Duncan Watts

Duncan Watts
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (53 ans)
GuelphVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Duncan J. WattsVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
australienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Domicile
New YorkVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Physicien, chercheur, sociologue, universitaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Directeur de thèse
Steven StrogatzVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
everythingisobvious.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Carnegie Fellow (d) ()
Membre de l'AAAS ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Pour les articles homonymes, voir Watts (nom de famille).

Duncan James Watts est un sociologue australien né le spécialiste de l'analyse des réseaux sociaux. Il est actuellement professeur à l'université de Pennsylvanie[1]. Auparavant chercheur au centre de recherche de Microsoft, il est particulièrement connu pour ses travaux sur les réseaux petit-monde[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10].

Biographie

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Duncan James Watts naît le à Guelph en Ontario. Il obtient un bachelor of science à l'université de Nouvelle-Galles du Sud. Il passe sa thèse à l'université Cornell sous la supervision de Steven Strogatz, avec qui il publiera par la suite de nombreux travaux.

Travaux

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Son travail avec Steven Strogatz, dont les résultats ont été publiés dans Nature en 1998 sous le titre "Collective dynamics of small-world networks[11]" et dans lequel il présente un modèle de graphe présentant les propriétés d'un réseau petit-monde, appelé modèle de Watts–Strogatz, est probablement sa contribution la plus connue. Ce papier est considéré comme une contribution particulièrement importante dans l'étude des réseaux complexes. C'est l'article d'analyse de réseaux le plus cité entre 1998 et 2008, le sixième article le plus cité en physique[12] et le 63ème article le plus cité de tous les temps (en octobre 2014) avec près de 40 000 citations[13],[14].


Notes et références

  1. « Duncan Watts, Ph.D. | Annenberg School for Communication », sur www.asc.upenn.edu (consulté le )
  2. D. J. Watts, « Networks, Dynamics, and the Small‐World Phenomenon », American Journal of Sociology, vol. 105, no 2,‎ , p. 493–527 (DOI 10.1086/210318, CiteSeerx 10.1.1.78.4413)
  3. D. J. Watts, P. S. Dodds et M. E. Newman, « Identity and Search in Social Networks », Science, vol. 296, no 5571,‎ , p. 1302–1305 (PMID 12016312, DOI 10.1126/science.1070120, Bibcode 2002Sci...296.1302W, arXiv cond-mat/0205383)
  4. D. J. Watts, « A simple model of global cascades on random networks », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 99, no 9,‎ , p. 5766–5771 (PMID 16578874, PMCID 122850, DOI 10.1073/pnas.082090499, Bibcode 2002PNAS...99.5766W)
  5. P. S. Dodds, R. Muhamad et D. J. Watts, « An Experimental Study of Search in Global Social Networks », Science, vol. 301, no 5634,‎ , p. 827–829 (PMID 12907800, DOI 10.1126/science.1081058, Bibcode 2003Sci...301..827D, lire en ligne)
  6. D. J. Watts, « The "New" Science of Networks », Annual Review of Sociology, vol. 30,‎ , p. 243–270 (DOI 10.1146/annurev.soc.30.020404.104342, lire en ligne)
  7. P. Dodds et D. Watts, « Universal Behavior in a Generalized Model of Contagion », Physical Review Letters, vol. 92, no 21,‎ , p. 218701 (PMID 15245323, DOI 10.1103/PhysRevLett.92.218701, Bibcode 2004PhRvL..92u8701D, arXiv cond-mat/0403699)
  8. D. J. Watts, « Multiscale, resurgent epidemics in a hierarchical metapopulation model », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 102, no 32,‎ , p. 11157–11162 (PMID 16055564, PMCID 1183543, DOI 10.1073/pnas.0501226102, Bibcode 2005PNAS..10211157W)
  9. (en)Publications de Duncan Watts indexées sur la base de données Scopus d'Elsevier. Inscription nécessaire
  10. Clive Thompson, « Is the Tipping Point Toast? », Fast Company,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. D. J. Watts et S. H. Strogatz, « Collective dynamics of 'small-world' networks », Nature, vol. 393, no 6684,‎ , p. 440–442 (PMID 9623998, DOI 10.1038/30918, Bibcode 1998Natur.393..440W, lire en ligne)
  12. ScienceWatch December 2008
  13. (en) Richard Van Noorden, Brendan Maher et Regina Nuzzo, « The top 100 papers », Nature News, vol. 514, no 7524,‎ , p. 550–3 (PMID 25355343, DOI 10.1038/514550a, Bibcode 2014Natur.514..550V)
  14. « Excel spreadsheet of Google Scholar's 100 top-cited research articles. Extracted on 17 October 2014 »

Liens externes

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