Liste des prieurés et celles grandmontaines

Pour un article plus général, voir Ordre de Grandmont.

La liste des prieurés et celles grandmontaines recense les maisons de l'ordre de Grandmont, ordre monastique fondé vers 1076 en Limousin et dissous en 1772.

À la fin du XIIIe siècle, l'ordre de Grandmont était organisé en France en 9 provinces (dites "nations" ou "visitations") totalisant, avec les 2 maisons espagnoles (11 clercs) et les 3 maisons anglaises (24 clercs), 149 maisons et 882 clercs. Les provinces ne correspondent pas exactement aux régions géographiques éponymes, mais se touchent presque toutes (sauf celles de Normandie et France) vers le chef d'ordre de Grandmont autour duquel elles sont disposées[1].

  • Nation de France : 15 maisons ou celles avec 87 clercs ;
  • Nation de Normandie : 15 maisons avec 92 clercs ;
  • Nation d’Anjou : 16 maisons et 2 léproseries avec 100 clercs ;
  • Nation de Poitou : 20 maisons avec 99 clercs ;
  • Nation de Saintonge : 16 maisons avec 98 clercs ;
  • Nation de Gascogne : 16 maisons avec 92 clercs ;
  • Nation de Provence : 13 maisons avec 66 clercs ;
  • Nation d’Auvergne : 15 maisons avec 68 clercs ;
  • Nation de Bourgogne : 18 maisons avec 105 clercs ;
  • Chef d’ordre à Grandmont avec 40 clercs.

L'organisation en prieurés et celles (dépendances) présentée dans les sections qui suivent est basée celle de la bulle papale Exigente debito du 15 décembre 1317[2] réorganisant l'ordre autour de l'abbaye et de 39 prieurés où résidaient les grandmontains, et complétée des évolutions postérieures. Les numéros de chaque maison (indications "GEREG n°") sont ceux attribués par le GEREG (Groupe d'études et de recherches sur les Grandmontains) fondé par Gilles Bresson[note 1]. En fonction de l'intérêt grandmontain des vestiges et de leur mise en valeur, les notations en étoiles (de 0/6 étoiles à 6/6 étoiles) sont celles du site internet de Michel Fougerat, cofondateur des Cahiers Grandmontains du GEREG (l'abbaye de Grandmont n'est pas notée)[3].

Carte des prieurés

Carte
Prieurés grandmontains

Abbaye et chef d'ordre

  • Abbaye de Grandmont (Grandismons, Grandimontum), à Saint-Sylvestre (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges, Logo monument historique Inscrit MH (2015, 2017). Fondée en 1125, église dédicacée le 4 septembre 1166[4], elle a plus de 40 religieux en 1295 (hors prêtres, novices et infirmes), 60 en 1317, 35 au XVe siècle, 30 au XVIe siècle et 10 en 1772. La visite des vestiges (ruines) est ouverte au public[5].
    • Celle Notre-Dame et Saint-Marc de Balesis dite "prieuré des Gondauds" (ou Balezis, Balazy, Balaz, Balais, de Balesis, de Balazis, GEREG no 133, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Isle (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondée à la fin du XIIe siècle, la chapelle est bâtie en 1227. Elle n'est pas mentionnée dans le dénombrement de 1295, ni en 1317, sans-doute déjà unie au chef d'ordre.[6],[7],[8]
    • Celle de Boisvert (ou Boisverd, de Bosco Viridi, GEREG no 134, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Bujaleuf (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondée selon les sources vers 1080-1124, ou en 1202, elle a 4 religieux en 1295.[9],[10]
    • Celle des Bronzeaux (de Brondellis, GEREG no 136, 4/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Saint-Léger-Magnazeix (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges, Logo monument historique Classé MH (1999). Fondée vers 1172, elle a 5 religieux en 1295. Elle est ouverte au public[11],[12].
    • Celle Saint-Marc de l'Escluse (de Esclusa, GEREG no 141, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Saint-Laurent-les-Églises (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle existait en 1189, et a 3 religieux en 1295[13].
    • Celle d'Epaigne (de Hispania, GEREG no 142, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Sauviat-sur-Vige (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondée en 1221, elle a 3 religieux en 1295[14],[13].
    • Celle Notre-Dame et Saint-Pardoux d'Etricor (ou Entricort, de Stricto Cornu, GEREG no 7, 4/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Étagnac (Charente) dans l'ancien diocèse de Limoges, Logo monument historique Inscrit MH (1987). Fondée en 1148, elle a 5 religieux en 1295[15],[13].
    • Celle de La Forêt-de-Montsuclat (ou Bonneval-Monstusclat, de Bona-Valle, de Foresta, Bonae-Vallis de Monteusto, de Foresta de Monteusto, GEREG no 26, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Soudeilles (Corrèze) dans le diocèse de Limoges puis de Tulle. Elle a 4 religieux en 1295.[16]
    • Celle Notre-Dame de La Garde (ou La-Garde-en-Avert, de Garda, de Guarda, GEREG no 15, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à La Tremblade (Charente-Maritime) dans le diocèse de Saintes puis de La Rochelle. Elle a 5 religieux en 1193, et 5 en 1295[16],[17].
    • Celle Sainte-Marguerite de Montmorillon (ou le Petit Grandmont, Beata Margarita Montis Maurilii, GEREG no 129, 3/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Montmorillon (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Elle n'est pas présente dans les écrits (annales, dénombrement de 1295 et bulle de 1317), mais il existe 20-25 actes la concernant dans les archives départementales de la Haute-Vienne entre 1250 et 1273. Appelée pressoir (torcular) du fait de son activité uniquement viticole et plus monastique, elle est unie au chef d'ordre avant 1295.[18],[19]
    • Celle de Muret (de Mureto, GEREG no 143, 2/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Ambazac (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Ermitage originel de l'ordre, fondé par Étienne de Muret vers 1076, son oratoire est consacré en 1114. Abandonné pour fonder Grandmont après sa mort en 1125, une celle y est peut-être reconstruite au XIIIe siècle[20],[10].
    • Celle Notre-Dame et Saint-Georges de Rousset (de Rosseto, GEREG no 144, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, près de Vaulry (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle existait en 1224 et a 5 religieux en 1295.[21],[22]
    • Celle Notre-Dame et Saint-Marc de Bonneval de Serre (ou La Serre de Bonneval, de Bona Valle, de Serra, GEREG no 135, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Sussac (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle pourrait avoir été fondée en 1157, et a 3 religieux en 1295[23],[24].
    • Celle de Trezen (ou Trezin, de Trezis, GEREG no 146, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, aux Billanges (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondée en 1205 par Aimery VI de Rochechouart et son épouse, elle a 4 religieux en 1295[25],[14]. Elle est transformée en grange à la Révolution, et détruite en 1905.
    • Les celles d'Angleterre et de Navarre (voir section dédiée)
    • La grange de Coudier (3/6 étoiles), à Ambazac (Haute-Vienne), Logo monument historique Inscrit MH (1980)[26]. Grange dîmière.

Maisons en Angleterre et Espagne

Ces maisons sont unies au chef d'ordre en 1317.

  • Celles d'Angleterre, qui gardent des communautés religieuses jusqu'en 1534 où Henri VIII proscrit les ordres religieux :
    • Celle d'Alberbury (en) (ou Albebury, Albisburry, de Albis Burry, GEREG no 154, 3/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Alberbury (en) (Shropshire) dans l'ancien diocèse de Hereford. Elle a 6 religieux en 1295[27],[28],[29].
    • Celle de Creswale (en) (ou Crasswall, Crasswelle, Creschoala, de Crassa Valle, GEREG no 153, 2/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Craswall (Herefordshire) dans le diocèse de Saint David's. Fondée vers 1220 ou 1225, elle a 9 religieux en 1295, et 14 religieux quelques années plus tôt[27].
    • Celle de Grosmont (ou Escadale, Eskdale, Escadale, de Escaldala, de Eskaldalke, GEREG no 155, 0/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Grosmont (Yorkshire du Nord) dans le diocèse d'York. Elle a 9 religieux en 1295[30],[27].
  • Celles de Navarre (Espagne) :
    • Celle Saint-Martial de Tudèle (ou San Marzal, San Marsal, de Santo Martiale, de Tutella, GEREG no 157, 0/6 étoiles), à Tudela (Navarre) dans le diocèse de Tarazona. Fondé en 1269 par le roi Thibaut, il a 9 religieux en 1295[31],[32].
    • Celle de Stella (es) (ou Santa María Jus del Castillo d’Estella, de Stella, GEREG no 156, 3/6 étoiles), à Estella (Navarre) dans le diocèse de Pampelune. Elle a 2 religieux en 1295[31],[32].

