XX/16
Lecomte, Claude-Louis négociant ; trésorier de la section des Quatre-Nations Granier de Cassagnac, Histoire des Girondins et des massacres de Septembre (…), 1860, p. 132.
1755, - Bauffremont, Louis-Bénigne, marquis de, marquis de Listenois, prince du Saint-Empire[100] décès à son domicile rue Taranne, à 73 ans. Annonces, affiches et avis divers, , p. 92 ; registre de la paroisse Saint-Sulpice à Paris, reproduit par A. Jal, Dict. crit. de biographie et d'histoire : errata et supplément, 2e éd., Paris, H. Plon, 1872, p. 139.
1837 12 Académie celtique (fondée en 1805), devenue la Société des antiquaires de France Alfred Franklin, Guide des savants, des littérateurs et des artistes dans les bibliothèques de Paris, Paris, H. Welter, 1908, p. 143 ; Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 414.
1830-1834 (?) 12 Société constitutionnelle centrale de Paris siège Les Révolutions du XIXe siècle. 1, Les associations républicaines : 1830-1834, Paris, EDHIS, 1830-1834, p. 5
1763-1878 3 Ségourneau (ou Séjourneau) et ses successeurs (Demont à partir de 1832, puis Lavoivre en 1842, Leroux en 1847 et Lavoivre en 1866) atelier de décoration. Fusionne avec la maison Launay, rue du Bac, 71 en 1878, en raison du percement du boulevard Saint-Germain. Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Paris, A. Picard et fils, 1906, p. 396 ; Ch. de Grollier, Manuel de l'amateur de porcelaines, manufactures françaises, Paris, A. Picard, 1922, p. 108 ; (de) Porzellanlexikon, en ligne.
1825-1828 12 Boquet décorateur Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Paris, A. Picard et fils, 1906, p. 842
1780, hôtel de Selvois Thomas de Pange, Jean Baptiste François meurt R. Dubois-Corneauorigine, Paris de Monmartel, Paris, J. Meynial, 1917, p. 67, note 2 ; généalogie en ligne
Valence, madame de Topographie historique du vieux Paris, vol. III, p. 270-271.
18.. Ricord médecin Séance du de la Société des études historiques, Revue des études historiques, Paris, Picard, 1928, p. 315
18.. Pelletant médecin Séance du de la Société des études historiques, Revue des études historiques, Paris, Picard, 1928, p. 315
1864 (approx.) Velpeau, Alfred médecin, attaché à l'hôpital de la Charité. Séance du de la Société des études historiques, Revue des études historiques, Paris, Picard, 1928, p. 315
18.. Récamier médecin Séance du de la Société des études historiques, Revue des études historiques, Paris, Picard, 1928, p. 315
18.. Dupuytren médecin Séance du de la Société des études historiques, Revue des études historiques, Paris, Picard, 1928, p. 315
1766-1784 chez Diderot Champion, Marie, veuve de Michel Billard. séjourne dans une grande chambre au 4e étage Inventaire de son mobilier établi le , Archives de la Haute-Marne, Fonds Vandeul, E. 10.
1795 (approx.) Ouen (compagnie) siège La citoyenne Tallien, Lisez-moi Historia, Paris, Tallandier, , p. 43
1823 Dubois, E. éditeur Bibliographie de la France, 1823, p. 331
1741 - Tessin, Karl Gustav Dix-huitième siècle, 1984, no 16, p. 431
1792, Fontenai, abbé imprimerie Déclararion de Jean Missière, BnF, Mss, N.a.f., 2697, fol. 103 (cité ici
1613 rue des Saints-Pères Cathédrale Saint-Vladimir-le-Grand Marie de Médicis pose la première pierre de ce nouveau lieu de culte destiné aux Frères de la Charité et auquel sera joint un hôpital.
1824 27 Mallet, Charles, inspecteur divisionnaire des ponts et chaussées Précis analytique des travaux de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen, 1836, p. 224
1861 19 Les Beaux-arts : Revue nouvelle bureaux Numéro du 1er juillet 1861
1862 Charité (proche la Charité) Gamarre, lieutenant des chasses Cabinet curieux (tableaux anciens et modernes) Revue universelle des arts, 1862, p. 258.
1864-1870 6 Avril commissaire-priseur (1864) ; industriel d'art (1870) L'Union des arts, 6 févr. 1864, Petite chronique ; Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, Paris, 1870, p. 329
1853 21 Maison succursale du pharmacien Roux Le Nouvelliste, 12 déc. 1853, p. 4 (publicité)
1805- 24 févr. 1806 un entresol Collin-D'Harleville, Jean-François (1755-1806) Andrieux, [Biographie], Répertoire de la littérature ancienne et moderne, t. VIII, Paris, 1824, p. 273
1857 9 boutique devanture peinte par un diminutif anonyme de M. Courbet Edmond About, Nos artistes au Salon de 1857, Paris, Hachette, 1858, p. 149
1745 Couti Loge ; suicide d'un nègre ramené de Saint-Domingue Lettres de M. de Marville, lieutenant général de police au ministre Maurepas, t. II, Paris, 1896-1905, lettre du , in :p. 86
1745 Doria, Jean-Baptiste, marquis Loge Lettres de M. de Marville, lieutenant général de police au ministre Maurepas, t. II, Paris, 1896-1905, lettre de Maurepas du , p. 30
1745, Châteauvieux, marquise de condamnée à une amende de 3 000 livres pour avoir tenu chez elle une assemblée de jeu de pharaon Lettres de M. de Marville, lieutenant général de police au ministre Maurepas, t. II, Paris, 1896-1905, p. 218
1863 10 Chauvinière, de La, correspondant de l'Académie de Metz depuis 1844. Mémoires de l'Académie nationale de Metz, 1863-1864, p. 906
1828-1829 Conférences régulières sur la doctrine de Saint-Simon, en vogue depuis 1825. Le Mercure musical, , p. 107.
1650, Hardy, Isaac, écuyer, sieur des Loges domicile Insinuations, AnF, Y//187, fol. 400 v°
1647, Fréquant, Madeleine, veuve de Jacques Chevallier, seigneur en partie de Bondoufle domicile Insinuations, AnF, Y//185, fol. 431 v°
1646, Laisement, Jeanne domicile ; contrat de mariage avec Étienne Rollet, tailleur d'habits, demeurant à Paris, rue Galande. Insinuations, AnF, Y//186, fol. 420 v°
1647, hôtel de Bauquemare Raguier, Mathurin, écuyer, sieur du Bois de Mallet, garde du corps de Son Altesse royale, maître d'hôtel de Charles de Bauquemare[101] et de son épouse Elisabeth Servien. domicile ; contrat de mariage avec Madeleine Le Febvre Insinuations, AnF, Y//186, fol. 116 v°
1648, Gondela, Pierre, marchand apothicaire du Roi, et son épouse Catherine de Boudet domicile Insinuations, AnF, Y//186, fol. 120
1647, hôtel de Bauquemare Langlois, François (le jeune), valet de chambre de M. de Bauquemare Insinuations, AnF, Y//185, fol. 415 v°
1677, Le Camus, Jean, chevalier, conseiller du Roi aux conseils et maître des Requêtes ordinaire de l'hôtel[102] demeurant en sa maison Insinuations, AnF, Y//233, fol. 275
1677, 1er septembre Le Goux de la Berchère, Charles Insinuations, AnF, Y//233, fol. 267 v°
1677, Courtenay, Roger de, abbé de l'abbaye des Escharlis[103] propriétaire d'une maison rue Taranne qu'il cède à Louis, prince de Courtenay Insinuations, AnF, Y//233, fol. 285 v°
1677, Courtenay, Louis, prince de propriétaire d'une maison rue Taranne reçue de Roger de Courtenay Insinuations, AnF, Y//233, fol. 285 v°
1677, La Riviere, Louise de, comtesse de Lussan, femme de Roger d'Esparbès, chevalier, comte de Lussan propriétaires d'une maison rue Taranne, qu'ils cèdent à Roger de Courtenay, abbé de l'abbaye des Eschallis, demeurant rue de l'Université Insinuations, AnF, Y//233, fol. 285
1677, Courtenay, Roger de, abbé de l'abbaye des Escharlis reçoit une maison rue Taranne de Roger d'Esparbès, chevalier, comte de Lussan et son épouse Insinuations, AnF, Y//233, fol. 285
1677, Bonnin de Messignac, Charles-Marie, chevalier, comte de Montrevaux, lieutenant pour le Roi au gouvernement, ville et château de Nantes actuellement logé à Paris, rue Taranne Insinuations, AnF, Y//233, fol. 134 v°
1676, Maleissye, Charles-Gabriel de Tardieu de, chevalier, seigneur de Malessye, maréchal des camps et armées du Roi[104] Insinuations, AnF, Y//232, fol. 265
1676, Hôtel de Selvois (chez la duchesse de Saint-Simon) Maigret, Pauline Insinuations, AnF, Y//231, fol. 281
1647-1650 Mol, Pieter van peintre. décès de deux de ses enfants en 1647 ; meurt en 1650. A. Jal, Dict. crit. de biographie et d'histoire : errata et supplément, 2e éd., Paris, H. Plon, 1872, p. 869.
1650-1653 Mol, veuve van (veuve de Pieter van Mol) habite la rue après le décès de son mari. En relation avec une voisine Élisabeth Grisson. Claude-Jean Nébrac, Pomone ou la naissance de l'opéra français (consulté le ).
1653, Grisson, Élisabeth, veuve de Pierre Bizet (seigneur de La Barroire, conseiller du Roi en la cour de Parlement) contrat de mariage avec Pierre Perrin, écuyer, conseiller et maître d'hôtel ordinaire du Roi et de Madame la duchesse d'Orléans, demeurant à Saint-Germain des Prés lez Paris, rue de Tournon Insinuations, AnF, Y//190, fol. 10
1653, Charité (à côté de la porte pour entrer dans l'église de la Charité) Grisson, Élisabeth, veuve de Pierre Bizet (seigneur de La Barroire, conseiller du Roi en la cour de Parlement) et son fils Gabriel Bizet, écuyer, conseiller au Parlement Insinuations, AnF, Y//190, fol. 136 ; Claude-Jean Nébrac, Pomone ou la naissance de l'opéra français (consulté le ).
