Abdellatif Ben Ammar

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Abdellatif Ben Ammar
Abdellatif Ben Ammar, lors des Journées cinématographiques de Carthage 1980, recevant le Tanit d'or pour son film Aziza.
Biographie
Naissance
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Tunis (protectorat français de Tunisie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 79 ans)
Tunis (Tunisie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
عبد اللطيف بن عمَّارVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
tunisienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités

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Abdellatif Ben Ammar (arabe : عبد اللطيف بن عمار), né le à Tunis et mort le dans la même ville, est un réalisateur tunisien.

Biographie

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Après avoir entamé des études supérieures de mathématiques au lycée Alaoui[1], Abdellatif Ben Ammar bifurque vers le cinéma et obtient en 1965 un diplôme en prises de vues à l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) de Paris[2].

À son retour en Tunisie, il est engagé par la SATPEC comme opérateur et commence à tourner des courts métrages et à assister des réalisateurs tunisiens et étrangers. En 1970, il sort son premier long métrage, Une si simple histoire, puis fonde avec Abdellatif Layouni une société de productions, Latif Productions[2], ce qui lui permet de tourner des documentaires, des fictions ou encore des spots publicitaires.

Il fonde également une société de post-production, la Ben Duran.

Il meurt le à Tunis[1].

Filmographie

Réalisateur

  • 1966 : 2 + 2 = 5 (court métrage avec Hassen Daldoul et Mustapha Fersi)
  • 1967 :
    • Le Cerveau (court métrage)
    • Opération yeux (court métrage)
  • 1968 : L'Espérance (court métrage)
  • 1970 : Une si simple histoire (long métrage)
  • 1971 : Sur les traces de Baal (court métrage)
  • 1972 : Mosquées de Kairouan (court métrage)
  • 1973 : Sejnane (long métrage)
  • 1975 : Sadiki (court métrage)
  • 1979 : Kairouan, la Grande Mosquée (documentaire)[3]
  • 1980 : Aziza (long métrage)
  • 2002 : Le Chant de la noria (long métrage)
  • 2002 : Farhat Hached (documentaire)[2]
  • 2003 : Khota Fawka Assahab (téléfilm)
  • 2010 : Les Palmiers blessés (long métrage)

Assistant-réalisateur

Opérateur

Distinctions

Notes et références

  1. a et b « Le cinéaste Abdellatif Ben Ammar tire sa révérence », La Presse de Tunisie,‎ (ISSN 0330-9991, lire en ligne, consulté le ).
  2. a b et c « Abdellatif Ben Ammar », sur africine.org (consulté le ).
  3. « Les journées du cinéma tunisien (J.C.T.) : deuxième session », sur africine.org (consulté le ).

Bibliographie

  • André Pâquet, Cinéma en Tunisie : conversation avec Abdellatif Ben Ammar, Sadok Ben Aicha et Hassen Daldoul, Montréal, Cinémathèque québécoise, , 16 p. (OCLC 15766137).

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Africultures
    • AllMovie
    • Allociné
    • British Film Institute
    • Filmportal
    • IMDb
    • Unifrance
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Deutsche Biographie
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