Prieurés de la Nation de France

Prieuré de 18 religieux en 1317

  • Prieuré puis abbaye de Macheret (de Machereto, GEREG no 83, 0/6 étoiles) de la Nation de France, à Saint-Just-Sauvage (Marne) dans l'ancien diocèse de Troyes. Fondé en 1168 par Guillaume Ier de Dampierre et Hugues III de Plancy, il a 8 religieux en 1295, 18 en 1317. Un collège y est fondé en 1581 par 2 grandmontains et dura 23 ans. Il est érigé en abbaye en 1650. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, qu'il rejoint en 1687. Il restait 5 religieux lors de la suppression de l'ordre[33],[34].
    • Celle Saint-Eutrope d'Arvy-les-Bons-Hommes (ou l'Isle-Aumont, de Arvico, de Insula, GEREG no 3, 3/6 étoiles) de la Nation de France, dans le bois d'Arvy à Cormost (Aube) dans le diocèse de Troyes. Fondé avant 1180 par Henri Ier comte de Champagne, il avait 6 religieux en 1295. Il n'en reste plus qu'une fontaine[33],[35].
    • Celle de Châteauvillain (de Castro Villano, GEREG no 84, 2/6 étoiles) de la Nation de France, à Châteauvillain (Haute-Marne) dans le diocèse de Langres. Fondée avant 1194 par Hugues de Châteauvillain, elle a 4 religieux en 1295.[33],[36]
    • Celle Saint-Fiacre de Mathons (dite "prieuré des Bonshommes", de Mastone, de Mascone, GEREG no 85, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Mathons (Haute-Marne). Fondée en 1168 par Geoffroi III de Joinville, elle a 5 religieux en 1295[33],[37].

Prieurés de 16 religieux en 1317

  • Prieuré de l'Enfourchure (ou Dimont, de Dimone, de Infurcatura, GEREG no 148, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Dixmont (Yonne) dans le diocèse de Sens, Logo monument historique Inscrit MH (1926). Fondé en 1209, il comptait 8 religieux en 1295, 16 en 1317, 2 en 1641 et le prieur commendataire obtient à cette époque de l'abbaye de ne plus y entretenir de religieux. L'église menaçait de tomber en ruines en 1496 et est réparée au siècle suivant. Il est ouvert au public[38].,[39]
    • Celle de Ligny (de Liniaco, GEREG no 149, 0/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Varennes (Yonne) dans le diocèse de Bordeaux. Elle a 10 religieux en 1295[37].
    • Celle de Trin (ou Trains, Traxs, de Trahis, GEREG no 108, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Villecerf (Seine-et-Marne) dans le diocèse de Sens, Logo monument historique Inscrit MH (1926, Bâtiments à l'entrée et à gauche de la cour). Fondée sous le 3e prieur Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 6 religieux en 1295.[25],[40]
  • Prieuré Notre-Dame du Meynel (ou Mesnel, Meynel-lez-Maffliers, Coudray-de-Grandmont, Notre-Dame du Coudray, Notre-Dame des Bonshommes, de Menello, GEREG no 152, 0/6 étoiles) de la Nation de France, à Maffliers (Val d'Oise) dans les diocèses successifs de Paris, Beauvais et de Versailles. Etabli en 1169 sur une terre donnée par Bouchard V de Montmorency, soutenu par Louis VII, il avait 8 religieux en 1295, 16 en 1317, 3 en 1768. Il est uni au collège de Grandmont (Paris) en 1711. Il est décrit dans le roman l'Adieu de Balzac en 1830, transformé en 1859 en une maison de campagne appelée "château des Bonshommes". Les bâtiments vétustes ont été rasés par l'ONF à la fin des années 1970 et le site est devenu une réserve ornithologique et faunistique[41].,[42]
    • Celle Notre-Dame de Clairefontaine (ou Beauvais, de Belvaco, GEREG no 92, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Saint-Germain-la-Poterie (Oise) dans le diocèse de Beauvais. Fondée en 1207, elle a 5 religieux en 1295.[43]
    • Celle de Montcient-Fontaine dite "abbaye de Montcient" (ou La Fontaine, de Fontana, GEREG no 109, 4/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Sailly (Yvelines) dans le diocèse de Rouen, Logo monument historique Inscrit MH (1926). Elle a 4 religieux en 1295.[44],[45],[46]
  • Prieuré de Raroi (ou Ravoi, Razay, Resaye, de Reraio, de Rerayo, de Rezaio, de Rarezaio, GEREG no 107, 1/6 étoiles) de la Nation de France, à Crouy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne) dans le diocèse de Meaux. Fondé en 1164 ou 1171, il avait 6 religieux en 1295, 16 en 1317, et seulement un au XVe siècle. Les jésuites puis les feuillants s'y installèrent, puis Raroi fut uni à la maison de l'Oratoire[47].
    • Celle de Savignies (prope Savigni, prope Maliorum, de Saviniaco, de Saviniaco, GEREG no 1, 2/6 étoiles) de la Nation de France, à Seringes-et-Nesles (Aisne) dans le diocèse de Soissons. Il avait 5 religieux en 1295.[21]
    • Celle du Lohan (ou Vassens, Vayssin, La Vaissine, de Bayssino, de Vayssino, Delvaici, GEREG no 82, 2/6 étoiles) de la Nation de France, dans la forêt de Vassy à Mareuil-en-Brie (Marne) dans le diocèse de Soissons. Fondé sous Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 5 religieux en 1295. Elle est annexée à l'Oratoire de Paris au XVIIIe siècle.[25],[48]

Prieurés de la Nation de Normandie

Prieuré de 18 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame de l'Ouÿe (ou Louye, de Loya, GEREG no 151, 4/6 étoiles) de la Nation de Normandie, aux Granges-le-Roi (Essonne) dans l'ancien diocèse de Chartres. Fondé en 1163 par Louis VII, il a 6 religieux en 1295, et 18 en 1317. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance qu'il adopte en 1687, et était la maison d'études et la résidence du vicaire général de cette partie de l'ordre. Sa mense priorale est unie à Thiers. Il avait 10 religieux à la suppression de l'ordre[51].

Prieurés de 16 religieux en 1317

Prieurés de 14 religieux en 1317

  • Prieuré Saint-Étienne de Beaumont-le-Roger dit "Grandmont-lez-Beaumont" (ou Grandmont-les-Noyer, Grandmont-les-Châtel-la-Lune, GEREG no 40, 1/6 étoiles) de la Nation de Normandie, au Noyer-en-Ouche (Eure) dans le diocèse d'Evreux. Fondé en 1181, il avait 7 religieux en 1295, 14 en 1317 et 3 en 1772. Il est uni au Petit séminaire d'Evreux en 1784.[59]
    • Celle Notre-Dame de La Bellière dite "Notre-Dame de Grandmont" (de Berleria, GEREG no 93, 2/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à La Bellière (Orne) dans le diocèse de Séez. Fondée en 1178 par Froger, évêque de Séez, elle a 5 religieux en 1295[43]
  • Prieuré de Bercey (Bersay, prioratus de Burseyo, de Bersayo, GEREG no 102, 3/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Saint-Mars-d'Outillé (Sarthe) dans le diocèse du Mans. Il aurait été fondé en 1136 par Henri II Plantagenêt, avait 7 religieux en 1295, 14 en 1317, 4 en 1768. Il est uni en 1770 au séminaire diocésain.[59]
  • Prieuré Notre-Dame-du-Parc (ou Grandmont-lez-Rouen, de Parco, de Rothomago,GEREG no 105, 4/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Rouen (Seine-Maritime) dans l'ancien diocèse de Lisieux, Logo monument historique Classé MH (1936). Fondé en 1156 par Henri II Plantagenêt aux portes de Rouen dans la forêt de Rouvray, c'était la maison la plus riche de l'ordre après Grandmont. Elle a 10 religieux en 1295, 14 en 1317, 9 en 1768 puis est réunie en 1770 au séminaire de Lisieux[60],[61].
    • Celle d'Aubevoie (ou Grandmont-lès-Gaillon, de Albavia, de Albania, de Albaria, GEREG no 39, 0/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Gaillon (Eure) dans le diocèse d'Évreux. Fondée vers 1190 par Amaury VI de Montfort-Évreux, elle a 6 religieux en 1295. En 1748 les jésuites y faisaient encore célébrer 2 messes par semaine.[62]