1653, 1er avril Millon, Marie, femme de chambre de la baronne de Clainchamp Insinuations, AnF, Y//190, fol. 122 v°
1653, Fourcault, François de, écuyer, sieur de Mareuil, et sa femme Madeleine de Reillac Insinuations, AnF, Y//189, fol. 464 v°
1652, à l'enseigne du Chêne-Vert Thibault, Jacob , tailleur de Pierre Insinuations, AnF, Y//189, fol. 142 v°
1653, Sillion, Simone , veuve de Jean Lecomte, bourgeois et échevin de Meaux Insinuations, AnF, Y//190, fol. 263 v°
1647, Raynier, Pierre du, chevalier, seigneur d'Angé, conseiller et maître d'hôtel ordinaire du Roi Insinuations, AnF, Y//186, fol. 88
1658, Boynart, Marie Insinuations, AnF, Y//196, fol. 169
1657, Chinchamp (maison de la comtesse de Chinchamp) Gavaret, Jacqueline du, contrat de mariage avec Clément Baron, gentilhomme servant de la maison du Roi demeurant à Paris, rue de Richelieu, à l'hôtel de Beuvron Insinuations, AnF, Y//194, fol. 277 v°
1659, Mareschal Anne, veuve de Pierre Lambert (avocat en la cour de Parlement) contrat de mariage Insinuations, AnF, Y//196, fol. 444
1659, hôtel de Bauquemare Thimont, Jeanne, veuve de Pierre Traverse (juré chargeur de bois à Paris) Au service de la présidente. Contrat de mariage avec Roger Bouland, marchand épicier Insinuations, AnF, Y//196, fol. 296 v°
1658, Brandons, Gaspard des, chevalier, seigneur de Ribet actuellement logé (…) rue Taranne. Contrat de mariage avec Marie de Thirel Insinuations, AnF, Y//196, fol. 22
1674, Tronchay, Louis du, chevalier, seigneur marquis de Vairelle Insinuations, AnF, Y//228, fol. 266
1672, Chemin, Elisabeth Charlotte du contrat de mariage, avec Charles Poret, chevalier, seigneur du Fresne, par lequel il est établi que la future épouse apporte une somme de 30.000 livres tournois Insinuations, AnF, Y//228, fol. 152
1674, Barroire, Gabriel Bizet de La , chevalier, conseiller du Roi en la cour de Parlement et président aux Enquêtes contrat de mariage avec Marie Guibert (veuve de Nicolas Josse, conseiller du Roi en la cour des aides) Insinuations, AnF, Y//229, fol. 100
1675, Chastillon, Pierre de, écuyer, sieur de Champagne, intendant des fortifications de Champagne et de Brie Insinuations, AnF, Y//229, fol. 369 v°
1672, 15 et hôtel de Selvois Saint-Simon, Claude, 1er duc de (1607-1693) contrat de mariage passé en présence du Roi, de la Reine, du Dauphin, du duc et de la duchesse d'Orléans, de la grande Mademoiselle, de la Marquise de Monterpan, de Colbert et de Louvois, par lequel il est établi que la future épouse apporte une somme de 300.000 livres tournois, une somme de 20.000 livres tournois en effets à recouvrer et une somme de 70.000 livres dont Éléonore de Valvire (veuve de François de Laubespine, marquis d'Hauterive), sa mère, lui fait donation. Insinuations, AnF, Y//226, fol. 95
1673, Guinchard, Jean, suisse de l'ambassadeur d'Angleterre, et son épouse Martine François Insinuations, AnF, Y//226, fol. 345
1670, Quesnay, François du, conseiller maître d'hôtel ordinaire du Roi et de la duchesse d'Orléans Insinuations, AnF, Y//219, fol. 453 v°
1652, rue Taranne, au carrefour Saint-Benoit Rotty, Nicolas, maître chandelier contrat de mariage Insinuations, AnF, Y//221, fol. 123
1654, Bauquemare, Nicolas de, pourvu par le Roi d'un office de conseiller au Parlement de Paris contrat de mariage Insinuations, AnF, Y//221, fol. 252 v°
1670, Pollalion, Jean, chevalier, seigneur de Montréal Insinuations, AnF, Y//219, fol. 147 v°
1670, hôtel d'O Chelle, Jean-Christophe (homme de chambre du marquis d'O[105]), et son épouse Marie Vatel (veuve de Michel Guillebert, marchand de vins à Paris) contrat de mariage Insinuations, AnF, Y//220, fol. 87 v°
1655, hôtel de Bauquemare Giffard, Élisabeth, femme de chambre de la présidente de Bauquemare contrat de mariage avec Jean Le Barbier, sieur de La Fontaine. Insinuations, AnF, Y//192, fol. 332
1654, Timon, Jeanne, domestique contrat de mariage avec Pierre Traverse, juré chargeur de bois en la ville, faubourgs et banlieue de Paris Insinuations, AnF, Y//191, fol. 345 v°
1655, Martineau, Alexandre, sieur de Brouville Insinuations, AnF, Y//192, fol. 214 v°
1656, Safray, Jeanne, veuve de François Thiéblemont (maître savetier) contrat de mariage avec Jean Gautier (maître savetier), passé en présence de François Ripault (cocher de M. Guillemeau, conseiller et médecin ordinaire de Sa Majesté) Insinuations, AnF, Y//193, fol. 306
1672, Hallier, Catherine du, fille de Jean-Baptiste du Hallier, maître chirurgien, bourgeois de Paris contrat de mariage Insinuations, AnF, Y//223, fol. 165
1672, Parisot de Saint-Laurent, François-Nicolas (ou Parizot), conseiller du Roi aux conseils et introducteur des ambassadeurs et princes étrangers, près le duc d'Orléans, frère unique du Roi Insinuations, AnF, Y//225, fol. 187 v°
1671, Des Marais, Charlotte contrat de mariage passé en présence d'Armand du Hallier, chirurgien juré, bourgeois de Paris Insinuations, AnF, Y//222, fol. 93
1672, Bourgin, Maris, fille de Simon Bourgin (chirurgien du feu duc d'Orléans[Qui ?]) contrat de mariage avec Gilles Blaizot, marchand imprimeur libraire à Paris, demeurant rue Bordelle, paroisse Saint-Etienne du Mont, fils de feu Gilles Blaizot, marchand imprimeur libraire à Paris Insinuations, AnF, Y//225, fol. 272 v°
1601, Mathieu, Didier [sic[106]], veuve (sic) de Jean Maury, notaire Royal à Bar-sur-Aube contrat de mariage avec Robert de Puimont, maître chapelier Insinuations, AnF, Y//140, fol. 299 v°
1601, Despréz, Madeleine, femme et procuratrice de Florent Haron, marchand gantier Insinuations, AnF, Y//140, fol. 248 v°
1602, Bellin, Fiacre, jardinier Insinuations, AnF, Y//141, fol. 221
1641, Charité (près la Charité) Fourcroy, Antoine de (l'aîné), conseiller et maître des requêtes ordinaire de la Reine, mère du Roi et de Monsieur, frère unique de Sa Majesté, duc d'Orléans Insinuations, AnF, Y//182, fol. 299
1641, Besnier, Marin, écuyer, sieur du Plessis Insinuations, AnF, Y//182, fol. 436 v°
1641, 1er mai Jean Valluet, compagnon charpentier, et son épouse Jacqueline Boisvelle Insinuations, AnF, Y//181, fol. 241
1661, Lançois, Pierre, maitre cordonnier Insinuations, AnF, Y//200, fol. 429
1660, Hubelot, Marc, charron contrat de mariage avec Catherine Ferrand, passé en présence de Pierre Bergerat (ou Beugerat), fontainier ordinaire du Roi. Insinuations, AnF, Y//181, fol. 179 v°
1659, Tronçon, Gabrielle contrat de mariage avec François de Cornu, écuyer, sieur de Dormé, passé en présence de Timothée Bloire, conseiller et médecin ordinaire du Roi et de Gilbert de Sève, peintre et Valet de chambre ordinaire de sa Majesté Insinuations, AnF, Y//197, fol. 179
1668, Boucher, Claude, veuve de Noël Lombard, écuyer, sieur de La Saulsaie Insinuations, AnF, Y//214, fol. 19
1668, Blesson, Albin de, sieur des Randonvilliers, demeurant à Paris, rue Saint-Honoré Donation de la maison qu'il possède rue Taranne à Louis de Chaumejean, chevalier, marquis de Fouville, conseiller du Roi aux conseils, demeurant rue Salle-au-Comte, paroisse Saint-Leu Saint-Gilles Insinuations, AnF, Y//214, fol. 304 v°
1668, Louis de Chaumejean, chevalier, marquis de Fouville, conseiller du Roi aux conseils, demeurant rue Salle-au-Comte, paroisse Saint-Leu Saint-Gilles Reçoit une maison sise rue Taranne d'Albin de Blesson, sieur des Randonvilliers, demeurant à Paris, rue Saint-Honoré Insinuations, AnF, Y//214, fol. 304 v°
1669, Charité (chez des Brosses, près la Charité) Dubois, Simon, valet de chambre de M. des Brosses Insinuations, AnF, Y//216, fol. 103 v°
1669, Charité (près la Charité) Brosses, des Insinuations, AnF, Y//216, fol. 103 v°
1664, Racyne, Robert, ancien écuyer huissier ordinaire de la chambre du Roi Insinuations, AnF, Y//204, fol. 394 v°
1663, Robert, Jeanne contrat de mariage avec Jean Dufay, marchand de vins, bourgeois de Paris, demeurant rue et paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, à l'enseigne du Grand Carnet Insinuations, AnF, Y//204, fol. 251
1665, Rochechouart, Louis de, chevalier, comte de Maure, grand sénéchal de Brienne, lieutenant pour le Roi en ladite sénéchaussée, conseiller ordinaire de Sa Majesté aux conseils demeure actuellement […] grande rue Taranne Insinuations, AnF, Y//207, fol. 257 v°
1610, Boullier, Ambroise, manœuvre, et son épouse Jeanne Beausier Insinuations, AnF, Y//150, fol. 191 v°
1608, 1er octobre Bouchel, Laurent, avocat en la cour de Parlement, conseiller du Roi et maître des requêtes ordinaire en sa maison de Navarre contrat de mariage avec Madeleine Picard, demeurant rue du Sépulcre. Réside sans doute rue Taranne, dès son arrivée à Paris en 1602. Insinuations, AnF, Y//147, fol. 380 ; Claude Carlier, Histoire du duché de Valois, Paris, Guillyn, 1764, vol. 3, livre VIII, §39, p. 53
1678, Le Camus, Jean, chevalier, conseiller du Roi en ses conseils, maître des requêtes ordinaire de son hôtel Insinuations, AnF, Y//234, fol. 305 v°
