Andrew Fire
Naissance | (65 ans) Palo Alto |
---|---|
Nationalité | américaine |
Domicile | Stanford |
Formation | Université de Californie à Berkeley Université Stanford Massachusetts Institute of Technology Fremont High School (en) |
Activités | Biologiste, pathologiste, universitaire, physicien, généticien, médecin, professeur d'université |
A travaillé pour | |
---|---|
Chaire | George D. Smith Professorship in Molecular and Genetic Medicine (d) |
Membre de | |
Directeur de thèse | |
Site web | (en) profiles.stanford.edu/andrew-fire |
Distinctions | Prix Nobel de physiologie ou médecine () Liste détaillée Meyenburg Prize (en) () Médaille de la Société américaine de génétique (en) () Prix de la National Academy of Science en biologie moléculaire () Prix HP Heineken de biochimie et de biophysique () Prix Rosenstiel () Prix Gairdner () Prix Massry () Prix Nobel de physiologie ou médecine () Prix Paul-Ehrlich-et-Ludwig-Darmstaedter () Fellow of the AACR Academy (d) () Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Andrew Z. Fire est un scientifique américain, né en 1959 à Palo Alto en Californie. Il est professeur de pathologie et de génétique à l'école de médecine de l'université Stanford. En 2006, lui et Craig C. Mello reçoivent le prix Nobel de physiologie ou médecine pour ses travaux sur l'interférence par ARN.
Biographie
Andrew Fire est né à Palo Alto en Californie et a grandi dans le même État, à Sunnyvale. Après avoir fréquenté le Fremont High School, il est entré à l'université de Californie à Berkeley où il a obtenu un Bachelor en mathématiques en 1978, à l'âge de 19 ans. Il a ensuite rejoint le Massachusetts Institute of Technology et décroché son Ph.D. en biologie en 1983.
Il a été ensuite chercheur post-doctoral dans le laboratoire de biologie moléculaire de Sydney Brenner (lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine 2002) à Cambridge au Royaume-Uni.
De 1986 à 2003, il a travaillé à Baltimore, dans le département d'embryologie du Carnegie Institution. C'est durant cette période qu'ont été publiés ses travaux de biologie moléculaire sur l'utilisation d'ARN double brin pour bloquer l'expression des gènes[1].
À partir de 1989, il occupe également un poste de professeur associé dans le département de biologie de l'université Johns-Hopkins et rejoint Stanford en 2003. Tout au long de sa carrière, ses recherches ont été financées par le National Institutes of Health.
Andrew Fire est également membre de la National Academy of Sciences et de l'Académie américaine des arts et des sciences et participe au Board of Scientific Counselors et au National Center for Biotechnology.
Notes et références
- ↑ (en) Krista Conger, « Andrew Fire shares Nobel Prize for discovering how double-stranded RNA can switch off genes », Stanford University,
Liens externes
- (en) Portrait sur le site de l'université Stanford
- (en) Biographie sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui détaille ses apports)
- Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- WorldCat
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Britannica
- Brockhaus
- Den Store Danske Encyklopædi
- Gran Enciclopèdia Catalana
- Hrvatska Enciklopedija
- Nationalencyklopedin
- Munzinger
- Proleksis enciklopedija
- Store norske leksikon
- Visuotinė lietuvių enciklopedija
- Ressources relatives à la recherche :
- Digital Bibliography & Library Project
- ORCID
v · m Lauréats des prix Nobel 2006 | ||
---|---|---|
Chimie | Roger D. Kornberg (États-Unis) | |
Littérature | Orhan Pamuk (Turquie) | |
Paix |
| |
Physique |
| |
Physiologie ou médecine |
| |
Sciences économiques | Edmund Phelps (États-Unis) | |
Lauréats par année :
|
- Portail de la médecine
- Portail du prix Nobel
- Portail de la biologie cellulaire et moléculaire
- Portail des États-Unis