Prieurés de la Nation d'Anjou

Prieurés de 18 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame du Bois Rahier (ou Boisraiet-lez-Tours, Grandmont-lez-Tours, de Bosco Raherii, GEREG no 56, 0/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, au quartier Montjoyeux-Grandmont de Tours (Indre-et-Loire) dans le diocèse de Tours. Il s'agissait d'une des principales maisons de l'ordre, qui aurait été fondée en 1156 ou 1172 par Henri II Plantagenêt. Le prieuré avait 12 religieux en 1295, 18 en 1317, 4 en 1768. Il est unie en 1770 au séminaire de Tours.[63],[64]
  • Prieuré du Pommier-Aigre (ou Grandmont-lès-Chinon, de Pomerio acri, GEREG no 60, 3/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Saint-Benoît-la-Forêt (Indre-et-Loire) dans le diocèse de Tours. Il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317, et 2 lors de la suppression de l'ordre et l'union du prieuré au séminaire de Tours[61].
    • Celle du Bouchet en Berthegon (ou Boschet, de Boscheto, GEREG no 126, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Berthegon (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Fondée vers la fin du XIIe siècle, elle a 3 religieux en 1295[9].
    • Celle de Fontmaur (ou Fontmor, Fontaine-Meurier, de Fonte Moro, GEREG no 128, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Vellèches (Vienne) dans le diocèse de Tours puis de Poitiers. Fondée sous le 4e prieur (1140-1163), elle a 5 religieux en 1295[65].
  • Prieuré de Puychevrier (ou Puy-Chevrier, Puits-Chevrier, de Podio Caprarii, GEREG no 54, 5/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Mérigny (Indre) dans l'ancien diocèse de Poitiers puis de Tours, en Logo monument historique Classé MH (1979). La maison existait à la fin du XIIe siècle et comptait parmi les plus anciennes de l'ordre. Elle a 5 ou 6 religieux en 1295, puis 18 en 1317, et fut unie en 1771 au séminaire de Poitiers[66],[67].
    • Celle puis prieuré d'Entrefins (de Entrefis, de Trefis, de Interfines, GEREG no 127, 1/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Adriers (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Elle a 6 religieux en 1295, la communauté de Puychevrier s'y transféra au début du XVIIe siècle[13].
    • Celle de l'Espau (ou Espaux, l'Epau, Lépaud, Espande, Bellabre, Bel-Arbre, de Espaudio, de Espaudia, de Pulchro Arbore, GEREG no 52, 0/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Belâbre (Indre) dans le diocèse de Poitiers. Elle a 4 religieux en 1295[13].
    • Celle d'Hauterives (de Altis Ripis, de Alta Rupe, GEREG no 58, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Yzeures-sur-Creuse (Indre-et-Loire) dans le diocèse de Tours. Elle a 5 religieux en 1295[16].

Prieurés de 16 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame et Saint-Étienne de Villiers (de Villeriis, GEREG no 61, 4/6 étoiles) de la Nation d'Anjou (ou de Normandie), à Villeloin-Coulangé (Indre-et-Loire) dans le diocèse de Tours puis de Bourges, Logo monument historique Inscrit MH (1988). Fondé par Henri II Plantagenêt en 1162, il avait 6 clercs en 1295, 16 en 1317, et 2 en 1768. Il est uni au séminaire de Tours en 1772. Depuis les années 1980, une expérience de faire revivre l'ordre de Grandmont a lieu dans ce prieuré.[68],[69]
    • Celle de Moulins-Breuilmont (de Mollinis, de Molis, GEREG no 53, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Baudres (Indre) dans le diocèse de Bourges. Fondée sous Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 5 religieux en 1295. Elle est vendue à un avocat en 1782, détruite en 1842 et l'actuel château de Grammont y est construit (ayant appartenu au ministre Jules Favre). Il en subsiste quelques restes de l'église.[20],[70]
    • Celle de Sauzey (ou Sausey-Grandmont, de Sanzeya, de Saseia, GEREG no 55, 0/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, au Poinçonnet (Indre) dans le diocèse de Bourges. Elle a 6 religieux en 1295.[21],[71]

Prieurés de 14 religieux en 1317

  • Prieuré de la Haye-d'Angers dit "la Haie-aux-Bonshommes" (de Haia Andegavensi, GEREG no 80, 5/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Avrillé (Maine-et-Loire) dans le diocèse d'Angers, Logo monument historique Classé MH (1947), Logo monument historique Inscrit MH (1947, 1965). Fondé par Henri II Plantagenêt en 1156, il avait 9 religieux en 1295, 14 en 1317, 10 à la fin du XVe siècle, et 3 en 1768. Un de ses prieurs commendataires devint le pape Grégoire XI. C'était une des principales maisons de l'ordre et une léproserie en dépendait. Il a conservé son église complète. Il est ouvert au public, et est depuis 1979 occupé par les « Dominicains d'Avrillé », une communauté traditionnaliste d'inspiration dominicaine anciennement proche de la Fraternité Saint-Pie-X.[72],[73],[74]
    • Celle de la Haye-de-Craon dite des "Bonshommes de Ballots" (de Credone, Haya Credonensis, GEREG no 86, 3/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Ballots (Mayenne) dans le diocèse d'Angers, Logo monument historique Inscrit MH (1988). Fondée par Amaury de Craon, elle a 6 religieux en 1295[75],[13].
    • Une léproserie[18]
  • Prieuré de Monnays (ou Monnais, Monnès, de Monesio, GEREG no 81, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Longué-Jumelles (Maine-et-Loire) dans le diocèse d'Angers. C'est à l'origine un moulin à eau fortifié, a 7 religieux en 1295, 14 en 1317. En 1617, les religieux sont transférés dans sa celle du Breuil-Bellay. En 1685 il y existait encore une église dédiée à St-Étienne, mais à la fin du XXe siècle il ne reste plus qu'un seul bâtiment.[76],[73]
    • Celle, puis prieuré de Breuil-Bellay (ou Pré-Bellay, de Brolio-Bellay, Berley, al. Belle, GEREG no 79, 4/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Cizay-la-Madeleine (Maine-et-Loire) dans le diocèse d'Angers, Logo monument historique Classé MH (1963). Fondé en 1208 ou 1209 sous le prieur Adhémar de Friac, il avait 6 religieux en 1295, et 2 à la suppression de l'ordre. Il a conservé son église complète[73],[77],[12].
  • Prieuré de Montguyon (de Monte Guidonis, ou de Monte Gadonis, GEREG no 87, 1/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Placé (Mayenne) dans le diocèse du Mans. Fondé vers la fin du XIIe siècle, il comptait 6 religieux en 1295, 14 en 1317. À la suite des guerres de succession de Bretagne, la communauté est transférée dans sa celle de la Primaudière.[76]

Prieurés de la Nation de Poitou

Prieurés de 18 religieux en 1317

  • Prieuré de Bandouille (ou Grand-Bandouille, prioratus de Bandolia, GEREG no 111, 4/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Chiché (Deux-Sèvres) dans les diocèses successifs de Poitiers, Maillezais puis La Rochelle. Fondé au XIIe siècle, sa dédicace est le 19 juillet[4], il compte 13 religieux en 1295, 18 en 1317, et fut uni à l'abbaye chef d'ordre en 1342.[80],[73],[81]
    • Celle Notre-Dame de Dive (ou Petit-Bandouille-sur-Dive, de Diva, GEREG no 115, 3/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Saint-Martin-de-Macon (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers. Fondée en 1226 par un chapelain de Saint-Médard de Thouars, elle a 5 religieux en 1295. Elle est unie au chef d'ordre en 1338. La celle conserve son église, le bâtiment des moines et un reste de la cuisine[73],[81],[13].
    • Celle de La Meilleraye (ou d'Orbestier, de Orbisterio, GEREG no 124, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, au Château-d'Olonne (Vendée) dans le diocèse de Poitiers puis de Luçon. Elle aurait été fondée en 1156, et a 5 religieux en 1295. Aucun vestige au sol n'est visible.[79],[73]
    • Celle Notre-Dame de Rocheservière (ou de La Roche Cervière, de Rupe Cerveira, ou Petit Grandmont, GEREG no 125, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Rocheservière (Vendée) dans le diocèse de Poitiers puis de Luçon. Elle a 6 religieux en 1295. Aucun vestige au sol n'est visible.[21],[73],[82]
  • Prieuré de La Vayolle (de Valliola, GEREG no 131, 3/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Neuil-l'Espoir (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317, et plus qu'un en 1768. Il est uni au séminaire de Poitiers en 1770-1771[68].
    • Celle de Bois-Pouvreau (de Bosco Pulverelli, GEREG no 113, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Coutières (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers. Elle a 4 religieux en 1295. Il n'en reste qu'un chapiteau[73],[9].
    • Celle de Loubert (ou Louberc, Lumbers, la Maison-Dieu de Lobers, de Lobercio, Mansio-Dei de Lumberz, Bonihominia, de Bononia, de Bonsonia, GEREG no 10, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Roumazières-Loubert (Charente) dans le diocèse de Limoges puis de Poitiers. Elle pourrait avoir été fondée en 1157, et a 3 religieux en 1295.[37],[83]
    • Celle de La Troussaye (de Trossayo, GEREG no 130, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Iteuil (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Fondée sous le prieur Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 4 religieux en 1295[25]. Vendue comme bien national, le château de la Troussay est construit en 1872 sur ses ruines.