1695, hôtel de Selvois Louis de Rouvroy de Saint-Simon (1675-1755 ; émancipé et agissant sous l'autorité de Claude-François Chevrier, procureur au Parlement, son curateur, demeurant rue du Four) domicile Bail à ferme du , minutes du notaire Claude II Leroy, AnF, MC/ET/LVII/182
1696, 1er mars hôtel de Selvois Louis de Rouvroy de Saint-Simon (1675-1755) Prend en location pour 9 ans « une grande maison rue des Saints-Pères, faisant face à la rue Taranne, consistant en plusieurs corps de logis, salles, offices, cuisine, chambres et greniers au-dessus, grande cour, jardin, basse-cour, écuries, remises, puits et aisances, moyennant 3 300 livres de loyer annuel », appartenant à Louis Selvois, sieur de La Daville, et Henry Selvois, conseiller du Roi, auditeur ordinaire en sa Chambre des Comptes, demeurant ensemble rue des Grands-Augustins Bail du , minutes du notaire Claude II Leroy, AnF, MC/ET/LVII/186
1634, Ballard, Robert, musicien ordinaire du roi, demeurant rue du Gindre Prend en location pour 3 ans une maison sise rue Taranne, appartenant à Denis Marchant, juré mouleur de bois, demeurant sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, moyennant 144 livres de loyer annuel. Bail du , minutes du notaire Etienne Leroy, AnF, MC/ET/VI/448
1700, Palluau, Pierre de, chevalier (…-1700) Inventaire après décès de Pierre de Palluau, chevalier, dressé à son domicile, grande rue Taranne, à la requête de sa veuve, en son nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs Inventaire après décès du , minutes du notaire Etienne Leroy, AnF, MC/ET/VI/413
1670 Saint-Benoît (rue Taranne, au coin du carrefour Saint-Benoist) Roissy, chandelier Lieux où se trouvent tous les 15 jours les livres d'avis à 15 deniers la pièce « Liste des avis du bureau d'adresse, pour servir depuis le premier jour de l'an 1670 », Éd. Fournier, Le Livre commode des adresses de Paris, Paris, Daffis, 1878, t. II, p. 330
1781 en leur hôtel Michel-Pierre-François, comte d'Argouges, marquis de La Chapelle-La-Reine, seigneur d'Assé-le-Boisne, maréchal de camp[107], et Henriette-Charlotte-Marie de Courtalvert de Pezé, sa femme Archives de l'abbaye du Perray-Neuf (ordre des prémontrés), 1698-1781, Rentes : paroisse de Douillet, H 1330, archives départementales de la Sarthe, voir en ligne
1676, Durand, Jeanne, veuve de Michel Esmar (cuisinier) Contrat de mariage avec Jean Mirande, cuisinier, rue Montmartre Minutes du notaire Claude I Royer, AnF, MC/ET/I/169
1644, David, Alexandre, peintre Inventaire après décès de la femme d'Alexandre David, minutes du notaire Jacques Lagay, AnF, MC/ET/XCII/122
1644, David, Alexandre, peintre Contrat de mariage Contrat de mariage, minutes du notaire Jacques Lagay, AnF, MC/ET/XCII/122
1652, Furetière, Antoine, avocat en Parlement Minutes du notaire Jacques Ricordeau, AnF, MC/ET/CIX/193
1632, Loyson, Jean, maître tissutier rubannier à Paris, et Anne Ponton, sa femme Insinuations, AnF, Y//172, fol. 454 v°
1680, Wurtemberg, Marie-Anne de locataire Contrat de bail, minutes du notaire Antoine Huart, AnF, MC/ET/VIII/762
1614, coin Taranne / rue de l'égoût Hasle, Jacques, commissaire-examinateur au Châtelet, et Marie Guerin, sa femme vente d'une maison rue de l'Egoût, faisant le coin de la rue Taranne, à titre de rente, moyennant la somme de 600 livres et une rente de six vingts livres Minutes du notaire Pierre Guillard, AnF, MC/ET/XXIII/248
1676, 3- Bonnin de Chalucet, Armand Louis, prêtre bachelier en théologie de la faculté de Paris, abbé commendataire des Vaux-de-Cernay Minutes du notaire Nicolas III Le Boucher, AnF, MC/RS//1562
1637 coté nord de la rue Taranne Abbaye Saint-Germain-des-Prés vente de la courtille au sieur Chatelain et consorts
1617, Godouyn, Nicolas, linger, et son épouse Marie de Boilly Insinuations, AnF, Y//158, fol. 325
1551, une maison Maiel, Jean, honorable homme, bourgeois de Paris, marchand ; Desmarly Martin, voiturier par terre, Paris[108] Bail à loyer Minutes du notaire René I Contesse, AnF, MC/ET/LIV/145/D
1601, Haron, Florent, maître gantier, Madeleine Desprez, sa femme, tutrice de leurs enfants Benjamin et Jeanne. Inventaire après décès de Florent Haron Minutes du notaire Jacques Fardeau, AnF, MC/ET/XLIX/189
1648, Gondelle de Menesan, Pierre, apothicaire du Roi Minutes du notaire Antoine Huart, AnF, MC/ET/VIII/663
1605, Chéron, Jean, bourgeois de Paris Minutes du notaire Guillaume Nutrat, AnF, MC/ET/VIII/566
1771, Bourgeois, Jean-François, maître horloger Minutes du notaire Edme-Auguste Ledoux, AnF, MC/ET/LXV/373
1774, hôtel Vendôme Roger, René, marchand limonadier, veuf nouveau domicile, à la suite du décès de son épouse. Inventaire après décès, Minutes du notaire Edme-Auguste Ledoux, AnF, MC/ET/LXV/384
1778, hôtel Taranne Mathieu, Marie Charlotte, veuve de Louis Thierry, maître traiteur domicile Minutes du notaire Edme-Auguste Ledoux, AnF, MC/ET/LXV/404
1775, Puech, Jacques Benjamin marchand limonadier Vend son fonds de commerce - établi jusqu'alors rue Taranne. Minutes du notaire Edme-Auguste Ledoux, AnF, MC/ET/LXV/386
1781, Ponderons, Martin Vend un fonds de commerce de limonadier Minutes du notaire Claude Nicolas Baller, AnF, MC/ET/LXV/450
1786, Lavache, Julien, cocher Inventaire après décès Minutes du notaire Claude Nicolas Baller, AnF, MC/ET/LXV/482
1779, - 1787, Dautremont, Hubert, marchand mercier, et son épouse Marie Jeanne Dohet Mariage le  ; Inventaire après décès d'Hubert Dautremont acte de mariage ; minutes du notaire Claude Nicolas Baller, AnF, MC/ET/LXV/486
1783, une grande maison Privat, Jean, bourgeois de Paris Jean Privat reçoit quittance pour paiement des sommes dues à Denis Feuillet, maçon entrepreneur de bâtiments rue des Rosiers, paroisse Saint-Gervais, pour la construction d'une grande maison rue Taranne Minutes du notaire Charles Denis de Villiers, AnF, MC/ET/XXIX/571 ; voir aussi la conduite des travaux (plans, coupes, profils, ) entrepris par Guillaume Angibeau, , minutes du notaire Charles Denis de Villiers, AnF, MC/ET/XXIX/570
1789, Saint-Benoît (rue Taranne, au coin de la rue Saint-Benoît) Noël, Alexis-Dominique vente d'un fonds de commerce de limonadier Minutes du notaire Charles Denis de Villiers, AnF, MC/ET/XXIX/570
1777, Duluc, Jean-Baptiste, maître horloger[109] domicile Minutes du notaire Alexandre Philippe Sauvaige, AnF, MC/ET/VIII/1231
1773, Miel, Isidore, maître d'hôtel du comte d'Argouges, époux de Marie Marguerite Gilles domicile Inventaire après décès, Minutes du notaire Alexandre Philippe Sauvaige, AnF, MC/ET/VIII/1211
1781, Bauffremont, Pierre de, prince de Listenois[110] inventaire après décès, minutes du notaire Charles Boutet, AnF
1772, Hôtel de Suède Jouffroy, Louis-Joseph de, comte d'Uzelle domicile minutes du notaire Charles Boutet, AnF, MC/ET/XLIV/501
1775, Ledioury, Marie Madeleine, veuve de Benoît Bourgeois, marchand bouchonnier domicile inventaire après décès, minutes du notaire Denis Trutat, AnF, MC/ET/LVIII/471
1787, 1er février Beaupoil, Pierre, maître cordonnier domicile ; contrat de mariage avec Anne Antoinette Bouton, demeurant rue de Grenelle inventaire après décès, minutes du notaire Denis Trutat, AnF, MC/ET/LVIII/471
1782, Hervieux, François Nicolas, chef d'office de la défunte duchesse de Chevreuse[111] ; époux de Geneviève Clothilde Cormier, domestique de ladite duchesse Inventaire après décès, minutes du notaire Jean Louis Bro, AnF, MC/ET/XCII/848
1787, Naigeon Claude Jean Baptiste, peintre d'histoire domicile ; contrat de mariage avec Louise Catherine Claudine Blanchot, veuve Hossart, demeurant rue de Grenelle faubourg Saint-Germain minutes du notaire Bernard Doillot, AnF, MC/ET/XCVI/545
1765, Aubert, Daniel, sculpteur minutes du notaire Jean Prignot de Beauregard, AnF, MC/ET/XXX/390
1765, Duffoy, Jacques, expert en bijoux minutes du notaire François Le Jay, AnF, MC/ET/XXVIII/396
17.. ? [Baude et Raguet de Brancion] Mémoire des travaux faits dans un hôtel de la rue Taranne Papiers Baude et Raguet de Brancion, AnF, T//211/1-T//211/11,T//*/211/1-T//*/211/6
1761, Hope, Thomas, Écossais Prend en location un appartement rue Taranne. Le bailleur semble être l'Hôpital de la Charité contrat de bail, minutes du notaire Charles Sauvaige, AnF, MC/ET/VIII/1145
1786, août Hôpital de la Charité acquisition d'une portion de maison joignant leur hôpital Lettre patente, AnF, O/1/113 , supplément 146
1790, Gaudard-Delahaye, Guillaume Simon Vend un fonds d'hôtel garni à Noël Thomas Legendre, marchand tapissier minutes du notaire Charles Denis de Villiers, AnF, MC/ET/XXIX/597
1786, Vavin, bourgeois de Paris, décédé le Inventaire après décès, minutes du notaire Martin La Grenée, AnF, MC/ET/IV/813
17.. en son hôtel Pont-l'abbé, baron de[112]. Papiers d'origine privée, AnF, T//211/6
1774, hôtel du prince de Marsan Lecomte, Marie Anne, épouse de Laurent Garet, bourgeois de Paris. Quartier Saint-Germain-des-Prés

