Qian Qi

Qian Qi
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
錢起Voir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
仲文 (второе имя)Voir et modifier les données sur Wikidata
Prénom social
仲文Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Poète, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Qian Hui (d)
Qian Fangyi (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Qián Qǐ (chinois : 錢起 ), né en 710, mort en 782, surnommé Zhòngwén (仲文), est un poète wu de l'époque Tang connu par le recueil établi à la fin du XVIIIe siècle des Trois cents poèmes des Tang. Appelé également Chien Chi en Occident, il y a été, au début du XXe siècle, confondu avec Chang Chi alias Chang Tsi.

Gustav Mahler a repris en 1907 les vers du Solitaire en automne pour composer le deuxième mouvement du Chant de la Terre. Un de ses poèmes a été mis en musique en 1932 par Albert Roussel (op. XXXV), les paroles ayant été traduites de l'anglais d'après Herbert Allen Gilles par Henri-Pierre Roché[1]

Connaissant, seigneur, mon état d'épouse,
Tu m'as envoyé deux perles précieuses
Et moi, comprenant ton amour
Je les posai froidement sur la soie de ma robe.


Car ma maison est de haut lignage
Mon époux capitaine de la garde du Roi
Et un homme comme toi devrait dire:
"Les liens de l'épouse ne se défont pas."


Avec les deux perles je te renvoie deux larmes,
Deux larmes pour ne pas t'avoir connu plus tôt.

Références

  1. P. Roché, revue Vers et Prose, Paris, 1907.
  • icône décorative Portail de la poésie
  • icône décorative Portail du monde chinois