Monument aux morts de Carmaux
Monument aux morts de Carmaux
Le monument aux morts de Carmaux
| Type | Monument aux morts (monument aux morts pacifiste) |
|---|---|
| Style | Colonne |
| Architecte | L'architecte municipal Gabriel Camboulives |
| Ingénieur | Le sculpteur Gaston Toussaint |
| Matériau | Granite et bronze |
| Construction | 1921-1933 |
| Inauguration | 1935 par Louis Fieu |
| Commanditaire | Le maire de Carmaux, Jean-Baptiste Calvignac |
| Hauteur | Près de 30 mètres |
| Propriétaire | Commune de Carmaux |
| Patrimonialité |  Inscrit MH (2018) |
| Pays |  France |
|---|---|
| Division administrative | Occitanie |
| Subdivision administrative | Tarn |
| Commune | Carmaux |
| Adresse | Parc Jean Jaurès |
| Coordonnées | 44° 02′ 53″ N, 2° 09′ 48″ E |
|---|
Localisation sur la carte du Tarn
  |
Localisation sur la carte de France
 |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Le monument aux morts de Carmaux est un monument aux morts pacifiste situé à Carmaux, dans le Tarn, en région Occitanie.
Situation et accès
Le monument est situé à Carmaux, dans le nord du département du Tarn. Il se trouve au milieu du parc Jean-Jaurès (anciennement appelé parc de la Sérinié).
Historique
Construction
La construction du monument aux morts de Carmaux débute en 1921 sous le maire Jean-Baptiste Calvignac pour se terminer en 1933 sous Louis Fieu[1]. Sculpté par Gaston Toussaint, il est élevé grâce à une souscription publique en hommage aux morts français de la Première Guerre mondiale[2].
Vandalisme
En , le monument est dégradé, les vasques l'encadrant brisées, les porte-drapeaux tordus et les fleurs déposées à l'occasion de la commémoration du 11 novembre piétinées. L'auteur de cet acte n'a pas été identifié[3].
Patrimonialité
Le monument aux morts de Carmaux est inscrit au titre de monument historique par arrêté le [4]. Son inscription se fait dans le cadre du centenaire de la Première Guerre mondiale, durant lequel le ministère de la Culture a choisi de protéger les plus spectaculaires des monuments aux morts[5].
Structure
Le monument se compose d'un piédestal cubique surmonté d'une colonne de granit de 25 mètres auquel s'ajoute une statue de femme symbolisant la paix. L'ensemble est rehaussé de différents végétaux forgés (branches d'oliviers, fleurs de lotus, guirlandes de lauriers, etc.)[2].
Notes et références
- ↑ « Monument à Carmaux | Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le )
- ↑ a et b « Monument aux morts de 14-18 – Carmaux », sur e-monumen.net (consulté le )
- ↑ « Gaillac. Carmaux. Le monument aux morts vandalisé à la Sérinié », sur ladepeche.fr (consulté le )
- ↑ « Monument aux morts », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- ↑ « Carmaux. Le monument aux Morts classé historique », sur ladepeche.fr (consulté le )
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à l'architecture
: - Mérimée
v · m Monuments aux morts d'Occitanie protégés aux monuments historiques | |
|---|---|
| Ariège |
|
| Aude | |
| Aveyron | |
| Gard | |
| Gers | |
| Haute-Garonne | |
| Hérault | |
| Lot | |
| Lozère | |
| Hautes-Pyrénées | |
| Pyrénées-Orientales | |
| Tarn |
|
| Tarn-et-Garonne |
|
Portail du Tarn 
Portail des monuments historiques français 
Portail de la sculpture 
Portail sur la mort 
Portail de la Première Guerre mondiale