Inventaire après décès, minutes du notaire Louis Boursier, AnF, MC/ET/XXVII/371
1772, Tetrel des Ossandières, André, ancien régisseur pour le roi Inventaire après décès, minutes du notaire, AnF,
1784, - Marquand, Jean René, graveur minutes du notaire, Jean-Louis Bro, AnF, MC/ET/XCII/860 et MC/ET/XCII/867
1771, Isnard, Jean-Baptiste, avocat en parlement, époux de Cornélie de Villemandy Inventaire après décès, minutes du notaire Jean Louis Bro, AnF, MC/ET/XCII/737
1782, Hervieux, François Nicolas, chef d'office de la défunte duchesse de Chevreuse, époux de Geneviève Clothilde Cormier, domestique de ladite duchesse Inventaire après décès, minutes du notaire JeanLouis Bro, AnF, MC/ET/XCII/848
 

Prosopographie

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Évocations dans la littérature

  • Alexandre Dumas, Mille et un fantômes, chapitre 7
  • Jules Vallès, Le Bachelier : « On ne va pas au café, mais il y a le restaurant de la mère Petray, rue Taranne, où l’on dîne en bande le soir. »
  • Jules Verne, Les Cinq Cents Millions de la Bégum, Paris, Hetzel, 1879, p. 4[113] : « Isidore Sarrasin est mort à Paris en 1857, VIe arrondissement, rue Taranne, numéro 54, hôtel des Écoles, actuellement démoli. »
  • Paul de Kock, La Petite Lise, Œuvres, G. Barba, 1870, vol. 28, p. 44
« — Monsieur, j'ai oublié de prendre de l'eau de mélisse des Carmes… c'est indispensable lorsqu'on se sent indisposé… on peut aussi s'en frotter les tempes. c'est un préservatif… donnez-m'en un flacon, s'il vous plaît.
— Voilà, madame.
— C'est bien de la véritable ? n'est-ce pas, monsieur ; vous ne voudriez pas me tromper ! des vrais Carmes, de la véritable rue Taranne ?
— Madame, je n'en connais pas deux à Paris. »
  • Jules Janin, Jules Janin peint par lui-même, L'Âne mort et la Femme guillotinée, Paris, Librairie des bibliophiles, 1876, XXXIX : « Alors, pour la première fois, la rue Taranne, que je trouvais si belle avec sa fontaine d'eau claire et limpide. »
  • Édouard Charton, « Études politiques sur l'épicier : épisode de la vie de Claude Tarin », Revue encyclopédique, vol. 57, , p. 322.
  • Tatiana de Rosnay, Rose, éditions Héloïse d'Ormesson, 2010 ( (ISBN 978-2-35087-160-8)). Histoire du quartier et de sa transformation à la fin du XIXe siècle.
  • P. Guérinet, Paul, ou les Dangers d'un caractère faible, histoire religieuse et morale, Tour, A. Mame, 1839, p. 102. Évocation d'un tailleur au no 5 de la rue.
  • Denis Diderot, lettre de Diderot à Falconet, du , « qui s'y montre tel qu'il était jadis rue Taranne[114] ».

Iconographie

Vu sa destruction de la rue à la fin du XIXe siècle, les photographies sont rares. Les gravures et dessins sont à peine plus abondants.