Prieurés de 16 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame du Bois d'Alonne (de Bosco Alone, GEREG no 112, 4/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Allonne (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers, Logo monument historique Inscrit MH (1987). Il avait 7 religieux en 1295, 16 en 1317, et 3 en 1768. Il fut uni au séminaire de Poitiers en 1771. Il a conservé son église complète qui possède un des rares clochers tardifs de l'ordre.[59],[73],[84]
  • Prieuré Notre-Dame de La Carte (ou La Quarte, de Quarta, GEREG no 114, 1/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Celle-sur-Belle (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers. Est sans-doute une des plus anciennes maisons de l'ordre hors du diocèse de Limoges. Sept religieux en 1295, 16 en 1317. Ne conserve qu'une tour d'époque indéterminée.[53],[73]
    • Celle de Font-Adam (de Fonte Adae, GEREG no 117, 1/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Caunay (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers. Fondée entre 1140 et 1163, elle a 3 religieux en 1295. Il n'en reste aucun vestige.[44],[73]
    • Celle Saint-Gilles de Fontcreuse (de Fonte Croso, GEREG no 8, 2/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Saint-Coutant (Charente) dans le diocèse de Poitiers. Elle a 4 religieux en 1295.[44]
    • Celle d'Entruan (ou Terruan, de Enterna, de Enterva, ou de Anterna, GEREG no 116, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Montalembert (Deux-Sèvres) dans le diocèse de Poitiers. Cinq religieux en 1295. Il n'en reste aucun vestige.[25],[73]

Prieurés de la Nation de Saintonge

Prieuré de 20 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame de Raveaux (de Ravellis, de Ravello, de Revello, GEREG no 11, 1/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Aussac-Vadalle (Charente) dans le diocèse d'Angoulême. Il avait 5 religieux en 1295, 20 en 1317. Au XVIIe siècle, la communauté se déplaça dans son annexe de Badeix[47].
    • Celle puis prieuré Notre-Dame et Saint-Jean-Porte-Latine de Badeix (ou Boisgemme, Boisjeune, de Bosco Jejuno, de Boscogemmo, GEREG no 32, 3/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Saint-Estèphe (Dordogne) dans le diocèse de Limoges, Logo monument historique Inscrit MH (1938). Fondée au XIIe siècle, elle a 4 religieux en 1295. La communauté de Raveaux s'y installe au XVIIe siècle, et il ne restait qu'un religieux lors de sa suppression[50],[87],[88].
    • Celle de Beausault (de Bello Saltu, GEREG no 6, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Chalais (Charente) dans le diocèse de Périgueux puis d'Angoulême. Sa dédicace est le 21 octobre[4],[43].
    • Celle Notre-Dame de Gandori (ou Gandory, Gandalric, de Gandalrico, GEREG no 9, 1/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Cherves (Vienne) dans le diocèse de Saintes. Sa dédicace est le 2 septembre[4], elle a 5 religieux en 1295.[16],[89]
    • Celle de Rauzet (de Rauceto, GEREG no 12, 4/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Combiers (Charente) dans le diocèse de Périgueux, Logo monument historique Classé MH (1992, église et alentours), Logo monument historique Inscrit MH (1987, église). Elle a 5 religieux en 1295. Il en reste la chapelle et un bâtiment monastique. Elle est ouverte au public et gite d'étape depuis 2007.[21],[90],[91]

Prieuré de 16 religieux en 1317

  • Prieuré de Sermaize (de Sarmazia, de Sarmeziis, GEREG no 18, 3/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Nieul-sur-Mer (Charente-Maritime) dans le diocèse de Saintes, Logo monument historique Inscrit MH (1925). Fondé par Henri II Plantagenêt, il avait 8 religieux en 1295, 16 en 1317. Il est uni au chef d'ordre dès 1342 avec ses annexes[92],[93].
    • Celle de Barbe-Torte (de Barba Torta, GEREG no 121, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, aux Magnils-Regnier (Vendée) dans le diocèse de Poitiers puis de Luçon. Fondée par Henri II Plantagenêt, elle a 5 religieux en 1295. Elle est unie au chef d'ordre dès 1342. Aucun vestige au sol n'est visible.[50],[73]
    • Celle de La Lance (de Lancea, GEREG no 16, 3/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Breuil-Magné (Charente-Maritime) dans l'ancien diocèse de Saintes. Elle a 5 religieux en 1295. Elle est unie au chef d'ordre dès 1342.[37]

Prieuré de 13 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame du Jarry (ou Jarric, de Jarrico, GEREG no 14, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Bussac-sur-Charente (Charente-Maritime) dans l'ancien diocèse de Saintes. Il existait en 1217, avait 6 religieux en 1295, 13 en 1317. Il n'aurait plus hébergé de religieux au XVe siècle[51],[94].

Prieurés de la Nation de Gascogne

Prieurés de 22 religieux en 1317

  • Prieuré de La Faye-de-Jumilhac (de Fagia-Jumiliaci, GEREG no 36, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Jumilhac-le-Grand (Dordogne) dans le diocèse de Périgueux. Fondé en 1194 par Étienne Cortez et ses fils, il avait 7 religieux en 1295, 22 en 1317, et 2 en 1768. Il est évacué par mesure provisoire en 1778 et uni au séminaire de Périgueux.[96],[97]
    • Celle de Belle-Selve (de Bella Silva, GEREG no 33, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Tursac (Dordogne) dans le diocèse de Périgueux. Fondée sous le prieur Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 3 religieux en 1295[43].
    • Celle de Boisset (ou Boychet, de Boissetto, de Boësseto, GEREG no 34, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Saint-Aquilin (Dordogne) dans le diocèse de Périgueux. Elle a 4 religieux en 1295.[9]
    • Celle de Chargnac (ou Charniac, Chargnat, de Charnhaco, de Clariniaco, de Chariniaco, GEREG no 24, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Louignac (Corrèze) dans l'ancien diocèse de Limoges. Elle a 5 religieux en 1295.[12]
    • Celle de La Plaigne (de Planha, de Plania, GEREG no 37, 1/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Savignac-Lédrier (Dordogne) dans l'ancien diocèse de Limoges. Elle est fondée par Hugues de La Certa (disciple préféré du fondateur Étienne de Muret) en 1110 ou 1111. Elle a 5 religieux en 1295. Il en reste un corps de logis du XVIIe siècle[98],[79].
    • Celle de Puy-Gibert (de Podio Gilberti, GEREG no 28, 1/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Lissac-sur-Couze (Corrèze) dans l'ancien diocèse de Limoges. Il existait avant 1155, et a 5 religieux en 1295.[21]
  • Prieuré Notre-Dame de Francour (ou Francou, de Francorio, GEREG no 119, 4/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Lafrançaise (Tarn-et-Garonne) dans l'ancien diocèse de Cahors, Logo monument historique Classé MH (1991), Logo monument historique Inscrit MH (1989). Fondé de 1140 à 1163, il avait 8 religieux en 1295, 22 en 1317, 2 en 1768. Il est uni au séminaire de Cahors en 1770.[96],[99]
    • Celle de Boismenoux (ou Boisméron, de Bosco Minori, GEREG no 118, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Puylagarde (Tarn-et-Garonne) dans l'ancien diocèse de Cahors. Elle a 5 religieux en 1295.[9]
    • Celle de Cahors (ou le Petit-Grandmont de Cahors, de Caturco, GEREG no 72, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Cahors (Lot) dans l'ancien diocèse de Cahors. Elle a 5 religieux en 1295.[12]
    • Celle Notre-Dame de Dégagnazès (ou de Ganhazer, Desganaser, de Ganhaser, GEREG no 73, 4/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Peyrilles (Lot) dans le diocèse de Cahors, Logo monument historique Inscrit MH (1926). Elle a 6 religieux en 1295. Elle est ouverte au public[100],[16].
    • Celle de Vayssières (La Vayssière, de Vaysseriis, GEREG no 38, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Vitrac (Dordogne) dans l'ancien diocèse de Sarlat. Elle a 4 religieux en 1295[25].
  • Prieuré de La Garrigue (de Garrigia, GEREG no 76, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Saint-Pardoux-du-Breuil (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Il avait 8 religieux en 1295, et 15 ou 22 en 1317. En décadence au XVe siècle, il n'avait plus de communauté religieuse au XVIe siècle.[96],[101]
    • Celle de Babeau (ou Barbeau, de Batbuo, GEREG no 46, 1/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Fargues-Saint-Hilaire (Gironde) dans le diocèse de Bordeaux. Elle a 4 religieux en 1295.[50]
    • Celle de La Brède (ou Brédier, de Breda, GEREG no 35, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Queyssac (Dordogne) dans le diocèse de Périgueux. Elle a 5 religieux en 1295.[9]
    • Celle de La Lande (de Landa, de Lauda, GEREG no 47, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Saint-Christophe-des-Bardes (Gironde) dans le diocèse de Bordeaux. Elle a 4 religieux en 1295[37].
    • Celle Notre-Dame de Mériniac (ou Mérignac, de Marinhaco, GEREG no 77, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Miramont-de-Guyenne (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Fondée en 1278, elle a 5 religieux en 1295. Sans-doute détruite pendant la Révolution, son église subsistait encore pendant la première moitié du XIXe siècle mais il n'en reste aucun vestige, et des bâtiments agricoles se trouvent à l'emplacement de l'ancien prieuré.[37],[102]
    • Celle Notre-Dame du Luc de Verdelais (ou Le Luc, le bois de Verdelais, de Viridi Luco, de Luco, GEREG no 48, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Verdelais (Gironde) dans le diocèse de Bordeaux. Elle est fondée au XIIe siècle par une dame de Candal, et a 4 religieux en 1295. Il est abandonné par les grandmontains à la suite des guerres qui ruinent les bâtiments, et l'évêque de Bordeaux Mgr de Sourdis y installe les célestins qui y sont ensuite confirmés en 1630 et 1636.[28],[103]

