Orlando Yorio

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cette section ou cet article est une traduction incomplète ().

Vous pouvez modifier la page pour effectuer la traduction.

Orlando Yorio
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Santos Lugares (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 67 ans)
MontevideoVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Orlando Virgilio YorioVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
argentineVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
Autres informations
Ordre religieux

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Orlando Yorio, né le à Santos Lugares (dans la banlieue de Buenos Aires en Argentine) et mort le à Montevideo (Uruguay)[1] est un religieux jésuite argentin. Il est connu pour avoir survécu à une détention de 5 mois par les escadrons de la mort de la dictature argentine en compagnie d’un autre jésuite, le père Franz Jalics.

Résumé biographique

Façade de l’école de mécanique de la Marine, qui fut le lieu de détention de Yorio et Jalics de mai à octobre 1976

Il étudie le droit à l'université de Buenos Aires. En il entame son noviciat à la Compagnie de Jésus. Il est ordonné prêtre le . Il est ensuite professeur et vice-doyen du Collège des Jésuites de Buenos Aires, le Colegio Máximo Centro Loyola de San Miguel. De 1970 à 1976, il partage la vie de communautés intégrées dans les favelas, notamment à partir de 1974 dans celle de Bajo Flores, Buenos Aires. Le , il est enlevé avec le père Franz Jalics et détenu pendant 5 mois à l’École de mécanique navale de Buenos Aires. Il réapparait le , près de la ville de Cañuelas. Il part ensuite à Rome pour y étudier le droit canon.

De retour en Argentine, ayant quitté la Compagnie de Jésus, il est nommé curé de la paroisse de Berazategui à Buenos Aires. En 1997, il s'installe à Montevideo et y assure la fonction de curé de la communauté de Sainte Bernadette. Il meurt en 2000 d'une crise cardiaque.

Texte à traduire
Texte à traduire
Portion de texte allemand à traduire en français

Texte allemand à traduire :

Leben

Yorio studierte zunächst Rechtswissenschaften an der Universidad de Buenos Aires und unterbrach sein Studium 1955, um in den Jesuitenorden einzutreten. Danach studierte er Geisteswissenschaften in Córdoba, Santiago de Chile und San Miguel und erhielt 1961 die Lehrerlaubnis (Licenciado) im Fach Philosophie. 1967 erhielt er auch die Lehrerlaubnis im Fach Theologie und lehrte in San Miguel an der theologischen Fakultät. Er war Mitarbeiter der Zeitschrift Strómata, einem Organ der Befreiungstheologie[2].

Dem Soziologen und Kurator Roberto Baschetti zufolge, war Yorio Mitglied der Movimiento de Sacerdotes para el Tercer Mundo (Bewegung der Priester für die Dritte Welt) und militanter Peronist[3].

Während seines Studiums hatte er Franz Jalics kennengelernt, mit dem er ab 1974 im Elendsvierteln Bajo Flores von Buenos Aires wirkte[4]. Ihr Ordensprovinzials[5] war Mario Bergoglios. Nach der offiziellen Auflösung ihrer kleinen Gemeinschaft im Bajo Flores im Februar 1976 wurde Yorio am 19. März vom Orden ausgeschlossen[6].

Jorge Novak, der Bischof des neugegründeten Bistum Quilmes, verhalf ihm, das Land zu verlassen. Knapp acht Jahre blieb Yorio in Rom, wo er kanonisches Recht studierte. Verbitsky zufolge soll er am 24. November 1977 dem stellvertretenden Generaldirektor der Gesellschaft Jesu, Pater Moura, einen umfangreichen Bericht gesandt haben.

Zurück in Argentinien berichtete er der Comisión Nacional sobre la Desaparición de Personas. In Quilmes hatte er verschiedenen Positionen in der Diözese, bis er zum Pfarrer in Berazategui ernannt wurde. Hier wurde er auch erster Professor an der Centro de Estudios Filosóficos y Teológicos de Quilmes (CEFITEQ). Ab 1994 beteiligte er sich an der Opción por los pobres (Option für die Armen).

Da Drohungen es unmöglich machten, dort zu bleiben, wechselte er 1997 in die Erzdiözese Montevideo und diente als Pfarrer der St. Bernadette Gemeinschaft[7].

Am 12. Jahrestag seines Todes wurde seine Urne am CEFITQ beigesetzt[8].

Traduire ce texteOutils(+)

Lien externe

  • (es) A 12 años de la Pascua del Padre Orlando Yorio sur youtube.com

Références

  1. (es) « Orlando Yorio: El testimonio y la entrega de un pastor », Umbrales, Revista de actualidad religiosa latinoamericana, Montevideo, Uruguay, no 120,‎ , S.30 (lire en ligne, consulté le )
  2. Rodolfo Kusch, Las religiones nativas, s.n. 1987, S. 8f
  3. (es) « militantes del peronismo revolucionario uno por uno. Yorio, Orlando Virgilio », Roberto Baschetti (consulté le )
  4. « Kirchen - Papst: Franziskus: Stiller und streitbarer Jesuit aus Buenos Aires », Süddeutsche.de, (consulté le )
  5. Philipp Lichterbeck, « Die zwei Gesichter des Papstes Franziskus », Der Tagesspiegel, (consulté le )
  6. (en) « WebCite query result », sur webcitation.org (consulté le ).
  7. (es) « P. Orlando Yorio. El testimonio y la entrega de un pastor », Umbrales, (consulté le )
  8. (es) « Trasladan las cenizas del padre Yorio al CEFITEQ », Obispado de Quilmes (consulté le )
  • icône décorative Portail de la Compagnie de Jésus
  • icône décorative Portail du catholicisme
  • icône décorative Portail de l’Argentine