  • [Porte du no 9 de la rue Taranne], in : François Thiollet (1782-1859), Serrurerie et fonte de fer récemment exécutées (…), Paris, Bance aîné, 1832, planche no 2 (demi-porte au centre de la planche).
  • Photographie de Charles Marville, « Rue Taranne (vue depuis le carrefour Saint-Benoît) », vers 1865, « Photographies des rues de Paris sous le Second Empire », t. VIII, Bibliothèque administrative de la Ville de Paris (en ligne).
  • Photographie de Charles Marville, Carrefour Saint-Benoît (avec la rue Taranne qui part vers la droite de la photo et la plaque de rue bien visible (en ligne).
  • Charles Marville, Coin de la rue Saint-Dominique et de la rue des Saint-Pères, vers 1876. State Library of Victoria, reproduite sur le site vergue.com. La plaque de rue de la rue Taranne est visible à gauche de l'image.
  • Plan de l'hôpital de la Charité, de l'église et de la fontaine dans Adolph Bery, Topographie historique du vieux Paris, Paris, Imprimerie nationale, 1885, p. 218.
  • Daniel Gittard, [Vue de la rue Taranne, hôtel de Saint-Simon et fontaine de la Charité], gravure reproduite dans Sébastien Charlety, Histoire du Saint-simonisme, P. Hartmann, 1931 (2e éd.