Prieuré de 16 religieux en 1317

  • Prieuré de Paradou (ou Deffès, Deffech, Deffense, de Defenso, GEREG no 75, 1/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Bon-Encontre (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Fondé avant 1220, il avait 8 religieux 1295, 16 en 1317. Clément V y fut élevé par le correcteur Pierre de Causac. Il n'y avait plus de religieux au XVIIe siècle.[57]
    • Celle de La Ribeyrolle (de Riberola, GEREG no 78, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Bias (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Elle a 4 religieux en 1295. Elle est détruite pendant les guerres de religion et un manoir est construit sur son emplacement dans la seconde moitié du XVIIe siècle.[21]
    • Celle de Sainte-Rose (de Sancta Rosa, GEREG no 45, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Miradoux (Gers) dans le diocèse de Lectoure. Il avait 5 religieux en 1295.[21]

Prieuré de 15 religieux en 1317

Prieurés de la Nation de Provence

Prieurés de 18 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame du Châtenet (de Castaneto, GEREG no 137, 3/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Feytiat (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondé du vivant de saint Étienne de Muret vers 1120, sa dédicace est le 23 septembre[4]. Il a 18 religieux sous le 3e prieur, 5 en 1295, 18 en 1317. Il n'y avait plus de communauté religieuse au XVIe siècle et en 1576 l'abbé de Neuville y installa une communauté de femmes suivant la règle de Grandmont. Leur nombre fut fixé à 30, il y en avait 27 en 1756 et le prieuré absorba la Drouille-Blanche à cette époque après avoir absorbé la Drouille-Noire.[104]
    • Celle du Cluzeau (ou Clusiau, Cluseau, de Clausellis, de Clusello, de Clousello, GEREG no 138, 1/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Meuzac (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle est fondée du vivant du fondateur Étienne de Muret, a 4 religieux en 1295, et est unie avant 1317 au Châtenet[105],[36].
    • Celle de Malegorce (ou Malgorce, Mas-le-Gorce, de Majori Gorcia, de Malagorcia, GEREG no 25, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Saint-Martin-Sepert (Corrèze) dans l'ancien diocèse de Limoges. Elle a 4 religieux en 1295[37],[56].
    • Celle de Porrières (ou Pourrières, de Porreriis, de Perreriis, GEREG no 27, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Lamongerie (Corrèze) dans l'ancien diocèse de Limoges. Elle a 3 religieux en 1295[79].
    • Celle de Saumur (ou Salmur, Sermur, de Salmurio, de Sammurio, GEREG no 145, 1/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, entre Les Cars et Flavignac (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle existait avant 1224, et avait 4 religieux en 1295.[21]
  • Prieuré Saint-Michel de Lodève dit "Saint-Michel de Grandmont" (de Sancto Michaële, GEREG no 50, 6/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Saint-Privat (Hérault) dans le diocèse de Lodève, Logo monument historique Classé MH (1981, prieuré), Logo monument historique Inscrit MH (1953, terrains). Il avait 12 religieux en 1295 (une des plus nombreuses communautés), 18 en 1317, 2 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance depuis 1679. À la dissolution de l'ordre, il est uni à la fabrique de l'église cathédrale de Lodève. Il est ouvert au public.[76],[106]

Prieuré de 17 religieux en 1317

  • Prieuré Notre-Dame de Montaubérou (ou Mont-Herbedon, Monthelbedon, Monbédon, Montérée, de Monte Herbedonis, de Monte arbedone, GEREG no 49, 2/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Montpellier (Hérault) dans le diocèse de Maguelone. Fondé vers 1180, il avait 12 religieux en 1295, 17 en 1317, et 4 en 1518. Au XVIIe siècle, la communauté se déplaça dans son annexe du Sauvage malgré la très vive opposition du prieur. Il est incorporé en 1704 au séminaire de Montpellier, vendu comme bien national en 1791.[76],[108]
    • Celle de Montézargues (ou Montsarges, Mont Euneuques, de Montibus Eunicis, de Montaicanicis, GEREG no 43, 1/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Tavel (Gard) dans l'ancien diocèse d'Avignon. Elle a 3 religieux en 1295[109].
    • Celle du Peyroux (Piévreuse, de Petroso, GEREG no 74, 1/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Issepts (Lot) dans le diocèse de Cahors ou d'Agen. Elle a 4 religieux en 1295[79].
    • Celle, puis prieuré du Sauvage (de Salvatico, GEREG no 5, 3/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Balsac (Aveyron) dans le diocèse de Rodez, Logo monument historique Inscrit MH (1981). Il existait avant 1191, et a 5 religieux en 1295. Au XVIIe siècle, la communauté du prieuré de Montaubérou s'y déplaça. Il restait 3 religieux à la dissolution de l'ordre. Elle est ouverte au public.[21],[110]

Prieurés de la Nation d'Auvergne

Prieurés de 18 religieux en 1317

Prieurés de la Nation de Bourgogne

Prieurés de 18 religieux en 1317

  • Prieuré de Chateauneuf-sur-Cher (de Castro Novo, GEREG no 20, 4/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Corquoy (Cher) dans le diocèse de Bourges. Fondé sous Étienne de Liciac (1140-1163), il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317 et avait encore une communauté en 1636.[53]
    • Celle de Châtaignier dite "Grandmont-Châtaignier" (de Castaneriis, GEREG no 51, 0/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Orsennes (Indre) dans le diocèse de Bourges. Elle a 5 religieux en 1295. Elle est unie au chef d'ordre à la fin du XVIIe siècle. Le château de Grammont a été construit au XIXe siècle sur l'ancien domaine de la celle.[116],[36]
    • Celle de Fontblanche (de Fonte Albo, GEREG no 21, 5/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Genouilly (Cher) dans le diocèse de Bourges, Logo monument historique Classé MH (1980). Fondée sous le prieur Étienne de Liciac (1140-1163), elle a 6 religieux en 1295[117],[44].
    • Celle de Pétilloux (ou Pétilleux, de Podio Tilloso, de Podio Thilloso, GEREG no 23, 0/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Châteaumeillant (Cher) dans le diocèse de Bourges. Elle existait au XIIe siècle et a pour fondateur et correcteur Saint Guillaume de Bourges. Elle a 4 religieux en 1295. Elle est unie au chef d'ordre à la fin du XVIIe siècle[79].
  • Prieuré de La Faye-de-Nevers (de Fagia Nivernensi, GEREG no 89, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Sauvigny-les-Bois (Nièvre) dans le diocèse de Nevers. Fondé probablement au XIIIe siècle, il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317, et 2 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, et est évacué en 1768 par les réformés réduits à 4 maisons. Les biens furent plus tard unis au séminaire de Nevers.[96]
    • Celle de La Colombe (de Colomba, GEREG no 88, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Montapas (Nièvre) dans le diocèse de Nevers. Fondée sous le prieur Pierre Bernard (1163-1170), elle a 4 religieux en 1295[36].
    • Celle de Fontenay (ou Fontenet Saint Marc, de Fontaneto, GEREG no 90, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Corvol-l'Orgueilleux (Nièvre) dans le diocèse d'Auxerre. Elle a 5 religieux en 1295[44].
    • Celle de Fontguédon (ou Fontgadon, de Fonte Gadonis, de Fonte Guidonis, GEREG no 22, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Thaumiers (Cher), dans le diocèse de Bourges. Elle a 6 religieux en 1295[44].

