Ricardo Iorio

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Ricardo Iorio
Ricardo Iorio en 2011.
Biographie
Naissance

CiudadelaVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
(à 61 ans)
Coronel SuárezVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Ricardo Horacio Iorio
Surnom
Caudillo, Perro cristiano
Nationalité
argentineVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Musicien, chanteurVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Hermética
Almafuerte
V8Voir et modifier les données sur Wikidata
Tessiture
BarytonVoir et modifier les données sur Wikidata
Instrument
Voix, basse, guitare
Genre artistique
Heavy metal, tango, milonga
Site web
es-la.facebook.com/IORIO.oficialVoir et modifier les données sur Wikidata
Discographie
Ricardo Iorio discography (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Ricardo Iorio, né le à Ciudadela (Tres de Febrero, Buenos Aires[1]) et mort le à Coronel Suárez (Buenos Aires)[2], est un musicien et producteur argentin.

Il est connu pour être le fondateur des groupes V8, Hermética et Almafuerte, et comme étant l'une des personnalités les plus importantes de la scène heavy metal d'Argentine[3],[4],[5],[6].

Biographie

Ricardo Iorio en 1983.

Ricardo Iorio est né à l'hôpital Ramón Carrillo de Ciudadela et a grandi à Caseros. Au cours de son adolescence, il aide son père sur le marché dans la vente de pommes de terre : il y gagne le surnom de « Papero »[7]. Il épouse Ana Mourín en 1987, et devient père de deux filles. Le couple se sépare en 1999, et Ana Mourín se suicide en 2001.

À partir de 2000, il vit avec Fernanda García (Fernandita), avec qui il s'est marié en .

Ricardo Iorio meurt le 24 octobre 2023 d'un arrêt cardiaque.

Carrière

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Idéologie

Ricardo Iorio se considère nationaliste[8] bien qu'il n’adhère à aucun parti politique[9]. Après avoir été insulté de « facho », il déclare : « Pour ceux qui nous traitent de fachos, est-il interdit d'aimer sa patrie[8] ? » Ses déclarations concernant les détenus/disparus lors de la dernière dictature argentine, qu'il considère comme « très peu indemnisés »[10] sont fustigées par les organismes de défense des droits de l'Homme et par différentes personnalités[11] ou plutôt, si l’on comprend l’espagnol, « un poignée d'indemnisés car disparus », « des voleurs de naissance, c’est dans leur héritage [génétique] ». Il disait ne pas aimer les voleur qui jouent les victimes. Voilà la bonne traduction des liens en référence.

En , Ricardo Iorio revient sur ses paroles du morceau La Revancha de América d'Hermética afin que la communauté mapuche ne puisse pas l'utiliser en sa faveur[12]. Il se déclare anti-Kirchner et anti-maçons[13].

Discographie

Albums studio

  • 1997 : Peso argento (avec Sr. Flavio)
  • 2008 : Ayer deseo, hoy realidad
  • 2014 : Tangos y milongas
  • 2015 : Atesorando en los cielos

Avec Almafuerte

  • 1995 : Mundo guanaco
  • 1996 : Del entorno
  • 1997 : Profeta en su tierra
  • 1998 : Almafuerte
  • 1999 : A fondo blanco
  • 2001 : Piedra libre
  • 2003 : Ultimando
  • 2006 : Toro y pampa
  • 2012 : Trillando la fina

Avec Hermética

  • 1989 : Hermética
  • 1991 : Acido argentino
  • 1994 : Víctimas del vaciamiento

Avec V8

  • 1983 : Luchando por el metal
  • 1985 : Un paso más en la batalla
  • 1986 : El fin de los inicuos

Bibliographie

  • (es) 1993, V8, un Sentimiento, l'histoire du groupe précurseur du heavy metal argentin, Ana Mourin[14]
  • (es) 2007, Iorio: El Perro Cristiano, Ariel Osvaldo Torres[15]

Notes et références

  1. (es) CMTV, « Biografía de Ricardo Iorio », sur CMTV (consulté le )
  2. Falleció Ricardo Iorio, el gran referente del heavy metal argentino
  3. (es) « Iorio: "Hay gente que es perseguidora de vaginas" » (consulté le ) : « El cantante y líder de “Almafuerte”, Ricardo Iorio, visitó el programa radial que conduce Mario Pergolini, “Cuál es?”, y cedió una entrevista de más de una hora. En la misma, el emblema del heavy metal nacional habló sobre diversos temas [...]. »
  4. (es) Guzzante, Mariana, « Ricardo Iorio: “Uno no es un músico por las minitas” » (consulté le ) : « El exponente del heavy metal argentino asegura: “Yo soy mi estado, mi patrón y mi íntimo dios”. »
  5. (es) Del Greco, Alexis, « Iorio llevó lo mejor del heavy nacional a Goya » (consulté le ) : « El emblema de la música pesada argentina entregó un repertorio lleno de clásicos. »
  6. (es) El último paso antes de convertirse en mito del Heavy Metal nacional.
  7. (es) Biografía de Ricardo Iorio. Matanza Metal.
  8. a et b (es) « Ricardo Iorio le respondió a quienes lo acusan de ser un fascista », sur minutouno.com, (consulté le )
  9. (es) « Ricardo Iorio: “El motivo de la censura no fue la foto con Biondini” - Somos Rock », sur Somos Rock, (consulté le ).
  10. (es) radiomitre.cienradios.com
  11. (es) nuevodiarioweb.com.ar
  12. (es) minutouno.com
  13. (es) infobae.com
  14. (es) Mourin, Ana, V8, un sentimiento. Historia de la banda precursora del Heavy Metal Argentino, Buenos Aires, Argentina, (ISBN 950-43-5315-0).
  15. (es) Ariel Osvaldo Torres, Iorio, el perro cristiano, Argentine, (ISBN 9789870536963), p. 288.

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Ricardo Iorio, sur Wikimedia Commons

  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
  • Ressources relatives à la musiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMusic
    • Discogs
    • Encyclopaedia Metallum
    • MusicBrainz
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  • Ressource relative à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • IMDb
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • Argentine
  • (es) Biographie de Ricardo Iorio sur le site du groupe Almafuerte
  • (es) Interview originale dans la revue La Maga
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