Notes et références

  1. Il existait par ailleurs une « petite rue Taranne », correspondant à l'actuelle rue Bernard-Palissy. Par opposition, la rue Taranne est parfois appelée « grande rue Taranne ». « Rue Taranne » est aussi le nom qu'a pu porter la rue de l'égout (Topographie historique du vieux Paris, 1866, vol. III, p. 131). À la fin du XVIIIe siècle et de façon plus marquée à partir de 1817, le nom de « place Taranne » semble s'imposer pour désigner le carrefour Saint-Benoît (croisement de la rue Taranne et de la rue Saint-Benoît). Voir Pierre-Jean-Baptiste Desforges, Le Poète, ou Mémoires d'un homme de lettres, Hambourg, 1799, t. V, p. 174 ; Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, Paris, CLF Panckoucke, 1817, p. 588 ; Almanach royal, Paris, Testu, 1817, p. 106.
  2. a et b Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, 1844, p. 627-628.
  3. Son nom, déformé, donnera son nom à la rue des Saints-Pères. Voir Baptiste de Roquefort, Dictionnaire historique des monuments de la ville de Paris, 1826, p. 416.
  4. On connaît en particulier, Simon Taranne, échevin en 1417 sous la prévôté de Guillaume Kiriasse, et Jean-Christophe Taranne, tous deux argentiers de Charles VI, Charles VII et Louis XI. On connaît également Jean Taranne, conseiller au Parlement de Paris en 1408. Voir Félix Aubert, Le Parlement de Paris de Philippe le Bel à Charles VII (1314-1422). Sa compétence, ses attributions, Paris, Alphonse Picard, 1890, p. 345.
  5. Voir les minutes du notaire René I Contesse, AnF, MC/ET/LIV/145/D.
  6. Voir à ce sujet : Topographie historique du vieux Paris, vol. 4, 1882, p. 119 et Disparition de l'enceinte de Philippe Auguste. Vu la topographie des lieux (voir ici ; bien que la topographie de l'époque ne corresponde pas exactement à celle d'aujourd'hui), l'égout en question ne pouvait pas « traverser » la rue Taranne ; les eaux ruisselaient sans doute le long de la rue, d'ouest en est.
  7. D. Michel Félibien, Histoire de la ville de Paris, édition revue, augmentée et mise au jour par D. Guy-Alexis Lobineau, t. V, Paris, G. Desprez, 1725, p. 7 et 10.
  8. D. Michel Félibien, Histoire de la ville de Paris, édition revue, augmentée et mise au jour par D. Guy-Alexis Lobineau, t. V, Paris, G. Desprez, 1725, p. 7.
  9. Histoire de la ville de Paris, op. cit., 10.
  10. « Les égouts et les voiries de Paris jusqu'au XVIIe siècle », Conseil municipal de Paris. Rapports et documents, 1913, p. 13. Cette source ajoute « et achevé à l'époque où la reine Marguerite s'établit dans le quartier » ; or la reine Margot est morte en 1615 ; il n'y a donc pas de corrélation avérée entre la couverture de l'égout et la présence — au mieux, très brève — de la reine dans le quartier. Au sujet de cet hôtel, assez éloigné de la rue Taranne, voir ici.
  11. Jaillot, Recherches critiques, historiques et topographiques sur la ville de Paris, Paris, Lottin, 1774, p. 65. On s'y perd dans ces unités de longueurs de l'Ancien Régime, utilisées pour des unités de surface. 3 arpents et 2,5 perches devraient valoir approximativement (3 x 71,46 m) + (2,5 x 7,1 m), soit 214,38 + 17,75 = 232,13 m. 360, 1 pied et 3 pouces devraient valoir 360 x 1,9 m + 0,32 m + 3 x 0,025 m, soit 684 + 0,32 + 0,075 m, soit 684,395 m. Ainsi la « portion » vendue serait plus grande que le tout acheté…
  12. Jean de la Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris, 1812. On retient néanmoins la date donnée par Germain Brice dans sa description de la fontaine : Description nouvelle de la ville de Paris, vol. 2, p. 264.
  13. Germain Brice (voir sa notice en ligne, Description nouvelle de la ville de Paris, vol. 2, Paris, Nicolas Legras, 1698, p. 264-265.
  14. Édit de , confirmé par un arrêt du Conseil de février 1702 et une déclaration du roi ; voir « Les quartiers de Paris », sur paris-atlas-historique.fr, Atlas historique de Paris (en ligne) (consulté le ).
  15. « Cour du Dragon, c. 1866 », vergue.com ; « 1934. La cour du Dragon », www.paris-unplugged.fr.
  16. Lien mort ; Charles Rabiqueau, Le Microscope moderne pour debrouiller la nature par le Filtre d'un nouvel alambic chymique (…), Paris, Demonville, 1781, p. 105.
  17. Michel François, « Pierre Dubrowsky et les manuscrits de Saint-Germain-des-Prés à Leningrad », Revue d'histoire de l'Église de France, 1957, vol. 43, no 140, p. 333 ; Mémorial du XIVe Centenaire de L'Abbaye de Saint-Germain-Des-Prés, Paris, Vrin, 1959, p. 333-347 ; Simone Balayé, La Bibliothèque nationale des origines à 1800, Droz, 1988, p. 415-416.
  18. Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle, p. 159.
  19. Guide indispensable du voyageur dans Paris, Paris, 1845, p. 52. Les omnibus sont apparus à Paris en 1828 ; en 1835, 16 compagnies exploitant 35 lignes.
  20. Compagnie générale des omnibus (Paris), Guide des voyageurs en omnibus, 1855, p. 9.
  21. A. B. C. des Omnibus (...), Paris, 1856, p. 6.
  22. Prosper-Olivier Lissagaray, Histoire de la commune de 1871, Paris, Librairie du Travail, 1929, p. 339.
  23. Le monde illustré, 17 juin 1871, n° 740.
  24. Décret impérial qui déclare d'utilité publique, dans la ville de Paris, le prolongement du boulevard saint-Germain et autres opérations de voiries accessoires, article 3.
  25. [Indemnités à accorder aux expropriés], Revue de Champagne et de Brie, 1876, no 1, p. 502.
  26. La Presse, 3 août 1877.
  27. Voir ici pour le 180 et ici pour le 182.
  28. Christophe Durand-Boubal, Café de Flore. L'esprit d'un siècle, Fernand Lanore, 2004, p. 22. Cette date est visible dans la brasserie.
  29. Source pour ces dates de construction, sans doute très approximatives : http://www.meilleursagents.com/prix-immobilier/paris-75000/boulevard-saint-germain-445/175/.
  30. La Presse, 2 août 1879, p. 3.
  31. Procès-verbal de la séance de la Commission du vieux Paris du 12 mai 1906, p. 102. Il se trouve une plaque en pierre à cet endroit (voir illustration en haut de page).
  32. La Revue critique des idées et des livres, 25 décembre 1912, p. 732.
  33. Jean de La Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris, 1812
  34. François Leblond et Renaud Leblond, Émile Boutmy, le père de Science Po, A. Carrière, (ISBN 978-2-84337-698-6)
  35. Pierre RAIN, L'Ecole libre des sciences politiques, 1871-1945, Presses de Sciences Po, (ISBN 978-2-7246-8448-3, lire en ligne)
  36. Voir en ce sens Almanach royal, 1781, p. 201 ; Châtelet de Paris, Insinuations, Archives nationales de France, Y//231, fol. 281.
  37. La date de 1644 est sans doute fausse car Gittard, né en 1625, n'avait pas encore 20 ans.
  38. Jacques-François Blondel, Architecture françoise ou Recueil des élévations, coupes et profils (…), Paris, Charles-Antoine Jombert, 1752, t. II, p. 295 pour le texte et la planche qui reproduit le dessin de Guittard. Voir aussi Hélène Himelfarb, L'hôtel de Saint-Simon rue des Saints-Pères et son architecte Daniel Gittard (1625-1686), Cahiers Saint-Simon, 1973, n° 1, p. 15-29.
  39. M. Le Maire, Paris ancien et nouveau, Paris, Michel Vaugon, 1685, t. III, p. 253.
  40. Yves Coirault, dans Saint-Simon, Mémoires, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », Paris, Gallimard, 1985, t. V, p. 889, note 1 ; 1987, t. VII, p. 769, note 1.
  41. À ce sujet et pour une gravure de la façade l'hôtel, consulter Jacques-François Blondel, Architecture françoise, ou Recueil des plans, élévations, coupes et profils des églises, maisons royales, palais, hôtels & édifices les plus considérables de Paris, Paris, chez Charles-Antoine Jombert, 1752-1756, vol. 1, p. 294.
  42. Jacques-François Blondel, Architecture françoise, Paris, Jombert, 1752, t. I, p. 295.
  43. Le Petit Journal, , p. 3, 2e colonne ; Alexandre Gady, Les Hôtels particuliers de Paris. Du Moyen Âge à la Belle Époque, Parigramme, 2008, 327 p. (ISBN 978-2840967040), p. 43.