Prieurés de 16 religieux en 1317

  • Prieuré d'Époisses (de Espessia, de Espechia, GEREG no 30, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Bretenière (Côte d'Or) dans le diocèse de Châlon-sur-Saône. Fondé en 1189, il avait 9 religieux en 1295, 16 en 1317, 4 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, qu'il rejoint en premier car le réformateur Charles Frémon en avait été nommé prieur en 1643. Il est uni en 1772 au séminaire de Châlon. Depuis 1953 il est propriété de l'INRA.[96],[118]
    • Celle du Breuil d'Autun (de Brolio Eduensi, GEREG no 29, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Thoisy-la-Berchère (Côte d'Or) dans le diocèse d'Autun. Fondée sous le 7e prieur Pierre Bernard (1163-1170), elle a 10 religieux en 1295.[12]
    • Celle de Fay (de Fayeto, de Fayeta, GEREG no 62, 0/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, aux Deux-Fays (Jura) dans le diocèse de Besançon. Fondée en 1248 ou 1249 par Jean de Châlon, elle a 6 religieux en 1295.[44]
    • Celle de Marsannay-la-Côte (Côte-d'Or), qui semble avoir été temporairement une annexe d'Époisses et qui avait encore une chapelle en 1709.[119]
  • Prieuré Saint-Maurice de Vieuxpou (ou Vieupou, Sanctus Mauricius de Veteri Periculo, de Veteri Puteo, GEREG no 150, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Poilly-sur-Tholon (Yonne) dans l'ancien diocèse d'Auxerre. Fondé en 1173, il a 8 religieux en 1295, 16 religieux en 1317, et 2 religieux de l'Etroite observance (un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance) en 1768 lorsqu'il est évacué.[42]
    • Celle de Charbonnières dite "Saint-Jean-des-Bonshommes" (de Carbonnariis, GEREG no 147, 4/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Sauvigny-le-Bois (Yonne) dans l'ancien diocèse d'Autun, Logo monument historique Classé MH (1905). Fondé en 1189, il a 13 religieux en 1280, et 5 religieux en 1295. Elle est ouverte au public.[12],[120]
    • Celle de Charnes (ou Charmes, de Charnes, GEREG no 19, 1/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Bannay (Cher) dans le diocèse de Bourges. Maison fondée en 1167 par Étienne Ier de Sancerre sous le prieur Pierre Bernard (1163-1170), elle a 6 religieux en 1295.[12]

Maisons fondées après 1317

  • Collège Mignon (ou Collège Saint-Gilles de Grandmont, Collège de Grandmont, GEREG no 104, 0/6 étoiles), dans le 6e arrondissement de Paris dans le diocèse de Paris. Il est donné à l'ordre en 1584 en échange du prieuré de Vincennes. L'abbé de Grandmont n'y entretint pas le nombre d'étudiants religieux que le collège devait avoir (7, réduits à 3 en 1637). Le collège est évacué et réuni en 1769 au collège Louis-le-Grand[121].
  • Prieuré de Thiers (de Thierno, GEREG no 98, 1/6 étoiles), à Thiers (Puy-de-Dôme) dans le diocèse de Clermont. Fondé en 1650 dans la région d'origine du fondateur de l'ordre Étienne de Muret par le réformateur Charles Frémon qui y fut enterré. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, et en est le principal établissement ainsi que le noviciat jusqu'en 1770. Il y avait alors 10 religieux à Thiers.[35],[122]

Prieurés féminins

  • Le Châtenet (à partir de 1576, ancien prieuré d'hommes de la Nation de Provence, de 18 religieux en 1317, voir ci-dessus, GEREG no 137)
  • Prieuré Saint-Cloud de la Drouille-Blanche (de Dralhia alba, GEREG no 139, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Bonnac-la-Côte (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle était occupée dès 1212 par des femmes, elle aurait accueilli jusqu'à 30 femmes, en 1744 elle a 7 religieuses et avait déjà l'interdiction de recevoir des novices, en 1756 elle ne comptait plus que 5 religieuses et fut réunie au Châtenet. La prieuré de la Drouille-Blanche avait au XIIIe siècle une maison à Limoges (rue Pennevayres) une maison pour laquelle elle payait encore en 1496 une rente à l'abbé de Grandmont (le chapelain de la Drouille en avait une dans la même rue). Plusieurs documents (dont un datant de 1514) donnent le titre d'abbaye au monastère[123],[124],[125].
  • Prieuré Saint-Capraise de la Drouille-Noire (de Drulhia nigra, GEREG no 140, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Bonnac-la-Côte (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Situé à quelques centaines de mètres de la Drouille-Blanche, elle tombait en ruine en 1630 et n'avait plus de communauté religieuse (bénédictine). Elle fut unie au Châtenet en 1747.[123],[126],[127]
  • Les Pierres-Blanches (ou les Cailloux Blancs, Aubepierre, de Albis Petris, GEREG no 132, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, dans la forêt de Rochechouart (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Cette maison fondée par les seigneurs de Rochechouart existait en 1265 et est désignée dans une charte de 1272 comme grandmontaine[123],[128].

Autres maisons

Autres maisons

  • Maison de Bussy (GEREG no 67, 0/6 étoiles), à Bussy-Albieux (Loire) entre 1663 et 1688[129],[130].
  • Prieuré des Croix (ou La Croix, Las Croux, de Cruce), près Rilhac-Lastours (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. S'il ne figure dans aucun relevé de maisons grandmontaines, plusieurs documents lui donnent le titre de pieuré et il figure sur les Pouillés du diocèse de Limoges des XVIIe et XVIIIe siècles avec pour collateur l'abbé de Grandmont.[18],[131]
  • Celle de Champcoutaud de la Nation d'Anjou, près Folles (Haute-Vienne). L'abbaye de Grandmont percevait des redevances de Champcoutaud aux XVIIe et XVIIIe siècles.[18],[132]
  • Prieuré Saint-Martin-Sainte-Catherine (Creuse), mentionné dans les archives de l'ordre, notamment en 1660 et 1733. Il aurait également relevé de l'abbaye bénédictine de Saint-Martial de Limoges[18],[133],[134]
  • Celle de Tourvoie dit "prieuré des Bons-Hommes de Tourvoie", près de la grande ferme de Montbron à Sourdun (Seine-et-Marne). La celle est mentionnée en 1189 sous la protection du comte de Champagne. Son édification fut interrompue et les grandmontains y avaient construit une chapelle. Cette celle a semblé à Louis Guibert être la même qu'Arvy, mais des auteurs postérieurs identifient Sourdun[18],[135],[136],[134].
  • Mas Angelard. Selon l'abbé Lecler, il aurait été donné à Grandmont en 1272.[134]
  • Celle Saint-Fiacre de la Grange-du-Bois, à Solutré-Pouilly (Saône-et-Loire). Donnée à Grandmont en 1145, le site est repris par les cisterciens puis uni à Cluny vers 1222. La chapelle est construite postérieurement au départ des grandmontains et n'en reprend pas le style.[137],[138]
  • Une maison (sorte de pied-à-terre, appelé hospitium) à Limoges à la fin du XIIe siècle et début du XIIIe siècle[18],[139]
  • Chapelle Notre-Dame de Sauvagnac (2/6 étoiles), à Saint-Léger-la-Montagne (Haute-Vienne). Elle aurait été selon la légende construite sur le lieu d'ermitage d'un compagnon d'Étienne de Muret qui aurait sauvé par la prière la vie d'un chevalier revenant de croisade durant une tempête. Elle est construite en 1147[140],[141],[142].
  • Un domaine à Dompierre (près de La Rochelle), ainsi que plusieurs autres lieux, a conservé le nom de Grandmont.[143],[144]

Maisons plus connues sous un autre nom

  • Celle de Aura Ventosa, dans le diocèse de Rodez. Un miracle y aurait eu lieu entre 1140 et 1155, rapporté par le 7e prieur Gérard Ithier. Cette celle pourrait être Comberoumal (voir ci-dessus).[123],[145]
  • Celle de Dijon (Divione). Elle a 8 religieux en 1295. Il pourrait s'agit du prieuré de Dixmont.[18],[146]
  • Celle d'Hentrua, nommée dans les annales qui pourrait être celle de Terruan.[18],[147]

Notes et références

Notes

  1. Les numéros des celles et prieurés (hors l'abbaye de Grandmont) vont de 1 à 157, les celles étant triées par département puis par ordre alphabétique.

