Gauche critique

Cet article est une ébauche concernant un parti politique italien et le communisme.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (avril 2008).

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Présentation
Gauche critique
Logotype officiel.
Porte-paroles	Flavia D'Angeli Piero Maestri Franco Turigliatto (en)
Fondation	8 décembre 2007 (en tant que parti politique)
Scission de	Parti de la refondation communiste
Disparition	30 juillet 2013
Siège	Circonvallazione Casilina, 72-74 Rome
Journal	Erre
Positionnement	Extrême gauche
Idéologie	Communisme Trotskisme Antistalinisme
Affiliation européenne	Gauche anticapitaliste européenne
Affiliation internationale	Quatrième Internationale - Secrétariat unifié
Adhérents	1 200
Couleurs	rouge
Site web	sinistracritica.org

La Gauche critique (en italien, Sinistra critica) était une organisation politique italienne d'extrême gauche, section italienne de la Quatrième Internationale - Secrétariat unifié.

D'abord interne au Parti de la refondation communiste, puis devenue externe depuis décembre 2007, elle est née comme une simple motion au VI^e Congrès de ce parti. Elle porte également le nom de « Erre », comme la revue du même nom.

Elle a comme représentants de premier plan, l'ancien sénateur Luigi Malabarba, le sénateur Franco Turigliatto, le député Salvatore Cannavò, Lidia Cirillo et Flavia D'Angeli, cette dernière étant candidate au poste de Présidente du Conseil des ministres en avril 2008. Elle y obtient 167 683 voix (0,46 %) et aucun élu. En désaccord avec Révolution civile, elle décide de ne pas se présenter lors des élections générales italiennes de 2013, faute d'avoir réussi à fédérer la gauche radicale italienne.