Paul Degouy

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Paul Degouy
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
ToulouseVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
7e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
JournalisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Paul Mathieu Degouy, né le à Toulouse (Haute-Garonne) et mort le dans le septième arrondissement de Paris, est un journaliste et militant politique français[1].

Biographie

Ancien contrôleur des contributions directes, Paul Degouy entra dans le journalisme en 1882 en qualité de rédacteur de La Justice, le quotidien de Georges Clemenceau.

Membre influent du parti radical, Paul Degouy fut candidat de la liste radicale-socialiste du quatrième arrondissement de Paris au moment des élections législatives de  ; sur les conseils de Clemenceau, il se désista au second tour, favorisant ainsi la victoire du socialiste Gabriel Deville. Ce retrait brutal fut sévèrement apprécié, au point d’obliger Clemenceau à répondre aux critiques dans la presse[2].

Après de très nombreuses années passées à La Justice, Paul Degouy entra au Petit Journal, tout en collaborant à de nombreux quotidiens de province, en particulier L’Éclaireur de l’Est, dont il était le directeur politique, et Le Petit Troyen. Très investi dans le monde de la presse, il fut également vice-président honoraire de la Maison des journalistes, dont il avait été un des fondateurs en .

Spécialisé dans les questions fiscales et financières, Paul Degouy a été plusieurs fois membre de commissions extraparlementaires au Ministère des Finances[1]. On lui doit également plusieurs études d'économie politique, en particulier sur l'augmentation du coût de la vie après guerre[3].

Paul Degouy était le frère du contre-amiral Robert Degouy (1852-1942).

Décorations

Chevalier (1898) puis officier (1925) de la Légion d’honneur[4].

Notes et références

  1. a et b « Cote < LH/689/85> », base Léonore, ministère français de la Culture
  2. Georges Clemenceau, « Explications », La Justice,‎
  3. Paul Degouy, Études sur la vie chère. Le problème de la viande, Paris, P. Boll,
  4. Voir base Léonore dans liens externes

Voir aussi

Bibliographie

  • Henriette Degouy : Paul Degouy, publiciste, officier de la Légion d’honneur (1856-1929), Paris, s. éd., 1930.

Liens externes

  • Ressource relative à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • base Léonore
  • icône décorative Portail du journalisme
  • icône décorative Portail de Toulouse