Références

  1. « Les monastères de Grandmont », sur limousin-medieval.com, (consulté le )
  2. Guibert 1877, p. 305-323. Texte de la bulle de 1317 en latin
  3. Michel Fougerat, « Liste des celles grandmontaines »
  4. a b c d e f et g Lemaitre 1992.
  5. « Ancienne abbaye de Grandmont », notice no PA87000046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  6. de Dion et Guibert 1876, p. 327-328.
  7. Guibert 1877, p. 223-224.
  8. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Balézis, celle grandmontaine dédiée à Notre-Dame et Saint-Marc », Bulletin de la société archéologique et historique du Limousin, vol. CXXXVIII,‎ , p. 33-58 (lire en ligne)
  9. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 314.
  10. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Muret et Boisvert, deux sites grandmontains », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Celle grandmontaine des Bronzeaux », notice no PA8700001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  12. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 315.
  13. a b c d e f et g de Dion et Guibert 1876, p. 317.
  14. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Trézen et Épagne, deux «celles» grandmontaines », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Notice no PA00104365, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  16. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 319.
  17. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Notre-Dame de La Garde en Arvert », « Notre-Dame de la Garde-en-Arvert, prieuré de l’Ordre de Grandmont », Revue de la Saintonge et de l’Aunis, t. XXIV, 1998, p.7-32.,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. a b c d e f g h i et j de Dion et Guibert 1876, p. 328.
  19. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Petit Grandmont de Montmorillon », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. CXL,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 321.
  21. a b c d e f g h i et j de Dion et Guibert 1876, p. 323.
  22. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Deux celles du Poitou, Rousset et Montmorillon. Première partie : Notre-Dame et Saint-Georges de Rousset », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. CXXXIX,‎ , p. 145-170 (lire en ligne, consulté le )
  23. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Bonneval de Serre ou Bonneval de Montusclat ? Deux dépendances parfois confondues », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. 135,‎ , p. 99-126 (lire en ligne)
  24. de Dion et Guibert 1876, p. 323-324.
  25. a b c d e et f de Dion et Guibert 1876, p. 324.
  26. « Grange de Coudier, ayant dépendu de l'abbaye de Grandmont », notice no PA00100236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. a b et c Martine Larigauderie-Beijeaud, « Les prieurés de Grandmont en Angleterre », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. a et b de Dion et Guibert 1876, p. 325.
  29. Guibert 1877, p. 277-281.
  30. de Dion et Guibert 1876, p. 325-326.
  31. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Les dépendances grandmontaines en Navarre », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. a et b Guibert 1877, p. 326.
  33. a b c et d Daniel Garnesson, « Les Bons Hommes en Champagne méridionale », Aube Généalogie, no 68,‎ , p. 9-15 (lire en ligne)
  34. de Dion et Guibert 1876, p. 259-260.
  35. a et b de Dion et Guibert 1876, p. 311.
  36. a b c d e f et g de Dion et Guibert 1876, p. 316.
  37. a b c d e f g h i et j de Dion et Guibert 1876, p. 320.
  38. « Prieure de l'Enfourchure (restes) », notice no PA00113673, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. de Dion et Guibert 1876, p. 257-258.
  40. « Ferme de Trin », notice no PA00087320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Jean-Pierre Auger, Le prieuré Grandmontain du Meynel, Initiatives et Actions pour la Sauvegarde de l’Environnement et des Forêts, , 32 p. (lire en ligne)
  42. a et b de Dion et Guibert 1876, p. 260.
  43. a b c d e et f de Dion et Guibert 1876, p. 313.
  44. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 318.
  45. Pierre Coquelle, « Le prieuré Grandmontaine de Montcient-Fontaine près de Sailly (Seine-et-Oise) », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol. 29,‎ , p. 69-97 (ISSN 1148-8107, lire en ligne, consulté le )
  46. « Notice base Mérimée abbaye de Montcient à Sailly »
  47. a et b de Dion et Guibert 1876, p. 263.
  48. a et b Louis Duval-Arnould, « État et carte du diocèse de Soissons d'après les listes bénéficiales de la fin du XIVe siècle », Mélanges de l'école française de Rome, vol. 85, no 1,‎ , p. 159–266 (DOI 10.3406/mefr.1973.2284, lire en ligne, consulté le )
  49. de Dion et Guibert 1876, p. 264-265.
  50. a b c d e et f de Dion et Guibert 1876, p. 312.
  51. a et b de Dion et Guibert 1876, p. 259.
  52. de Dion et Guibert 1876, p. 316-317.
  53. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 256.
  54. Archéoforet, « Le prieuré grandmontain de Boulogne »
  55. Guibert 1877, p. 240.
  56. a et b Guibert 1877, p. 257.
  57. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 257.
  58. Notice no PA00110799, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  59. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 255.
  60. « Chapelle de Grandmont », notice no PA00100806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 262.
  62. de Dion et Guibert 1876, p. 311-312.
  63. de Dion et Guibert 1876, p. 255-256.
  64. Martine Larigauderie-Beijeaud, « De Grandmont à Grandmont les Tours », Grandmont, Un lycée, un lieu, une histoire, Les Presses de Grandmont, Tours,‎ (lire en ligne, consulté le )
  65. de Dion et Guibert 1876, p. 318-319.
  66. Notice no PA00097394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. de Dion et Guibert 1876, p. 262-263.
  68. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 264.
  69. Notice no PA00098294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  70. grandmont.pagesperso-orange.fr, « Moulins-Breuilmont (Indre) »
  71. Bernard Jusserand, Franck Jarry et Armelle Querrien, « Le prieuré de Sauzay-Grandmont en forêt de Châteauroux et sa sécularisation au XVIIe siècle », Les Cahiers Grandmontains, no 66,‎ (lire en ligne)
  72. de Dion et Guibert 1876, p. 258-259.
  73. a b c d e f g h i j k l m n o et p Alain Delaval, « Vestiges grandmontains dans l'Ouest de la France », Etudes Héraultaises, no Hors-série 1992 « L'Ordre de Grandmont, Art et Histoire »,‎ , p. 24 (lire en ligne)
  74. « Prieure de la Haie aux Bonshommes (ancien) », notice no PA00108954, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  75. « Celle grandmontaine des Bonhommes (ancienne) », notice no PA00109461, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  76. a b c et d de Dion Guibert, p. 261.
  77. « Prieure de Breuil-Bellay (ancien) », notice no PA00109058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « Ancien prieuré de la Primaudière », notice no PA00108947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 11 mai 2013.
  79. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 322.
  80. de Dion et Guibert 1876, p. 254-255.
  81. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Deux dépendances du Poitou de l'abbaye de Grandmont : le Grand et le Petit Bandouille », Deux dépendances du Poitou de l'abbaye de Grandmont : le Grand et le Petit Ba…,‎ (lire en ligne, consulté le )
  82. Martine Larigauderie-Beijeaud, Notre Dame ou Petit Grandmont de Rocheservière : dans "Grandmont, de l’ermitage à la seigneurie ecclésiastique", XIIe – XVIIIe siècles, thèse de doctorat dirigée par J. Péret, Poitiers, université de Poitiers, (lire en ligne)
  83. Guibert 1877, p. 256-257.
  84. « Prieuré du Bois-d'Allonne », sur Plateforme ouverte du patrimoine - www.pop.culture.gouv.fr, (consulté le )
  85. de Dion et Guibert 1876, p. 313-314.
  86. « Ancienne celle grandmontaine de Chassay-Grammont, actuellement dénommée prieuré de Chassay-Grammont », sur culture.gouv (base Mérimée)
  87. « Restes du prieuré de Badeix », notice no PA00082827, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 22 juillet 2019.
  88. Martine Larigauderie-Beijeaud, « « Notre-Dame de Badeix, une celle grandmontaine en danger », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 2011. », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord,‎ (lire en ligne, consulté le )
  89. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Notre-Dame de Gandory, celle grandmontaine », Revue de la Saintonge et de l’Aunis,,‎ (lire en ligne, consulté le )
  90. « Église de Rozet ou de Rauzet », notice no PA00104324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  91. « En Charente, Rauzet, prieuré de l’ordre de Grandmont, renoue avec le pèlerinage et la tradition hospitalière », sur www.saint-jacques.info (consulté le )
  92. « Ruines de l'ancien prieuré de Sermaize », notice no PA00104832, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  93. de Dion et Guibert 1876, p. 263-264.
  94. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Notre-Dame de Jarry, prieuré grandmontain du diocèse de Saintes », Bulletin de la société archéologique et historique de la Charente, vol. 171,‎ , p. 104-109 (lire en ligne, consulté le )
  95. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Les prieurés grandmontains d’Ourse et d’Embreuil en Saintonge », Revue de la Saintonge et de l’Aunis, vol. 16,‎ (lire en ligne)
  96. a b c d et e de Dion et Guibert 1876, p. 258.
  97. Pierre Ortega, Jumilhac-le-Grand au fil du temps, Périgueux, Pilote 24, (présentation en ligne)
  98. Histoire du prieuré de La Plaigne
  99. Notice no PA00095768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  100. « Église de Dégagnazès », notice no PA00095182, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  101. Michel Fougerat, « Garrigues »
  102. Miramont-de-Guyenne, le prieuré de l'ordre de Grandmont, Miramont-de-Guyenne, Histoire de la Cité, (lire en ligne)
  103. Guibert 1877, p. 274-275.
  104. de Dion et Guibert 1876, p. 256-257, 326.
  105. Anne Gérardot et Robert Chanaud, « Les fonds anciens à l’épreuve de l’archivistique contemporaine », In Situ. Revue des patrimoines, no 25,‎ (ISSN 1630-7305, DOI 10.4000/insitu.11506, lire en ligne, consulté le )
  106. Base Mérimée, « Ancien prieuré Saint-Michel de Grandmont »
  107. Base Mérimée, « Ancien prieuré de Comberoumal »
  108. Jean Nougaret, « Le prieuré grandmontain N.-D. de Montaubérou, à Montpellier (Hérault) », Etudes Heraultaises, no Hors série 1992 « L'Ordre de Grandmont, Art et Histoire »,‎ (lire en ligne)
  109. de Dion et Guibert 1876, p. 320-321.
  110. Notice no PA00093961, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  111. Notice no PA00132741, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  112. Base Mérimée, « Prieuré de Grosbois »
  113. de Dion et Guibert 1876, p. 319-320.
  114. Guibert 1877, p. 177-180.
  115. André Cullus, Sur les pas des Grandmontains, le prieuré de Viaye à St Vincent en Velay et les monastères de Beaujeu-Grammont à Blacé en Beaujolais, Blandone-Issangy à St Agnan en Charolais, La Gueurce-Barbarandière à Colombier en Brionnais, (BNF 42576544)
  116. Louis Larocq, « Lectures et communications : M. Louis Larocq a envoyé la communication suivante », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, vol. 74,‎ , p. XXVI-XXVII (lire en ligne)
  117. « Ancien prieuré grandmontain de Fontblanche », notice no PA00096804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  118. « Notice Mérimée du prieuré d'Epoisses »
  119. Fougerat 2004, p. 9-10.
  120. « Prieure de Saint-Jean-des-Bonshommes (ancien) », notice no PA00113847, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  121. de Dion et Guibert 1876, p. 310-311.
  122. Guibert 1877, p. 194-196.
  123. a b c et d de Dion et Guibert 1876, p. 327.
  124. Guibert 1877, p. 299-303.
  125. Michel Fougerat, « Drouilhe Blanche »
  126. Guibert 1877, p. 297-299.
  127. Michel Fougerat, « Drouilhe Noire »
  128. Michel Fougerat, « Aubepierre »
  129. Mathieu Merle, Le monastère de l'ordre de Saint Étienne de Grandmont de Bussy, 1663-1688, FeniXX, (ISBN 978-2-307-32466-9, lire en ligne)
  130. « Croix du bourg - Site officiel de la commune de Bussy-Albieux (Loire, 42) », sur www.bussy-albieux.fr (consulté le )
  131. Guibert 1877, p. 243.
  132. Guibert 1877, p. 236.
  133. Guibert 1877, p. 268.
  134. a b et c Fougerat 2004, p. 9.
  135. Guibert 1877, p. 272.
  136. Michel Fougerat, « Aulnoy et Tourvoie », sur archive.wikiwix.com (consulté le )
  137. Fougerat 2004, p. 12-14.
  138. « Chapelle du Prieuré-de-la-Grange-du-Bois », sur Sauvegarde de l’Art Français (consulté le )
  139. Guibert 1877, p. 256.
  140. Centre France, « Saint-léger-la-montagne - Histoire d’un pèlerinage vieux de 800 ans », sur www.lepopulaire.fr, (consulté le )
  141. « SANCTUAIRES MARIALS en Limousin, Notre-Dame de Sauvagnac, Sauvagnac », sur arliquet.fr (consulté le )
  142. Michel Fougerat, « Sauvagnac », sur archives de grandmont.pagesperso-orange.fr
  143. de Dion et Guibert 1876, p. 328-329.
  144. Fougerat 2004, p. 10.
  145. Guibert 1877, p. 222.
  146. Guibert 1877, p. 243-244.
  147. Guibert 1877, p. 254-255.

