République démocratique du Yémen

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République démocratique du Yémen
(ar) جمهورية اليمن الديمقراطية

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(1 mois et 16 jours)

Drapeau
Drapeau de la République démocratique du Yémen.
Hymne République unie
Description de cette image, également commentée ci-après
Territoire revendiqué par la République démocratique du Yémen (en rouge).
Informations générales
Statut République
État communiste[1].
Etat non reconnu.
Revendiqué par Drapeau du Yémen République du Yémen
Capitale Aden
Langue(s) Arabe
Religion Islam
Monnaie Dinar du Yémen du Sud
Fuseau horaire UTC +3
Indicatif téléphonique +967
Superficie
Superficie (1994) 332 970 km2 (revendiquée).
Histoire et événements
Proclamation de l'indépendance.
Capitulation et réintégration à la République du Yémen.
Président de la République
1994 Ali Salem al-Beidh
Premier ministre
1994 Haider Aboubaker al-Attas
Parlement
Parlement monocaméral Conseil populaire de salut national

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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La République démocratique du Yémen ou Yémen du Sud était un État sécessionniste non reconnu internationalement proclamé en 1994 durant la guerre civile yéménite de 1994. Son territoire reprenait pratiquement les frontières de l'ancienne République démocratique populaire du Yémen qui avait existé de 1967 à 1990, ainsi que sa capitale la ville d'Aden.

Durant sa brève existence, cet État avait pour président Ali Salem al-Beidh et pour Premier ministre Haider Aboubaker al-Attas.

Histoire

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Article détaillé : Guerre civile yéménite de 1994.

Le , la République démocratique du Yémen est proclamée. Le jour même, Ali Salem al-Beidh annonce la mise en place d'un parlement provisoire de 111 membres pendant une durée d'un an, le Conseil populaire de salut national[2], et annonce soutenir l'unité du pays[3].

Le , un Conseil présidentiel de cinq membres est mis en place[4]. Celui-ci se compose d'Ali Salem al-Beidh, Salem Saleh Mohammed, l'ancien Premier ministre sudiste Abderahman al-Jifri, Abdel El Makkoui et Salem Nasser Messaoud[5].

La République démocratique du Yémen capitule le , après la chute d'Al Moukalla, trois jours après celle d'Aden, survenue à la suite d'un siège.

Notes et références

  1. La-Croix.com, « Au Yémen, l’indéracinable Ali Abdallah Saleh », sur La Croix (consulté le )
  2. « Dénoncée comme " illégitime " par le président Saleh La sécession du Yémen du Sud risque d'intensifier la guerre ».
  3. « Le Yémen contemporain », sur Google Books (consulté le ).
  4. « YÉMEN Les forces sudistes paraissent en mesure de résister à l'offensive de Sanaa ».
  5. « YÉMEN Le nouveau pouvoir à Aden tente de rassembler l'ensemble des forces sudistes », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
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