  44. Germain Brice, Description nouvelle de la ville de Paris, vol. 2, p. 264-265.
  45. Nommé Président de la Chambre des requêtes en 1697, fils de feu Lambert de Thorigny, lui-même président à la Chambre des comptes. Voir le Mercure galant, février 1697, p. 267-268.
  46. Toute l'information sur cet hôtel est extraite de Charles Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 362-366 et d'Aucourt, Les Anciens Hôtels de Paris, Paris, H. Vaton, 1880, p. 97.
  47. A. De Champeau, Gazette des beaux-arts, janvier 1891, p. 268.
  48. Topographie du vieux Paris, p. 221.
  49. Le coin en face étant occupé par une église.
  50. Charles Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 362-366.
  51. Journal de littérature, des sciences et des arts, Paris, 1780, p. 211 (voir en ligne.
  52. Source : « Prault, Louis-François (1734-1806) », data.bnf.fr.
  53. Ce portrait connu sous le nom L'Inspiration fut légué par Louis La Caze au musée du Louvre en 1869. Il y est toujours conservé (voir en ligne).
  54. Journal général de la littérature de France, Paris, Treuttel et Würtz, 1806, p. 351.
  55. Frédéric Lock, Dictionnaire topographique et historique de l'ancien Paris, Hachette, 1855, p. 416 ; Nouveau guide de Paris, 1856, p. 504 ; Charles Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 362-366 ; acte notarié du 28 mars 1788 signé par le baron d’Holbach et le vicomte de Bernis, voir en ligne.
  56. Journal de Paris, 30 décembre 1809, p. 2618 ; Dr C. Tampier, Guide pratique à l'usage des bains à l'hydrofère. Résultat des expériences faites à l'hôpital Saint-Louis et dans les 2 établissements de Paris, rue de la Victoire, no 15, et rue Taranne, no 12, Paris, Office médical et pharmaceutique de France, 1861, in-16, p. (disponible à la Bibliothèque nationale de France.
  57. Baptiste de Roquefort, Dictionnaire historique des monuments de la ville de Paris (…), Paris, Ferra jeune, 1826, p. 36.
  58. Gazette de santé, 21 juin 1818, p. 142-143. Cette gazette, rédigée par des médecins, met d'ailleurs ses lecteurs en garde quant à l'efficacité de des eaux. Ce qui n'empêcha pas la famille de Victor Hugo de s'y fournir (voir F. Brunerye, « Fournitures pharmaceutiques faites à Victor Hugo », Revue d'histoire de la pharmacie, 1938, vol. 26), no 104, p. 418-420
  59. 23 juillet 1832, Inventaire après décès de Françoise Madeleine Veré, veuve de Charles Troyes, demeurant rue Taranne, n° 12, décédée le 22 avril 1832, Archives nationales de France, mention dans le répertoire du notaire coté MC/RE/III/20.
  60. Lebrun, Manuel complet du voyageur dans Paris, Roret, 1828, p. 250.
  61. Jacques-Antoine Dulaure, Histoire physique, civile et morale de Paris, 4e éd., t. IX, Paris, Guillaume et Compagnie, 1829, p. 210.
  62. a et b Voir ici.
  63. Paris, ses fauxbourgs et ses environs où se trouve le détail des villages, châteaux, grands chemins pavez et autres, des hauteurs, bois, vignes, terres et prez, levez géométriquement par le Sr Roussel, gallica.bnf.fr.
  64. Édouard Fournier, Énigmes des rues de Paris, 1892, p. 336-337.
  65. D'Aucourt, Les Anciens Hôtels de Paris, Paris, H. Vaton, 1880, p. 101.
  66. a b et c Jèze, Journal du citoyen, A La Haye [i.e. Paris], 1754, p. 36.
  67. Le numéro ou l’identification donnée est celle des sources consultées. Néanmoins, pour permettre les recoupements, chaque fois que c'était possible, une dénomination uniforme est utilisée pour désigner les immeubles ou les emplacements évoqués ci-dessus. Sources dépouillées méthodiquement : Almanach royal (AR) — ou équivalent sous un titre modifié —, années 1710, 1740, 1784, 1827, 1828, 1830 1835 et 1842.
  68. S'agit-il de Jeanne Françoise Pallas Parrocel (1734-1829) ?
  69. C'est-à-dire fortuné et consommateur potentiel, selon l'esprit de cette liste.
  70. Actuel 153, boulevard Saint-Germain
  71. Démolie au plus tard en avril 1877. Voir Musée universel, 2e semestre 1877, p. 319.
  72. Fiche généalogique sur Geneanet. Voir aussi Fr.-A. Aubert de la Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, seconde édition, t. XI, Paris, Antoine Boudet, 1776, p. 155).
  73. C'est une supposition ; voir ci-dessus.
  74. Par déduction, l'hôtel de Damas étant l'immeuble de fonction du marquis de Sourches.
  75. Il doit s'agir de Louis II du Bouchet de Sourches.
  76. Numérotation antérieure à la réforme napoléonienne
  77. Sans doute numérotation transitoire des immeubles, avant la réforme napoléonienne.
  78. 24 Thermidor an IV dans la source.
  79. En principe, les numéros impairs sont sur le côté de la rue du Sépulcre. Semble confirmer une numérotation transitoire des immeubles, avant la réforme napoléonienne.
  80. A. L. Millin, Magasin encyclopédique, Paris, Fuchs, 1799, p. 423.
  81. Source.
  82. Comprendre donc face au coin ; en effet, le no 14 semble confirmé et les numéros pairs se trouvent du côté nord.
  83. Vitet, L'Académie royale de peinture et de sculpture. Étude historique, Paris, Michel Lévy frères, 1861, en ligne.
  84. Source.
  85. Sans doute Anne-Charles de Goidlard, seigneur de Monsabert (1678-1733).
  86. Il pourrait s'agir de Antoine-Isaac Silvestre de Sacy, mais il est décédé en 1838. Vérifier la source.
  87. "10" dans Almanach des 25 000 adresses des principaux habitans de Paris, 1835, p. 245. Vérifier s'il ne s'agit pas du frère, également médecin.
  88. « Henri-François Gaultier de Claubry (1792-1878) », www.shp-asso.org.
  89. a et b Père de Louis II du Bouchet de Sourches.
  90. La photo de Marville (voir iconographie en fin d'article et ici) laisse bien apparaître l'enseigne du restaurant et l'on lit clairement Laffite (avec deux f) et non Lafitte (avec deux t).
  91. Actuel 167, boulevard Saint-Germain.
  92. Voir Paradis (frère), décédé dans la rue en 1831.
  93. Ne pas confondre avec son homonyme, compositeur, 1767-1849.
  94. Définition en ligne.
  95. L'ouvrage est non paginé, mais la page est la 112e vue pour cet ouvrage dans Gallica. Voir aussi les publicités insérées dans le JP, les 13, 21 et 25 novembre 1810 et les 4, 13, 21 et 26 décembre 1810. Voir aussi Ami Argand et Antoine Quinquet.
  96. Voir sa notice dans data.bnf.fr.
  97. a et b La formulation est ambigüe ; retourner au texte si nécessaire.
  98. Voir Benoît Melançon, « Autopromotion 156 », L'Oreille tendue, 16 janvier 2015, en ligne.
  99. Signalée par le timbre no 2 ; relève du bureau F, rue de Verneuil.
  100. Celui-ci.
  101. Sieur du Bourg-Denis, conseiller du Roi aux conseils et président en la seconde chambre des requêtes du Palais à Paris ; voir ici.
  102. Lui ?
  103. Les Courtenay sont liés aux Bauffremont également présent dans la rue Taranne. Voir Hélène de Courtenay.
  104. Celui-ci.
  105. Celui-ci ?
  106. Le prénom a vraisemblablement été mal reconnu lors de la numérisation automatique.
  107. Lui.
  108. La description du document ne permet pas de distinguer le bailleur du preneur. En tout état de cause, l'un est propriétaire, l'autre futur occupant.
  109. Reçu maître en 1770, horloger du comte d’Artois. En 1791, il est signalé rue Saint-Dominique, au coin de celle du bac (Almanach général du département de Paris pour l'année 1791, p. 179). Franc-maçon et jacobin. Mort en 1806. Pendule en bronze ; une autre ; [montre à verge].
  110. Fils d'Hélène de Courtenay et frère de Joseph de Bauffremont.
  111. Les ducs de Chevreuse sont liés aux marquis d'O également présent dans la rue.
  112. [Armand-Jean de Vignerot du Plessis|Celui-ci] ou un parent.
  113. Page:Verne - Les Cinq Cents Millions de la Bégum. Les Révoltés de la Bounty.djvu/14.
  114. Lettres de Diderot à Falconet, texte établi par J. Assézat et M. Tourneux, Garnier, XVIII, p. 79-83.

