Reginald Campbell Thompson

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Reginald Campbell Thompson
Biographie
Naissance
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South KensingtonVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 64 ans)
LondresVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
britanniqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Anthropologue, assyriologue, archéologue, traducteurVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Reginald Edward Thompson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Merton CollegeVoir et modifier les données sur Wikidata

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Reginald Campbell Thompson (South Kensington, -Londres, ) est un archéologue et assyriologue britannique.

Biographie

Tête en bronze découverte à Ninive par l'équipe de Reginald Campbell Thompson.

Il est l'aîné de cinq enfants (4 garçons, une fille)[1].

Assistant au British Museum, il collabore dès 1904 au chantier de Ninive avec Leonard William King (en) et en déblaie toutes les ruines d'une manière scientifique avant la fermeture du site l'année suivante[2].

Avec David Hogarth, il participe en 1914 aux fouilles de Karkemish en Syrie comme chef de travaux conjointement avec T.E. Lawrence[3]. Capitaine de l'Intelligence Corps à Bagdad, il commence en 1918 des travaux à Ur et Eridu. En 1927, il obtient la réouverture du site de Ninive.

Agatha Christie lui dédicace ainsi qu'à son épouse Le Couteau sur la nuque après lui avoir rendu visite avec son mari à Ninive en 1931.

Travaux

  • The Devils and Evil Spirits of Babylonia, 2 vol., 1903-1904
  • Semitic Magic: its Origins and Development, 1908
  • A Pilgrim's Scrip, 1915
  • A Century of Exploration at Niniveh, 1929

Notes et références

  1. ↑ Proceedings of the British Academy, vol. 30, 1904, p. 447
  2. ↑ Ève Gran-Aymerich, Les chercheurs de passé, Éditions du CNRS, 2007, p. 341
  3. ↑ Ève Gran-Aymerich, Les chercheurs de passé, Éditions du CNRS, 2007, p. 874-875

Voir aussi

Bibliographie

  • Archiv für Orient Forschung, vol.14, 1941-1944, p. 234-236
  • Ève Gran-Aymerich, Les chercheurs de passé, Éditions du CNRS, 2007, p. 666 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

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