Cyberdissident

Cet article est une ébauche concernant Internet et la liberté d'expression.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Un cyberdissident est un dissident qui utilise comme médias le « cyber-espace », communément internet.

Ce mot n'est pas académique, on trouve d'ailleurs l'orthographe cyber dissident ou cyber-dissident.

Il est utilisé pour signifier une personne qui contourne la censure de l'Internet. On le retrouve surtout en traduction de l'anglais pour désigner les dissidents qui utilisent Internet comme moyen d'action, pour s'opposer à la censure pratiqué par les régimes politiques en place. Il est souvent emprisonné dans des pays dont la liberté de la presse est en situation difficile.

Exemples

Quelques personnes qualifiées de cyberdissident :

  • Kareem Amer, blogueur égyptien ;
  • Guillermo Fariñas, directeur de presse y compris via Internet, a fait une grève de la faim en faveur du libre accès à Internet à Cuba ;
  • Massoud Hamid a diffusé des photos d'une manifestation kurde en Syrie ;
  • Israa Abdel Fattah est une blogueuse égyptienne, arrếtée en 2008 et fondatrice du mouvement cyberdissident « du 6 avril », en Égypte ;
  • Huang Qi est le créateur du premier site chinois sur les droits de l'homme ;
  • Li Zhi, a tenté de rejoindre le parti démocrate chinois via Internet ;
  • Nguyễn Tiến Trung est détenu au secret depuis le pour avoir écrit une lettre ouverte au gouvernement vietnamien ayant circulé sur les blogs[1].
  • Fathimath Nisreen aidait à faire un bulletin d'information par courrier électronique aux Maldives[2] ;
  • Shi Tao a publié sur Internet une note du gouvernement chinois enjoignant aux journaux du continent de ne pas célébrer le quinzième anniversaire des manifestations de la Place Tian'anmen ;
  • Trương Quốc Huy, cyberdissident vietnamien ;
  • Zouhair Yahyaoui, blogueur tunisien ;

Voir aussi

Références

  1. (fr) Reporters sans frontières, « Un blogueur démocrate, ancien étudiant en France, arrêté », (consulté le )
  2. « Témoignage : Fathimath Nisreen, cyberdissidente emprisonnée aux Maldives | Reporters sans frontières », sur RSF, (consulté le )
  • icône décorative Portail de l’informatique
  • icône décorative Portail de la liberté d’expression