Bibliographie

Histoire de Paris

  • Ordonnance de Louis-Philippe du concernant l'alignement des voies publiques, dans M. Alphand, Recueil de lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Impr. nouvelle, 1886, vol. 1, p. 159-160.
  • Christian Generat, « Vestiges du cimetière protestant de la rue des Saints-Pères », parisecret.20minutes-blogs.fr, .
  • Laurent Gloaguen, Rue des Saint-Pères, c. 1876, en ligne, vergue.com.
  • Hurtau et Magny, Dictionnaire historique de la ville de Paris et de ses environs, Paris, Moutard, 1779, t. IV, p. 455.
  • Jaillot, Recherches critiques, historiques et topographiques sur la ville de Paris, Paris, Lottin, 1775, t. V, chap. XX, « Quartier S. Germain-des-Prés ».
  • Localisation de la rue Taranne sur un plan de Paris de 1705. On notera la mention Rue de (sic) Tarane (sic) : l'article n'apparaît pas sur les plans ultérieurs du même site.
  • Charles Lefeuve, Les Anciennes Maisons de Paris. Histoire de Paris rue par rue, maison par maison, Paris, C. Reinwald, 1875, t. III, p. 362-366. NB. Comme indiqué en note p. 362, la notice a été écrite en 1860, soit 15 ans avant la rédaction de l'ouvrage.
  • Rue Taranne, c. 1866, Vergues.com, en ligne, consulté le . Historique, plans (dont celui des expropriations prévues de 1867), photos de Marville.

Plans cadastraux

Les plans cadastraux proposés en ligne par les Archives de Paris, mettent bien en évidence l'évolution du quartier entre le début et la fin du XIXe siècle :

  • Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan du 37e quartier « Monnaie » :
    • îlots nos 20 et 21 (trottoir nord), F/31/92/10 ;
    • îlot no 22 (côté sud, partie ouest - de la rue des Saints-Père à la rue du Dragon), F/31/92/11 ;
    • îlot no 23 (côté sud, partie est - de la rue du Dragon à la rue Saint-Benoît), F/31/92/12 ;
  • Plans parcellaires de Paris, fin XIXe siècle, plan du 24e quartier « Saint-Germain-des-Prés », archives de Paris, 15e feuille (PP/11936/C), 19e feuille (PP/11915/A) ;
  • Taranne (grande rue), Félix Lazare et al., Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Paris, 1844-1849, p. 627-628.

Rapport à Denis Diderot

  • (en) Laurence L. Bongie, « Diderot and the rue Taranne », Studies on Voltaire and the Eighteenth Century Norwich, 1980, no 189, p. 179-190.

Articles connexes

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