Annexes

Bibliographie

  • Adolphe de Dion, « Mélanges : Quelques prieurés de l'ordre de Grandmont », Bulletin monumental, 5e série, t. 40,‎ , p. 566-574 (lire en ligne)
  • Adolphe de Dion et Louis Guibert, « Seconde note sur l'architecture de l'Ordre de Grandmont suivi d'une liste générale des maisons de cet ordre », Bulletin monumental, 5e série, vol. 42,‎ , p. 247-265 et 310-329 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Louis Guibert, « Une page de l'histoire du clergé français au XVIIIe siècle. Destruction de l'ordre et de l'abbaye de Grandmont. Appendice », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. XXV,‎ , p. 33-384 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-René Gaborit, L’architecture de l’ordre de Grandmont (Thèse pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe), Paris, École nationale des chartes, (présentation en ligne)
  • Adolphe de Dion, Troisième note sur l'architecture de l'ordre de Grandmont : Extrait du Bulletin Monumental 1877-1878, Tours, Impr. Paul Bouserez, , 23 p. (lire en ligne)
  • Jean-Loup Lemaitre, « Le calendrier de Grandmont au Moyen-Âge », Etudes Héraultaises « L'ordre de Grandmont : art et histoire. Actes des journées d'études de Montpellier (7-8 octobre 1989) », no Hors-série 1992,‎ (lire en ligne)
  • Michel Fougerat, « À la recherche des celles grandmontaines « perdues... de vue » », Échos grandmontains, no 14,‎ , p. 9-15 (lire en ligne)
  • Martine Larigauderie-Beijeaud, Grandmont, de l’ermitage à la seigneurie ecclésiastique, XIIe – XVIIIe siècles, sous la direction de Jacques Péret, thèse de l’université de Poitiers, G.E.R.H.I.C.O, 2004, 4 volumes. Arch. dep. de la Haute-Vienne, I SEM 10, f° 52. f° 39. Fonds de Grandmont 5 HH…
  • Groupe d'études et de recherches sur les Grandmontains (GEREG), Cahiers Grandmontains, no 1 à no 66 () (sommaire des numéros 1 à 50).

Articles connexes

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Prieuré grandmontain.

Liens externes

  • Liste des prieurés de l'ordre de Grandmont, archive du site de Michel Fougerat
  • icône décorative Portail du catholicisme
  • icône décorative Portail du monachisme
  • icône décorative Portail de la Haute-Vienne
  • icône décorative Portail de l’architecture chrétienne
  • icône décorative Portail de la protection du patrimoine
  • icône décorative Portail de l’architecture et de l’urbanisme